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La révolution en France

Mit fin aux lettres de cachet

Fut proclamé et affiché

La présomption de l’innocence.

...

Dès lors, le pouvoir judiciaire

Était devenu rassurant.

Plus de châtiments délirants,

D’emprisonnements arbitraires.

...

Mais que se passe-t-il soudain?

Viennent la peur et la souffrance,

Quand la présomption d’innocence

S’avère un précepte incertain.

...

Les magistrats, souvent hautains,

Tout comme les autres, subissent

Frustrations et préjudices.

Ils ne sont certes pas des saints.

...

Le pouvoir qu’ils s’octroient fait peur

J’ai dénoncé dans la tristesse,

L’inacceptable maladresse

D’un incompétent procureur.

...

Pour conserver sa liberté

Quand on est soupçonné sans preuves,

On subit la terrible épreuve

D’une rançon à acquitter.

...

Serais-je seule à m’indigner?

Demeurant dans l’indifférence,

Ceux qui dirigeront la France

Semblent tout à fait résignés.

...

                                                                            28 mars 2012

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https://artsrtlettres.ning.com/video/renoir-un-arc-en-ciel-de-jeunes-femmes?commentId=3501272%3AComment%3A714027&xg_source=msg_com_video

Ces tableaux de Renoir sont une telle splendeur

que l'on aimerait les admirer des heures.

Les jeunes filles à la chevelure d'or ou de feu

Ne sont jamais riantes avec des yeux clairs ou bleus.

Tranchant sur l'éclatante lumière de leurs cheveux,

Qui ruissellent en rivières d’or resplendissantes,

Leurs regards sont d'un brun si profond et sérieux

Qui leur donnent une présence impressionnante,

Qu'elles soient mures, libertines ou bien innocentes.

Leurs chaires blanches et diaphanes ont le brillant éclat

De la tendre  jeunesse, dans son bel incarnat.

La beauté et la grâce émue de l'éternel féminin

Par le peintre sont hissées, ici, à leur plus haut point.

Rébecca Terniak le 28.3.2012

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Ma traduzion en langue francaise du poem, trés beau, de Joelle Diehl. Un poem qui exprime avec sesnsibilité les profondeurs de l’ âme infantile , les sentiments et les impacts des actions des adultes dans un’âge aussi delicate .
merci Joelle.

certains commentaires formulés par les amis italiens :

Molto, ma molto bello...

è veramente molto bella !

Coglie lo sviluppo di un vissuto e di una cognizione in modo personalissimo. Interessante. Grazie.

Ho letto con attenzione la poesia e se mi permetti desidero lasciare un commento a livello Teologico (che è poi il mio campo). Leggendo la poesia mi ha toccato nella profondità del suo essere. …
si, ho colto la sofferenza di chi la riceve e poi la domanda e risposta a proposito della sofferenza...

Lo schiaffo

Dietro le sue palpebre pesanti di lacrime cacciate indietro,
Un singhiozzo trattenuto; i pensieri ancora tutti confusi
Una rabbia tenuta a freno, un grido stridente ma silenzioso
In fondo alla gola, lo sguardo blu-grigio ancora velato,
Lei si mantiene rigida, immobile, i pugni stretti.
Si contiene, si trattiene, un dolore bruciante sulla guancia.
Lo schiaffo, come se sovente l’abbia trascinata nel fango,
L’ha toccata nel più profondo della sua anima atterrita.
Un marchio in più, la ferita di questo colpo disgraziato,
nella sua fiducia e nelle sue speranze fortemente scossa.

Se ne va, il cuore grosso, la sua fiducia di nuovo tradita.
La collera disperata è svanita, non resta che lo sguardo
[esterrefatto
Dinanzi a tanta violenza, ingiustizia e umiliazione.
Cosa dunque aveva fatto per meritare questa punizione?
Per tanti anni ancora, di fronte a questa volontà,
A questa dura autorità implacabile e insoddisfatta
Che rubava all’infanzia tutta la sua spontaneità,
Lei spesso voleva fare bene, ma tutto era sbagliato.
Si piegava sotto le parole sferzanti, pungenti e aspre.
Lo schiaffo l’aveva raggiunta nel cuore dei suoi giovani anni.

