Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

Toutes les publications (15614)

Trier par
Le XIX ème siècle, surtout dans sa seconde moitié, se révèle être un siècle paradoxal : d’une part, l’on assiste à l’émergence de nombreux états nations concurrents et antagonistes ; d’autre part, l’unité culturelle de l’Europe se trouve à un moment d’apogée. La Belgique, au carrefour de l’Europe et des forces d’unité culturelle et de fragmentation politique qui la traversent, n’échappe évidemment pas à ce paradoxe. La naissance d’un nouvel État Nation. En 1815, faisant suite à l’effondrement de l’empire napoléonien, le Congrès de Vienne décide la réunion de la Belgique et de la Hollande en un royaume des Pays-Bas. Cette union, contre nature, provoque une opposition culturelle, religieuse et linguistique de la part des Belges. Celle-ci conduit rapidement à une insurrection bruxelloise qui amène en 1830 la proclamation de l'indépendance de la Belgique. L’indépendance de la Belgique est reconnue par la conférence de Londres de 1831 qui garantit la neutralité au nouvel État. Léopold Ier prête serment à la Constitution le 21 juillet 1831 et en devient le premier souverain : le royaume de Belgique est né. La création de ce nouvel état nation n’est pas un phénomène isolé en Europe. Qu’il suffise pour s’en convaincre de songer à l’Italie (1848), à la Pologne(1815-1918), à l’Allemagne( 1815-1834-1871), à la Serbie (1878), à la Bulgarie (1878-1908), à la Grèce (1830)… L’affirmation de la Nation par l’Histoire… Dans ce mouvement d’éveil des nationalismes, l’histoire fut souvent appelée à la rescousse pour affirmer la nation. Les historiens belges n’échappèrent pas à cette démarche. C’est ainsi que Henri Moke (1803-1862) dans son Histoire de la Belgique qu’il publie en 1839 annonce clairement son intention : «… au-dessus de la ville et de la province, j’ai toujours cherché à faire entrevoir l’unité nationale qui se préparait lentement, mais à laquelle le pays devait parvenir un jour ». Comme Jacques Stiennon le souligne de manière remarquable, les historiens belges ou de la Belgique comme Gérard (1863), Wauters ( 1817-1898), Gachard (1800 1885), Stecher (1820-1909) ou Kurth (1847-1916) « avaient sans doute compris que dans un pays qui venait de conquérir depuis peu son indépendance, l’idée nationale allait se développer avec une acuité particulière et que le jeune État belge allait, pour justifier son existence, rechercher des arguments dans l’arsenal de l’histoire… » [1] Cette entreprise trouva sans doute son expression la plus significative dans l’Histoire de Belgique (1900) du grand historien Henri Pirenne qui dès le premier alinéa de son introduction fixe clairement ses idées : « il s’agit de retracer l’histoire de Belgique au Moyen Âge en faisant surtout ressortir son caractère d’unité ».[2] …et par la peinture… Les peintres belges contribuèrent aussi à ce grand mouvement d’affirmation de la Nation. C’est ainsi que nombre d’entre eux recherchèrent des thèmes qui pouvaient justifier l’existence même de la jeune Belgique. Ainsi les figures et les évènements de la période bourguignonne[3] , considérée comme prospère et politiquement stable, furent parmi les sujets privilégiés de ce courant de la peinture belge. Les portraits de Philippe le Bon ou de Marie de Bourgogne se multiplient. Aujourd’hui encore l’hémicycle du Sénat propose aux visiteurs des scènes de la Cour des Ducs de Bourgogne, en particulier de Philippe le Bon, peints par Louis Gallait. Henry Leys (1815-1869) peint en 1862 L’Institution de la Toison d’Or, œuvre qui glorifie cet ordre chevaleresque et nobiliaire fondé en 1429 par Philippe le Bon, duc de Bourgogne, et destiné à propager la foi catholique. Certes l’Histoire est revisitée pour en conserver les moments heureux éliminant les guerres fratricides ou les périodes de famine. Les moments douloureux sont seulement retenus lorsqu’ils permettent de développer la fibre patriotique. C’est ainsi que se multiplièrent les compositions évoquant les moments de la résistance aux espagnols. Ainsi Le peintre Louis Gallait, installé à Paris où il avait des commandes pour Versailles, n’oubliait pas son pays et envoyait en primeur à Bruxelles, des tableaux monumentaux aux sujets dignes d’intéresser les belges et de leur rappeler leur glorieux passé comme L’Abdication de Charles Quint, de très grand format et remarquée au Salon de 1841.[4] De même par Les Derniers Honneurs rendus aux comtes d’Egmont et de Hornes, par le Grand Serment de Bruxelles (1851), Louis Gallait nous rappelle la tyrannie du Duc d’Albe.[5] L’œuvre fit sensation en 1851 au Salon de Bruxelles puis à Tournai lors de son acquisition. Le tableau représente une foule compacte qui se presse et assiste à une exécution. Le sujet, épisode dramatique de l’oppression espagnole aux Pays-Bas, est symbolisé par la présence vers le centre d’un espion du Duc d’Albe et d’un militaire au chevet des Comtes d’Egmont et de Hornes décapités à Bruxelles le 5 juin 1568. La toile décrit le moment où, la nuit suivante, les arbalétriers de la ville vinrent leur rendre hommage. Henry Leys fait également revivre ce passé, en particulier dans La Furie espagnole où il évoque avec une fougue toute romantique les épisodes glorieux et douloureux de cette période espagnole. Mais cette volonté artistique de renouer avec le passé s’exprime aussi par un retour aux styles des œuvres des grands artistes du passé et plus particulièrement à celui de Pierre Paul Rubens. Certains n’hésitèrent d’ailleurs pas à parler de « prérubenisme ». [6] Cette « passion rétrospective », pour reprendre l’expression de Charles Baudelaire[7] , se retrouve d’abord chez Henri Leys mais aussi chez Gustave Wappers à l’académie d’Anvers, Joseph Lies ,Nicaise De Keyser ou James Tissot. Les « prérubenistes » flamands reviennent ainsi par souci de l’exactitude et de l’analyse à l’art des maîtres septentrionaux des XVème et XVIème siècles. Ils en souhaitent retrouver l’inspiration, la fraîcheur et la force. Le plus souvent, il se contente d’en imiter l’écriture et les tics.[8] Les artistes ne se contentent cependant pas d’une plongée vers ce passé préfigurant la Belgique. Ils magnifient aussi les journées révolutionnaires de 1830 qui amenèrent la Belgique à l’indépendance. Ainsi le tableau de Gustave Wappers Épisode des journées de septembre 1830 –ressemblant à une caricature de La Barricade de Delacroix- est saluée dans l’Europe entière. Cette oeuvre conjugue parfaitement l’élan romantique et l’élan patriotique. Peint au moment d’une contre offensive hollandaise, le tableau représente un tas de corps blessés et mourants réunis autour du drapeau belge. La scène se déroule sur la Grand Place de Bruxelles, symbole des libertés conquises au fil des siècles. Camille Lemonnier parla à son propos de « … la Marseillaise d’un peuple nouveau …». Paul Fierens tempéra quelque peu le propos en parlant plutôt de Brabançonne mais non sans rappeler que si « La Brabançonne n’est pas un chef d’œuvre, nous ne l’entendons pas sans émotion. N’est-ce pas une émotion du même ordre qui s’empare de nous quand nous regardons la grande toile de Wappers ?»[9] Si Épisode des journées de septembre 1830 est le plus emblématique de ce type de tableaux et de composition, d’autres peintres viseront à éblouir le spectateur et à magnifier ces moments où la Belgique se crée. Songeons à Auguste Chauvin (1810-1884), à Charles Coubre (1821-1895) à qui nous devons Départ des volontaires liégeois sous la conduite de Charles Rogier ou L’arrivée de Charles Rogier et des volontaires liégeois à Bruxelles ou encore à Henri de Caisne qui peint en 1835 La Belgique couronnant ses enfants.La Belgique y est représentée sous les traits d’une femme entourée de personnages célèbres de l’histoire de la Belgique ( Godefroid de Bouillon, Philippe le Bon…) et à ses pieds le lion belge. …la sculpture et l’architecture. La sculpture urbaine participa également de ce mouvement d’affirmation de la nation par l’Art. Tantôt il s’agit d’éblouir et d’instruire le nouveau citoyen belge en rendant présent dans la ville les moments prestigieux de son passé. À Bruxelles, Eugène Simonis installe place Royale la statue à cheval deGodefroid de Bouillon, duc de Basse-Lorraine (1089-1095) qui fut le principal chef de la première croisade et fonda le royaume de Jérusalem (1099) qu’il gouverna avec le titre d'«avoué du Saint-Sépulcre». À Liège, Louis Jehotte nous laisse un Charlemagne à cheval dans un style métissé de néo-classicisme et de romantisme. Tantôt ce sont des monuments à la gloire de ceux qui firent l’indépendance de la Belgique. En 1838, Guillaume Geefs exécuta, à la suite d’un concours, l’allégorie de La Belgique triomphante qui occupe le centre de la place des martyrs à Bruxelles. Cette sculpture fût pendant un certain temps dépréciée à cause de sa prétendue ressemblance avec la Vénus de Milo. Aujourd’hui cette proximité apparaît cependant à l’œil averti assez vague et lointaine. En 1859 c’est Joseph Poelaert qui conçoit et inaugure la colonne du Congrès à Bruxelles qui rappelle l’adoption en 1831 de la constitution belge par le Congrès National. La colonne est surmontée d’une sculpture de Léopold Ier que nous devons à Guillaume Geefs. Dans le domaine de l’architecture, Baudelaire dans Pauvre Belgique n’hésite pas à parler de « pastiches du passé » ou pour les églises de « contrefaçons du passé ».[10] Si cette volonté de restauration du passé dans l’architecture n’est pas spécifique à la Belgique –songeons à l’œuvre de Viollet-le-Duc- , l’intention de concourir par ce rappel du passé à la cohésion nationale est évidente et ce, tout en respectant les hiérarchies symboliques de la ville. « Ces styles se paraient d’une valeur sémantique d’équivalence dans l’espace homogène de la ville moderne : ainsi, en Belgique, le néo-gothique fut l’expression du religieux, le néo-flamand Renaissance celle du sentiment civique et nationale (hôtels de ville), le néo-grec baroque celle de la dignité judiciaire (palais de Justice de Poelaert). À noter que l’éclectisme traduisait aussi la hiérachie sociale, soulignant dans l’ordonnacement des styles le coût des matériaux. Liés à la résurgence du sentiment national, les prolongements de l’historicisme en Belgique parurent spectaculaires … »[11] Le XIXème, au delà des nationalismes. Ce survol de l’art belge enchassé dans les aspirations nationales de la Belgique naissante pourrait donner une image injuste du XIXème siècle et de l’art qui le traverse. Sur le plan politique, il serait injuste de le réduire à celui du capitalisme triomphant et des nationalismes qui conduirent l’Europe à Verdun puis Auschwitz. Sur le plan artistique, il serait injuste de ne voir le XIXème siècle que comme celui qui « a rêvé d’être tous les autres et qui n’a pas eu … le simple courage d’être lui-même, de se connaître tout d’abord de s’accepter sans réticences et de se produire à visage ouvert. »[12] Bien évidemment, il ne faut pas cacher la face sombre de l’Europe du XIXème siècle : colonialisme, conditions de vie misérable pour la plupart des citoyens, âpretés des rivalités nationales et la folle course aux armements qui nous projetèrent vers l’abîme. Mais le XIXème siècle européen fût aussi celui de l’innovation, des découvertes scientifiques, des conquêtes sociales et des libertés fondamentales et des sources esthétiques de notre siècle. Formidable unité culturelle et même politique que cette seconde moitié du XIXème siècle puisqu’il fallut attendre 1989 pour que le record de la plus longue période de paix de l’histoire de l’Europe fut battu. La Belgique a participé activement à toute cette épopée et à tous ces mouvements européens. Sans évoquer les autres champs de l’activité humaine, songeons dans le domaine de l’art à Horta et l’Art Nouveau, à Ensor, à Meunier, à Khnopff, à Spilliaert, à Rops, Rik Wauters…qui contribuèrent à forger l’esthétique moderne de l’Europe. Oui la Belgique du XIXème siècle est bien la fille des nationalismes mais elle participe aussi de notre Europe, fille de cette époque. Bibliographie. 1. Monographies. Dumont (G-H), Histoire de la Belgique, Bruxelles,Le Cri,1995. Eemans (M), Les trésors de la peinture européenne, Bruxelles, éditions Meddens, 1996. Mabille (Xavier), Histoire politique de la Belgique. Facteurs et acteurs de changement, éd. Complétée, Bruxelles, CRISP, 1992). Pomian (K), L’Europe et ses nations, Paris, Gallimard, 1992. Smeets (A), L’art flamand d’Ensor à Permeke,Bruxelles, éditions Meddens, 1992. Vercauteren (F), Atlas historique et culturel de l’Europe, Bruxelles, éditions Meddens, 1962. 2. Ouvrages collectifs. La Belle Europe, Le temps des expositions universelles 1851-1913, Bruxelles, Tempora, 2001. Encyclopédie artistique belge, L’Art, 2 Tomes, Bruxelles, La Renaissance du Livre, date de la nouvelle édition non précisée. Encyclopedia Universalis, V° Belgique. Histoire mondiale de l’Art., Verviers, Marabout université, 6 volumes, 1966. Huit siècles de Peinture. Trésors des Musées Belges, Bruxelles, Arcade, 1969. Paris-Bruxelles ; Bruxelles-Paris, Anvers-Paris, Fonds Mercator-Réunion des Musées Nationaux, 1997. La Wallonie, le pays et les hommes, Bruxelles, La Renaissance du Livre, 1978. Notes [1] Stiennon (J), Les régions wallonnes et le travail historique de 1805 à 1905, in la Wallonie, le pays et les hommes, Bruxelles, La Renaissance du Livre, 1978, p 458. [2] Cité par Stiennon (J), op.cit., p 460. [3] C’est sous les ducs de Bourgogne (XIVe-XVe s.) qu’est tentée l’unification des Pays-Bas dont l’histoire se confond avec celle des principautés belges, fief français (Flandre) ou États du Saint Empire romain germanique. [4] Un Salon est une exposition collective périodique d'artistes vivants. Le premier Salon officiel, réservé aux académiciens, se tint au Louvre en 1667. [5] Le Duc d’Albe est un général de Charles Quint et de Philippe II (Piedrahíta 1508 - Lisbonne 1582) et Gouverneur des Flandres (1567-1573) où il exerça par l'intermédiaire du Conseil une violente répression contre les protestants, qui fut à l'origine de la révolte des Pays-Bas. [6] Fierens (P), La peinture au dix-neuvième siècle, in Encyclopédie artistique belge, L’Art, Tome 2, Bruxelles, La Renaissance du Livre, date de la nouvelle édition non précisée, p 447 [7] cité par Lacambre(G), Le voyage dans le temps, in Paris-Bruxelles ; Bruxelles-Paris, Anvers-Paris, Fonds Mercator-Réunion des Musées Nationaux, 1997, p 78. [8] Fierens (P), op.cit., p 447. [9] Fierens (P), op.cit., p 439. [10] Zazzo (A), L’historicisme comme méthode, in Paris-Bruxelles ; Bruxelles-Paris, Paris-Anvers, Fonds Mercator-Réunion des Musées Nationaux, 1997, p 74. [11] Zazzo (A), op.cit., p75. [12] Fierens (P), op.cit., p 410.
Lire la suite...
Peuvent introduire une candidature les personnes qui: • sont âgées de 18 ans au moins et ont moins de 30 ans au 31 octobre 2009 (Etre né entre le 30 septembre 1979 et le 31 octobre 1991) • ont une réelle vocation et en ont fait preuve par un début de réalisation, quelque soit le domaine d'activités (artistique, social, scientifique,...) établissent clairement que l’expression de leur vocation a un ancrage manifeste et substantiel* en Belgique ainsi que des retombées positives pour l’image de cette dernière sont en mesure de dialoguer utilement en Français ou en Néerlandais en avec toute personne représentant la Fondation. La Fondation n'octroie pas de bourses pour commencer des études ou débuter une activité commerciale mais bien pour permettre au jeune de réaliser ou faire aboutir le projet correspondant à sa vocation. Les dossiers sont introduits soit en Français, soit en Néerlandais. Cet ancrage peut, en particulier, se traduire par la possession de la nationalité belge ou par le fait d’avoir sa résidence de manière habituelle et légale en Belgique.
Lire la suite...

