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Publications en exclusivité (3136)

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administrateur partenariats

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Le Château de Franchimont, près de Theux,

dont la première construction date vraisemblablement du milieu du XIème siècle,

a été classé en 1936,

puis Patrimoine exceptionnel de Wallonie en 2001.

La grande enceinte construite au début du XVIème siècle (Erard de la Marck)

avec ses casemates et sa tour d’artillerie n’a pas été modifiée et est intacte

alors que d’autres places fortes ont évolué avec le temps. 

Elle nous est parvenue non transformée et est un des rares exemples

de la mutation des systèmes de défense à la Renaissance.

Site et renseignements

 

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Notre situation exceptionnelle !

Profitant des infrastructures préparant la traditionnelle et célèbre

Foire Médiévale de Franchimont

se déroulant le week-end du 17 et 18 août prochains,

nous nous installâmes sous une bâche providentielle, la pluie ne tardant pas à faire son apparition.

 

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Les artistes !!

 

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Adyne Gohy

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Liliane Magotte

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Une fois de plus, la peinture sur motif est riche en enseignements !

 

Le soleil, timide, nous a offert une palette de couleurs très nuancées,

et la fraîcheur ambiante a laissé le papier humide, tendre et accueillant pour nos précieux lavis.

La bâche bienveillante nous a protégées, un cadeau du ciel !

 

Nos deux aquarelles respirent la fraîcheur du moment, notre interprétation diffère,

soumise à notre sensibilité, notre ressenti.

 

De nombreux curieux sont venus admirer, nous photographier

et le journaliste du journal "Vers l'avenir" , édition verviétoise, chargé de l'article d'info pour la Foire

qui doit paraître mercredi est venu nous photographier, espérons qu'il tiendra parole !

Le rendez-vous est pris !

A bientôt pour une autre séance de peinture sur le vif !

 

Liliane et Adyne.

 

 

Un partenariat

Arts  12272797098?profile=originalLettres

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Dédicace de mon livre

Bonjour,
je vous invite à la dédicace de mon livre "Divines soirées" (un recueil de trois pièces de théâtre)
Cela aura lieu le dimanche 22 septembre à 14h, chez Nanouche L*. Celle-ci aura lieu
avec une amie auteur, Murielle Lona, qui présentera son livre, "Elle et Lui".
 
Merci d'avance pour vote présence.
 
Gaëtan
 
Voici son message concernant cet après-midi :
 
Bonjour
 
Gaëtan Faucer, auteur et scénariste, et moi-même nous vous invitons à découvrir une boutique qui aime les artistes NANOUCHE L*,
pas loin de la Place du Jeu de Balles, à Bruxelles et nous vous feront découvrir nos derniers écrits.
 
Gaëtan vous présentera "Divines Soirées", un recueil de trois pièces de théâtre.
Je vous parlerai de poésie moderne et sensuelle, et de mon recueil "Elle et Lui" en raisonnance et de mes projets artistiques.
 
 L'occasion de nous rencontrer dans un bel endroit, le verre vous sera offert.
 
Au plaisir de vous voir, revoir et d'échanger !!!!!
 
Murielle
 
P.S. : Nos livres sont édités chez NOVELAS
 
*Nanouche L (le dimanche 22 septembre, à 14h)
Rue de l'Hectolitre 14 
1000 Bruxelles
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Le Farfadet Florestan de l’Arc de Lune griffant de sa patte de velours

un éloge joliment troussé à l’adresse de son Oncle Cupidon,

rebaptisé l’Augustus Cyrus de Sainte Sophie de Constantinople

des Rives du Bosphore de la Vallée ligérienne

en l'honneur de son sixième chatnniversaire


 

 

Compliment présenté de son logis situé au cœur du « Jardin de la France »,

En contrée de Rabelaisie,

Le 28 Août 2013

 

« La mesure de l'amour, c'est d'aimer sans mesure.  »

Saint Augustin

 

 

O toi, aimable personnage hautement blasonné aux longues vibrisses, doué de surcroît de maintes vertus chattesques,« Chat botté » aux longs gants moirés, en robe soyeuse de bois d’ébène, frère de mon père Cyrano de la Mosquée Bleue de l’Arc de Lune, fondateur d’une féconde lignée, qui nous fit le bienfait, jadis, de se pencher sur notre berceau poitevin composé d’un quintette d’enfançons-chats titrés « Cattus angorensis », laisse-moi te chatluer avec toute la déférence qui te revient !

Certes, comment pourrais-tu ne pas t’enorgueillir d’appartenir à la très légendaire convoitée dynastie de fiers Angoras turcs répertoriée par un fameux savant, le naturaliste Linné, favori tendrement chéri entre-autres, de l’auteur d’Aziyadé, « l’ambigu dandy exotique »Pierre Loti, qui fut farouchement épris de notre race historique, et ce n’est certes pas sa gracieuse Belkis, « blanche comme neige, belle comme le jour » qui me contredirait, de là où elle siège depuis le paradis des félins, veillant sans doute sur ses descendants, à la manière d’une Bastet de l’Antiquité égyptienne…

Permets donc, je t’en conjure, à un respectueux neveu, en sa qualité d’humble sujet de notre Maisonnée, ton serviteur, ô vénérable aîné, fruit de ta proche parentèle de sang, de déposer à tes pattes graciles et élégantes d’éminent Aristochat, ses plus chaleureuses et attendries congratulations, en ce jour où je me plais à célébrer un double évènement, celui marquant l’avènement de la figure à laquelle je dois ma venue au monde, mais que je n’ai hélas, pas la grâce de côtoyer à mon gré, puisqu’il réside aujourd’hui au cœur des terres natales de la Fée d’Auxerre, la poétesse Marie Noël, non loin de sa« payse », Colette, la bien nommée « Faunesse de Saint Sauveur en Puisaye », naissance liée assurément, à celle de son quasi jumeau, mon cher oncle révéré susmentionné, fier Pacha turc, s’il vous plait, dont j’ai l’extrême privilège d’embrasser et partager heure après heure la destinée, depuis qu'un certain duo de « deux pattes » de ma connaissance, subjugué par le portrait louangeur de mon caractère, ont choisi de m’élire, venant à point nommé étoffer leur tribu féline dans le dessein idéal que nous puissions en trio effeuiller à l’unisson maintes pages des saisons du calendrier, qu’elles soient fleuries ou stériles, aux côtés du benjamin de notre fratrie recomposée, jeune « seigneur des Forêts norvégiennes », le très distingué Lord Finley du Domaine d’Elgar dit aussi le « P’tit Poucet » ou Fifine pour les intimes !