Rassegnata e tutta raggomitolata su se stessa,
Piange su un avvenire doloroso e incerto.
Sarebbe stata capace di rialzarsi e cosa sarebbe stato il futuro?
Sì, domani sarà grande, avrà le insolenze
Che il numero d’anni porta all’adolescenza
(sì, domani diventerà grande, avrà l’insolenza dell’adolescenza).
La paura cederà il posto alla maturità fresca e desta,
Dirà infine “no” ai colpi e alle violenze,
Dirà “no” alle parole che non hanno più ritorno,
Non indietreggerà più dinanzi ad un braccio alzato che minaccia,
dimenticherà lo schiaffo, dicendo a se stessa, “dato per amore”.

le poem de Joelle
La gifle

Derrière ses paupières lourdes de larmes refoulées,
Un sanglot retenu; les pensées encore toutes emmêlées
Une rage contenue, un cri strident mais silencieux
Au fond de la gorge, le regard bleu-gris encore voilé,
Elle se tient raide, immobile, les poings serrés.
Elle se contient, se retient, une douleur brûlante sur la joue.
La gifle, comme si souvent l'a trainée dans la boue,
L'a touchée au plus profond de son âme atterrée.
Une marque de plus, la blessure de ce coup disgracieux,
Dans sa croyance et ses espérances fortement ébranlée.

Elle s'en alla, le cœur gros, sa confiance à nouveau trahie.
Sa colère désespérée s'enfuit, il ne resta que son regard ébahi
Devant tant de violence, d'injustice et d'humiliation.
Qu'avait-elle donc fait pour mériter cette punition?
Depuis tant d'années déjà, confrontée à cette volonté,
A cette dure autorité implacable et insatisfaite
Qui dérobait à l'enfance toute sa spontanéité,
Elle voulait souvent si bien faire mais tout n'était que défaite,
Elle pliait sous les mots cinglants, blessants et acharnés
La gifle l'avait atteinte au sein de ses jeunes années.

Résignée, et sur elle-même toute recroquevillée,
Elle pleure sur un avenir douloureux et incertain
Allait-elle pouvoir se relever et que serait demain?
Oui, demain elle sera grande, elle aura les insolences
Que le nombre des années apportent à l'adolescence.
La crainte fera place à la maturité fraiche et réveillée,
Elle dira enfin "non" aux coups et aux violences,
Elle dira "non", aux paroles qui n'ont plus de retour,
Elle ne reculera plus devant un bras menaçant dressé,
Elle oubliera la gifle soi-disant donnée par amour.

merci Joelle!

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Un Amour,

 

Se perdre, se trouver ;

réalité et imaginaire ne font qu’un seul corps,

drôle de terre, qui tourne mélodiquement dans ma tête,

avec insouciance, aisance,

et dont le cœur fait s’accélérer le mien,

si attaché au vôtre !

 

Désir qui se débat, se déploie,

 se nourrit de la chair du soleil et du ciel,

 de vous si je le veux,

lorsque mon corps s’entrebâille

 sur la couche de l’absence dans une pièce close,

dont les murs me touchent,

à l’instar de vous.

 

Être éprise de vous est mon échappée belle,

ma voix magique et bleue,  feutrée,

 dont l’échancrure s’aventure

sur l’étendue diaphane et nue,

que vous touchez peut-être,

 avec vos yeux nuageux de tristesse !

 

Rien de vous, vous ne voulez laisser paraître,

 alors je vous écris sans cesse.

 

 

 

 

 

 

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LES YEUX D'YVETTE

« Dieu nous a créé avec 2 yeux, il suffit de fermer celui qui voit ce qui ne va pas et alors la Vie est bien plus facile et belle. » (Olivier Lamboray)

Jusqu’à aujourd’hui, j’ai pratiqué ce qu’on m’a toujours enseigné : ouvrir l’œil et le bon…

Il y a bien longtemps, j’avais longuement réfléchi à cette expression et j’en étais arrivée à la conclusion que, pour atteindre une cible, on fermait un œil. C’était pareil pour les proportions en dessin, ainsi que pour tous les métiers qui nécessitaient une grande précision.

A force d’ouvrir l’œil, il a vu… Tellement de choses : les bonnes comme les mauvaises… Il savait faire le tri… Il n’était pas stupide… Il était d’ailleurs plutôt optimiste… Avait confiance… faisait confiance… se faisait confiance.

Et puis, un jour, subitement… Comme ça, sans crier gare… Sans doute parce que le bon œil avait trop de larmes, était fatigué, un peu gonflé… L’autre œil s’est ouvert.