Deux siècles de jazz en Belgique francophone

AU CENTRE WALLONIE-BRUXELLES À PARIS du 20 octobre au 24 janvier Deux siècles de jazz Expositions, concerts, spectacles et rencontres sont au programme du Centre Wallonie-Bruxelles pour célébrer deux siècles de jazz en Belgique francophone. La Troisième oreille est née sur une idée de Marc Danval, coup de projecteur sur la vitalité du jazz en Belgique francophone. 1,2,3 Jazz, exposition sur l’histoire du jazz de Adolphe Sax à nos jours (affiches, instruments rares), est accompagnée d’un programme de concerts accueillant des compositeurs et des musiciens de renom : Fabrice Alleman, Roby Glod, Jan de Haas, Steve Houben, Klaus Ignatzek, Charles Loos, Jacques Pirotton, Jean-Louis Rassinfosse, Claudio Roditi, Benoît Vanderstraeten, Reggie Washington… ainsi qu’un spectacle Les poètes du jazz, une rencontre et la présentation du livre Swing Café. La troisième oreille / Deux siècles de jazz en Belgique francophone, au CWB à Paris
Lire la suite...
La Fondation Marc de Montalembert et l’Institut national d’histoire de l’art, se sont associés pour attribuer chaque année le prix Marc de Montalembert d’un montant de 8000 euros pour soutenir la réalisation d’un projet contribuant à la connaissance des arts de la région méditerranéenne. L’obtention de ce prix constitue pour le lauréat une opportunité de développement scientifique et professionnel. L’INHA a notamment pour mission de développer l’activité scientifique et de contribuer à la coopération scientifique et internationale dans le domaine de l’histoire de l’art et du patrimoine. C’est à ce titre que la Fondation Marc de Montalembert s’est adressée à l’INHA, pour mettre en place conjointement le prix Marc de Montalembert. Montant du prix Marc de Montalembert : Ce prix prend la forme d’une bourse d’un montant de 8000 euros pour la réalisation d’un projet d’une durée de six à neuf mois. Finalité du prix Marc de Montalembert : Ce prix est attribué pour mener à bien un projet ayant pour objectif la finalisation d’un travail contribuant à une meilleure connaissance des arts, de la culture et des humanités en Méditerranée. La Fondation Marc de Montalembert offre au lauréat la possibilité de séjourner dans les locaux de son siège en Grèce, à l’île de Rhodes. Conditions d’éligibilité Les candidat(e)s doivent : être né(e)s ou avoir la nationalité d’un pays riverain de la Méditerranée, avoir moins de trente ans à la date de clôture de l’appel à candidatures, avoir un niveau universitaire reconnu. Évaluation des candidatures Les candidats seront évalués sur leur curriculum vitae et sur leur projet, son originalité et son intérêt, sa faisabilité et sa pertinence au regard des programmes de l’INHA. La présentation du projet, accompagnée d’une lettre de motivation, doit comprendre un calendrier de travail, une prévision des frais liés à sa réalisation et une indication des résultats attendus ainsi que des perspectives de leur diffusion. Mise en œuvre et finalisation du projet La mise en œuvre du projet, d’une durée de six à neuf mois, commencera par un séjour d’un mois à Paris, en tant que chercheur accueilli à l’INHA. Le projet s’achèvera par un bref séjour à Paris, pris en charge par l’INHA, durant lequel il fera l’objet d’une présentation publique. Les résultats du projet seront publiés et diffusés sous une forme appropriée à laquelle l’INHA apportera son concours actif. L’INHA facilitera les démarches administratives liées au séjour en France des lauréats, notamment pour les ressortissants « hors Union européenne ». L’INHA s’engage à faire bénéficier le lauréat de l’appui technique d’un conseiller scientifique de l’INHA. Liste des programmes scientifiques de l’INHA et adresses électroniques de leurs responsables Histoires de l’archéologie et de l’art antique : Histoires de l’art médiéval : Histoire de l’histoire de l’art : Histoire du goût : Histoire de l’architecture : Archives de l’art de la période contemporaine : Art et culture matérielle : Arts et architecture dans la mondialisation : Réception des candidatures : jusqu'au 30 novembre 2009, au plus tard, le cachet de la poste faisant foi. ************************************************************************************************************************ Annonce du prix : vendredi 15 janvier 2010 Les dossiers sont à envoyer à : Institut national d’histoire de l’art - Département des Études et de la Recherche Prix Marc de Montalembert 2010 - 2 rue Vivienne – 75002 PARIS Informations : Courriel : Secrétariat du département des Études et de la Recherche : 01 47 03 85 81 - www.fondationmdm.com
Lire la suite...
Le Parcours Contemporain est devenu une manifestation estivale incontournable et unique dans la région des Pays de la Loire. La création contemporaine sort du cadre muséographique traditionnel et privilégie des espaces aussi différents et caractéristiques qu’une cave, une orangerie, un parc ou encore un magasin. La Maison Jean Chevolleau, peintre fontenaisien décédé en 1996, demeure un lieu de convivialité, favorisant l’échange, la rencontre, la création, par une résidence d’artistes. La Ville invite de trois jeunes plasticiens pendant deux mois au démarrage de leur activité professionnelle – afin d’encourager une rencontre féconde entre le créateur et le public ou encore entre le créateur et les sites patrimoniaux. Dossier à envoyer à la Maison Chevolleau avant le 20 novembre 2009. Sélection sur dossier la semaine du 30 novembre au 4 décembre 2009. Entretien la semaine du 11 au 16 janvier 2010. Durée : 2 mois (mars / avril) en continu. Local de travail : Chambres, garage, grenier, superbe jardin donnant sur la Vendée. Hébergement : Maison Chevolleau, comprenant 5 chambres. Conditions financières : Bourse de 2 300 € / Convention avec l’artiste pour versement de la bourse. 3 bourses offertes / 3 artistes invités ensemble.
Lire la suite...

CV .A D R I A N J U R A D O version en español

CV .A D R I A N J U R A D O

A D R I A N J U R A D O M E N D O Z A



DISTINCIONES INTERNACIONALES:

1993 Festival cultural EUROPALIA-MEXICO.Bélgica.
1994 “Journées Latino-Américaines», Espace Shengor.Bruselas.
1995 FIAL. Feria Internacional de Arte Latinoamericano, Bruselas.
1996 III Internationales Künstlerpleinair “SEINSICHTEN AUS WELTEN” ,Berlin y Rostock,Alemania.
2001 VI international kùnstlerplair “seisichen aus welkten” Berlin y Rostock Alemania.
2007 Encuentro mundial de muralistas Invitado para representar a Mexico, Argentina.
2009 X Biennal de la Habana Cuba

2010 "Festival des libertes" Teatro Nacional , Bruselas Bélgica.


