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Besoin de te parler

 

Tu m'as longtemps offert une douce tendresse

J'étais pour toi l 'amie, la soeur que tu aimais.

Ton énergie, ta joie, certes me ranimaient,

Tu ne me donnais pas de leçons de sagesse.

...

Parfois, tu m'écrivais en me voulant complice.

Tu racontais si bien, fidèle, avec ferveur,

Tes amours savourés qui te rendaient rêveur.

Grisé, tu recréais des scènes de délices.

...

Tu recevais ému tes rentes affectives,

Étant sur le chemin menant aux souvenirs.

De ton heureux séjour, tu aimais accueillir

Des parfums vaporeux, des grâces restées vives.

...

Ce sont tes derniers mots que je relis souvent.

J'entends ta chère voix, tu me dis que tu m'aimes.

Tu m'avoues que ton coeur te cause des problèmes.

Il a cessé de battre or tu restes vivant.

...

5 mai 2012

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Hymne au soleil

 

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En prodiguant, soudain, sa lumière aveuglante,

Il inonde de joie l'immensité des cieux.
De ces fous qu'il enivre, il fait baisser les yeux.
Dans l'éblouissement, conduit les âmes errantes.
...
Il inonde de joie l'immensité des cieux.
Il ôte des coeurs lourds l'angoisse exténuante,
Dans l'éblouissement, conduit les âmes errantes.
Rend impondérables les penseurs soucieux.
...
Il ôte des coeurs lourds l'angoisse exténuante.
Fait sourire, apaisés, les êtres malheureux,.
Rend impondérables les penseurs soucieux,

Les mène en un ailleurs de grâces rayonnantes.
...
Fait sourire, apaisés, les êtres malheureux,

 Répand une énergie puissamment agissante,

Les mène en un ailleurs de grâces rayonnantes,
Féerie de couleurs, univers fabuleux.
...

14/1/2004

 

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Christ de pitié soutenu par saint Jean et par deux anges, détail, attribué à Jean Malouel (connu à partir de 1397-1415), Paris, Musée du Louvre© RMN-GP (Musée du Louvre) / Adrien Didierjean
Le "Christ de Pitié" attribué à Jean Malouel, un tableau du XVe siècle à l’histoire fascinante, a été présenté jeudi par le ministre de la Culture Frédéric Mitterrand et le président du Louvre Henri Loyrette. Inconnu jusqu’à son authentification récente, il est entré dans les collections du Louvre, un événement. Il sera exposé dans les salles du musée à partir du 16 mai
Le ministre a annoncé officiellement l’acquisition par l’Etat pour le musée du Louvre du « Christ de Pitié soutenu par saint Jean l’évangéliste en présence de la Vierge et de deux anges ». Le tableau a été attribué à Jean Malouel (1370 ?-1419), une des figures majeures de la peinture néerlandaise et un des plus illustres primitifs français, puisqu’il a passé la plus grande partie de sa carrière en France.
Le Christ de Pitié est le troisième tableau connu de Malouel
Après avoir travaillé à Paris en 1396 pour la reine de France Isabeau de Bavière, il est devenu le peintre du duc de Bourgogne, Philippe le Hardi, puis celui de son fils, Jean sans Peur. Malouel est l’oncle des frères Limbourg, dont le style rappelle la fraîcheur des couleurs et la douceur des formes.

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Oeuvres attribuées à Jean Malouel, conservées au Louvre - A gauche, Grande Pietà ronde - A droite, Christ de Pitié © A droite, RMN-GP (Musée du Louvre) / Adrien Didierjean - A gauche, A droite, 2009 Musée du Louvre / Erich Lessing

