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ADMINISTRATEUR GENERAL

Salon d’été comprenant les artistes suivants :

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Ivan Lagrelle (Fr)

 

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Philippe Pelissier (Fr)

 

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Elias Sevla (Br)

 

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Marta Zawadzka (Pol)

 « Différents regards sur l’art »

Peintures

 

Exposition du 31/07 au 31/08/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 31/07/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

***

 

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François Murez (Fr)

« Bois & reliefs »

Peintures et sculptures

 

Exposition du 04/09 au 22/09/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 04/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Christian Vanden Bilcke (Be)

« Incredible surfaces »

Photographies

 

Exposition du 04/09 au 22/09/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 04/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Linda Coppens (Be)

« Lost & Found »

Peintures

 

Exposition du 04/09 au 22/09/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 04/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Catherine Savigny (Fr)

Sculptures

 

Exposition du 04/09 au 22/09/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 04/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

***

 

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Jean-Paul Bodin (Fr)

« Surréaliste & Suairique »

Peintures

 

Exposition du 25/09 au 13/10/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 25/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Bernard Lambot Fr)

« Du temporel à l’intemporel »

Sculptures

 

Exposition du 25/09 au 13/10/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 25/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Dusan D. Petrovic (Serbie)

Peintures

 

Exposition du 25/09 au 13/10/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 25/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

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Anette Gustafsson (Suède)

Aquarelles

 

Exposition du 25/09 au 13/10/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 25/09/2013

De 18h 30 à 21h 30

***

 

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Henriette Fritz-Thys (Be)

« Luminescence »

Peintures

 

Exposition du 16/10 au 03/11/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 16/10/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Christian Leduc (Be)

« La seconde vie »

Peintures

 

Exposition du 16/10 au 03/11/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 16/10/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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&

 

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Créations Christiguey (Be)

« Matière, lumière, couleur… »

Peintures & joaillerie d’art

 

Exposition du 16/10 au 03/11/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 16/10/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

Lydia Léfi (Fr)

Peintures

&

Viviane Pérez Lorenzo (Fr)

Peintures & images numériques

 &

ADeleau (Fr)

Sculptures

Exposition du 16/10 au 03/11/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 16/10/2013

De 18h 30 à 21h 30

Et qui sera agrémenté d’extraits de musique celtique

Interprétés par la harpiste Françoise Marquet

 

***

 

Collectif d’artistes

 « Différents regards sur l’art »

 

Nathalie Autour (Fr)

Peintures

&

Marta Zawadzka (Pol)

Peintures

 &

Sophie (Fr)

Sculptures

Exposition du 06/11 au 24/11/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 06/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Rachel Trost (Be)

« Floating moments»

Peintures

 

Exposition du 06/11 au 24/11/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 06/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

  

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Lionel Aubert (Fr)

&

Julie Robrolle (Fr)

« Alchimie »

Créations en joailleries

 

Exposition du 06/11 au 24/11/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 06/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

***

 

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Paul Henrard (Be)

« Le droit se montre »

Aquarelles

 

Exposition du 27/11 au 22/12/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 27/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

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Elodie Haslé (Fr)

« Eau en couleurs »

Technique mixte

 

Exposition du 27/11 au 22/12/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 27/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

 

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Tine Swerts (Be)

« Le fil de…l’Ô  »

Peintures

 

Exposition du 27/11 au 22/12/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 27/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

  

Lionel Aubert (Fr)

&

Julie Robrolle (Fr)

« Alchimie »

Créations en joailleries

 

Exposition du 27/11 au 22/12/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 27/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

Fabrice Lettron (Fr)

Sculptures

&

Violette Le Gallon (Fr)

Peintures

 &

Sophie (Fr)

Sculptures

Exposition du 27/11 au 22/12/2013

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 27/11/2013

De 18h 30 à 21h 30

Et qui sera agrémenté d’extraits de musique celtique

Interprétés par la harpiste Françoise Marquet

  

***

 

La galerie vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année.

  

La rentrée culturelle aura lieu le 15 janvier 2014

 

Collectif d’artistes

« Salon de janvier 2014 »

Multidisciplinaires

 

Exposition du 15/01 au 02/02/2014

De 11h 30 à 18h 30

Vernissage le 15/01/2014

De 18h 30 à 21h 30

 

***

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administrateur théâtres

12272921300?profile=originalPetit concert croquignolet  comme dirait le Routard, organisé l’autre soir au Musée du Transport Urbain Bruxellois… Nous l’avions annoncé dans le groupe Musique d’Arts et Lettres. Les jeunes et talentueux interprètes  (Thomas Maillet et  Gayané Grigoryan), nous les avions rencontrés au Festival de musique de Chambre de l’Orangerie de Seneffe la semaine précédente.