Oui, comment pourrais-je manquer de m’incliner devant ta rayonnante et singulière présence, mon cher tonton à l’identité prononcée, en ce temps bienvenu de ton apparition terrestre placée sous l’égide du Saint patron et intercesseur chrétien de la journée, Saint Augustin ?

Comment pourrais-je seulement omettre de t’honorer, ô toi le gardien vigilant régnant en doyen un rien assagi, exerçant sa suprématie sur les compères Mousquetaires de notre foyer, pour que se dessinent au fil des secondes égrenées, harmonie et équité, ô mon «Prince Noir », adoubé à l’unanimité, mascotte de notre nid douillet, en dépit de quelques exigences et excentricités nocturnes persistantes cultivées dès ton entrée en terres de Rabelaisie, voilà maintenant cinq ans ?

Rassure-toi, ami, je ne tiens guère ici à dévoiler toutes les facéties dont tu peux te vanter d’être l’ingénieux auteur, ne voulant pour rien au monde dévoiler tes secrets susurrés au creux de mon oreille, dans le cadre de notre intimité, ni encore moins te trahir, car de connivence je suis, et solidaire tenterai de rester ad vitam aeternam, parole de chat sacrée oblige, donnée et point reprise !!!

Aussi, par ce billet doux dédié à toi auguste Cyrus, accepte de recevoir, je te prie, ce vibrant témoignage gage de ma sollicitude et profonde affection.

 

Fasse que nos affinités électives perdurent au-delà des mots, continuant ainsi à combler nos humains du "deuxième sexe" , qui n’ont de cesse de s’esbaudir à propos de ces dernières, perpétuellement émerveillés de nous contempler si soudés, fraternisant continûment, nous prêtant langue forte pour nos toilettes respectives, appelées« grooming » en langage félinotechnique, hormis quelques frictions de courte durée fort compréhensibles compte tenu de tempéraments tels que les nôtres, confrontés à évoluer en permanence les uns avec les autres au sein de nos appartements communs !

Sans parler de ma propension de thérapeute patenté longtemps déployé à ton profit, accomplissant des merveilles, à tel point que celles-ci semblent échapper au rationnel en t’apportant un réconfort psychologique non dénué d’intérêt, puisque, pourquoi ne pas l’admettre au risque de paraitre un rien fanfaron, le fait de t’offrir au quotidien mon soutien, a largement contribué à faciliter la stabilisation, à défaut de la guérison, de sombres maux dus à ta pathologie de maladie génétique auto immune !

 

Signé ton neveu et fidèle compagnon aimant,

répondant au sobriquet de « Flo-Flo »,

surnommé le tendre Brutus vorace, appétence gargantuesque à l’appui !!!

 

Mille et unes pattes de velours de Florestan de l’Arc de Lune,

« le chat médicament » officieusement reconnu.

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Un mousquetaire de Susann Herbert d'après Frans Hals

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Le portrait de mamie

 

 

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Adulte, on peut toujours rêvasser à son aise,

ou se dépayser en peignant des abstraits.

John, en enfant qu’il est , lévite et se déplace

à un rythme effarant à l’aide d’un crayon.

Or, voilà qu’il me tend, en lignes échevelées,

son parcours achevé et signé, s’il vous plaît,

en toute fantaisie. Pendant que je souris,

il m’apprend qu’il s’agit du portrait de mamie.

8/7/95 

 

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administrateur partenariats

 

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 Limbourg, vue du ciel

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 Limbourg, cité médiévale.

La commune se compose de deux parties,

la ville inférieure qui est devenue le centre commercial et industriel actuel

et la ville haute historique, avec les ruines du château et les remparts.

Les débuts de la construction du château se situent vers l'an 1000.

Ses premiers habitants furent les comtes de Limbourg, appartenant à la Maison d'Arlon.

La place, en tant que capitale du Duché de Limbourg

joue un rôle important

dans la région.

En 1288 après la mort du dernier Duc de Limbourg,

il y eut une guerre de succession à Worringen près de Cologne,

entre le prince évêque de Cologne et le Duc de Brabant.

Les ducs de Brabant sortant gagnants de cette bataille,

portent depuis lors aussi le titre du duc de Limbourg.

Au fil des siècles, le site tombe dans l'oubli.

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Classé «Patrimoine Majeur de Wallonie» en 1995,

Limbourg a conservé son charme d'antan.

En arrivant sur la place Saint-Georges, on se laisse imprégner par l'atmosphère du 18ème siècle . Peu de choses ont changé.

En déambulant sur les pavés provenant du lit de la Vesdre, on découvre les anciennes maisons bien restaurées, alignées dans leur diversité.

Certaines, modestes et étroites, se mélangent à de très belles demeures patriciennes.
Le château de la porte d'Ardenne domine la situation.

Des ruelles pittoresques permettent de jeter un regard sur les jardins entourés de murs et d'apercevoir la vallée.
  

 

A l'entrée du village de Limbourg, se situe

la chapelle Sainte -Anne.

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 C'est là que nous décidons, en ce début d'après -midi,

bravant le vent et le risque de pluie, d'installer nos chevalets !

 

12272923278?profile=originalAdyne Gohy 

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et moi !

Et voilà le résultat !!

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Trois chapelles,

Fischbach, Tancrémont, et Limbourg !

Une église, Becco et un château millénaire, Franchimont.

Un lac romantique Warfaaz et une fermettte oubliée...

Que d'aventures menées de pinceau de maître

avec mes complices Adyne Gohy et Jacqueline Nanson !

A bientôt pour d'autres aventures sur motif ...

Un partenariat

Arts  12272797098?profile=originalLettres

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La grâce de l'ignorance

 

Tenu loin de la cruauté,

Tant que se prolonge l'enfance,

Jouissant de la douce innocence,

On vit dans la légèreté.

Tant que se prolonge l'enfance,

Accueillant plaisir et gaieté,

On vit dans la légèreté,

En repoussant la méfiance.

Accueillant plaisir et gaieté,

Dans la grâce de l'ignorance,

En repoussant la méfiance,

Adulte, on ne veut s'inquiéter.

Dans la grâce de l'ignorance,

Qui occulte l'indignité,

Adulte, on ne veut s'inquiéter.

Un jour s'impose l'évidence.

18/12/2012

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Le Château de Lavaux-Sainte-Anne

 

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Un ouvrage militaire devenu demeure historique et refuge naturel.

Musée de la Vie des Seigneurs au 17ème et au 18ème siècle.

Musée de la Nature famennoise.