Jusqu’ici, deux tableaux seulement avaient été attribués à Jean Malouel : la « Grande Pietà ronde », conservée au Louvre depuis 1864, et la « Vierge et l’Enfant entourés d’anges », dite « Vierge aux papillons », acquise en 1987 par la Gemäldegalerie de Berlin.
La découverte du « Christ de Pitié » est donc un évènement. Il s’agit de « l’acquisition majeure des cinquante dernières année » pour le Louvre, en matière de peinture, avait estimé en janvier dernier Vincent Pomarède, le directeur du département des peintures du musée.
L'histoire rocambolesque d'un tableau, du presbytère au Louvre en passant par une brocante
L’histoire commence en 1985, quand un brocanteur du centre de la France achète le tableau pour quelques centaines de francs au curé de Vic-le-Comte (Puy-de-Dôme). Le prêtre, décédé depuis, avait besoin d’argent pour faire des travaux de chauffage dans son église et s’était débarrassé de cette œuvre reléguée dans un coin du presbytère. Elle était recouverte d’un vilain badigeon qui la rendait méconnaissable.
Dès 1986, le brocanteur avait pressenti que son tableau pouvait être intéressant. Il avait fait retirer le badigeon et mené des recherches. En 1999, il montre au Louvre son « Christ de Pitié » qui montre des ressemblances frappantes avec la « Grande Pietà ronde » attribuée à Malouel. Mêmes couleurs délicates, même élégance des formes, même silhouette du Christ mort aux longs bras souples.
L'Etat a acquis le "Christ de Pitié" pour 7,8 millions d'euros
Il faudra encore plus de dix ans pour que le tableau soit acquis par l’Etat. La transaction est délicate : la loi de 1905 attribue aux communes la propriété des biens garnissant les églises. Celle de Vic-le-Comte aurait pu revendiquer la propriété du « Christ » de Malouel.
Pour éviter tout litige, le vendeur a reversé à la municipalité 2,3 millions d’euros sur les 7,8 millions que lui a rapporté la vente à l’Etat.
L'acquisition de l'oeuvre, classée trésor national, par le Louvre est totalement financée par Axa, moyennant une importante déduction fiscale. Une loi de 2002 permet en effet à des entreprises de bénéficier d’un avantage fiscal qui acquièrent pour l’Etat une œuvre classée trésor national.
Le "Christ de Pitié" attribué à Malouel sera exposé à partir du 16 mai 2012 à côté de la "Grande Pietà ronde" dans la salle 3 du Louvre (Aile Richelieu, 1er étage)

(Document Culturebox)


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                    Article pour le journal:
 

                  FDF:Fédération démocrate francophone.Je m'intéresserais en quelque mots à la francophonie.
                  EN 2010 le Français était parlé par 220 millions d'êtres humains sans parler du nombre de perroquets et autres ménates  cela fait du monde sur terre!
                  Le français est parlé sur les 5 continents, seule langue avec l'anglais p!96,2 millions d'Africains parlent français. Deuxième langue maternelle de l'Union Européenne et
                  tout simplement deuxième langue parlée de U.E!!
                  Alors,le but que nous poursuivons de défendre notre langue est plus qu'important, honorable, et .. indispensable.
                  Anatole France(auteur français 1844-1924) disait du français:   “La langue française, c’ est une vraie femme. Et cette femme est si belle, si fière,
             si modeste, si hardie,               
             si touchante, si voluptueuse, si chaste, si noble, si familière, si folle, si sage, qu’on l’aime de toute son âme,
             et qu’on n’est jamais tenté de lui être infidèle.”
             Alors si nous luttons pour la liberté et le respect de le femme dans le monde. ICi , dans notre petit pays ajoutons y cette autre femme, celle d'Anatole France si     
             malmenée, si rejetée.
             Si on nous empêche de l'aimer, si on nous force à lui être infidèle, la seule solution c'est de voter aux prochaines élections pour ceux , les SEULS qui défendent le   
             Langue Française