Une heure de très  belle musique joyeuse précédée par une fort intéressante visite muséale par Jean-Louis Mottet, aimable bénévole du musée. Ils sont tous prêts à recommencer vers septembre octobre, car la formule et le programme sont bien au point. 12272921488?profile=original  

Les deux musiciens ont le sens du merveilleux et de la douceur. Paganini souvent évoqué comme étant le plus grand violoniste jamais connu,  avait un grand amour pour la guitare. Sa grande symphonie concertante fut jouée par le compositeur en joute musicale, activité très courante à l’époque, en 1816.  Thomas Maillet à la guitare et Gayané Grigoryan au violon se partagent le duo romantique très réussi. Les accords sont nets, le rythme entraînant, le dialogue enjoué. Aux sonorités  très profondes de la guitare, correspond la pureté du violon de Gayané Grigoryan. Les derniers accords pleins de moelleux de la guitare traversent le rythme bourdonnant du violon cependant que, silencieuse, glisse la vie de l’autre côté des petits carreaux des baies de l’entrepôt. Vient ensuite  un émouvant Adagio et une ronde de conciliabules. Le violon guilleret est repris une octave plus bas par les pétales de la guitare et cela se termine par un joyeux effeuillement de la musique applaudi avec chaleur par un public peu nombreux mais enchanté.12272922091?profile=original

Les œuvres choisies dans le répertoire de Manuel de Falla ont été transcrites pour la guitare par Thomas Maillet. L’une est issue de  son opéra « la vie brève » et l’autre de « l’amour sorcier » , une gitanerie. Une joute musicale pour évoquer le folklore espagnol mais dont on ne sait si c’est Thomas ou Gayané qui sort vainqueur.

Des deux côtés un jeu incisif, dense et subtil où les instrumentistes se livrent à un concours d’aiguës entre virtuosité et insouciance.

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Ils termineront par les œuvres de Piazzola, bourrées de variations, de tendresse langoureuse, de jeux de camaïeux et de dégradés sonores. Le morceau intitulé « Café 1930 » devient une danse lascive où les deux instruments sont liés intimement dans une étreinte vivante. Le bis est un air populaire du Brésil, chantant et joyeux.

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Espagnoles

Espagnoles
Comme les rossignoles
Les jupes s’envolent
Un air se joue
A la fin du jour

Espagnoles
Comme une farandole
Les jupes en folies
La musique se plie
Au son des castagnettes

Espagnoles
Comme des lucioles
Les jupes se taillent
S’ouvrent  les éventails
Dans les caravansérails

Dominique Prime Juin2013

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administrateur théâtres

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Concerts au 15ème festival de musique de chambre de Musica Mundi 2013

Hagit et Leonid Kerbel, fondateurs de Musica Mundi, respirent le bonheur ! Ce 15 juillet dernier, ils ouvraient le traditionnel festival Musica Mundi  pour la quinzième fois, dans la salle Argentine du Château du lac, à Genval. Musica Mundi a reçu le haut patronage de la princesse Mathilde, maintenant Reine des Belges.  Parmi le public bourdonnant d’excitation, il y a, à droite de la scène, les partenaires et  les généreux mécènes du stage, l’ensemble des  nombreux sponsors, tous, «amis de la famille de Musica Mundi », à gauche toute la classe 2013 de plus de 60 élèves qui s’installent par ordre de taille, et aussi les parents de jeunes élèves de toutes nationalités, et de nombreux amis fidèles de la musique et des jeunes talents. Un public branché, chaleureux et enthousiaste, qui croit fermement au fier concept européen « United in diversity »… In varietate concordia, souligne Hagit, l’impeccable organisatrice de ce festival. Mais bien sûr, c’est  le stage de musique de chambre - réservé aux musiciens en herbe,  entre 10 et 18 ans –  qui est le cœur de cet événement estival belge et international. Il est associé à une série de concerts tantôt prestigieux, tantôt teintés d’humour, de musiques passionnées aux accents tziganes  et à la virtuosité enflammée, mais toujours de grande sensibilité.  Des artistes de réputation internationale comme l’ardent Vladimir Perlin, l’Orchestre symphonique de Biélorussie, le Trio Maisky, le Quatuor Danel, ou l’exceptionnel pianiste tranquille Rudolf Buchbinder, ont été cette année les grandes rencontres qui nous ont embrasé le cœur et charmé l’oreille lors de fougueux récitals. A la fin de chaque concert, beaucoup participent à la réception où l’on se parle, se photographie et se fabrique des souvenirs inoubliables. Un lieu où se tisse le lien inaltérable du bonheur musical. Où l’on côtoie le comte Jean-Pierre de Launoit, le violoniste israélien Ivry Gitlis…. et  Stéphanie, la fille de Martha Argerich et son petit-fils. On chuchote que Maxime Vengerov sera l’ambassadeur d’un projet  de qualité : la  création d’une école primaire et secondaire pour jeunes musiciens... le rêve !