Musée de la Vie rurale en Famenne au 19ème et au début du 20ème siècle.

 

Pour visiter

 

 

Le Festival d'Art Contemporain Edition 2013

 

Deux amis d'Arts et Lettres y exposent

 

Andrée Hiar

 

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Torsade et Goutte d'eau

 

 

Marc-André Metais

 

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En fin de journée avec mon amie nous nous sommes installées dans la zone écologique

pour peindre ce magnifique cadre qui avec le soleil du soir était éclairé d'une façon magique.

 

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Mon aquarelle

 

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Adyne Gohy

 

 

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Marie de Magdalene

Nous n'avons pas trouvé de pain,Personne ne mangera aujourd'hui.Nous n'avons pas trouvé d'eau,Personne ne boira aujourd'hui.Le puits est vide,Quelques gouttes de roséeruissellent le long des pierres.Des vapeurs remontentDu fond de l'obscur tunnel,L'eau abandonne la margelle.Je crois aux larmes,Je crois au sel humide,A l'éternelle tristesseDe cette porteuse d'eau,Dont les pleursTels une source de lumière,Entament leur descente,Coulent le long de la paroi,Se retournent, rayons liquides,Pour entrevoir une fois encore,Le ciel qui s'éteintEnfantant la nuit sur ce monde.La femme prie encore,Des mots qui ne sont d'aucune langue.Les traits creusés,Il me semble qu'elle voudrait,Dire encore,Vouloir encore,Habiter ce lieu.Mais le fond de l'abysse, béant d'ombre,N'est pour personne la demeure.Elle resserre les liensDe sa robe de crin,Avant de chercher en elle,La force d'un Dieu inconnu,Qui gît étendu, malmené,Dans ce paysage de faïenceOù la raison se perd.Car ce qu'on pressent maintenant,N'est plus que la raisonChancelante au fond du puits.La soif du vide qui aspire le corpsDesséché de l'enfance,Le tracé d'une chute qui se déroule sans nous,Dévide le fil âprement tissé,de l'habit invisible,De la pécheresse.Je crois que tous,Devons nous asseoir et écouter,L'Echo de la chute,Ce chant qui résonne pour toujoursDans toutes les inventions maladroitesQui font de nous des créatures.Une voix qui devient cordeTendue de toutes les voix qui chantentEperdues dans nos corps.Sans rencontrer personne,Comme tombe la pierre,Sans heurts, sans secousse inutiles.Lorsque l'eau étendue,Au fond de ce puits,Aura révélé sa sagesse,Les mourants et les morts,S'éteindront.Sans blesser personneSans gestes pathétiques.J'ai donc vu Marie MadeleineSouriante, la main tendueIl faisait presque nuit.J'ai porté son seau,Et le seau était vide.Nous ne boirons pas ce soir.J'ai vu le fantôme du marcheur divin,Sur la route menant au calvaire.Mais il n'y a pas de pain.Et nous ne mangerons pas ce soir.
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Lettre aux Fagnes

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J'aurais aimé être un Fagnard,
un vrai, un gars du pays ! 

Le teint maté par le soleil couchant,
la peau tannée par la rudesse du vent,
les rides creusées par la force du temps.

J'aurais aimé sur tes chemins,
à tes cotés avoir grandi !

De tes dangers me jouer et m'y sentir bien,
connaître tes secrets et tes moindre recoins,
te parcourir les yeux fermés, confiant et serein.

J'aurais aimé au beau milieu de tes landes m'asseoir,
pouvoir t'entendre et t'écouter,

pouvoir te comprendre et te parler.

Être ton amant, ton confident, ton ami.

Creuser ta tourbe millénaire,
faire paître mes moutons,
faucher, ramasser les foins à la bonne saison,
l'automne venu couper ton bois, préparer le tison,
et pour l'hiver rester le plus fidèle de tes compagnons.

Un jour c'est sûr je vais mes yeux fermer

et avoir pour les fagnes un ultime pensée.

Mais jamais je n'aurais eu le regret de n'avoir pas tenté,

« d'être un Fagnard, un vrai, un gars du pays ! »

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administrateur partenariats

 

Chers amis, chers membres,

Comme vous le savez sans doute grâce aux billets publiés ces derniers jours ,

Adyne Gohy et moi-même peignons sur motif.

 

Afin de ne pas prendre au dépourvu les membres de la région de Verviers et de Liège

qui seraient désireux de participer à cette aventure,

j'ai le plaisir de vous annoncer nos prochaines sorties,

ces lundi et/ou  mardi 19 et 20 août.

( suivant les conditions météo ! )

 

Nous prévoyons de peindre la Chapelle de Tancrémont, près de Banneux,

célèbre notamment  pour son Christ en bois datant du Xe siècle.

Nous pensons également nous rendre à Soiron, un des plus beaux villages de Wallonie.

D'autres sites prestigieux et enchanteurs nous attirent, nous avons l'embarras du choix

dans notre belle région !

Les dernières séances de la saison se tiendront les 26 et/ou 27 août.

 

Nos rendez-vous se font toujours à 14h sur place,

chacun devant être en possession de son matériel.

La séance dure entre 3 et 4h, sans contrainte aucune, et dans une bonne humeur partagée.

Le rendez-vous est confirmé lundi à 11h ( météo ! ) via le réseau et/ou gsm ( facultatif )

 

 

Notre but ?

 Peindre ensemble,

afin de partager un bon moment de convivialité et d'échanger des expériences.

Peindre sur motif est une expérience incomparable, très intéressante, et bénéfique.

 

Pourquoi les poètes ne se joindraient-ils pas à nous , le charme d'un lieu pittoresque

est parfois source de méditation, ces endroits bucoliques peuvent aussi inspirer la muse

du poète....

 

 

Au plaisir de vous lire ?

Liliane Magotte et Adyne Gohy.

 

Une chapelle au coeur des Hautes fagnes, un passé, une légende, deux aquarellistes sur motif.

Oyez oyez gentes dames et damoiseaux ! Venez découvrir le château de Franchimont

peint sur motif par deux villageoises en goguette !

Quand deux artistes d'Arts et lettres s'en vont, par une chaude après-midi d'été, peindre sur motif !

 

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administrateur partenariats

 

Oneux, près de Verviers, le 5 août 2013

Peinture "en plein air "

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Une petite ferme, très ancienne, abandonnée depuis très longtemps...

Construite en une nuit , en toute discrétion, avec des pierres glanées ça et là ...