EXPOSICIONES INDIVIDUALES:

1995 “ Rencontre Europe-Amérique latine”, Beurschowburg et Institut de la Cambre, Bruselas, Bélgica.
1997 “ FANTASMAS”,Deutsch-Ibero-Amerikanischen Gesellschaft e.V.Frankfurt am Main, Alemania.
1998 “FEELINGS” hotel Sofitel Amberes Belgium.
1999 “SPECTRUM” International house, bruxelles.
2004 “DESTRUCTIVISMO” Galería Casa de America Latina, Bruselas.
2008 "Arte contra la guerra" restrospectiva de obras nacidas espontaneamente sobre el tema.
Cultur center Piano Fabriek Bruselas

2010  "Trazos de la Memoria" Uno de los tres seleccionados anuales en el prestigioso; "Festival des libertes" Teatro Nacional , Bruselas Bélgica.
2011  "Paisajes Humanos-Rostros Urbanos"  Exposición fotográfica* bi-personal con Heloise Vande Wilde.en el Centro        cultural de Verviers Bélgica.   (Fotos capturadas en el contexto de la X Bienal de la Habana Cuba)

EXPOSICIONES COLECTIVAS (Selección):

1990 “De Generación en Generación”, UPICSA Instituto Politécnico Nacional, México.
“Materia Prima”, Festival del Centro Histórico de la ciudad de México.Galería la Casona.
exposicion curada por Guillermo Santamarina.
1992 “Rojo”, Galería La Estación, Cuernavaca, México.
“Laberintos”, Bicentenario de la Academia de San Carlos, Mex.DF
1993 “Poesía Vixual”, IV Bienal Internacional.Metro de la ciudad de México.
“No a la Pena de Muerte”, Museo Universitario de Chopo, Mex.DF.
“Instalación de primavera”, Festival de primavera.Museo de Arte Moderno, Mex.DF.
1994 “Pukara”, Galería Oxalis,Lovain-la-Neuve, Bélgica
1995 Galería Reynolds Kethëlburgkës, Bruselas.
“Rythmes métisses”, Sala de la Madeleine, Bruselas.
1995 “Parcours d´Artistes” ,Commune de Scharbeek, Bruselas.
1996 “Veelkleuring in Beelden»,Galerij de Markten,Bruselas.Bélgica.
“Jeune Art Plastique Latino-Americain”,Casa de América Latina, Bruselas.
1999 “Homenaje a la muerte” Convento de monjes Jesuitas, Gante Bélgica
2003 “Etnia” Galería Espacio Latinoamericano, Sablon, Bruselas.
2007 "Reflexion sobre la imagen Latino-americana" Expo fotografica Casa de America Latina Bruselas.
"Etnia IV" Archivos del Rey, Bruselas Belgica.
2008 " Movimiento" notas visuales sobre la danza , galeria Art fort reveaur, Bruselas
2009 "Rescatando espacios" Expo dans le cadre de la Bienal de Cuba



MURALES Y OBRAS MONUMENTALES:

1988 “El hombre y la Ciencia Biomédica del siglo XXI”,(colaboración) .ENEP. Iztacala UNAM, Mex. (2500 m2).
1990 “Contra el sida”, Academia de San Carlos, México. (20 m2).
1991 ”Por la paz”Consejo Nacional para la Cultura y las Artes, instituto Mexicano de la Radio, Mex.DF. (180 m2).
“Vía Crucis” escenografía para la representación de la pasión de Cristo (dirección de realización) Iztapalapa, Mex.DF. (1300 m2).
“El Mercado” (colaboración ), Mercado Adolfo López Mateos, Cuernavaca, Mex. (10 000 m2).
1992 “Libertad”, Penitenciario Cereso, Cuernavaca, Mex. (200 m2).
“Mujer, Lázaro Cárdenas” (colectivo) Instituto Palmira, Cuernavaca, Mex. (60 m2 cada mural).
1993 “México en su historia”, (Festival Europalia-Mexico, Maison de l´Amérique Latine, (realización parcial del proyecto) Bruselas. (180 m2).
1994 “Cuba”, Université Libre de Bruxelles, Bélgica. (60 m2).
“Multiculturalismo”, Frankfurt, Alemania. (50 m2).
1995 “Che Guevara”, Vrij Universiteit van Brussel, Belgisch.(60 m2 ).
1996 “Expulsados del paraiso” serie de telas monumentales contra el razismo en Europa.Alemania
2000 “tran-sito” mural en el parque de la rossé, Anderlecht IBG Bruselas . (150 m2).
2004 “fresque pour la paix versus 2004“ Place Flagey, Ixelles Bruselas (20 m²)
2006 « Ingrid Betancourt » Place Flagey ,Bruselas retrato monumental por la liberacion .
2007 « Voix sans paroles » Mural realisado por los trabajadores clandestinos latino-americanos ,bajo la direcion artistica de Adrian Jurado.
2008 dibujo monumental contra la guerra en Gaza 18mts²

Desde 1996 hasta hoy día, ha realizado intervenciones urbanas efímeras en España, Alemania, Bélgica....

(Trazos de la Memoria)


OTRAS ACTIVIDADES:

1988-90 Responsable cultural de la sociedad de alumnos de la Unidad Profesional Interdisciplinaria de
Ciencias Sociales y Administrativas (UPIICSA); Instituto Politécnico Nacional. Mex.
1990-91 Profesor de pintura; centro Comunitario de Culhuacan, Mex., D.F.
1992-93 Creación y dirección de la Galería de Arte Contemporáneo Bonam-Aktum; Cuernavaca, Mex.
1995 Profesor de pintura; Vlaamse Gemeenschapscentrum Liza, Brussels.
Conferencias sobre muralismo mexicano; México, Bruselas.
Periodismo Cultural; Agencia Eurolatina TV, Comisión Europea, UE. Bruselas.
Diseño Gráfico e Ilustración de libros; (libros pedagógicos para escuelas primarias)
Vídeo; reportaje y creación.
1999 Profesor de artes plásticas, en el instituto “Kunshumanibra” Bruselas.
2003 Pedagogo en arte infantil en la Casa de America Latina Bruselas.
2005-2007 Comisario de exposiciones en la Maison de l’Amerique Latine , Bruselas.
2007 Director fundador de Canal arte TV inter. Donde realiza reportajes culturales de la comunidad Latino-americana .
2008 Comisario de exposiciones internacionales en la Casa de America Latina Belgica.

En los últimos diez años ha luchando por la educación artística, por generar espacios de participación y expresión cultural. asesoro multiples creaciones murales colectivas y educo a muchos jóvenes, niños y adultos. entre otras muchas otras labores artísticas.
En sus diversos campos de creación ha buscado las historias de grupos sociales y políticos que ha sufrido el atropello en derechos humanos u otro tipo de proceso político, cultural y social y otorgarles la voz atraves del arte.



ESTUDIOS:

1988-92 Cursos de educación continua: pintura, escultura, dibujo, historia del arte, composición.
Escuela Nacional de Artes Plásticas.Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM).
DEPG antigua Academia de San Carlos.Mexico.
1988-90 Licenciatura en Administración Industrial, UPICSA.Instituto Politécnico Nacional.Mex.
1989-92 Escuela Nacional de pintura, escultura y gravado.La Esmeralda.Instituto Nacional de
Bellas Artes (INBA).México.
1992 Práctica y teoría de pintura monumental en el grupo “Muralistas Mexicanos”.Cuernavaca.Mex.
1991-95 Seminarios y encuentros sobre arte público .México - Bélgica.
1994-95 Pintura monumental. Académie Royale des Beaux Arts. Bruselas.
1999 Autodidacta en diseño grafico por ordenador.
Manejo de programas como fotoshop, adobe premiere, AF.



IDIOMAS:
Lengua materna español.
Frances nivel profesional.
Ingles nivel profesional.
Portugués nivel conversación.
Nociones tanto de holandés como de alemán.
Valenciano nivel comprensión.
Catalán nivel comprensión.
Gallego nivel comprensión.
Italiano nivel comprensión.

Dirección:

12 Impasse St. Jacques 1000 . Bruselas. Sablon
Teléfono Bélgica
E-mail:
jurado_adrian@hotmail.com
adrianjuradomendoza@yahoo.es

Skype: adrianjurado

Lire la suite...
Le Prix littéraire 2009 du Parlement de la Communauté française était réservé aux auteurs d'un recueil de poésie. Le 5 octobre 2009, le Jury était présidé par Monsieur Jean-François Istasse, député du Parlement de la Communauté française, et était composé de membres de l'Académie royale de langue et de littérature françaises, de l'Association des écrivains belges de langue française, du Pen Club et de représentants du Conseil de la jeunesse d'expression française. Le prix a été attribué à Alain Bosquet de Thoran pour son recueil « Mémoires de l'Outil », publié en 2007 aux éditions Le Cormier. Le lauréat s'est imposé au premier tour de scrutin, à la majorité des voix. Le Jury a reconnu que ce recueil – d'un intérêt exceptionnel – comporte une multitude d'aphorismes, ce qui lui confère une empreinte d'immortalité (« Vous pouvez le griffer, le raturer en tous sens, mais vous n'en viendrez pas à bout : tout poème est immortel »). Grâce aux évocations et aux variations de thèmes récurrents, tels que la mémoire et le souvenir, le silence et la mort, la poésie en devient dramatique, fulgurante, voire visionnaire. Le Jury a apprécié les poèmes qui, de par leur densité et leur brièveté, sont habités par un chant intérieur ; d'autres poèmes continuent à hanter l'esprit bien après leur lecture (« Quel est ce guide à l'ombre démesurée, impassible dans le vent, dans ce désert inhospitalier ? Ses yeux, ses grands yeux fixent l'éternité »). Né en 1933, Alain Bosquet de Thoran a publié plusieurs recueils de poésie (« L'invitation chimérique » en 1957, « Petite contribution à un art poétique » en 1983), essais (« Traité du reflet » en 1986) et romans (« La petite place à côté du théâtre » qui a obtenu le prix Rossel en 1994). Il est membre de l'Académie Royale de langue et de littérature françaises de Belgique. Les autres finalistes étaient Gaspard Hons (« Les abeilles de personne », éditions du Taillis Pré), Philippe Mathy (« Un automne au creux des bras », éditions Herbe qui tremble), Jean-Claude Pirotte(« Revermont », éditions Temps qu'il fait)et Véronique Wautier (« Une petite fable rouge », éditions Arbre à Paroles).
Lire la suite...
Un livre important paru chez un éditeur belge (André Versaille) Paul Aron, José Gotovitch (Sous la direction de) Dictionnaire de la Seconde Guerre mondiale en Belgique En collaboration avec : Jacques Aron, Francis Balace, Marnix Beyen, Hugh Robert Boudin, Franck Caestecker, Alain Colignon, Jean-François Crombois, Marc d'Hoore, Marie-Pierre d'Udekem d'Acoz, Emmanuel de Bruyne, Bruno de Wever, Virginie Devillez, Irene Di Jorio, Barbara Dickschen, Michel Fincœur, Bibiane Fréché, Anne Godfroid, Sasha Goldsztein, Rik Hemmerijckx, Chantal Kesteloot, Mazyar Khoojinian, Hein A.M. Klemann, Frans Lambeau, Jean Lechanteur, Danielle Leenaerts, Marie Lejeune, Dirk Luyten, Fabrice Maerten, Benoît Majerus, Claudine Marissal, Dirk Martin, Cécile Michel, Patrick Nefors, Marie-Anne Paveau, Philippe Raxhon, Bénédicte Rochet, Anne Roekens, Laurence Rosier, Lieven Saerens, Peter Scholliers, Frank Seberechts, Michel Simon, Maxime Steinberg, Roel Vande Winkel, Sophie Vandepontseele, Jacques Vanderlinden, Christian Vandermotten, Cécile Vanderpelen-Diagre, Guy Vanthemsche, Étienne Verhoeyen, Antoon Vrints, Nico Wouters, Jacques Wynants En 200 articles, cet ouvrage réussit le pari de transmettre, dans une langue accessible et concrète, l’essentiel des recherches scientifiques – souvent peu accessibles – sur les aspects économiques, sociaux et culturels de l’Occupation. Cet ouvrage est d’ores et déjà appelé à devenir un “classique”, destiné à la bibliothèque de tous ceux qui souhaitent comprendre une période particulièrement sensible de l’histoire de Belgique. Écoutez la présentation du livre par l'auteur Date de publication : 25-02-2008 ISBN 978-2-87495-001-8 - 560 pages - 29.90 €
Lire la suite...