 

12272748692?profile=originalChaque année,  les concerts se donnent aussi au Concert Noble à Bruxelles. C’est là que nous avons entendu le Quatuor Danel qui faisait partie de l’équipe en résidence cette année. A l’entracte, il y a toujours des récitals de jeunes prodiges musicaux qui arrêtent vos pas vers les rafraîchissements du bar. Des minutes  de pure émotion, ces grappes de notes savoureuses, ces bouillonnements  de sève musicale juvénile quand on voit la candeur et la talentueuse interprétation des jeunes instrumentistes en route vers un avenir prometteur. Revenons quelques instants au quatuor Danel.  Basés à Bruxelles, français d’origine sauf, Vlad Bogdanas,  l’altiste né à Bucarest,  conquérants certainement,  ces quatre jeunes instrumentistes surréalistes parcourent l’Europe et le monde dans tous les sens et sont particulièrement friands des nuits blanches de la Finlande. Et ils enseignent.  Ce ne sont pas des musiciens de salon, ils ont du caractère et une forme d’enfer. Passionnés ou espiègles, Ils font preuve d’une force expressive stupéfiante, d’un humour au vitriol, d’une fonte habile et soudée des instruments,  raffolent des touches fauves, des sonorités rutilantes,  des silences à mystères,  des coups de couteau et des plages de flegme apparent. Ils créent une musique pleine de substance  mais le  travail semble se faire dans l’apesanteur !

Dans « the Joke » de Haydn, Marc Danel se détache presque de son tabouret, levant presque en même temps les pieds au ciel. L’expressivité est intense et torturée tandis que le deuxième violoniste, Gilles Millet joue dans la zenitude. Contraste farceur s’il en est ! Quant au violoncelliste, Guy Danel, il est  totalement pince sans rire, …not a Joke ! C’est fini ? Non on reprend par blague,  la première phrase de l’œuvre qui risque de ne pas s’éteindre, comme une bougie magique. Leur quatuor N° 30 de Tchaïkovski et son funèbre Andante sera démonstratif. Le buste entier de Marc Danel se retrouve face au public dans un accès de vaste douleur. Les mouvements paroxystiques démesurés s’opposent aux jeux de sourdine absolue. Fermez les yeux, vous entendez quelque chose ? Et la réponse est affirmative, un filet de vie, un filet d’âme répond dans un dernier souffle au miroir ! La fin se caractérise par  un jeu pétaradant de bacchanale violonistique, les quatre monstres sacrés se sont égayés entre les colonnades de l’auguste tapisserie à l’arrière-plan, parmi les divinités gréco-romaines. Les augustes feuillages en tremblent. Pomone et Flore ont couru se cacher!

Le bis est un des favoris du Quatuor Danel qui a publié l’intégrale des 17 quatuors de  Mieczyslaw Weinberg, compositeur russe d'origine juive polonaise, contemporain de Chostakovitch, mis à l’index sous Staline, et dont le  nom a presque disparu des concerts et des enregistrements.  C’est le troisième mouvement du 5e quatuor du compositeur  qui a donné une ambiance du feu de Dieu au Concert Noble car la classe entière des jeunes prodigues de Hagit et Léonid s’est soulevée  pour relancer une ovation générale.    

 

Ce soir, la soirée de Gala clôturait le festival! Une immense bouffée de bonheur comme celle qui vous vient lors des feux d’artifices.   Grandiose et émouvante, tant la fraîcheur et la sensibilité des jeunes artistes mêlées aux grands virtuoses d’envergure internationale sont touchantes. Le point culminant de cette odyssée musicale, s’il faut en choisir un dans cette longue soirée commencée à 19 heures, est certes l’interprétation palpitante d’une  œuvre de R. Vaughan Williamstous les musiciens du stage, du plus petit - ils sont 12 cette année, à avoir moins de douze ans - au plus grand (devinez qui…) ont uni leur musicalité sous la direction de Leonid Kerbel, le véritable animus de la soirée.