Témoin d'un passé où l'on se construisait une maison, comme ça, sur un bout de prairie, pour y vivre heureux,

cuire son pain, la vie simple, un four à pain, un potager, une basse-cour ...

Des portes refermées sur un monde qui n'est plus ....

Les chevaux y trouvent refuge, dans la remise à gauche.

La vieille maison reste là, elle continue à faire rêver les peintres qui souvent, tout comme nous ,

s'arrêtent pour croquer un instant de nostalgie.

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Adyne Gohy, aquarelliste

 

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Liliane Magotte, peintre

 

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Aquarelle

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Acrylique HeavyBody, au couteau.

 

Expérience très riche,

partage des connaissances, échange de sensibilités,

bonne humeur , merci Arts et lettres de nous avoir permis de vivre cet instant

de bonheur partagé.

Le  billet ci-dessous reprend les aquarelles et la peinture retravaillées

en atelier le lendemain . Il montre, de façon intéressante,

les différences entre la prise sur le vif et le travail en atelier.

 

Evolutions et comparaisons, aquarelle et acrylique,

de la prise rapide sur motif au travail en atelier.

 

 

A bientôt...

Liliane et Adyne

 

 

Un partenariat

Arts  12272797098?profile=originalLettres

 

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administrateur partenariats

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La chapelle Fischbach,

située à la Baraque Michel,

est un lieu de passage obligé pour qui décide de découvrir

la Fagne wallonne,

un laboratoire de plein air étendu et varié dont la flore

et la faune sont d'une richesse incontestable.

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    La chapelle Fischbach, légende.

 

    "  Michel Schmitz, tailleur d’habits, venant de Sinzig sur le Rhin, non loin de Remagen, était venu se fixer à Herbiester –Jalhay, vers 1790. Un soir, il s’égara en fagne et ne dut son salut qu’aux petites lumières qui se mirent à trembloter au loin.

      C’étaient les feux du village de Herbiester qui brillaient à l’extrémité de la brousse, et plus ineffablement que le cortège des étoiles dans le ciel de janvier. Michel planta sa canne à l’endroit où il venait d’être sauvé miraculeusement.

      Le lendemain, il fit le chemin en sens inverse et construisit un abri rudimentaire, à l’endroit où la veille, il avait enfoncé sa canne dans la tourbe. C’était en 1808.

       Par après, il construisit une auberge et s'y installa avec sa femme et ses enfants. Il y mourut le 9 décembre 1819, à l’âge de 62 ans. Dans les registres du cadastre de 1826, il est fait mention de l’auberge. A la fin de cette même année, Monsieur de Rondchêne, de Malmédy, venu chasser sur le haut-plateau, s’égara et pour comble de malheur, une neige drue se mit à tomber.

      Il fut sauvé grâce aux abois des chiens de la Baraque Michel.  Afin d’éviter le renouvellement de pareil drame à l’avenir, son gendre, le chevalier Henri Fischbach,  fit don, en novembre 1927, à la Baraque Michel, d’une cloche destinée à être sonnée par temps de brouillard et à la nuit tombante.

      En 1830, il fit construire la chapelle qui, aujourd’hui, porte son nom. "

 Extrait de  " Jalhay, terre d'histoire et Haut lieu du Tourisme "

De André Vlecken,  ( 1900-1973).

Conseiller Général de Royal Touring Club de Belgique

Membre de l'Union Belge des Ecrivains du Tourisme

Membre de l'Association des Ecrivains belges

Mon regretté grand-père à la mémoire duquel je dédie ce billet.

Mais revenons à nos artistes !!

Notre duo complice, Adyne Gohy et Liliane Magotte en goguette dans les Fagnes !

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Un vent glacial , les mains gelées,

rien ne pouvait nous empêcher de saisir de notre pinceau le charme

de cette petite chapelle chargée d'histoire. Sa petite cloche vigoureuse montre fièrement,

telle un phare breton, à quel point la fagne voyait autrefois mourir ses enfants du terroir,

égarés dans le brouillard .... 

A bientôt pour d'autres aventures...

Liliane et Adyne

Un partenariat

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Les plaisirs … inoubliables

En réponse à Suzanne

https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/les-retomb-es-du-plaisir?xg_source=activity

Tous les humains plaisirs

Ne sont pas des désirs

Volatiles et fugaces

Vite dissipés dans l’espace.

J’en connais certains

Qui ne sont ni vains,

Ni consommables …

Encore moins

Achetables ou jetables,

Passagers ou volages.

Ceux-là ne sont pas futiles voyages.

Leur essence est inoubliable.

Il est des plaisirs transcendants et suaves

Ardents, qui jamais de notre être s’effacent

Ils restent ancrés dans la chair de notre âme.

Ceux- là ne s’évaporent pas dans l’espace

Fugitifs, volatiles et fugaces.

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Renaissance de Vénus.

12272891456?profile=originalRenaissance de Vénus

Perfection de l'ovale

Quand le beau le dispute à l'étrange

Ether, éternité, part des anges

Aux nues portées que ses yeux avalent

Tête penchée, toute de bonté

De tendre compréhension

Sans ostentation ni affliction

Limbe doré, lumière diffusée

Transparence des chairs, mains esquissées

De sa gorge aux colombes

Aux voiles moulées par l'onde

Secrets enfouis par sa bouche murmurés

A qui sait l'entendre,

Armé de sa seule patience,

Ingénuité, humilité, innocence

Couronne tressée au cour du Tendre

Retour à Sienne, aux sources

De ce visage illuminé

Image de pinacothèque rêvée

Ombre d'or, soleil dans notre course

Aux vanités, glorioles, avidités

Contrepoint, miroir et réflexion

Belle Toscane aux douces inflexions

Médium d'où jaillira notre vérité.

Michel Lansardière

A une belle inconnue aperçue à la Pinacothèque de Sienne, un amoureux éperdu...

(je ne connais pas davantage l'auteur du tableau, du XVIe ou XVIIe siècle je pense... Excusez la qualité médiocre de la photo, à l'époque je l'avais prise en argentique, puis rephotographié le cliché papier en numérique).

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administrateur théâtres

12272926064?profile=originalVous y étiez?

 

Etre l’un des dix mille spectateurs de la douzième  Nuit Musicale du château de Seneffe et quelques jours après, être encore sous le charme d’une mise en espace musical prestigieuse et … gourmande. En effet le programme célébrait les joies de la gastronomie et des plaisirs de la table.  Au hasard de la fourchette, mêlée au diapason bien sûr, si on vous dit « Musique et Pain d’épice… »  que me répondriez-vous ? Hansel et Gretel de E. Humperdinck, bien sûr ! L’ensemble Quartz, réunissant des diplômés des conservatoires belges et étrangers, en donnait à tous vents une exquise adaptation en français pour septuor à vents et trois chanteurs au bord du Grand Bassin, côté jardin.