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La police avait utilisé sans succès un détecteur de métaux pour tenter de retrouver les lingots. Hubert Goffin se rappela qu’il existait des petits appareils portatifs permettant de repérer les conduites et divers câbles électriques dans les murs, afin d’éviter ainsi de percer au travers. Le soir même, sur discrète instruction, la fouille des camionnettes permit d’en repérer deux. Les plombiers et les électriciens en possédant un chacun, la surveillance autour d’eux s’accrut d’avantage. Maurice Mignolet, un des électriciens, à cause de son passé un peu tumultueux était un peu plus dans le collimateur. Ce soir là, l’inspecteur Goffin avait décidé de le suivre. A ses collègues, il avait déclaré que ses lombes d’oreilles le chatouillaient lorsqu’il apercevait Mignolet, et qu’à plusieurs reprises dans sa carrière, il avait pu vérifier que c’était en présence d’un malfrat. On le tirait un peu en bouteille, mais pas trop cependant, car ses états de service étaient brillants, et il avait bouclé pas mal d’affaires qui semblaient bien définitivement en panne. La filature, si on peut dire, car l’adresse de l’électricien était connue et ce dernier rentra directement chez lui, amenant le policier en banlieue. Le crépuscule rendait encore plus lugubre l’espèce de terrain vague parsemé d’épaves entourant la maison de Mignolet. Après avoir emprunté des petites routes de campagne de plus en plus étroites, un chemin de terre menait à une ancienne ferme, entourée de plusieurs dépendances, le tout fort délabré. Il n’était pas question d’approcher par le devant sans être vu, et la propriété était adossée à une rivière. De plus, un gros chien était enchaîné dans cour, ce qui ne laissait qu’une seule possibilité à l’inspecteur pour approcher les bâtiments ; contre le vent.

Après avoir caché son véhicule à l’écart, derrière un boqueteau, l’inspecteur s’approcha de la ferme en décrivant un large détour, se cachant sporadiquement, tantôt derrière un tronc d’arbre, tantôt derrière une vielle machine rouillée ou toutes sortes de ferrailles jonchant le sol, à rendre jaloux un démolisseur. La nuit était maintenant tombée, et les quelques luminions éclairant l’endroit étendaient des ombres menaçantes alentour. Hubert Goffin était parvenu derrière le groupe de bâtiments vétustes sans alarmer le chien. Comme il se demandait ce qu’il était bien venu faire là, inspectant les murs qui n’offraient de ce côté aucune fenêtre au regard, une lumière fusa par un petit vasistas en haut du mur d’une grange, à plus ou moins quatre mètres du sol. L’inspecteur fouilla l’étroite bande de terrain qui séparait le bâtiment des eaux noires coulant à quelques mètres et finit par trouver parmi les détritus un vieux sommier, qui appuyée au mur, lui permit de se hisser et discerner une partie de l’intérieur de la grange. Au milieu d’un bric-à-brac indescriptible n’ayant rien à envier à l’extérieur, se trouvait une vieille camionnette aux couleurs de la société distributrice d’électricité dont les sigles avaient été retirés. L’intérieur du véhicule était seul fortement éclairé, laissant la grange dans la pénombre, où on pouvait distinguer quantité d’outils. Mignolet, en salopette de mécanicien, émergea d’un coin sombre et entra dans la partie arrière de la camionnette, où il se mit à ferrailler. Pendant près d’une heure, l’inspecteur n’eu droit qu’au spectacle des gerbes d’étincelles d’une disqueuse, alternant avec les éclairs violacés d’un poste de soudure à l’arc. De temps à autre, Mignolet apparaissait furtivement pour prendre un outil ou une pièce de métal. La position des plus inconfortables força l’inspecteur à descendre de son perchoir. Des crampes harcelaient ses mollets et le froid aidé par l’humidité qui montait de la rivière, le portait à la limite de l’éternuement. Il fallait qu’il se réchauffe. Comme il regagnait son auto, il se retourna et se statufia sur place. Non seulement le chien, un énorme dogue noir de jais avait été lâché, mais il y avait aussi son frère jumeau.  A suivre ...

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Départ d'un amour,

                        

De l’aube à la nuit noire,

l’épine dans mon cœur,

à vous me fait songer,

parti je ne sais où !