 

Ambiance : un océan de cordes, le souffle d’un Poséidon possédé par la musique et l’amour de ses élèves conduit les flots, vole la vedette à Eole et calme les vents. Tout tremble et vibre comme un gigantesque orgue marin. Mugissements salés, l’esprit du large envahit les musiciens et une audience muette d’attention. Beaucoup de musiciens jouent et écoutent les yeux fermés. Naissance marine : la premier violon inondée de grâce est souple comme des voiles de soie. Réponse empathique et lyrique de la deuxième violon et duo plein de profondeur  recueilli par un violoncelle attentif. Les harmoniques merveilleuses sont lâchées,  la baguette de Leonid Kerbel écoute et esquisse des gestes tendres d’une douceur infinie. On prie pour que la grâce musicale ne quitte jamais ces êtres dévoués au langage universel. Le flot musical enfle, remplit la salle Argentine de confiance et d’amour. Quel modèle de respect et d’écoute mutuelle créatrice d’harmonie absolue. On rêve… « Quand le pouvoir de l’amour sera plus fort que l’amour du pouvoir, le monde… » . Suivent  deux,  trois, quatre accords vibrants qui lancent de longs frissons, viennent de sombres et profonds pizzicati et voici les violons qui chevauchent une mélodie remplie d’espoir. On flotte en apesanteur. Le cœur bat plus vite et voici enfin le retour de la vague de fond qui porte sur sa crête les violons vainqueurs ! Rien n’est plus fort que l’amour.

Au Château du Lac (Genval), à l’Hôtel Le Lido et au Château de La Hulpe. Du 15 au 28 juillet. Infos : 02.652.01.01 ou 0495.200.595 ou www.musicamundi.org

 

 Ayez la patience de regarder le diaporama jusqu'au bout! il y a une surprise!

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Éloge de la solitude

 

Sur les pas de La Fontaine

La solitude méritée peut se révéler savoureuse. Pour ceux qui la vivent par choix

Elle n'empêche pas les regrets mais offre de doux avantages.

La liberté existe en groupe, dans le respect des habitudes. Elle est aussi possible en couple, quand chacun conserve ses ailes, mais la liberté la plus douce se trouve dans la solitude.

Il n’est plus besoin de prétendre, de s'efforcer de bien comprendre, pour se comporter comme il faut. On agit selon ses envies, on se crée de petits bonheurs, en ne devant rien à personne.

Après avoir beaucoup donné, on se donne la préférence. Dans le silence et l'harmonie, le corps et l'esprit sont en paix. Or s'ils demeurent en éveil, ils éprouvent des coups de coeur, aussi des joies dans le partage.

 

Montréal ,le 16/1/2000

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La publication de ces billets d'art est due à l'initiative exclusive du Réseau Arts et Lettres

N.-B: Cette publication est également installée sur mon smartphone privé et  elle sert de démonstration pour faire découvrir en live l'excellence des travaux de François Speranza qui a déjà commenté plus de 30 expositions de peintres pour le réseau

Robert Paul

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Vieillir avec grâce

  

   

Tous les êtres gracieux nous charment.

Les enfants le sont, c'est certain.

Ils communiquent leur entrain,

Sont si beaux, le visage en larmes.

Grâce des gestes, des sourires,

Ou d'une façon d'exister,

Qui semble poésie, beauté,

Un rayonnement qui inspire.

Parfois, en avançant en âge,

On a l'envie, on fait le voeu,

De conserver, au moins un peu,

De la grâce acquise en partage.

Un temps, cela parait possible.

On évite de s'engourdir

Et surtout de s'appesantir

Sur les offenses prévisibles.

En accueillant la bonne humeur,

On n'ose quelques fois sourire,

Cela ne semble pas le pire.

L'humour conserve sa saveur.

On voudrait vieillir avec grâce,

Le sort en décide autrement,

Agit irréversiblement,

On le subit quoiqu'on y fasse.

29 juillet 2013

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À la mémoire de tous les martyrs de l’homme-bourreau,

Cet anti héros de basse extraction…

 

 

« On ne possède pas un chat,

C’est lui qui vous possède. »

Françoise Giroud

(Extrait du Journal d'une parisienne)

 

 

 

Toi qui m’as jadis élu pour ami,

Qui fit vœu de tendrement me choyer,

A tel point que je le pris pour acquis,

O comment peux-tu ainsi me renier

Et te montrer parjure à ton serment

En me reprenant l’amitié allouée ?