12272926471?profile=originalVous préférez du salé ? Courez au Jardin du théâtre et pendez-vous aux lèvres salaces de Francis Perrin (comédien-bouffon) et son complice de toujours, le  pianiste-ménestrel Patrice Peyriéras. Le parterre est comble. On croit voir une crinoline, on aperçoit un Monsieur en habits. Après avoir tâté au repas gargantuesque du Roi Soleil sur musique de Lully,  on prend le thé avec Offenbach, on part avec lui à Philadelphie, on se marre avec une soupe aux choux sûrement grivoise. God save the king ? on finit par en connaître la fine origine…! Historiettes savoureuses, et recette des tartelettes amandines… C’est la  fête des papilles et des ouïes. Tu l’as dit, bouffi !

 12272926270?profile=originalNous avons cherché en vain l’apéritif espagnol qui nous aurait transportés dans le pays de la danse, des tapas et des olives. Tant pis pour le duo violon piano  Manuel de Falla ses chansons et la Danza de la vida breva. La vie est trop brève en effet pour s’en inquiéter et nous avons viré vers l’île aux plaisirs orientaux où nous attendaient  les sept musiciens du  groupe «Les mésopotamiens ». Leur  caravane des arômes portait de magnifiques sonorités sous le ciel étoilé dans la partie du parc laissée libre aux herbes folles. La  direction du groupe est assurée par Wessam 12272927467?profile=originalAyoub Al-Azzawy, l’un des plus grands connaisseurs du maqam irakien et le plus grand joueur de santur d’Irak.  Saveurs du monde, donc, nos préférées, bordées par les flammes dansantes de milliers de petits flambeaux au sol qui guident vos pas pendant cette nuit de senteurs. Santur? Un instrument à cordes frappées, voisin du cymbalum aux sonorités brillantes, qui donne l’impression d’un chœur de cordes vibrantes et produit des harmonies capiteuses. L’assemblée est fascinée… des instruments tapés, soufflés, frottés  d’ail et de piment royal de l’antique Bagdad.  Une richesse sonore de musique traditionnelle irakienne qui remue tous les sens et chatouille la curiosité et l’imaginaire.

 On revient sur ses pas, vers le château  et l’on perçoit au fil de la promenade de larges effluves des Carmina Burana chantés par le Chœur de Clerlande qui livre tout au long de la soirée  une  prestation à la hauteur de leur réputation. Leur inspiration  dans leur choix musicaux démontre  leur attachement à la diffusion de la musique classique. Leur devise est peut-être celle de la semeuse du petit Larousse : « je sème à tous vents ! » symbole de semence, de germe, de fructification par l'instruction! Vive la réunion et le partage ! L’oreille accroche ci et là quelques bonbons viennois, des  airs de valses  et extraits d’opérettes : la brasserie est en fête !

12272927492?profile=originalTrop tard hélas, pour la revue de Cuisine H. 161 de Bohuslav Martinu avec l’excellent ensemble Khéops, dont Marie Hallynck au violoncelle et Muhiddin Dürrüoglu au piano. Ce sont des instrumentistes bien connus du Festival de musique de chambre de l’Orangerie de Seneffe qui se tient chaque année entre le 14 et le 21 juillet. Par contre, le trio à clavier « à l’Archiduc » N° 7 opus 97 de Beethoven allait nous ravir dans sa simplicité, son enthousiasme musical et la beauté des variations. Au piano on découvre Aveline Gram, au violoncelle  c'est Sarah Dupriez et au violon Gayané Grigoryan ,12272927701?profile=original trois jeunes sylphides pétulantes dans leurs robes de satin, belles comme de grands rivages… de la dune jusqu’au bord de l’eau, à marée basse! Beauté musicale complice, jolis contours mélodiques et harmoniques,  le piano tressaute sous l’abondance de pizzicati des cordes radieuses. La vie est une truite bondissante dynamique et enjouée, des sonorités princières fusent du Grand bassin, car le Quintette 114 D667 de Schubert a enchaîné avec en plus Pierrre Boigelot à la contrebasse et Vincent Hepp comme altiste. Ils se sont regroupés spécialement pour la Nuit musicale sous le nom de Brussels Chamber Artists. Encore du beau monde rencontré  au festival de L’Orangerie. Le scherzo est pétaradant, on croirait entendre une phrase humoristique du Roi Dagobert, qui aurait perdu son sabre de fer. « C’est vrai lui dit le roi : Qu’on me donne un sabre de bois! » On les quitte à regrets.  Ils nous ont offert des effets acoustiques virevoltants,  leur jeunesse et leur passion véritable pour la musique, ils ont mêlé l’onde sonore et l’onde fluviale de la vie joyeuse, étincelante de vitalité. Une rasade de bonheur qui nous change des discours blasés et de l’angoisse qui imprègne l’avenir du monde.

Auriez-vous par hasard eu  cette belle page de « La maison de Claudine »  de Colette en dictée dans votre jeunesse? La revoici : « On vous conté que l’araignée de Pellisson fut mélomane ? Ce n’est pas moi qui m’en ébahirai. Mais je verserai ma mince contribution au trésor des connaissances humaines, en mentionnant l’araignée que ma mère avait – comme disait papa – dans son plafond, cette même année qui fêta mon seizième printemps. Une belle araignée des jardins, ma foi, le ventre en gousse d’ail, barré d’une croix historiée. Elle dormait ou chassait, le jour, sur sa toile au plafond de la chambre à coucher. La nuit, vers trois heures, au moment où l’insomnie quotidienne rallumait la lampe, rouvrait le livre de chevet de ma mère, la grosse araignée s’éveillait aussi, prenait ses mesures d’arpenteur et quittait le plafond au bout d’un fil, droit au-dessus de la veilleuse à huile où tiédissait, toute la nuit, un bol de chocolat. Elle descendait, lente, balancée mollement comme une grosse perle, empoignait de ses huit pattes le bord de la tasse, se penchait tête première, et buvait jusqu’à satiété. Puis, elle remontait, lourde de chocolat crémeux, avec les haltes, les méditations qu’impose un ventre trop chargé, et reprenait sa place au centre de son gréement de soie. »12272928492?profile=original  Jacques Mercier et Daniel Blumenthal nous ont donné rendez-vous à la volière pour quelques ...frugalités et nous dire tout le bien du chocolat, la nourriture des dieux, selon le naturaliste suédois Carl von Linné, tentation diabolique, d’après Madame de Sévigné. Le chocolat est souvent associé à la volupté. Casanova ou Madame du Barry, la favorite de Louis XV lui prêtaient volontiers des vertus aphrodisiaques. Et notre farceur n’hésite pas à proclamer que l’amour est un substitut du chocolat et non le contraire. Cum grano salis… Gioachino Rossini, compositeur et gastronome, a intitulé le volume IV de ses Péchés de vieillesse, œuvres pour piano, Quatre mendiants et quatre hors d'œuvres. Il a titré les quatre premières parties les figues sèches, en ré majeur, les amandes, en sol majeur, les raisins, en do majeur et les noisettes, en si mineur et majeur. Les quatre mendiants font partie de la composition des treize desserts en Provence. En rappel des robes de bure des quatre principaux ordres mendiants, ces fruits secs représentent les différents ordres religieux ayant fait vœux de pauvreté, noix ou noisettes pour les Augustins, figues sèches pour les Franciscains, amandes pour les Carmes et raisins secs pour les Dominicains.  Et si la musique était du chocolat ?