Il était las qu’il n’y en ait jamais eu que pour l’autre… Il voulait, lui aussi, avoir sa part de vision des choses de la vie. Mais il avait peu d’expérience et, à force d’être fermé, ne voyait plus que ce qu’il voulait bien voir… Et devenait de plus en plus l’œil des « oui mais »…

Le bon œil, remis de ses émotions, lui disait : « regardes, comme le monde peut être beau… » Alors, il lui répondait : « oui, mais, vois combien il y a de boue… »

C’était devenu invivable mais que fallait-il faire ?  J’avais très souvent envie de m’arracher les yeux… Cela aurait été plus simple d’être aveugle… J’aurais alors pu pleurer sur moi-même et trouver ainsi des âmes compatissantes. Mais je refuse la compassion.

Me mettre le doigt dans l’œil ? Non, cela fait trop mal… On finit toujours un jour par y voir clair et on s’en veut d’avoir été trop naïf…

Je marchais à l’aveuglette… Cette situation me sortait par les yeux, au point que, je ne pouvais en fermer aucun de la nuit. J’aurais tant aimé que quelqu’un me fasse de l’œil… Tellement de jolies choses peuvent se passer entre quat’z yeux. Mais là encore, je devais avoir le mauvais œil. Ou bien, j’avais eu les yeux plus gros que le ventre : ces yeux là ne me voyaient pas. Et puis, il ne fallait pas avoir froid aux yeux pour oser faire les yeux doux…

Alors, une solution évidente me sauta aux yeux : bien que ça me coûte les yeux de la tête, je leur ai offert une paire de lunettes à verres progressifs. De près comme de loin, ils auraient une meilleure vision des choses. Ils m’étaient utiles tous les deux. Je ne pouvais avoir les yeux en poche. Parfois, certaines choses ne sont que poudre aux yeux. Il faut avoir l’œil… D’autres fois, il faut les regarder d’un bon œil…

A propos, savez-vous qu’ils ont la couleur de la Mer du nord ? Gris quand le ciel est maussade et bleus quand il fait soleil…

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PENSEES EN ERRANCE

12272798261?profile=originalQuelle vision se montre à nous?

Que désirons nous voir ?

"N'importe tous les grands malheurs , ou presque de la vie , viennent des idées fausses

Que nous avons sur ce qui nous arrive "

Phrase notée au hasard d'une lecture (Denis Baldwin Benech - Le sérieux des nuages)

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Où se love mon âme

 
Le moteur qui m'anime se trouve dans ma tête.
Il me maintient en mouvement ou au point mort 
Sans qu'à aucun moment mon souffle ne s'arrête.
J'avoue connaître mal les vertus de mon corps.
...
L'énergie engendrant le flot de la pensée
Miraculeusement, circule sous le crâne.
Là se trouvent classés les acquis du passé.
La mémoire les traite afin qu'ils ne se fanent.
...
  Souvent, pour conserver la source d'un émoi
Troublant, inusité, j'ai le besoin d'écrire.
Je parle de mon âme attendrie avec foi.
Mais où se love-t-elle? Qui saurait me le dire?
...
L'âme, telle une muse, me semble imaginaire.
Je crois que tout se passe où se forgent les mots,
Où l'énergie vitale est la seule à tout faire,
Dans la petite boîte abritant le cerveau.
...
26 juillet 2009

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Projection du film Severn, de Jean-Paul Jaud, (Fr), à Bruxelles,
à Woluwé St Lambert, le 29 mars 2012 à 15h et à 19h30, dans le cadre de
"Wolu-Energie". Lieu: Hôtel Communal, salle de Conférences.  02/761.27.26
Métro: Tomberg

Entrée gratuite.

J'ai eu la chance de voir ce film en avant-première, à Wolubilis, en 2010, en présence de son réalisateur, avec qui nous avons pu discuter.
En 1992, lors du Sommet de la terre de Rio, Severn Cullis-Suzuki, âgée de 12 ans, interpelle les dirigeants du monde entier sur la situation humanitaire et écologique de la Terre. En 2009, elle a 29 ans... et attend son premier enfant…

Ce nouveau documentaire de Jean-Paul Jaud après « Nos enfants nous accuseront » prend le parti de mettre en lumière des actions positives menées aux quatre coins de la planète et nous confronte à une question universelle et fondamentale : Quel monde laisserons-nous aux générations futures ?