 

Factices donc,étaient tes sentiments

Pour que sévisse autant d’inimitié

Et que tu n’aies cure de pénibles tourments ?

Dis, as-tu déjà tes promesses « oublié » ?

Est-ce là le fruit de tout ton engagement ?

Pourquoi ce déploiement d’atrocités,

Cette pléthore inique de férocités ?

Après m’avoir de tendresses,comblé,

De maints et maints épanchements, abreuvés,

Voilà l’infâme pacte à jamais scellé,

Où tel un Judas parjure, Loyauté,

Fidélité, aux pieds tu as foulé !

 

Las ! As-tu au moins une vague idée,

Persuadé de m’avoir« apprivoisé »,

De ce que je puis au moins éprouvé,

Depuis que lâche, tu m’as répudié ?

A mon bel havre de paix, expulsé,

Condamné,misérable, à tout quitter

Sans délai, ni autre forme de procès,

Comme un mendiant réprouvé, à errer,

« Va nu pattes », « crève la faim » infortuné,

Nécessiteux, qui, par ta cruauté

Est exposé aux pires des quolibets

Et moult incuries, à être châtié !

 

Naguère,ton cœur, Dieu félin, me bénit,

T’en souvient-il méprisable faux allié,

Qu’à ’Amour, je crus, pour l’éternité ?

Ainsi, de confident, de familier,

Me voici à l’exil, ah, reléguer !

 

Puis-je te maudire, toi que je déifiais ?…

Fasse ta conscience un jour examinée,

Qu’elle t’enseigne le mal que j’ai enduré

Et par le Purgatoire, transiter,

Puisque je ne saurais t’imaginer

 Séjourner au cœur des limbes de l’Enfer,

En vertu du fait, qu’aimer je savais

Décliner le verbe, au plus que parfait !!!

Et malgré le supplice de ton forfait,

Sache qu’une fervente prière, formulerai

Afin que ton acte ne soit condamné,

Sinon,par des instances suprêmes, jugé,

Âme, ô combien accablée et damnée

Vouée à divaguer pour l’éternité…

 

Valériane d’Alizée,

Le 24 Juillet 2013

©Tout droit de reproduction réservé

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Son éminence de Susan Herbert

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LA SOLITUDE APPRIVOISEE - En écho à Suzanne,

En écho à Suzanne -

 

*

La solitude avec Soi est essentielle.

C'est le bien le plus précieux

Pour se retrouver le mieux,

Écouter la Voix intérieure

Qui nous garde de tout leurre

Et nous relie à notre Ciel.

 

Notre siècle d'agitation et de brouhaha

Nous brouille le contact avec l'Ange

Et nous laisse étourdi, tiré à hue et à dia

Son chaos nous fait tomber dans la fange.

Écouter en soi émerger la vie intérieure

Nous ouvre de notre vie les heures.

 

La perte du recueillement, du silence

Nous fait déchoir de notre Moi

Déséquilibrer notre balance

Perdre de notre être le Mas.

Accueillir ce qui de Soi veut naître

Nous requiert d’écouter pour Être.

 

*

Votre poème essentiel d'intériorité,

Si gracieusement exprimé,

Je l'avais beaucoup aimé.

Et écouté si joliment chanter

Si vrai, sa douce mélopée.

 

Sans solitude pas de ressenti de paix, 

Ni quiétude devant le monde et ses beautés,

Pas de retrouvailles avec Soi

Ni d'écoute de ce qui veut naître là,

Grandir de l'Avenir vers moi.

 

Et lorsque l'on doit construire et créer,

Rassembler toutes ses capacités,

Pour agir et se concentrer

Jour après jour, dans la durée

Rien ne saurait se faire sans s'isoler.

 

Seulement moi

Qui au surcroit

De solitude ai trop longtemps goûtée

Pour à la fin m'y retrancher, protéger

Et certes, ai dû un peu trop abusée

Poussée par la nécessité ...

 

Maintenant que de maux je suis délivrée,

J'ai vraiment à cœur de bien l'équilibrer

Par un grand mouvement dansant

D'aller-retour dehors-dedans

Où je m'épanouis en chantant.

 

 


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Au vieux port

2

Je m'invite aux plaisirs, qu'en été, le vieux port

Offre aux Montréalais friands de tous les sports.

Sur le fleuve, amarrés, des bateaux de plaisance,

Au gré d'un vent léger, doucement se balancent.

L'air ravi, en éveil, flânent les promeneurs.