Poignard d’une rose,

sans soleil, ni terre,

 ayant perdu son frère,

le bel aubépinier,

que des mains assassines

 ont replanté si loin !

Oh rose, pour vivre encore si peu,

sans l’arbre rose et blanc,

tu t’armes jusqu’au cœur,

puis dans ta robe sombre,

sur toi toute repliée, légère,

 tu commences  ton deuil de fleur solitaire !

Oh les roses puissent-elles un

jour s’envoler au dessus de tous les jardins

du monde ?

 

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Ce Cri de Münch

 

Certains achètent de l'Art

comme d'autres faisaient grimper

aux heures lentes des disettes,

au prix de l'or, celui du blé.

 

En quelque palais forteresse

aux murs armés, vitres blindées,

sous des soleils artificiels,

 

le Cri de Münch s'est encastré

bâillonné d'ouate, anesthésié.

 

Le sable assèche le Niger.

La pluie déserte le manioc.

Le béton rogne la planète.

 

Qu'importe l'alarme stridente

qu'une oeuvre livre libre aux siècles

pourvu que nulle préemption

ne torde leur cou,aux Affaires

 

qui gagnent à faire tourner

carré, le bon sens qu'il nous reste!

 

Ce 4 mai 2012

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Bienvenue au concert des Estourdions ce vendredi 4 mai à 20h, à la Chapelle de Lindthout.

Au programme: Chants du Monde, chants Renaissance anglaise et française, mélodie russe, bulgare, etc...répertoire varié, dirigé par Véronique Ravier. Venez partager notre enthousiasme!

En deuxième partie, l'ensemble vocal féminin Kalliopi: Poulenc, Fauré, Haydn.

Ce serait un plaisir de vous y rencontrer.

Cordialement,

Pascale

Entrée libre. Un drink  est offert après le concert.
2a, Avenue des Deux Tilleuls, 1200 Bruxelles (entre  métro Montgomery et Mérode)

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L'ABSENCE...

 

Vingt ans déjà que s'est tournée la page

Je n'ai pourtant pas perdu ton beau visage!

Et je revois cette tache de naissance

As de carreau discret à l'aile de ton nez...

Où j'ai encore envie de poser un baiser.

Je ressens bien là, tout ce qu'est l'impuissance!

Car si c'est aujourd'hui la fête des mamans

Si l'amour éprouvé est aussi fort qu'avant...

Je ressens comme jamais le poids de ton absence!

Même si nous n'avions pas même caractère

Il y avait mêlé douceur et cet élan...

Que l'on ne ressent bien qu'une fois seulement...

Et fait de cet amour le plus joli critère!

J.G.

 

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Remerciements

Bonsoir Valériane, Bonsoir Adyne,

J'ai été très touchée par vos compliments qui me vont droit au coeur.

Merci beaucoup. Je vous souhaite une bonne fin de semaine.

Très cordialement 

Marie-France

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Face aux mêmes miracles

 

 

le posson fleur 

Ô cette joie de vivre héritée de ma mère!

La beauté m'apportant, surprise, émotion,

Me plongea, bien des fois, dans l'exaltation.

Chanter, me détournait des peines éphémères.

...

J'accueillis rarement la froide indifférence.

J'allais m'ensoleiller, à l'affût du bonheur,

Espérant éprouver de nouveaux coups de coeur.

Aux lèvres me venaient de berçantes romances.

...

Lors, mes chants attirèrent la muse musicienne,

Éternelle, à l'écoute, égrenant l'harmonie.

Sans doute étant émue par ma douce manie,

M'offrit avec ses mots, une poésie mienne.

...

Au bout de mon chemin, en dépit des obstacles,

Je garde mon envie de rester en éveil.

Je capte la liesse émanant du soleil

Et m'étonne attendrie, face aux mêmes miracles.

... 

3 mai   2012

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Des pans de Cornouailles...

Des pans de Cornouailles s'effondrent...

il n'était pas Tristan,

je ne suis pas...Yseult.