Un film remarquable, qui parle des questions importantes pour le monde, comme le respect de la biodiversité, la situation des peuples, écrasés par les multinationales et par  la monoculture, la question alimentaire en général, etc Des témoins comme Pierre Rahbi, et beaucoup d'autres nous informent de ce qui a déjà été fait et de l'immense tâche encore à accomplir, pour que le monde devienne plus humain, tout simplement!

Ce film est émouvant, traverse beaucoup de régions du monde, et montre aussi les initiatives prises de tous côtés, par ceux qui ont pris conscience que chacun pouvait faire quelque chose, à son niveau!
A voir, ou à revoir, ce jeudi 29 mars à 19h30, pour une soirée exceptionnelle, à Bruxelles.

Pascale Eyben



Tél: 02/761 27 26 pour réserver vos places. Entrée gratuite.

Severn, fil de Jean-Paul Jaud, Bande Annonce

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ça et là, les  poutres pleuraient leurs  cires  et  leurs  poussières,

L’automne dehors dispersait ses sanglots crachins de brouillards.

Auprès  de  l’âtre  froid  noirci  on  priait  dans  les  chaumières,

Unis  dans  l’hideuse  douleur, le  fléau  des  pauvres  vieillards.

Divagants  l’infortune  mort  du  domaine  des  bruyères,

Idéal  perdu  à  jamais  enlevé  par  les  corbillards,

Nourris du corps de leurs enfants lors de luttes meurtrières,

Engloutis dans le sépulcre, demain, seront ces fiers gaillards.

 

Qu’entrevoir pour un domaine, prometteur d’avenir cossu,

Univers  de  jeunes  efforts  pour  la  culture  de  l ’ argent,

Et  de  la  laine  râpeuse  pour  l’industrie  du  tissu,

Ruineuse  et  à  remanier,  il  était  devenu  urgent.

Tabler sur  la  survivance du  savoir-faire  du bossu,

Indispensable  tâcheron  au  service  du  détergent,

Nabot solide et  rebelle d’un  genre travesti bissu*,   

Maniant comme personne dans un intérêt convergent,

Outil et  vieille rancune sous  les  injonctions  du pansu,

Notable et  digne  successeur,  de  la  fratrie  émergent,

Traité avec respect par tous sauf par un indomptable ossu.

 

Nouvelle ère du tout va mal, des sabots jetés dans l’outil,

Embryon  d’une  révolte  née  de  la  voracité,

Encanaillée  par  un  meneur,  expire  la  machine-outil.

 

Déclin funeste des faibles, l’appétit de la survie,

Est  la  mort  inattendue  de  l’usine  villageoise.

 

Guerre des nantis de guères, contre les prospères de peu,

Envenimée  par  la  faim  et  le  rude  froid  hivernal,

Rabote les gains du futur qui s’effilent de pas à peu,

Machination,  le désespoir escorte  les fils  au canal.   

Alors s’abat le sort cruel et traître se sauve-qui-peut,

Ici  et  là  gisent  les corps,  de l’homicide  bacchanal,

Noyés dans l’eau de la haine, du pain absent et du trop peu, 

Echauffent  les cœurs  et les sens dans un engagement final.

 

Et  tourne  le  temps  de  la  mort  et  pirouette  la vie,

Tableau de la faim de la fin, les murs en colère flambent.

 

Détruisant  toute  espérance   de  leur  assurance-vie,

Etouffée  par  la  ruine  que  les  émeutes  enjambent.

 

Facture  des  maux  à   payer,  c’est  sitôt  la  fermeture,

Les remords rongent les pères de voir leurs enfants affamés,

Obstinés dans leurs suppliques, ne reste que leur biture,

Regrets et morts à engloutir dans leurs inconscients malfamés,

Emportés  par  leurs délires  ont  cru en  la  dictature,

Noyés les deux gestionnaires, dirigeants se  sont  proclamés,

Tout  est  fini  pour le hameau, reste la magistrature.

 

 

Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.

 

Bissu : ni homme ni femme. Parfois hermaphrodites, parfois simplement travesti.

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Le ministère de la Culture et de la Communication (France) attribue le label Maisons des Illustres. 