Certains forment un cercle autour d'un amuseur.

Dans les allées fleuries ou face au fleuve immense,

La joie, la poésie, se prennent en silence.

Dans la rue des artistes, une simple ruelle,

Des peintres ont exposé leurs oeuvres les plus belles.

Les gens n'y restent pas plus longtemps qu'un instant

Mais de nombreuses fois, ils saluent leur talent.

Autour d'un large espace, des terrasses groupées,

N'ont certes pas longtemps de tables inoccupées.

L'endroit est fort tentant pour y faire une pause,

Quand on a bien marché, on boit, on se repose.

Des instants sont captés, un peu par habitude.

M'égayeront, peut-être, un jour de solitude,

De nombreuses photos dans le même décor.

Je ne me lasse pas d'errer dans le vieux port.

28 juillet 2013

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Personne ne restera !

Il me semble que c'est pour cette raison simple que les individus sont si vilains les uns envers les autres. Convaincus qu'ils tomberont dans l'oubli sous l'épaisse dalle, les plaques " nous ne t'oublierons jamais " et les montagnes de fleurs qu'ils se dépêchent de nuire comme ils le peuvent à leur prochain et à la terre qui les a vu naître ! Alors la vengeance, la rancune donc le mal-être les anime plus que l'amour, la compassion ou la fraternité.Les calculs les absorbent sans cesse car ils craignent la pauvreté et son dénuement, cette pauvreté qui fait son lit de plus en plus large du fait de leurs calculs précisément. Et leur petite personne qu'ils flattent à coup de satisfactions inutiles aux autres, ces plaisirs égoïstes inventés par de petits malins plus malins qu'eux s'asseyant sur la brillance de leur esprit ! 

Mais de qui s'agit-il ? Des hommes d'affaires qui se cachent et se justifient à l'abri de leurs bilans désastreux, des politiques derrière leur narcissique image, des prêcheurs de bonne aventure qui croient connaître l'ultime vérité , des maîtres en tout genre qui professent leurs connaissances assaisonnées à leur goût ou encore les foules qui s'entre-tuent avec les visages de leurs idoles brandies à bout de bras ? Allez savoir.

Nos enfants et petits enfants naviguent parmi de vaseuses promesses non tenues, sans doute est-ce pour cela, n'étant pas dupes, qu'ils choisissent si tôt cette route "pavée de mauvaises intentions" qu'on leur reproche tant ! L'homme serait-il calculateur par désarroi ?

Le petit marché du matin !

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Bouton hors service.

Un p’tit bout de terre, pour un p’tit bout de chair,

 Et  l’humain  fut   conçu  par  le  Verbe  Sacré, 

Qui s’ennuyait ferme dans son divin rocking-chair.

Un p’tit bout de terre, pour un p’tit bout de chair,

Sur  un  nuage  blanc  de  reliquats  nacrés,

D’un  passé  engloutit  dans  l’océan  ocré.          

Un p’tit bout de terre, pour un p’tit bout de chair,

Et  l’humain  fut  détruit  par  le  Verbe  Sacré.

 

A  nouveau  consacrée,  vestige  d’un  rêve,

La Vie reprit force, répandit d’autres formes,

Palette  de  couleurs  pour  d’autres élèves.

A  nouveau  consacrée,  vestige  d’un rêve,

Dieu veut  l’émanciper  des plans de réformes,

Pour  ses  futurs  jouets,  robots  carniformes.

A  nouveau  consacrée,  vestige  d’un  rêve,

La Vie reprit force, répandit d’autres formes.

 

La  Vie  sans  les  humains,  robots  à  son service ?

Un p’tit bout de terre, pour un p’tit bout de chair,

L’androïde  fut  conçu  par  le  Verbe  Sacré.

Pour  lui  la  mort  sera :  bouton  hors-service. !

 

Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.

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Respectueux hommage à un juste

 

Je ne connaissais pas M. Daniel Salvatore Schiffer. Je viens de découvrir la force de ses convictions résultant de sa rigueur intellectuelle et de sa sensibilité.

Je me sens troublée face à sa volonté d'expliquer chaque fois que cela lui paraît nécessaire et de s'impliquer avec véhémence quand il estime devoir le faire.

Il souligne des erreurs ou dénonce avec courage. Les arguments qu'il présente sont judicieux et difficilement réfutables.

Il connaît l'énergie du langage, il l'utilise magistralement, avec art.