La soirée se termine sans que l’on ait pu goûter à tous les plats dont le programme regorge.  La nuit musicale va se clore sous  une pièce montée de pyrotechnique qui embrase le ciel.  Le feu d’artifice minutieusement dessiné par Stéphane Dirickx est fait de haute voltige lumineuse, de gerbes inédites et de parapluies d’étoiles qui se dissipent en farine lumineuse. On a sans doute oublié la musique pour ne contempler que les salves de lumière fracassante sur le grand plan d’eau.  Un huitième art qui conclut ce rendez-vous d’été gastronomique et musical… car nombreux sont ceux qui se sont inscrits au panier gourmand, savoureux péché mignon,  qui pouvait accompagner la promenade vespérale au cœur du domaine du château.

12272748692?profile=originalhttp://www.chateaudeseneffe.be/FR/evenement.php?id=36

http://www.070.be/lanuitmusicale/le-domaine/presentation/

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Résidence d'auteurs au château du Pont d'Oye

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Le Centre de Rencontres du Pont d'Oye est heureux d'accueillir du 5 au 23 août 9 écrivains venus de Belgique, France, Québec et Haïti pour sa 7ème Résidence d'Auteurs Venez les rencontrer Vendredi 16 août à 20h présentation des auteurs et lectures de textes (entrée gratuite) Rencontre animée par la journaliste littéraire Sarah Polacci (France Bleu) Mercredi 21 août à 20h30 mise en musique des textes écrits pendant la Résidence (P.A.F. 10 € / 5 €) par le groupe lorrain Azéotrope Pour profiter pleinement de ces soirées nous vous proposons de souper au Château avant de rejoindre les auteurs dans les salons (plat + dessert + 1 verre de vin : 25 €) Informations et réservations par téléphone au +32 (0)63 42 01 30 par mail à l’adresse crpo@chateaudupontdoye.be ( mailto:crpo@chateaudupontdoye.be ) Nous vous souhaitons un bel été. A très bientôt au Pont d'Oye. Toute l'équipe CRPO Rue du Pont d'Oye, 1 6720 Habay-la-Neuve (Belgique) www.chateaudupontdoye.be

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La Ville de Châtelet organise, du 25/01 au 02/02/2014, la treizième édition de son Salon des Artisans d’Art.

Chaque année une quarantaine d’Artisans d’Art y participent afin de montrer leur savoir-faire et leur passion. Ce Salon se veut, avant tout, interactif. Les artisans travaillent sur place. Ils conseillent, orientent et renseignent les visiteurs.

Cet événement touche également les écoles en amenant les jeunes à s’interroger sur ces métiers d’Art, en les sensibilisant au métier d’indépendant et en provoquant une réflexion sur leur avenir.

Vous souhaitez y participer ?

Veuillez nous faire parvenir un dossier de candidature expliquant votre travail accompagné de photos de vos réalisations par mail (culture@chatelet.be) ou par courrier ( Service de la Culture, Place de l’Hôtel de Ville, 10  6200 CHATELET).

Vous trouverez le règlement de participation ci-dessous.12272924696?profile=original

 

 

REGLEMENT GENERAL
SALON DES ARTISANS D'ART DE CHATELET


Article 1
Le Salon des Artisans d'Art est organisé par l'Administration communale de la Ville de Châtelet située rue Gendebien n°55 – 6200 Châtelet

Article 2
Le Salon des Artisans d'Art a pour objectif de :
1.valoriser la création et les pratiques artisanales ;
2.promouvoir, auprès d'un large public, toute volonté de création artistique et de culture ;
3.susciter des vocations ;
4.soutenir ce secteur économique.

Article 3
L'objectif final de ce Salon n'est pas commercial.

Article 4
Le Salon se déroule, chaque année, du dernier week-end de janvier au premier week-end de février dans la salle des festivités de l'Hôtel de Ville, place de l'Hôtel de Ville n°10 – 6200 Châtelet. L'Organisateur fixe les dates et les horaires.

Article 5
L'emplacement est gratuit. L'Organisateur met à disposition des exposants le matériel suivant : tréteaux, chaises et panneaux d'exposition ; et selon les disponibilités, une vitrine horizontale ou verticale, des grilles. Il fournit également en électricité et en eau.

Article 6
Le port du badge d'identification fourni par l'Organisateur est obligatoire.

Article 7
Une présence constante sur le stand est souhaitée. Les Artisans d'Art travaillent sur place. Ils conseillent, orientent et renseignent les visiteurs.

Article 8
Les horaires sont de 10 h du matin à 18 h le soir pour les 9 jours. Les exposants doivent respecter ces horaires. En aucun cas, les stands ne peuvent être démontés avant la clôture.

Article 9
Les Artisans d'Art peuvent monter leur stand le jeudi (de 8 h à 17 h) et le vendredi (de 8 h à 12 h) qui précèdent le premier week-end d'ouverture au public. Le démontage se fait le dernier dimanche, uniquement de 18 h à 18 h 55, ou le lundi, qui suit la clôture, de 8 h à 12 h.

Article 10
L'Organisateur reçoit les demandes d'admission et statue, à l'issue de l'examen du dossier de candidature et d'une entrevue, sur ces demandes.
Les Artisans sont sélectionnés et invités par l'Organisateur. La qualité et l'authenticité des créations sont des critères de sélection. Ne peuvent être retenus pour ce Salon que des Artisans qui créent, produisent, restaurent ou confectionnent eux-mêmes les objets exposés.