Petite critériologie des naïfs

Ce sont les visionnaires du quotidien, les imagiers de la vie secrète, les fétichistes du souvenir, toujours occupés à défier candidement la logique ou à poétiser le banal. Leur tendresse pour ces faubourgs du coeur où aiment à flâner les âmes simples en fait souvent les rêveurs d'une écologie idéale, les purificateurs d'un monde saturé de laideurs "machiniques", d'habitudes machinales et de profits machinés. Et en cela, ce sont bien des naïfs. Mais jusqu'où peut-on leur donner la naïveté sans confession? On les suspecte de jouer les candides, les habiles maladroits de l'ingénuité... Mais faut-il être Tartufe dans la vie pour bien interpréter le rôle sur scène? Et faut-il avoir reçu la tonsure pour peindre "religieux"? De toute évidence "naïf" en art n'a pas le même sens que dans le langage courant. Car ce n'est pas la maladresse qui crée ici le genre, mais le genre qui s'accommode de la maladresse. Ce qui est très différent! Bien que poètes de l'image-rêve, de l'événement-souvenir, du paysage-émotion, ces ingénus, parfois, quittent les rives de la sérénité bucolique pour des points de vue moins reposants. Par exemple, ils s'inquiètent de l'invasion tentaculaire des villes-béton sur la campagne. Les paysans fuient l'assaut des promoteurs, érigent des murailles protectrices, assiègent d'aléatoires bureaux de réclamations. Deux petits vieux à la fenêtre, contemplent résignés la forêt de façades qui les enferment déjà vivants dans un tombeau de pierre. Seul un arbre à fleurs survit miraculeusement dans l'encerclement étouffant des buildings. L'air est à l'oppression, que s'efforce d'apaiser par exemple des couleur pastellisantes aux douceurs de vieux rose et de lilas subtils... Peinture plus idyllique, certes, que vraiment engagée, où l'on retrouve plus ou moins évidents les quatre caractéristiques, selon moi, de l'art naïf: -le parfum d'innocence, ou si l'on veut, l'angélisme, qui fonde essentiellement le genre. -la poésie, sans laquelle il n'y a guère que prosaïsme ou platitude. -la créativité, de préférence fortement personnelle et inventive, indispensable à tout art digne de ce nom qui veut échapper à la banalité. -une certaine recherche d'absolu, festif, symbolique, hédoniste, religieux, social, métaphysique ou autre-nécessaire pour faire échapper l'oeuvre à l'insignifiance, au pur décoratif ou à la simple illustration. Ces points, essentiels à mes yeux, doivent être tous présents, le dernier pouvant à la rigueur faire défait si les autres sont suffisamment marquants pour le représenter. Certes tout cela reste bien théorique: la poésie ne se démontre pas comme un syllogisme, et la laideur, en art, peut même se muer en produit de beauté... Mais c'est "en trichant pour le beau" que l'on devient artiste. Aussi, quand surgissent les "mensonges" déroutants des perspectives approximatives ou des anatomies amidonnées, ne crions pas trop haut notre surprise offusquée. Il ne faut surtout pas réveiller ceux qui rêvent...
Lire la suite...

Où êtes-vous ?