Monsieur Schiffer prit à coeur de soutenir les affirmations de Dominique Strauss- Kahn parce qu'il le juge, sans doute, d'une honnêteté irréprochable, non coupable d'hypocrisie, et devenu une victime impuissante. Nombreux s'étonnent de son acharnement à vouloir le soustraire à une fatalité écrasante.

Je comprends que M. Schiffer use de son importance et de son savoir pour essayer de rendre évidentes des choses qui ne semblent pas l'être. Je suis persuadée de sa compétence et de son influence bienfaitrice.

J'avais besoin de lui rendre un respectueux hommage.

26/07/2013.

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administrateur théâtres

Les intermezzi musicaux des Midi-Minimes… Eté 2013

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Les intermezzi musicaux des Midi-Minimes… Eté 2013

L’une des plus belles œuvres de musique de chambre, le quintette  en Ut majeur de Schubert a été composé peu après sa dernière symphonie durant l'été 1828, deux mois avant la mort du musicien. Il a été créé bien plus tard, en 1850, au Musikverein de Vienne et publié en 1853. Il nous a été servi comme une  7e merveille de la musique par l’émouvant Quatuor Alfama au Conservatoire Royal de Bruxelles, lors d’un de ces midi-minimes inoubliables de la cuvée 2013. On y a couru à cause de Camille Thomas, rencontrée au festival Musiq 3 2013 et on y a découvert une violoniste exquise: Elsa De Lacerda Setas.  On reste longtemps sous l’impression d’avoir voyagé au cœur d’un rare cristal musical hier midi! Une merveille!

Dès les premières notes on est happé par un long appel strident  joué par le Violon ensuite repris par le timbre profond du premier Violoncelle. Si le premier mouvement évolue longuement  dans les contrastes de registres aigus et sombres, on arrive vite dans une explosion de mouvements impétueux,  dont la puissance est garantie par la voix chaleureuse des deux violoncelles unis. Cascades émouvantes du Violon vers les graves, déferlement avant une gamme ascendante  qui s’élance à l’assaut du bonheur. Mélodie en duo des deux Violoncelles qui s’entrelacent: serait-on au paradis ? Au cœur d’un cristal musical où les pans sonores miroitent de tous leurs feux. 

 Et voici que vient la beauté surnaturelle dans ce chef d’œuvre de l’humain : l’Adagio.  Au recueillement en  volutes pointées  du Violoncelle, répond en échos attentifs  la voix du  sublime Violon par des pizzicati  délicats du même registre. Le jeu de l’écoute est passionnant, comme si les doigts du Créateur tendaient la main à l’homme de la Chapelle Sixtine.  Il est Petit mais à l’image de Dieu. Les grondements des autres cordes tissent une mélodie tragique cueillie par les accords graves du Violoncelle. Les vagues sombres semblent être soulignées par le passage de nuages par-dessus la verrière du Conservatoire. Des silences haletants ponctuent de  longs accords et redonnent la vie au jeune Violon qui ose fleurir sur un terroir de tristesse. On se berce dans la pureté de son de l’instrument, qui ressemble beaucoup à la respiration vivante d’une extase. La douceur atteint des summums avant le retour des pizzicati du début, sous la conduite du Violon cette fois. La lumière musicale et apollinienne inondent l’assemblée qui entoure les musiciens ; un  ultime crescendo souple et poignant soutient l’émotion jusqu’à la dernière note, tenue avec immense respect. Le sentiment  nostalgique d’un  dernier rayon de l’astre solaire vous étreint brièvement avant de plonger dans le troisième mouvement.

Le scherzo sera sautillant ! Back to Earth ! Le Violoncelle prend des allures de grand seigneur qui tournoie joyeusement… Réapparaissent les notes sombres de la perte de la joie. Les larmes perlent sous l’archet de la violoncelliste Le mal à l’âme se déplie et atteint tous les instruments mais une extrême douceur subsiste au cœur de la gravité. Retour versatile à la volubilité intense du début, et touches délicates encadrées d’appels que l’on imagine ceux de cors au fond des bois. Des appels, encore, de nature royale !

Applaudissements intempestifs, tellement la plastique de l’œuvre est intense et superbe. L’ensemble musical peu surpris  en profite pour se réaccorder et lance l’Allegretto jubilatoire, toute peine bue. Effeuillée la tristesse, restent les pétales joyeux,  un calice aux vertus musicales, à boire ad libitum. Des pieds légers et juvéniles touchent à peine le sol à moins que ce ne soient ces mystérieux papillons qui accompagnent souvent l’âme dans son élévation. Peut-être comme semble dire la musique, qu’ils retombent  en longs poudroiements fertiles et sans cesse renaissants.  