Article 11
L'Artisan présente uniquement la discipline ou technique pour laquelle il est sélectionné. L'organisateur se réserve le droit de faire retirer tout objet sans rapport direct avec cette discipline ou technique.

Article 12
Le nombre d'exposants est limité et fixé par l'Organisateur.
Pour garder un attrait au salon, l'Organisateur veille à ce qu'il n'y ait pas ou peu d'activités en double.

De même, afin de pouvoir accueillir de nouvelles disciplines ou techniques ainsi que d'autres Artisans d'Art, l'Organisateur se réserve le droit de reprendre un Artisan trois années de suite, si celui-ci a répondu aux attentes de l'Organisateur à l'issue de sa première participation. Cependant, en raison du caractère exceptionnel et rarissime de certains métiers d'Art, l'Organisateur peut solliciter les Artisans exerçant ceux-ci, au-delà des 3 ans.

L'Artisan non repris peut de nouveau être sollicité pour un prochain Salon. 

Article 13
L'Organisateur établit le plan du Salon. L'attribution des emplacements est effectuée par l'Organisateur en tenant compte des règles de sécurité et, dans la mesure du possible, des désirs exprimés par les exposants. 

Article 14
La décoration générale du Salon incombe à l'Organisateur. Les exposants ont le droit d'organiser leur emplacement suivant leur goût et en accord avec l'Organisateur et à la condition de ne pas nuire à leurs voisins, ni à l'ensemble de la décoration générale.

Article 15
L'exposant autorise l'Organisateur, à titre gracieux, à réaliser des photos ou des films représentant son stand, son équipe, lui-même ainsi que les objets exposés et à les utiliser librement en tant que supports publicitaires.

Article 16
L'Organisateur décline toute responsabilité en cas d'accident ou de vol sur les stands.

Article 17
La participation au Salon équivaut à l’acceptation des modalités arrêtées par le présent règlement.

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La publication de ces billets d'art est due à l'initiative exclusive du Réseau Arts et Lettres

N.-B: Cette publication est également installée sur mon smartphone privé et  elle sert de démonstration pour faire découvrir en live l'excellence des travaux de François Speranza qui a déjà commenté plus de 30 expositions de peintres pour le réseau

Robert Paul

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administrateur théâtres

12272921300?profile=originalPetit concert croquignolet  comme dirait le Routard, organisé l’autre soir au Musée du Transport Urbain Bruxellois… Nous l’avions annoncé dans le groupe Musique d’Arts et Lettres. Les jeunes et talentueux interprètes  (Thomas Maillet et  Gayané Grigoryan), nous les avions rencontrés au Festival de musique de Chambre de l’Orangerie de Seneffe la semaine précédente.

Une heure de très  belle musique joyeuse précédée par une fort intéressante visite muséale par Jean-Louis Mottet, aimable bénévole du musée. Ils sont tous prêts à recommencer vers septembre octobre, car la formule et le programme sont bien au point. 12272921488?profile=original  

Les deux musiciens ont le sens du merveilleux et de la douceur. Paganini souvent évoqué comme étant le plus grand violoniste jamais connu,  avait un grand amour pour la guitare. Sa grande symphonie concertante fut jouée par le compositeur en joute musicale, activité très courante à l’époque, en 1816.  Thomas Maillet à la guitare et Gayané Grigoryan au violon se partagent le duo romantique très réussi. Les accords sont nets, le rythme entraînant, le dialogue enjoué. Aux sonorités  très profondes de la guitare, correspond la pureté du violon de Gayané Grigoryan. Les derniers accords pleins de moelleux de la guitare traversent le rythme bourdonnant du violon cependant que, silencieuse, glisse la vie de l’autre côté des petits carreaux des baies de l’entrepôt. Vient ensuite  un émouvant Adagio et une ronde de conciliabules. Le violon guilleret est repris une octave plus bas par les pétales de la guitare et cela se termine par un joyeux effeuillement de la musique applaudi avec chaleur par un public peu nombreux mais enchanté.12272922091?profile=original

Les œuvres choisies dans le répertoire de Manuel de Falla ont été transcrites pour la guitare par Thomas Maillet. L’une est issue de  son opéra « la vie brève » et l’autre de « l’amour sorcier » , une gitanerie. Une joute musicale pour évoquer le folklore espagnol mais dont on ne sait si c’est Thomas ou Gayané qui sort vainqueur.

Des deux côtés un jeu incisif, dense et subtil où les instrumentistes se livrent à un concours d’aiguës entre virtuosité et insouciance.

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Ils termineront par les œuvres de Piazzola, bourrées de variations, de tendresse langoureuse, de jeux de camaïeux et de dégradés sonores. Le morceau intitulé « Café 1930 » devient une danse lascive où les deux instruments sont liés intimement dans une étreinte vivante. Le bis est un air populaire du Brésil, chantant et joyeux.

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administrateur théâtres

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Concerts au 15ème festival de musique de chambre de Musica Mundi 2013

Hagit et Leonid Kerbel, fondateurs de Musica Mundi, respirent le bonheur ! Ce 15 juillet dernier, ils ouvraient le traditionnel festival Musica Mundi  pour la quinzième fois, dans la salle Argentine du Château du lac, à Genval. Musica Mundi a reçu le haut patronage de la princesse Mathilde, maintenant Reine des Belges.  Parmi le public bourdonnant d’excitation, il y a, à droite de la scène, les partenaires et  les généreux mécènes du stage, l’ensemble des  nombreux sponsors, tous, «amis de la famille de Musica Mundi », à gauche toute la classe 2013 de plus de 60 élèves qui s’installent par ordre de taille, et aussi les parents de jeunes élèves de toutes nationalités, et de nombreux amis fidèles de la musique et des jeunes talents. Un public branché, chaleureux et enthousiaste, qui croit fermement au fier concept européen « United in diversity »… In varietate concordia, souligne Hagit, l’impeccable organisatrice de ce festival. Mais bien sûr, c’est  le stage de musique de chambre - réservé aux musiciens en herbe,  entre 10 et 18 ans –  qui est le cœur de cet événement estival belge et international. Il est associé à une série de concerts tantôt prestigieux, tantôt teintés d’humour, de musiques passionnées aux accents tziganes  et à la virtuosité enflammée, mais toujours de grande sensibilité.  Des artistes de réputation internationale comme l’ardent Vladimir Perlin, l’Orchestre symphonique de Biélorussie, le Trio Maisky, le Quatuor Danel, ou l’exceptionnel pianiste tranquille Rudolf Buchbinder, ont été cette année les grandes rencontres qui nous ont embrasé le cœur et charmé l’oreille lors de fougueux récitals. A la fin de chaque concert, beaucoup participent à la réception où l’on se parle, se photographie et se fabrique des souvenirs inoubliables. Un lieu où se tisse le lien inaltérable du bonheur musical. Où l’on côtoie le comte Jean-Pierre de Launoit, le violoniste israélien Ivry Gitlis…. et  Stéphanie, la fille de Martha Argerich et son petit-fils. On chuchote que Maxime Vengerov sera l’ambassadeur d’un projet  de qualité : la  création d’une école primaire et secondaire pour jeunes musiciens... le rêve !