 

Nous étions deux manants

bardés de réglisse et de cuir.

 

Entre ce large sans phare

et ses 'abords de herses violentes;

 

dans cette gabare sans voile,

les mains mortes à la barre,

 

la mer monte...

 

Ce qu'il faut de courage

pour mourir!

 

Ce qu'il en faut pour rompre

ses peurs et vivre!

 

Goût noir, salé ,sans balise;

dents d'écueils aplanies...

 

Quand la mer monte,

je vogue...

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Je désire......

Je désire vous regarder vivre,

lorsque vous vous levez,

lorsque vous vous couchez,

tantôt triste, tantôt gai,

ou les deux à la fois,

que vous vous êtes perdu ;

oh oui juste une fois !

Je désire vous entendre respirer plus fort,

lorsqu'à moi vous songez,

que la neige vous brûle,

que le vin vous endort,

que le lait vous enivre,

lorsque partout je suis,

et à la fois nulle part,

oh oui juste une fois !

Je désire vous savoir fou,

lorsque vous m’écrivez des mots qui vous dépassent,

que les taire vous soit devenu insoutenable,

qu’aucune lèvre de femme,

 à l’exception des miennes,

contre les vôtres ne trouve grâce.

Oh oui juste une fois !

Je désire être l’eau, l’ombre et le soleil,

tout à la fois,

 que votre peau avale ;

cette femme, en pleine clarté, cachée,

ce bijou or et vert,

 dont l’écrin pourpre vous êtes.

Oh oui je le sais bien !

 

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Ecriture (suite)

Convalescence de l’écriture,

l’âme et le corps,

l’un dans l’autre en jachère ;

villégiature des mots,

hors de moi,

pour qu’ils forcissent un peu,

s’émancipent,

sans peine refleurissent,

dans mon sang, dans ma chair ;

qu’ils puissent de vous se rapprocher un peu,

vous toucher, sans dans le  vide chuter.

Pourrais-je redevenir ce petit jardin bleu,

qui sous vos yeux fiévreux,

murmurait l’alphabet de la terre,

de la mer et du ciel,

l’insufflait aux êtres qui s’y attardaient,

agrandissaient leurs yeux,

s'ébahissaient,

s’y perdaient émus et tout joyeux,

bien plus vivants qu’hier ?

 

 

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Décadence

 

 

magnolia.jpg

  

Il a perdu son élégance,

Mon magnolia glorieux.

En ce jour terne et pluvieux,

Il illustre la décadence.

...

Ses larges fleurs, roses et blanches

Ratatinées, rongées, roussies,

Mais attendrissantes aussi,

Restent accrochées à ses branches.

...

Constatant leurs décrépitude,

Accélérée en ce printemps,

Capricieux et moins chantant,

Je médite par habitude.

...

Moi-même, en pleine décadence,

Mécontente d'être enlaidie,

Sans entrain, un peu engourdie,

Je pense avoir eu de la chance.

...

                                                                              2 mai 2012

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Séance de Dédicaces ce 05 mai

Je serais en séances de dédicaces ce 05 mai autour de mes livres "l’Amour en Lettre Capitale" et "Nouvelles en quête d'(h)auteur"après le spectacle "Sur un nuage" à salle de la Bouteillerie à Fontaine l’Évêque, Boulevard du Nord à 19h30.12272805296?profile=original 12272805688?profile=original12272804490?profile=original

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Fantaisie

 

Doux ami, j’ai le goût d’un vent de romantisme,
Ardent et parfumé, un tantinet fripon,
Répandant dans l’air frais un courant d’héroïsme,
Suivi de rires clairs comme roses pompons.
...
Enjouée, j’ai l’envie d’un bain d’adolescence.
Occultant les années, je refais le chemin
Sur lequel, autrefois, j’avais eu cette chance,
De marcher près de toi en te donnant la main.
...
Le hasard se rendant à ma persévérance,
M’a fait réaliser ma plus douce espérance:
Te retrouver enfin, un plaisir éperdu.
...
Notre amitié, depuis, demeure forte et tendre
Cependant tu es loin, je t’ai un peu perdu.
Je ne sais pas toujours être sage et attendre.
...