Ovation (f)estivale pour ce quatuor Alfama et ses jeunes  instrumentistes extraordinaires.

 

Atmosphère: cliquez ici: http://secure.smilebox.com/ecom/openTheBox?sendevent=4d7a63304e444d7a4d6a453d0d0a&blogview=true&campaign=blog_playback_link&partner=commissionjunction

« D’année en année, les artistes des Midis-Minimes forment une communauté plus large et plus créative, où les personnes se rencontrent, où les genres se décloisonnent, où les croisements s’opèrent. Grâce à la confiance établie avec le festival, ceux qu’on a entendus en quatuor, se retrouvent à l’opéra, le théorbiste a fondé son ensemble, la lauréate du concours Reine Elisabeth a troqué son archet contre la baguette, le hautboïste tâte du doudouk, tous poursuivent, en solitaire ou en bande, leur recherche du bel et insaisissable objet musical, rejoints par d’autres musiciens où l’on notera, cet été, de nouveaux et brillants internationaux. 
Le moteur de cette effervescence et de ces audaces ? L’écoute ! Votre écoute, celle d’un public incroyablement ouvert, concerné, actif, authentique partenaire artistique du concert. Merci à vous.»
 Besoin d’un petit coup de pouce à votre curiosité ? Voici le lien pour aller glaner un programme qui vous plaît  et vivre l’été autrement cette année : http://www.midis-minimes.be/fr/calendrier.php

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Un réseau professionnel et engagé
Le Réseau Art Nouveau Network rassemble plus de vingt institutions européennes qui collaborent aux projets soutenus par le programme Culture 2007-2013 de la Commission européenne. Créée en 1999, cette organisation a pour but d’étudier, promouvoir et préserver l’Art nouveau en Europe
grâce à de nombreuses activités (expositions, publications, colloques et outils pédagogiques) destinées au grand public, aux scientifiques, aux universitaires, aux jeunes et aux malvoyants.

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Un conditionnement réussi

 

 

Très souvent, ma mère chantait en travaillant.

Elle nous observait. Si, en nous surveillant,

Elle nous surprenait rêveuses ou pensives,

Elle n’acceptait pas de nous voir inactives.

Je sais qu’elle eut raison de nous donner l’envie

De jouir de l’ardeur qui naît de l’énergie.

Dans l’enfance, se créent certaines habitudes

Qui conviennent ou non au succès des études.

Moi, qui avais tendance à transcender ma vie.

Que la vue des nuages, rendait soudain ravie,

Je me sentais, alors, oppressée, malheureuse,

On ne permettait pas que je sois paresseuse.

Mais à la nuit tombée, je retrouvais mes droits.

Solitaire figée, des heures quelques fois,

j’existais, envahie d’une grâce troublante,

Face à l’infinité d’étoiles miroitantes.

Dispensée, désormais de faire des efforts,

Je vis, heureusement, dans un complet confort.

Je flâne à volonté, je médite, paresse,

Et sans me demander si vraiment rien ne presse.

21 janvier 2012

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DIS-TOI...

Si temps est à l'orage

Et ton cœur plein de peine

Et puis que tu enrages

De cette vie si vaine...

Dis-toi qu'au bout du jour

Sous l'ombre du grand Saule

Tu rêveras à l'amour

Penché sur une épaule...

Dis-toi que cette vie

N'est pas lourde de pleurs

Mais seulement des envies

Qui rongent le bonheur!

Dis-toi que même médiocre

Quand l'âme est en éveil

Sous un ciel bleu et ocre

Se cachent des merveilles...

Si temps est à l'orage

Évite la pesanteur

Que le désir surnage

Ignore donc la peur!

J.G.

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A Suzanne et aux Muses du verbe chantant

 

La musique du verbe, poésie

Qui vous habite et vous nourrit

Et nous ravit tous aussi,

Vous l’offrez chère amie

En chant de verbe ondoyant.

Et ce verbe de chant ondulant

Voyez comme il émane directement

De la caresse du céleste Verbe aimant

- Velouté d'amour chantant

Derrière notre Respire, tapi -.

Et ce mélodieux chant de poésie,

De Verbe à verbe inspiré, transmis,

Il est issu du Cœur de l'éternelle Vie,

Du Verbe créateur grandiose et béni

Qui dans le monde tout anime par Lui,

En essence de joie, couleurs, lumière,

Mélodieux chant des Sphères.

Et partout, dans l'univers

Il luit, tourbillonne, resplendit !

 

 

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