Bonjour,Je suis Chahreddine Berriah, le journaliste algérien d'El Watan.Je souhaiterais retrouver les gens que j'ai rencontré en décembre 2008 à Montpelliers, lors du congré inter culturel, organisé par FAnny Didiot-Abadi.merci
Lire la suite...
Emile Poumon: Principaux articles (1947-1990) Sigles utilisés : A = Audax - Hainaut. B = Brabant. E = Ethnie française. GCHH = Gazette des Amis du Château d'Havré. III = Illustrations. HT = Hainaut Tourisme. NC = No Catiau. PW = Pensée wallonne. RN = Revue Nationale. TCB = Revue du Touring Club De Belgique. VW = la Vie wallonne. VA = la Voix des Artistes. ACCMB = Actes, Colloques organisés Par le Cercle royal Montois de Bruxelles. Abbayes: D' Affligem B 1970; d' Ardenne RN 1966; bénédictines en Hainaut NC 1980, 75; campinoisés RN 1954, 248; cisterciennes du Hainaut HT 1991; cloîtres évanouis RN 1954, 144; du Hainaut HT 1964 III; liégeoises dans revue "Province de Liège" 1953 II; Maredsous RN 1972, montoises NC 1973, 51; en Thudinie HT 1962 III; du Val mosan RN 1955, 346. Académie des Beaux-Arts de Mons: NC 1981, 29; royale de langue et de littérature française de Belgique (et les Montois) NC 1972, 32. Aéroport (autour de l' national) B 1965 I; l' Affligem (Abbaye) B. I 70; Albany (Comtessse d'), ses portraits NC 1980, 27; Amérique latine et Belgique RN 1957, 343; Anderlecht (chartreuse de Scheut) B 1962; Anto Carte NC 1973, 43; 1983, 63; NC 1986, 27; Anvers, demeures patriciennes RN 1963, 299; Apollinaire et Stavelot RN 1965, 333. ARCHITECTES hainuyers HT 1965 IV N° 105 (Voir aussi Bordiau, Cloquet, Cuvillès, Havez, Montoyer, Wincq; Architecture (musée à Liège) VW 1977, 33 N° 351; Ardenne (patrimoine artistique et architectural RN 1963, 271; Châteaux d'Ardenne VA 1967; Forêts d'Ardenne RN 1965, 289; Moutiers RN 1966 X, 231; Arenberg (Maison d') RN 1950, 65; Arlon RN 1956, 311. ART: application des techniques, scientifiques aux oeuvres d'art dans revue "Chimie et Technique" 1959; Art byzantin (églises) VA 1967 VI; Art à Dublin VA 1969 III; Art du métal en Hainaut VW 1976, 159 N° 355; Artistes (musées de nos) RN 1960, 161; Asse: B 1962 IV; Ath, dans l'ouvrage "La Belgique vue par les écrivains du tourisme 1958. Averbode: RN 1954, 47; Aye (Ste) à Bruxelles NC 1989, 43. Baisy-Thy B 1973, 14; Bal (Willy) RN 1969, 205; Balkans (Belges et) RN 1958, 45; Bastille (la prise) RN 1961, 195; Baudouin de Constantinople NC 1987, 51; NC 1990, 17; Bégunages de Belgique RN 1955, 144; brabançons B 1956 II; bruxellois B 1963 V; montois NC 1972, 51; Bekkerzeek B 1974, 46. Belgique: Dürer en: RN, 1976. 193; Juifs de:: RN 1959, 49; Union littéraire belge VW. 1983, 168; Mausolées (annales Cercles archéologique de Mons, T. 62 1956, 297/307; Napoléon et Noblesse de: RN 1969, 173; Belgique: Présence en Amérique RN 1957, 343; Dans les Balkans RN 1958, 45; en Espagne RN 1957, 15; en Extrême Orient RN 1957, 297; aux Indes RN 1958, 333; en Italie RN 1957, 141; aux Pays-Bas RN 1957, 107; en Pologne RN 1958, 117; en Scandinavie RN 1957, 201; en Suisse RN 1957, 53; en Tchécoslovaquie RN 1961, 45; à Vienne RN 1958, 109; Bénédictins en Hainaut HT 1981, 67 N° 205; à Mons NC 1980, 75; Berghes (la Maison de) RN 1965, 207; Bertin (Charles) 1973, 56 et 73; NC 1978, 28; NC 1990, 3; Beubeux à Mons NC 1978, 40; NC 1979, 43. BIBIOTHEQUES des châteaux RN 1966, 65; de Mons NC 1969, 17; de la Pensée wallonne VW 1975, 41 N° 349; Bidez (Joseph) dans "Le Borain" 1949 - Billets montois; voir Mons montoiseries; Bohème (souvenirs de) RN 1961, 45; Bon an, bonne année NC 1984, 3; Bordiau (Gédéon) VW 1982, 271 N° 380; Borinage RN 1964, 49; HT 1974, N° 166, 173; Bouillon (château) RN 1956, 49; Boussoit-sur-Haine HT 1986, VI. 103 N° 236; Brabançonne (la) NC 1980, 3. BRABANT: abbayes B 1953 IV; béguinages 1956, II; châteaux dans l'ouvrage "La Belgique vue par les écrivains du tourisme" 1958; petites villes du: RN 1963, 109; sanctuaires mariaux B 1964 III; un guide du Brabant wallon B 1969 I; châteaux du Brabant wallon RN 1955, 126; Braine-l'Alleud B 1959 V; Braine-le-Château B 1959 XI; Braine-le-Comte, revue "Partir" 1976 N° 204; Brès (Guy de) NC 1966, 85; Brusseghem B 1969, II. BRUXELLES: Académie (voir le mot); Ambassade de France et ses souvenirs B 1975 VII; Béguinages B 1963 V; Cercle artistique et littéraire RN 1967, 257; Cercle montois de Bruxelles NC 1977, 51, 1978, 5, 1982, 75, 1983, 5 et 54; pour la revue "No Catiau" voir le mot: chapelles B 1961 IV; hôtels particuliers patriciens B 1967 II; Montois à Bruxelles en 1830 NC 1980, 27; NC 1982,"; un montois mayeur à Laeken (Bockstael) NC 1986, 19; Musée Constantin Meunier B 1959 V; artistes peintres (la peinture) à Bruxelles B 1980, 32; Place des Martyrs (revue de la Ligue wallonne 1990); présence montoise à Bruxelles NC 1979, 63; souvenirs bruxellois à Mons NC 1979, 63; NC 1983, 54; NC 1984, 44; les Wallons à Bruxelles VW 1973, 232 N° 344 et 1979, 37 N° 385 - Voir aussi Plisnier, Heysel, Laeken; Bucarest VA 1971 I; Budapest (musées) VA 1967 XII; Buelens (Charles) NC 1984, 44; Campine: Abbayes RN 1954, 248; petites villes RN 1964, 79. CANADA: français RN 1958, 267; Eglises du VA X, 67; le français au NC 1967, 8; Canons montois NC 1976, 65; Capucins à Mons NC 1974, 76; Car d'or NC 1987, 31; Carillon VW 1982, 55 N° 377; NC 1986, 50; NC 1989, 51; Carillonneur (Le): "La Dernière Heure" du 6.6.1971; Carte (Anto- NC 1973, 43; NC 1983, 63; Cartographes montois NC 1977, 28; Catiau NC 1981, 51 et 75; Centre (1e historique et littéraire RN 1963, 199; Cercle archéologique de Mons NC 1981, 75; Cercle montois de Bruxelles (voir Bruxelles; Cercle montois): Chambourlette: "La Dernière Heure" du 2.6.1971; Champagne (Paul) VW 1974, 177 N° 347. CHAPELLES en Hainaut HT 1977, 117 N° 183; à Mons NC 1985, 27; St. Antoine en Barbefosse NC 1978, 3; Charleroi: revue "Partir" 1977 N° 212; le tricentenaire RN 1966, 111; route de Mons à Charleroi HT 1966, X N° 119; Chasses d'Havré à Mons NC 1973, 8. CHATEAUX d'Ardenne VA 1967 IV; bibliothèque de... RN 1966, 65; de Bouillon RN 1956, 49; du Brabant (dans l'ouvrage "La Belgique vue par les écrivains du Tourisme) 1958; du Brabant wallon RN 1955, 126; castels et rochers RN 1955, 237; Châteaux d'Entre Sambre et Meuse RN 1954, 214; du Franc Pays (Bruges) RN 1955, 306; de Gand et de sa région RN 1956, 339; de Havré HT 1980, 193 N° 200; du pays de Herve RN 1955, 215; hesbignons RN 1954, 303; liégeois (revue Province de Liège) 1955 IV; Cantons de l'Est (revue Province de Liège) 1955 IV; du Pays noir HT 1961 VI; du diable à Quaregnon (dans "Le Borain") 1948; de Thudinie HT 1962 III; du Tournaisis RN 1954, 345; Vieux burgs des Cantons de l'Est RN 1955, 28; Chimay: revue "Partir" 1976 N° 206; Arts et lettres RN 1967, 165; Ciply NC 1980, 17; Clabecq (Brabant) 1974, 32; Clairefontaine E 1978, 133; Clesse (Antoine) NC 1980, 66; 1988, 43; Cloches et carillons NC 1984, 27; Cloquet (Louis) HT 1971, 173 N° 148 et "Bibliographie de la Thudinie" 1980 N° 89; Comtes de Hainaut (les) HT 1971, 212 N° 149; Coran (Pierre) NC 1978, 40; Corse (francisation) E 1976, 284; Cour St-Etienne B 1963 XII; Croy (Maison de) RN 1959, 291 et l'Espagne HT N° 262, 179, 54; et Mons NC 1985, 53; voir Havré Ducs (d'); Cures (vieux presbytères) TCB VII, 51; Cuesmes NC 1976, 63; Cuisiniers montois NC 1977, 21; Cuvillès (J.F.) VW 1982, 274 N° 380; HT 1968 VII, 129. DANHAIVES (Louis-Marie) E 1986, 133; Fefuisseaux (Alfred) NC 1987, 41; Delattre (Louis) RN 1970, 197, 53; Delnest (Robert) NC 1979, 53; Démer (sanctuaires des bords du) B 1957; De Munck (E) dans la revue "Le Borain" 1947; Denis (Pierre) ferronier d'art VW 1950, 213, t. 24; Dentellières montoises NC 1981, 63; De Patoul NC 1987, 18; De Pooter (Frans) NC 1976, 16; De Prémorel (Adrien) VW 1982, 275 N° 380; Desmoulins (Aldegonde) architecte NC 1953; Des Ombiaux (et la France) RN 1968, 201; De Reiffenberg NC 1976, 35; Desonay (F) RN 1974, 13; Destrée (Jules) RN 1963, 322; Devillers (L) NC 1980, 51; Devos (Léon) NC 1975, 15; Dialectes (plaidoyer pour) NC 1983, 18; actes colloques cercle montois II, 1983; Diegem B 1957 XII; Diest (belles façades) B 1967 I; Dinant: Arts et Lettres RN 1967, 237; Dragon: NC 1975, 39; NC 1980, 42; Dublin (les Arts à) VA 1969 III; Dubreucq (J) NC 1985, 15; NC 1985, 60; Ducarme (J) NC 1979, 4; Du Fay (G) VW 1974, 179 N° 347; NC 1975, 17; Dürer en Belgique RN 1967, 193; Duval NC 1984, 41. EAUX, douves, fontaines RN 1955, 49. ECRIVAINS (voir Bertin, Champagne, Clesse, Coran, Delattre, De Reiffenberg, Desonay, Ducarme, Garnir, Hellyn, Hugo, Lejeune, Liebrecht, Lobet, Mahutte, Mathieu, Mouligneau, Petit, Piérard, Plisnier, Poumon, Pozzetti, Simon, Soreil, Ticx-Lassoie, Verhaeren, Verboom, Voltaire; Ecrivains montois du XVIe siècle à nos jours NC 1970 IV à X; musées de nos... RN 1960, 161; sur la tombe de nos... RN 1964, 293; demeures d'écrivains en Hainaut HT 1986, 142 N° 237; rencontres d'écrivains en Hainaut NC 1986, 41; Egmont (le Comte) et le Hainaut HT 1975, 157 N° 172. EGLISES de Bruxelles B X 58; byzantines VA 1967 VI; du Canada français VA 1967 X; des bords du Démer B 1959 X; sanctuaires mariaux du Brabant B. 1964 III; des bords de la Senne B 1959 X; Elewijt B 1950 II; B 1962 VII; Enghien TCB 1950 XII, 274 et dans l'ouvrage "La Belgique vue par les écrivains du Tourisme 1958; Entre Sambre et Meuse RN 1963, 133; castels RN 1964, 214; Erasme RN 1967, 45; Ermitage RN 1966, 15; Espagne (et Belgique) RN 1957, 15; Estinnes (les) HT 1968, VI, 101 N° 128; Evrard (Jules) VW 1988, 17 N° 105; Extrême-Orient (et Belgique) RN 1958, 207. FAGNES (hautes) HT 1963 VI; Fédération wallonne du Brabant NC 1971, 61; Fétis NC 1980, 76; Fiacre et fiacres NC 1974, 51; Flandre: vieilles demeures du Franc (Bruges) RN 1955, 306; Petites villes RN 1962, 299 et 341; Flénu NC 1983, 40; Fontaines RN 1955, 49; Forêts d'Ardenne RN 1965, 289; de Soignes (dans la Belgique vue par les écrivains du Tourisme) 1988. FRANCAISE (langue) aux îles anglo-normandes E 1978, 280; aux îles de l'Océan Indien E 1974, 28; francisation de la Corse E 1976, 289; France (l'Ambassade à Bruxelles et ses souvenirs) B 1965 VII; Franchimont RN 1968, 169; Froissart (J) HT 1968 VI, 101 N° 128. GAND: Châteaux de la région de... RN 1956, 33ç; Hôtel musée d'Hane-Steenhuyse RN 1959, 142; Hommes célèbres RN 1965, 167; Hôtels patriciens RN 1962, 71; Ganshoren B 1975, 12; Garnir NC 1979, 65; NC 1981, 15; Gaume RN 1963, 161; Gendebien (Les) NC 1963, 54; Genève (Voltaire à) RN 1968, 275; Ghlin VW 1974, 115 N° 346; NC 1974, 15; Bibliothèque de la Pensée wallonne (voir Bibliothèque); Gilles de Ghlin ou Saaint- Georges NC 1974, 39; Gillis (Marcel) VW 1975, 189; NC 1975, 55; Godefroid (Raoul) NC 1980, 17; Gommaerts (Fernand) NC 176, 10; Gossart, peintre hennuyer HT 1965, 111; Gottignies HT 1969, 207 N° 137; Grande-Bretagne (et Belgique) RN 1957, 297; Greuze (L') NC 1971, 51; Grimbergen B 1954 X; B 1964 XI; Guide fidèle du Brabant wallon (un) B 1969 I. HAACHT B 1965 III; Hageland (sculpteurs namurois dans) RN 1972, 220; Hainaut Fier d'être hainuyer dans la revue "Liaison" (Alifucam) 1981 III, 31 et AEB Anthologie 85 p. 227. HAINAUT: Abbayes HT 1964 III N° 102; HT 1974, 185 N° 167 (refuges); Abbayes bénédictines HT 1981, 67 N° 205; Moutiers de Thudinie HT 1962 III; architectes HT 1965, 169; architectures HT 1965 IV; arts du métal VW 1976, 159 N° 355; botte du Hainaut HT 1963 VI; chapelles HT 1977, 117 VII N° 183; Comtes de Hainaut 1971, 204; N° 149; et le Comte d'Egmont HT 1975, 157 N° 172; Hôtels de ville HT 1968, 29 N° 126; Isabelle de Hainaut, reine de France (dans "Le Borain") 1948; Léopold, Comte de Hainaut NC 1989, 45; littérature NC 1973 et 1974 et actes colloque, IX, 1990; lieux littéraires en Hainaut A 1989 N° 15; rencontres littéraires NC 1986, 41; musée HT 1984, 105 N° 224; parcs et jardins NC 1976, 27; presbytères HT 1977, 152 N° 184; HT 1984, 201 N° 227 et HT 1985, 211 N° 235; la Toison d'Or et le Hainaut A N° 14 juin 1989; petites villes du Hainaut RN 1963, 3; vitraux HT 1960 II; Hallez (G) revue "Le Borain" avril 1947; Hamme B 1974, 48; Hannick (G) NC 1948, 9; VW 1948, 268 N° 243; Harmignies NC 1982, 5; Harvant ® NC 1979, 65; Hergengt NC 1983, 63; Hayez (Ch), architecte NC 1975, 5. HAVRE HT 1963 X; NC 1974, 213; Bon vouloir (chapelle) HT 1981, 175 N° 214; Quatre chapelles mobilières à Havré NC 1990, 53; Chasses d'Havré à Mons NC 1973, 8; Château d'Havré HT 1980, 93 N° 200; Havré: Château sauvé, TCB 1947 II et "Journal de Mons" du 25.1.1947; Château, centre culturel "Le Journal de Mons" du 25.1.1947; une Noce au Château en 1810, C Chr. H N° 35 mars 1990; Havré (Ducs d') HT 1977, 103 N° 182; Duc, Seigneur de Tourcoing C. Chr. H. 1989 N° 32; et la France: idem 1988, V N° 29; Duchesse, idem 1989 N° 31; Charles-Alexandre "Journal de Mons" 1.2.1947; Dorothée, Marquise d'Havré, C. Chr. H 1990; une Noce au Château en 1810, idem 1990 N° 35; le dernier Duc d'Havré, idem 1991; Notules sur Havré, idem 1989 N° 30; Saint-Antoine en Barbefosse, NC 1978, 3 et NC 1981, 3 et NC 1987, 53 et NC 1990; Pourceau de St- Antoine NC 1981, 3; Hellyn (Paul) NC 1978, 76; Hérentaels (Chapitre d') et Mons NC 1965, 57; Hérinnes B 1965; Herve (Château du pays de) RN 1955, 215; Hesbaye (vieilles demeures) RN 1954, X et revue "Vue Touristique" 1971 N° 4; Héverlé RN 1950, 73; Heysel, B 1975, XII; Heupgen (G) Les Viéseries NC 1987, 15; Hoegaerde, B 1960 III; Hosftade, B 1964 IV; Hôtels patriciens anversois, RN 1963, 299; bruxellois, B 1961, II; gantois, RN 1962, 71; liégeois, RN 1960, 193; montois, RN 1960, 229; namurois, RN 1964 231; Hôtels de Ville du Hainaut, HT 1968 III N° 126; Houzeau de Lehaie, RN 1958, 15; Hugo: 100 ans de sa mort, NC 1985, 15; Hugo à Mons, NC 1985, 15 Huy RN 1966, 203; Hyon NC 1975, 75. INDE (et Belgique) RN 1958, 333; Intolérance linguistique à Mons en 1477 NC 1974, 6; Iran (montois en) NC 1979, 52; Italie (et Belgique) RN 1957, 141; Itterbeek B 1967, VII. JACQUEMARTS RN 1965, 237; Jardins et parcs en Hainaut, NC 1976, 27; Jauche et Jauchelette B 1960, I; Jean de Liège, sculpteur VW 1976, 240, N° 356; Jemappes NC 1977, 75; Jérusalem (pélerins belges) RN 1962, 101; Jette B 1974, 36; Jeux montois NC 1977, 3; Juifs de Belgique RN 1964, 49. KEERBERGEN B 1960 XI; Kraainem B 1975 VI, 36; Laeken NC 1986, 19. LALAING (Maison de) RN 1962, 47; Langues: Intolérance linguistique à Mons en 1473 NC 1974, 6; Lassus (Roland de) NC 1970, 63; NC 1982, 63; VW 1982, 274, N° 380; Lavachery NC 1968, 21; Léau B 1963 III; Lebrun (G) NC 1979, 28; Léningrad (l'hermitage) RN 1958, 181; Le Poivre NC 1958, 70; Letellier (le curé) NC 1963, 1; Le Libre Journal NC 1982, 52; Liebrecht (Géo) RN 1971, 147. LIEGE: Jean de Liège VW 1976, 240 N° 356; XVIIIe siècle liégeois RN 1963, 69; Abbayes (revue "Province de Liège") 1953 II; Châteaux (idem) 1953 IV et V; Hôtels patriciens RN 1960, 193; Musée d'architecture VW 1977, 32 N° 357, Mons et musée vie wallone à Liège NC 1978, 51; petites villes de la Province RN 1963, 231; Université et littérature RN 1967, 65; vieux burgs des Cantons de l'Est (revue "Province de Liège") 1955 VI et RN 1955, 28; Ligne (Maison de) RN 