 

12272748692?profile=originalChaque année,  les concerts se donnent aussi au Concert Noble à Bruxelles. C’est là que nous avons entendu le Quatuor Danel qui faisait partie de l’équipe en résidence cette année. A l’entracte, il y a toujours des récitals de jeunes prodiges musicaux qui arrêtent vos pas vers les rafraîchissements du bar. Des minutes  de pure émotion, ces grappes de notes savoureuses, ces bouillonnements  de sève musicale juvénile quand on voit la candeur et la talentueuse interprétation des jeunes instrumentistes en route vers un avenir prometteur. Revenons quelques instants au quatuor Danel.  Basés à Bruxelles, français d’origine sauf, Vlad Bogdanas,  l’altiste né à Bucarest,  conquérants certainement,  ces quatre jeunes instrumentistes surréalistes parcourent l’Europe et le monde dans tous les sens et sont particulièrement friands des nuits blanches de la Finlande. Et ils enseignent.  Ce ne sont pas des musiciens de salon, ils ont du caractère et une forme d’enfer. Passionnés ou espiègles, Ils font preuve d’une force expressive stupéfiante, d’un humour au vitriol, d’une fonte habile et soudée des instruments,  raffolent des touches fauves, des sonorités rutilantes,  des silences à mystères,  des coups de couteau et des plages de flegme apparent. Ils créent une musique pleine de substance  mais le  travail semble se faire dans l’apesanteur !

Dans « the Joke » de Haydn, Marc Danel se détache presque de son tabouret, levant presque en même temps les pieds au ciel. L’expressivité est intense et torturée tandis que le deuxième violoniste, Gilles Millet joue dans la zenitude. Contraste farceur s’il en est ! Quant au violoncelliste, Guy Danel, il est  totalement pince sans rire, …not a Joke ! C’est fini ? Non on reprend par blague,  la première phrase de l’œuvre qui risque de ne pas s’éteindre, comme une bougie magique. Leur quatuor N° 30 de Tchaïkovski et son funèbre Andante sera démonstratif. Le buste entier de Marc Danel se retrouve face au public dans un accès de vaste douleur. Les mouvements paroxystiques démesurés s’opposent aux jeux de sourdine absolue. Fermez les yeux, vous entendez quelque chose ? Et la réponse est affirmative, un filet de vie, un filet d’âme répond dans un dernier souffle au miroir ! La fin se caractérise par  un jeu pétaradant de bacchanale violonistique, les quatre monstres sacrés se sont égayés entre les colonnades de l’auguste tapisserie à l’arrière-plan, parmi les divinités gréco-romaines. Les augustes feuillages en tremblent. Pomone et Flore ont couru se cacher!

Le bis est un des favoris du Quatuor Danel qui a publié l’intégrale des 17 quatuors de  Mieczyslaw Weinberg, compositeur russe d'origine juive polonaise, contemporain de Chostakovitch, mis à l’index sous Staline, et dont le  nom a presque disparu des concerts et des enregistrements.  C’est le troisième mouvement du 5e quatuor du compositeur  qui a donné une ambiance du feu de Dieu au Concert Noble car la classe entière des jeunes prodigues de Hagit et Léonid s’est soulevée  pour relancer une ovation générale.    

 

Ce soir, la soirée de Gala clôturait le festival! Une immense bouffée de bonheur comme celle qui vous vient lors des feux d’artifices.   Grandiose et émouvante, tant la fraîcheur et la sensibilité des jeunes artistes mêlées aux grands virtuoses d’envergure internationale sont touchantes. Le point culminant de cette odyssée musicale, s’il faut en choisir un dans cette longue soirée commencée à 19 heures, est certes l’interprétation palpitante d’une  œuvre de R. Vaughan Williamstous les musiciens du stage, du plus petit - ils sont 12 cette année, à avoir moins de douze ans - au plus grand (devinez qui…) ont uni leur musicalité sous la direction de Leonid Kerbel, le véritable animus de la soirée.

 

Ambiance : un océan de cordes, le souffle d’un Poséidon possédé par la musique et l’amour de ses élèves conduit les flots, vole la vedette à Eole et calme les vents. Tout tremble et vibre comme un gigantesque orgue marin. Mugissements salés, l’esprit du large envahit les musiciens et une audience muette d’attention. Beaucoup de musiciens jouent et écoutent les yeux fermés. Naissance marine : la premier violon inondée de grâce est souple comme des voiles de soie. Réponse empathique et lyrique de la deuxième violon et duo plein de profondeur  recueilli par un violoncelle attentif. Les harmoniques merveilleuses sont lâchées,  la baguette de Leonid Kerbel écoute et esquisse des gestes tendres d’une douceur infinie. On prie pour que la grâce musicale ne quitte jamais ces êtres dévoués au langage universel. Le flot musical enfle, remplit la salle Argentine de confiance et d’amour. Quel modèle de respect et d’écoute mutuelle créatrice d’harmonie absolue. On rêve… « Quand le pouvoir de l’amour sera plus fort que l’amour du pouvoir, le monde… » . Suivent  deux,  trois, quatre accords vibrants qui lancent de longs frissons, viennent de sombres et profonds pizzicati et voici les violons qui chevauchent une mélodie remplie d’espoir. On flotte en apesanteur. Le cœur bat plus vite et voici enfin le retour de la vague de fond qui porte sur sa crête les violons vainqueurs ! Rien n’est plus fort que l’amour.

Au Château du Lac (Genval), à l’Hôtel Le Lido et au Château de La Hulpe. Du 15 au 28 juillet. Infos : 02.652.01.01 ou 0495.200.595 ou www.musicamundi.org

 

 Ayez la patience de regarder le diaporama jusqu'au bout! il y a une surprise!

http://secure.smilebox.com/ecom/openTheBox?sendevent=4d7a63304e7a59774d54493d0d0a&sb=1

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