10/12/2005

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Du 24 au 28 avril 2012, à La Samaritaine, à Bruxelles. Clichés: P. Eyben



Des émotions plein la tête et le coeur, là, tu as visé juste Fabienne!

Merciiiii de tout coeur à Fa et Pascale pour ce Topoï millésimé...

"La chance n'a pas de mesure, ni couleur, ni parure" dis-tu dans Topoï...tu navigues parmi les arbres, les étoiles, les mots, les sons...tu as passé le mur du son ce soir, sûr! 

Parfois on dirait une danse autour du feu, des nuées d'étoiles parachutées parmi nous, des rivières éclaboussées d'oiseaux, des arbres, des forêts, des chiens qui aboient, des gisants...une symphonie de mots et une navigation qui vous coupe le souffle...

De l'énergie, de la force, de la douceur...

A voir, ce fabuleux destin de Fabienne et Pascale, une soirée qui compte! J'en viens...soirée inoubliable!

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Fabienne, à la guitare et Pascale, au clavier forment un duo de choc, complices, enjouées... des chants qui vous imprègnent, vous font rêver, émeuvent, bref, aucun ne laisse indifférent.
Et sa voix, tour à tour grave, profonde puis douce...passe par des registres qui créent une ambiance tantôt mélancolique, tantôt poétique, toujours avec cette touche d'humour, de sincérité et de grande générosité.


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Bravo Fabienne et Pascale, on en redemande!
Cette soirée m'a conquise, et l'assistance, chaleureuse, était aussi particulièrement enthousiaste!


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De plus, dans cette ancienne cave voûtée du 17ème siècle, un lieu historique de Bruxelles, intime, que demander de plus?
La Samaritaine, un café théâtre à recommander pour son accueil chaleureux et ses spectacles triés sur le volet! Ce soir, nous étions "chez nous"!


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Avec ma gratitude aux artistes, Fabienne et Pascale!
Pascale Eyben


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Pour te dire merci

Doux ami,

 

Tout travail mérite salaire

Et cadeau reçu récompense.

À offrir on peut se complaire,

On se substitue à la chance.

...

Celui qui reçoit un présent,

Ému et maintes fois ravi,

Veut souvent rendre, aux cours des ans,

Obligé ou en a l’envie.

...

On dit merci différemment.

Un sonnet est certainement

Offrande, fruit de la tendresse.

...

J’inscris, dans celui-ci, ma joie,

Mes voeux de santé et ma foi.

Reçois-le comme une caresse.

...

20 mars 2006

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Vous perdre,

 

N’être plus personne,

pas même un visage, un regard,

un corps, ni une fleur,

mais une particule sombre,

sans clarté ni luminosité,

contrairement à la nuit,

fredonnante, caressante.

Éclipse obscure, dans l’espace perdue !

N’être plus personne,

étrange particule, étrangère,

détachée de tout,

inconsistante et lourde.

Nul cri, ni sourire, ni sanglot,

de soi ne sort ;

peut-être un souffle froid.

Sans pensée et mutique : Survie !

Oh drame,

n’écrire que de l’encre, noire ou bleue,

rien que cela ;

clôture autour de soi.

Êtes-vous parti à jamais mon ami,

mon frère ?

Avez-vous éteint ma voix, en partant ?

Oh cet incendie qui jaillissait de mes lèvres,

puis de mes mains, était notre saison pourpre et bleue,

chaude, propageable à cette arborescence végétale et de chair,

où les arbres, les fleurs et les hommes  avec aisance y

respiraient ;

où les mots y fleurissaient, grandissaient puissants,

à l’instar d’herbes folles, incroyablement vertes,

inarrachables !

L’écriture c’était moi et vous,

pour les humains.

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