1961, 105; Tombeau Charles-Joseph à Vienne HT 1979 V, 207 N° 197. LITTERATURE en Hainaut NC 1973 et 1974; à Mons NC 1970 et 1971 et Actes Colloques Cercle montois VI et IX; Musée de la... RN 1968, 79; Lieux littéraires en Hainaut A. 1989; Lobet (Marcel) RN 1970, 295; Lombard (Lambert), peintre liégeois RN 1966, 139 N° 21; Louvain (la vieille) vieux collèges universitaires B 1960 V; Eglises de... B 1964 VI; La région de... RN 1956, 19; Loverval HT 1966, IX N° 118; Lumeçon à Mons NC 1974, 39; NC 1985, 39; et écrivains Actes Colloques Cercle montois IV. MACHELEN B 1961 X; Nahutte (F) NC 1984, 44; Maisières NC 1983, 31; Malapert NC 1958, 70; Malines, monuments RN 1956, 105; Malte (et la Belgique) E 1977, 307; Maredsous RN 1972, 135; Mariemont RN 1960, 5; Marseillaises wallonnes NC 1989, 67; Mathieu (A) NC 1976, 54; Matthieu (Ernest) NC 1985, 7; Maurice (île) RN 1974, 259; Mausolées de Belgique (annales) Cercles archéologiques de Mons 1955 t. 62, 297; Merchtem B 1963 I; Merghelinck (et la Flandre maritime) RN 1960, 129; Mérode (Maison de) RN 1960, 97; Mérovingien (trésor à Mons) NC 1981, 63; Métal (Arts du) en Hainaut VW 1976, 159 N° 355; Métiers montois NC 1976, 5; Mexico VA 1969 X; Militaires (gloires) montoises NC 1979, 27; Mockel (A) RN 1966, 289. MONS: au XVIe siècle NC 1984, 52 et Actes Colloques III; Renaissance à... NC 1976, 15; au XVIIIe siècle NC 1976, 75; à fin XVIIIe siècle NC 1974, 52; Révolution 1830 NC 1980, 27; Abbayes NC 1973, 51 et NC 1980, 75; Académie (Littérature et Montois) NC 1972, 32; Académie des Beaux-Arts NC 1981, 29; Architectes: Aldegonde Desmoulins NC 1953, 29 et Havez NC 1975, 5; Architecture montoise NC 1956, 44; Artistes lyriques NC 1988, 27; Baudouin de Constantinople NC 1987, 51 et NC 1990, 17; Béguinages NC 1972, 51; Bénédictins NC 1980, 75; Beubeux NC 1978, 10 et NC 1979, 43; Bibliothèque universitaire NC 1971, 51; Bibliothèque de la Pensée wallonne VW 1975, 41 N° 340; Bon an, bonne année NC 1985, 3; Bonne maison de Bouzanton NC 1974, 28; Mons et Bruxelles (voir Bruxelles); Canons montois NC 1976, 65; Car d'Or NC 1977, 39 et NC 1987, 3; Carillon VW 1982, 55 N° 377 et "La Dernière Heure" du 6.6.1971 et NC 1984, 27; Cartographie montoise NC 1977, 28; Catiau NC 1981, 51 et 75; Mons, centre d'art RN 1959, 11; Cercle archéologique NC 1981, 75; Chambourlette "La Dernière Heure" du 2.6.1971; Chapelles NC 1985, 27; Chasses d'Havré NC 1973, 8; Chemins de fer NC 1986, 8; Cité du XVIIIe siècle dans "La Revue des Voyages" 1953 N° 29; Cité verte NC 1987, 3; Cloches et carillons NC 1984, 27 et NC 1985, 8 et NC 1986, 50; Conservatoire de musique NC 1985, 64 et NC 1987, 29; Croix place NC 1981, 51; Mons et la Maison de Croy NC 1985, 53; Cuisiniers montois NC 1977, 29; Vieilles demeures montoises RN 1960, 229; Dentellières NC 1981, 63; Dragons NC 1975, 39 et NC 1980, 42; Ecole des mines NC 1987, 39; EGLISES montoises St_Nicolas et Havré NC 1979, 3; Ste-Waudru Collégiale) NC 1975, 63 et NC 1976, 43 et NC 1988, 17; Evêques et archevèques montois NC 1986, 39; Faculté polytechnique NC 1962, 65 et NC 1987, 39; Fontaines NC 1974, 75; Foires NC 1986, 55; Gouvernement provincial NC 1984, 60; Le Grand Mons NC 1972, 15 et NC 1984, 5 et HT 1981, 133 N° 207 et Actes Colloques VIII; Hôtels patriciens RN 1960, 29; Impasses NC 1982, 17; Jeux montois 1977, 3; le Libre Journal NC 1982, 52; LITTERATURE du XVIe siècle à nos jours NC 1970 IV à X et 1971, 28; dans la première moitié XIXe siècle Actes Colloques VI; Voir aussi écrivains; Lumeçon NC 1974, 39 et NC 1984, 39 et NC 1985, 30 et écrivains Actes Colloques IV; Maison de la presse NC 1981, 5; Mémoriaux NC 1975, 55; et NC 1982, 27; Mérovingien (trésor) NC 1981, 63; Métiers NC 1976, 75; Militaires (gloires) NC 1979, 27; Montoiseries VW 1973, 185 et 1977, 33 et 1978, 249 et 1982, 55 et 274 et 1983, 175 et 1984, 184 et 1985, 58 et 1986, 61 et 393; Musées NC 1985, 54 et NC 1989, 15; Musée de Van Gogh NC 1973, 53; Mons et Musée Vie Wallonne Liège NC 1978, 51; Musiciens NC 1985, 65 (voir aussi Du Fay, Fétis, Lassus, Conservatoire); MUSIQUE NC 1986, 18; Nouveau Mons NC 1972, 15; Palais de Justice NC 1988, 55; au Parc NC 1978, 63; Peintres (voir Anto Carte, Frans Depooter, Léon Devos, Robert Delnest, Maurice Fourneau, Marcel Gillis, Gommaert); Place de Bootle NC 1984, 77; Place forte Mons NC 1984, 3; Poupée (pucelle) NC 1987, 7; Pourquoi Pas à Mons NC 1989, 19; Puits NC 1974, 75; Renaissance à Mons NC 1976, 15; Résistance NC 1966, 5; Restaurant Devos 1986, 42; Révolution de 1789 NC 1989, 29; Révolution de 1830 NC 1980, 2; RUES NC 1977, 63; Rue de l’âtre NC 1984, 6; Rue des Belneux NC 1984, 77; Rue des Gaillers NC 1972, 2; Rue de la Terre du Prince NC 1978, 42; Rue des trois Boudins NC 1980, 78; Rue de la Triperie NC 1990, 41; Ruelles, cours et impasses NC 1982, 17; Saint-Fiacre NC 1984, 67; Saint-Georges NC 1974, 39 et NC 1977, 40; Sainte-Waudru NC 1975, 63 et NC 1976, 43 et NC 1988, 17-19; Square Plisnier NC 1972, 9; Toison d’or NC 1988, 3; TOURISME NC 1978, 75 et HT 1981, 133 N° 207; Touristes à Mons au temps jadis NC 1952, 77; le Trou Oudart NC 1980, 53; Trésor mérovingien NC 1981, 63; Université NC 1978, 75; Vierge (culte) NC 1985, 63 et NC 1988, 53; Viéseries NC 1987, 15; Vignobles à Mons NC 1978, 15; Ville d’Expositions NC 1990, 27; Montois à Bruxelles en 1830 NC 1980, 27 et 51. Voir Bruxelles - Montois; Mont-Saint-Guibert B 1968 36; Monts de Piété RN 1964, 307; Montoyer arch. VW 1978, 24 N° 364; Montréal RN 1967, 129; Moscou, pélerinages littéraires RN 1967, 289; Impressions RN 1971, 177 N° 436; Mouligneau (Michel) NC 1978, 52 et NC 1987, 7 et E 1980, 146; Moutrieux (Pierre) NC 1985, 68. MUSEES des Beaux-Arts de Budapest VA 1967 VII; des Beaux-Arts de Dublin VA 1969 III; des Ecrivains RN 1960, 161; en Hainaut HT 1984, 103 N° 224; d’Hanse-Steenhuyse à Gand RN 1959, 142; Hôtels musées du Namurois RN 1964, 231; de la Littérature RN 1968, 79; de Mons NC 1985, 54 et NC 1986, 53; de la Vie wallonne à Liège et Mons NC 1978, 51; de Wellington à Waterloo RN 1959, 142; de Merghelinck à Ypres RN 1960, 29; Musiciens (voir Du Fay, Lassus (Roland de), Conservatoire. NAMUR la Belle RN 1956, 149; Hôtels musées RN 1964, 231 - petites villes RN 1962, 193. NAPOLEON et la noblesse belge RN 1968, 173; la Saint Napoléon (le 15-8) RN 1972, 179 N° 446 et revue “Waterloo illustré” N° 23 p. 25; souvenirs napoléoniens à l’île Maurice RN 1974, 251; Nativités wallnnes RN 1964, 323; New York: les Cloîtres VA 1967 XI; les collections Frick VA 1969, I; Nimy NC 1973, 75; Noblesse, les différentes maisons sous Arenberg, Berghes, Croy, Lalaing, Ligne, Mérode, Orange, Oultremont, Ursel: No Catiau (revue) NC 1971, 14 et 50; Nouvelles NC 1983, 67. OBOURG NC 1974, 63; Ollivier (Ant.) NC 1966, 89; Opheylissen B 1963 X; Oplinter B 1963, IX; Orange (Maison d’) RN 1964, 101); Ostende, place forte RN 1956, 217; Oultremont (Maison d’) RN 1961, XI; Overyssche B 1961, II. PARCS et jardins en Hainaut NC 1976, 27; Paris: Artistes belges RN 1959, 257; vu par les Ecrivains belges RN 1965, 135; Parme VA 1969; Pays-Bas et Belgique RN 1957, 107; Eglises wallonnes des... RN 1963, 37; Pays Noir (châteaux) HT 1969 VI; Peintres (voir Anto Carte, De Pooter, Devos, Gillis, Gommaert, Hallez, Lombard, Rubens, Stevenart, Van Gogh, Woutiers); Les Peintres bruxellois B 1980, 32; Pélerins belges de Jérusalem RN 1962, 101; Perk B 1962 XI; Perrons et piloris de Belgique RN 1961, 161; Petit (Karl) NC 1984, 78; Peuthy B 1976, 40; Philipron NC 1987, 30; Piérard Clovis VW 1975, 40; Piérard Louis RN 1971, 209 et NC 1972, 8 et NC 1986, 3; Les Piérard, une famille d’écrivains A 1991; Plisnier (Charles) NC 1972, 9 et NC 1988, 41; Pologne (et Belgique) RN 1958, 117; Pomme de terre (histoire) NC 1978; Portaels (Jean) VA 1968 IV; Potvin (Charles) RN 1968, 121; Poupée St- Georges NC 1977, 40; Pourceau St-Antoine NC 1981, 3; Le “Pourquoi Pas” et Mons NC 1989, 19; Pozzrtti (R.T.) NC 1979, 16; Presbytères de Belgique revue TCB 1951 VII, 153; du Hainaut (voir ce mot); Procession du Car d’Or à Mons NC 1977, 39; Protestants: montois NC 1966, 89 et NC 1987, 7; églises wallonnes des Pays-Bas RN 1963, 37; Pucelette NC 1974, 39; Puissant (Chanoine) NC 1949, 6 et NC 1984, 65; Puits RN 1966, 33 et NC 1974, 75. QUAREGNON (Château du diable) “Le Borain” 1948. RATONS (Les) NC 1979, 21; Reclus (Les) RN 1966, 15; Reiffenberg (de) NC 1976, 35; Renard (Marius) A 1990, 53; Renaissance (La) à Mons NC 1976, 15; Révolution de 1789 NC, 29; de 1830 NC 1980, 27; Rhode St-Genèse B 1978 VI, 54; Rixensart RN 1950, 73; Roeulx (Le) RN 1959, 291; Roosdael B 1969 III, 20; Roen (Verhaeren à) RN 1966, 327; Roumanie RN 1970, 25; Route de Mons - Le Roeulx HT 1963 X; Mons - Charleroi HT 1966 X N° 119; Rubens et les Montois NC 1977, 40. SAINT-ANTOINE en Barbenfosse (voir Havré); Saint-Denis en Broquerie NC 1961, 17 et NC 1964, 25; Saint-Fiacre NC 1984, 67; Saint-Georges NC 1974, 39 et NC 1977, 40 et N 1979, 78; Saint-Hubert RN 1964, 261; Saint-Jacques de Compostelle RN 1964, 11 et NC 1986, 17; Saint-Symphorien HT 1969 N° 133 et NC 1979, 15; Saint-Aye NC 1989, 43; Sainte- Waudru (voir sous Mons: églises Ste-Waudru); Saintenois (J.) NC 1987, 29; Saventhem (aéroport) B 1965 I; Scandinavie RN 1957, 201. SCULPTEURS (voir Delnest, Dubreucq, Godefroid, Hannicq, Jean de Liège, Stévenart; Sculpteurs namurois dans le Hageland VW 1972, 220; Semois RN 1965, 33; Senne (sanctuaires des bords) B 1959 IX; Senne (Haute Senne) RN 1962, 231; Séverin (Fernand) RN 1969, 117; Simon (Arand) PW 1988 N° 108; Soignes (Forêt de) RN 1964, 147 et “La Belgique vue par les écrivains du Tourisme 1958; Soignies (illustrations de) RN 1969, 61 et VW 1982, 270; Soreil (Arsène) RN 1972, 265; Spa (Bois de) RN 1956, 247; Spiennes NC 1983, 27; Stavelot et Apollinaire RN 1965, 333; Stévenart (Michel) NC 1979, 77; Stiévenart (Pol) VW 1975, 40 N° 349 et NC 1973, 32 et NC 1965, 3; Suisse (et Belgique) RN 1957, 53. TCHECOSLOVAQUIE (souvenirs) RN 1961, 45; Tervueren (musée) RN 1959, 225; Thieu HT 1988; Thulin (et Van Lerberghe) HT 1966 IX N° 118; Thomas (Paul) latiniste NC 1958, 34; Thudinie HT 1962 III; Ticx-Lassoie (Anny) NC 1978, 76; Toison d’Or et Hainaut A 1989 N° 14; et Mons NC 1988, 3; Tourisme en 1914 RN 1964, 203; Tournai RN 1973, 247; Tournaisis (Châteaux) RN 1954, 345; Tremeloo B 1960, XI; Trouille (rivière) HT 1985, 34; Trou Oudart NC 1980, 53. UCCLE B 1958, VI; UNIVERSITES: de Liège et la littérature RN 1967, 65; de Mons NC 1978, 75 et NC 1988, 39; Union littéraire belge VW 1983, 168. VAN EYCK peintre mosan RN 1968, 45; Van Gogh NC 1990, 15 et NC 1973, 53; Van Lerberghe (et Thulin) HT 1966 IX N° 118; Verboom NC 1978, 16; Verhaeren à Rouen RN 1966, 327; voyageur RN 1966, 161; Vienne (souvenirs) 1958, 109; tombeau, Prince de Ligne HT 1979 X 207 N° 197; Vierge, culte à Mons NC 1985, 63 et NC 1988, 53; sanctuaires mariaux brabançons B 1964, III; Vignobles à Mons NC 1978, 15; VILLES (Petites): Brabant RN 1963, 109; Campine RN 1964, 79; Flandre RN 192, 299 et 314; Hainaut RN 1963, 3; Liège RN 1963, 231; Namurois RN 1962, 193; Ville sur Haine HT 1987, 135 N° 243; Villiers St-Ghislain NC 1980, 63; Vilvorde B 1952 VI et B 1981 III, 18 et TCB 1952, 139 VI et RN 1954, 50; Vitraux en Hainaut HT 1960 V; Voix wallonnes (revue) PW 1988 N° 108; Vollezelle B 1965, II; Voltaire à Genève RN 1968, 275. WAES (Pays de) RN 1965, 15; WALLONS à Bruxelles VW 1973, 332 N° 344 et VW 1979, 37 N° 365; Wallonie (l’art en) NC 1966, 19; Bibliothèqye nationale NC 1966, 17; Dialectes de... NC 1966, 28; Wallonnes: Eglises wallonnes des Pays-Bas RN 1963, 37; Fête wallonne à Bruxelles NC 1976, 51 et NC 1979, 51 - Marseilleises wallonnes NC 1989, 67; Nativités wallonnes RN 1964, 323; Warocqué (Les) RN 1960, 5; Waterloo B 1973, 14 VI et RN 1973, 247; Waterloo en 1875 RN 1965, 70; Musée Wellington RN 1959, 176; Watrmael-Boisfort B 1965 V; Wemmel B 1974, 36; Wépion (et de Prémorel) VW 1982, 275 N° 380; Wincq (Jean) VW 1982, 270; Woutiers (Micheline) VW 1951, 60. YPRES: Musée Merghelinck RN 1960, 129; Ysse (val d’) B 1961 III. ZELLICK B 1974, V, 36. ACTES DES COLLOQUES organisés par le Cercle royal montois de Bruxelles; I 1982: Mons et Roland de Lassu; II 1983: Le patois montois aujourd’hui; III 1984: Jacques Du Broeucq et Mons au XVIe siècle; IV 1985: Traditions montoises; V 1986: Les Musées montois; VI 1987: La littérature française à Mons; VII 1988: Sainte Waudru: la sainte, le chapitre, la collégiale; VIII 1989: Le Grand Mons; IX 1990: Aspects du Hainaut aujourd’hui.
Lire la suite...
Après la Seconde Guerre mondiale, la vie littéraire belge connaît une phase d’effervescence remarquable. De nombreuses revues littéraires émergent, l’esthétique néoclassique gagne les différents genres littéraires, de jeunes dramaturges s’illustrent en Belgique et à l’étranger, plusieurs écrivains remportent des prix prestigieux en France, les poètes sont plus actifs que jamais… De leur côté, les pouvoirs publics mettent sur pied un système de subventionnement des arts et des lettres, qui repose notamment sur la création du Théâtre national et du Fonds national de la littérature. Malgré cette vitalité, la période reste méconnue. Dans cet ouvrage, qui est le premier sur le sujet, Bibiane Fréché étudie les écrivains et leurs œuvres, mais aussi les relations que les auteurs entretiennent avec les institutions littéraires, les pouvoirs publics et avec la société en général. Se dessinent alors des réseaux interpersonnels passionnants, qui donnent toute leur dimension aux choix littéraires de l’époque. Docteur en Philosophie et Lettres de l’Université libre de Bruxelles, Bibiane Fréché est chargée de recherches du FNRS. Elle s’intéresse à la littérature belge, ainsi qu’aux relations entre les mondes littéraires francophone et anglo-saxon. Elle a enseigné à l’Université Castilla-La Mancha en Espagne, ainsi qu’à l’Université d’Oxford. Paru aux éditions Le Cri, rue Victor Greyson, 1 - 1050 Bruxelles
Lire la suite...
"C’est un jour de dédicace. Des gens patientent. Une file. Une femme glisse un livre sous leurs yeux. Ils l’ouvrent à la page blanche. Leurs mains touchent le papier. Impression renouvelée de caresser ta peau. Ils n’ont jamais écrit que par toi, les écrivains. L’amour de notre amour, tu n’en parlais à personne. Les femmes choient leurs secrets comme leurs enfants. Leurs silences restent toujours des mots d’amour. Leur amour de l’amour, les écrivains, ils le jetaient à l’encre des imprimantes et des rotatives. Incapables d’autre chose, ils devaient rapporter à tous vents les cadeaux d’exister accordés par tes mains, tes yeux. Ils signent : « Pour Alice, ces mots écrits à l’encre de la lumière, à l’encre de la vie. » D’un trait d’encre mauve, ils tracent un semblant de paysage. Ils déposent trois étoiles. La femme remercie. Elle offre aimer leurs livres, s’y retrouver, y pleurer, y vivre. C’est à toi que ces mots s’adressaient. Ils ne furent que l’outil entre tes innombrables éclats et la lumière. Ils n’ont qu’agencé tes brillances, les écrivains. Plagié ton souffle." B. C. Editions Biliki
Lire la suite...

Métissage Ni tout blanc, ni tout noir

QUATRIEME DE COUVERTURE :Métissage Ni tout blanc, ni tout noir raconte le vrai parcours initiatique d’une petite fille qui lutte pour vivre, survivre et devenir. Mais devenir quoi ?L’auteure y brosse le portrait d’une famille peu ordinaire, la sienne. On y trouve un papa noir, congolais, chanteur, joueur de foot au Standard de Liège et un peu sorcier, une maman blanche, belge, qui s’en va puis qui revient avec un crocodile empaillé, une peau de zèbre, un pied d’éléphant et des amants, une grand-mère blanche aux seins-coussins qui se transforme en dinosaure cracheur de feu, une grand-mère noire qu’elle n’a pas connue mais qui lui a légué une marque de fabrique, un grand-père blanc canonisé et amateur de pekêt et un grand-père noir « évolué », polyglotte et constructeur de cathédrale. Au milieu d’eux, il y a Salomé, ni blanche, ni noire mais un peu blanche et un peu noire.Il est 0 heure sur l’horloge de ma vie.J’arrive, comme une lettre à la poste.- Félicitations, c’est une fille, crie une voix que je ne reconnais pas.Papa pleure. L’émotion ? La couleur de ma peau ? L’annonce du sexe ?Moi aussi je pleure. La laideur de l’endroit ? Les grosses mains froides qui me secouent ? Un karma douloureux ?Une écriture pleine de fraîcheur, d’humour, de tendresse, de gravité et de candeur. On pleure. On rit. On est ému. On grandit.CE QU’ILS EN DISENT :« Tout incite à la lecture, cette découverte des autres par les mots : le style, l’histoire, les mots, l’émotion, la vérité… En découvrant ce récit de Salomé Mulongo, le bonheur de lire ne m’a pas quitté une seconde, c'est-à-dire pas l’espace d’un mot ou d’une phrase. Je ne peux mieux dire ou décrire la révélation d’un nouveau talent !... » Jacques Mercier. Extrait de la préface.« J'ai dévoré votre manuscrit hier en TGV, très agréable, tendre et parfois drôle, comme je les aime... Merci Salomé », Adrien Joveneau« Belge et métisse de 45 ans, l’auteur est riche de toutes ces couleurs qui l’ont peinte… Son écriture est aussi colorée, vive et alerte pour conter ses tranches de vie… en couleur. » Philippe Jacqmin, Télépro du 19/02/09« De Colette, elle a la grâce de l’écriture, le charme acidulé et les cheveux frisés [...] Dès les premières pages, le charme opère. Celui d’une langue parfaitement maîtrisée qui décrit les petits bonheurs d’une fillette née d’une mère liégeoise et d’un papa noir [… ] […]Une prose qui flirte à tout moment avec la poésie… » Jacques Braibant, Vers l’Avenir Brabant Wallon du 02/03/09« Un récit souvent drôle, où l’auteur compte les années pour des heures et la vie pour une journée de plus de vingt-quatre heure […]. Ce livre n’est pas un roman et déroutera les amateurs de ˝ littérature ˝. Il porte en lui un roman, sans doute. Et il intéressera ceux qui, gros d’une histoire personnelle, hésitent aux marges de la page blanche. Car le bonheur de Salomé devenue écrivain est la conclusion sensible de ce récit » Vincent Engel, Coup de cœur, Supplément Victoire du Soir du 25/04/06INFOS :« Métissage, ni tout blanc, ni tout noir », roman autobiographique, Editions Traces de Vie, février 2009 . Préface de Jacques Mercier, 115 pages, ISBN 978-2-930452-12-8.
Lire la suite...

L'actualité d'Adolphe Nysenholc

Silvia CERULLI, diplômée de la Scuola superiore di Lingue moderne per Interpreti e traduttori (Università degli studi di Trieste), vient de présenter dans le cadre des « Tesi di Laurea in Traduzione » la traduction en italien du roman d' Adolphe Nysenholc "Bubelè l’enfant à l’ombre" (L'Harmattan, 2007). On peut franchement se réjouir que cette oeuvre si poignante ait trouvé là une nouvelle résonance qui multiplie son audience méritée. Adolphe Nysenholc, spécialiste mondialement reconnu de Charlie Chaplin, de André Delvaux, avait signé avec ce roman un récit autobiographique et emblématique sur sa propre histoire d'enfant caché en 1942. Extraits "J'étais là, dans le tram, avec ma mère. Je l'avais pour moi tout seul. Elle me souriait pour ne pas laisser paraître sa détresse. J'avais trois ans, l'âge le plus « adorable», selon elle. Je ne savais pas où on allait. Elle avait pris pour moi un aller simple. Je sursautai au cri de « Terminus ! » Nous étions arrivés. C'était la campagne. On était en août 42. Un bel été. L'été de la traque, où l'on avait cherché pour moi une cache." ... "Après un tournant, mon ombre n'était plus à côté de moi, je la vis derrière. Elle m'avait pris en traître. Je ne parvenais pas à la décoller de mes talons. Elle ne m'empêchait pas de lever le pied. Mais si légère, elle ne s'envolait pas. Je poussai un cri : ma mère était poursuivie par une même noirceur." ... "Délaissé, j'ai regardé longtemps par la fenêtre. J'étais tenu de taire qui j'étais et d'où je venais. Enfant caché, je cachais quelqu'un en moi. Je ne pouvais pas me vivre moi-même, car je ne pouvais pas vivre tout court. Être moi était mortel."
Lire la suite...

De la Faute à Mai 68 - Il était Belge!

Papa s’appelait Jef, diminutif de Jozef en flamand. Lui non plus ne voulait pas être Témoin deJéhovah ni de quoi ou qui que ce fût et, surtout pas d’un accident car il estimait également ne pas avoir letemps, comme maman. C’est tout ce qu’ils avaient en commun !Devant le lit de mort de son père, il avait juré sur la tête de sa mère qu’il n’avait jamais connue, qu’il neprononcerait jamais un seul mot de français. Et il ne pouvait trahir sa parole. En effet, il avait échangé sonlit avec celui du père décédé et craignait que l’âme du défunt ne lui fît passer de mauvaises nuits en cas detrahison de la parole donnée. Certaines personnes affirment en effet que l’âme des morts intègre l’objetqu’ils préféraient lors de leur séjour sur terre. Et gare à l’esprit de vengeance ! Le lit ayant été l’objetpréféré de son père…Lorsqu’il avait encore l’impression d’être riche, jeune et beau, le papa de Jef, mon grand-père, futcambriolé par des malfrats qu’il supposa appartenir à la gente francophone. En effet, lors du procès, cesgens s’exprimèrent dans une langue qui n’était pas le néerlandais. Dans sa logique, cette langue ne pouvaitdonc être que le français !Dès lors, il s’affilia au VMO (Vlaamse Militanten Orde), un club néerlandophone en mal d’activitésculturelles qui avait choisi de combattre la francisation de la Flandre pour instaurer un nouvelordre flamand dans leur région. Comprenne qui pourra ! Les femmes et les enfants d’abord !Jef croyait que le combat du père était le bon, mais n’aurait pu en donner la raison. Certainement parcequ’il avait une confiance aveugle en lui, c’était naturellement un sentiment familial. Il ne comprenaitrien à cette histoire compliquée mais supposait que la cause était juste du fait qu’elle avait été adoptée par denombreux flamands de son âge, même ceux dont les parents n’avaient jamais été cambriolés par desfrancophones !
Lire la suite...

Ailleurs

La série de tableaux interprétant la mort de notre monde en le transformant en désert devait rejoindre la renaissance représentée sous forme d’œufs.J’avais en effet mis la charrue avant les bœufs en créant la renaissance avant la mort qui devait nécessairement la précéder ! La mort et le renouveau, rythme de la vie qui mène la danse de l’éternel recommencement ! Envol et réincarnation via l’œuf !Je terminais l’étang qui avait résisté à la sécheresse quasi générale de ce monde. L’eau, symbole de la vie. Elle précédait l’œuf, dans mon esprit. A quoi servirait donc la naissance d’une vie physique en l’absence d’eau ?J’avais clôturé symboliquement encore cet endroit sacré, le séparant du néant apparent de la mort.Quelques heures auparavant, j’avais nettoyé la palette sur laquelle avaient séché les mélanges de couleur abandonnés lâchement. J’avais gratté sa surface à l’aide de la petite truelle et terminai mon nettoyage avec un coton imbibé de térébenthine.Après un séchage rapide, j’avais pressé les tubes de peinture nécessaire à la réalisation de mon interprétation. J’y ai mis une once de bleu outremer, une petite pointe de noir ivoire, un peu de terre de Sienne et énormément de blanc de zinc.Avant de m’installer devant le chevalet, je pris la décision qui m’était habituelle de placer un disque dans l’appareil de lecture. J’avais choisi d’écouter « Excalibur » de Vangelis.Je puisais une partie de mon inspiration dans la musique. Je choisissais un morceau qui correspondait à la nécessité de l’instant sans qu’un effort de réflexion ne me fût indispensable. Le choix d’écouter une interprétation musicale se faisait automatiquement. Le morceau correspondait à la nécessité du moment sans que je dusse faire une corrélation. Mon effort ne consistait qu’à laisser tomber ma main sur le disque qui serait l’élu pour assurer la bonne marche de l’évènement qui allait prendre cours.J’avais pris l’habitude d’écouter des musiciens tels Mike Oldfield, Pink Floyd et Vangelis pour stimuler mes séances de peinture.Il m’est difficile, voire impossible, de peindre ou d’écrire dans une atmosphère de calme domestique. Cela n’est pas valable en ce qui concerne le calme extérieur de la nature qui est un calme serein, élément indispensable pour l’épanouissement. Le silence, les bruits du silence d’une maison, sont déprimants par leur monotonie et leur effort inutile d’illustration de notre existence qui, sans les piaillements de la nature, est morne et obstacle à toute forme d’expression créative.La musique que j’écoute lors de mes réalisations expressives me caresse l’oreille et masse mon cœur en faussant l’atmosphère pour favoriser l’interprétation picturale de ce que m’apportent mes yeux et mon âme.D’emblée, les percussions déchirèrent cruellement l’ambiance détestable qu’avait créée l’atmosphère domestique.de la pièce que j’occupais, entraînant derrière elles les charmes puissants des chants d’Excalibur.La séance était ouverte. L’expression avait le champ libre.Faisais-je de l’art ? Il m’est difficile, voire impossible, de qualifier mon travail comme tel. D’aucuns ont clôturé l’art dans des définitions bien arrêtées, dans une enceinte, un clos, entouré d’un haut mur épais en dehors duquel aucune autre forme de travail que l’académique n’y trouve sa place. Il ne peut y être inclus les formes d’expression populaire que la plupart dégage avec un désintérêt financier que n’ont pas la plupart des « académiciens » vils et vaniteux après une reconnaissance qui déracine et tue leur véracité.Il ne m’appartient pas de juger l’appartenance d’une activité au domaine du travail artistique, d’autant plus que ce domaine doit comporter des critères définis par l’élite autoproclamée qui l’étend quotidiennement selon ses souhaits ou selon les connaissances de ce qu’elle croit être le goût de la plupart desdits non initiés.Je n’aurais d’ailleurs pas la prétention de pouvoir baliser ces travaux sensuels en excluant les autres. Je crois que, dans le hit parade de l'absurdité, cette pratique est celle qui ferait le sujet qui tiendrait la première place le plus longtemps !En conclusion, s’il en était besoin, mon ignorance m’obligerait de classer mes activités dans les travaux d’expression personnelle et dans ce que je qualifierais d’interprétation de sentiments, sans préjuger de son niveau. En outre, entre nous, ce qui est considéré comme artistique par une civilisation peut très bien ne pas l’être par une autre !Après cette réflexion de mise au point pour me motiver, je pouvais commencer.Je pris ma truelle et préparai le premier petit mélange à base de bleu outremer destiné à couvrir la surface de l’étang qui, depuis bien trop longtemps, était restée béante, dans l’attente d’une surface réfléchissante dans laquelle on lirait la tristesse de la lune.En mixant ma pâte, je pensais à la chance qui m’était donnée de me trouver là, debout devant mon chevalet et d’avoir la possibilité de m’exprimer librement sur une toile. Geste politique car libérateur !Aucune contrainte ne me dévie de mon but ni ne barre mon chemin. Privilège de l’existence. Je savoure la liberté, ma liberté, comme on savoure un fruit, en sachant que l’on en arrivera au bout, mais sans m’en préoccuper le moins du monde.Se poser sur une toile, imprimer, immortaliser ses pensées, ses rêves, ses visions. Figer un sentiment, un moment de son existence, marquer l’histoire d’une empreinte, si petite soit-elle et pouvoir se dire que l’on a existé, que l’on n’a pas toujours été absent de la marche physique d’un univers qui semble ignorer notre présence la plupart du temps/Je peins, j’écris, je crée. Donc je pense exister ! J’existe, au moins pour moi !
Lire la suite...
À la prochaine rentrée académique, l’ULB accueillera, pour leurs cours théoriques, les quatre cents étudiants en première année de sa future faculté d’architecture sur le site du Solbosch. Cette nouvelle faculté, la première du genre en Belgique, résultera du rapprochement des deux instituts d’architecture La Cambre et Horta et du processus d’intégration de l’enseignement de l’architecture au sein des universités de la Communauté française. Ce regroupement va permettre d’offrir un encadrement exceptionnel par rapport à celui des plus grandes écoles d’architecture européennes. À terme, la faculté rassemblera un millier d’étudiants. détails sur: http://www.ulb.ac.be/facs/architecture/index.html
Lire la suite...
RSS
M'envoyer un mail lorsqu'il y a de nouveaux éléments –

Sujets de blog par étiquettes

  • de (143)

Archives mensuelles