De la maison au domaine, du château à l’appartement et du musée à l’atelier, les « Maisons des Illustres » constituent un ensemble patrimonial original dont le ministère de la Culture et de la Communication entend faire reconnaître la valeur culturelle. Le label « Maisons des Illustres » signale des lieux dont la vocation est de conserver et transmettre la mémoire des personnalités qui les ont habitées.
Les « Maisons des Illustres » composent un ensemble de lieux de mémoire majeurs pour la compréhension de l’histoire locale et nationale, et du rôle joué par ses acteurs politiques, religieux, scientifiques et artistiques.
Elles témoignent de la diversité patrimoniale de notre pays, dans ses traces monumentales comme dans celles laissés dans l’imaginaire collectif.
Créé par le Ministère de la culture et de la communication, le label « Maisons des Illustres » signale à l’attention du public les lieux dont la vocation est de conserver et transmettre la mémoire de femmes et d’hommes qui les ont habitées et se sont illustrés dans l’histoire politique, sociale et culturelle de la France.
Le Label est attribué aux maisons qui ouvrent leurs portes au visiteurs plus de quarante jours par an et qui ne poursuivent pas une finalité essentiellement commerciale. Il garantit un programme culturel de qualité (authenticité et originalité du contenu muséographique, organisation régulière de manifestations culturelles) et propose des formes d’accompagnement à la visite adaptées à tous, notamment au public scolaire.

Le Label des Illustres a été accordé en 2011 à 111 maisons

 

Voir en plein écran

60 nouveaux sites viennent d'être labellisés en 2012:

Alsace

Musée Jean-Frédéric Oberlin – Waldersbach (67) – Jean-Frédéric Oberlin
Chartreuse de Molsheim – Fondation Bugatti – Molsheim (67) – Ettore Bugatti
Aquitaine

Château des Milandes – Castelnaud-la-Chapelle (24) – Joséphine Baker
Maison Chrestia – Orthez (64) – Francis Jammes
Tour Moncade – Orthez (64) – Gaston Fébus
Maison Arnaga – Cambo-les-Bains (64) – Edmond Rostand
Maison natale de Félix Arnaudin – Labouheyre (40) – Félix Arnaudin
Auvergne

Maison-musée Emile Guillaumin – Ygrande (03) – Emile Guillaumin
Maison natale de Charles-Louis Philippe – Cerilly (03) – Charles-Louis Philippe
Basse-Normandie

Hauteville House – Guernesey (Iles anglo-normandes) – Victor Hugo
Bourgogne

Maison natale de Nicéphore Nièpce – Saint-Loup-de-Varennes (71) – Nicéphore Nièpce
Maison natale de Colette – Saint-Sauveur-en-Puisaye (89) – Colette
Maison Jules Roy – Vézelay (89) – Jules Roy
Centre

Maison-école du Grand Meaulnes – Epineuil-le-Fleuriel (18) – Alain-Fournier
Château de Sagonne – Sagonne (18) – Jules Hardouin-Mansart
Prieuré Saint-Cosme – La Riche ( 37) – Pierre de Ronsard
Musée Descartes – Descartes (37) – René Descartes
Champagne-Ardenne

Auberge de Verlaine – Juniville (08) – Paul Verlaine
Château de Cirey – Cirey-sur-Blaise (52) – Emilie de Breteuil, marquise du Châtelet
Guadeloupe

Maison Schwarz-Bart – Goyave (97) – André Schwarz-Bart
Haute-Normandie

Château de Vascoeuil – Vascoeuil (27) – Jules Michelet
Fondation Monet – Giverny (27) – Claude Monet
Clos Lupin – Etretat (76) – Maurice Leblanc
Château de Miromesnil – Tourville-sur-Arques (76) – Guy de Maupassant
Maison de Gustave Flaubert – Canteleu/Croisset (76) – Gustave Flaubert
Maison natale de Pierre Corneille – Rouen (76) – Pierre Corneille
Ile-de-France

Musée Louis Pasteur – Paris (75015) – Louis Pasteur
Musée Clemenceau – Paris (75016) – Georges Clemenceau
Bibliothèque de l’Arsenal – Paris (75004) – Charles Nodier
Le Clos des Metz – Jouy-en-Josas (78) – Léon Blum
Château de Médan – Médan (78) – Maurice Mæterlinck
Château de Vaux, « Castello de Marochetti » – Vaux-sur-Seine (78) – Carlo Marochetti
Propriété Caillebotte – Yerres (91) – Gustave Caillebotte
Bibliothèque Paul Marmottan – Boulogne-Billancourt (92) – Paul Marmottan
Languedoc-Roussillon

Maison natale de Gaston Doumergue – Aigues-Vives (30) – Gaston Doumergue
Musée du désert – Le Mas Soubeyran – Mialet (30) – Pierre Laporte dit Rolland
Lorraine

Maison natale de Jeanne d’Arc – Domrémy-la-Pucelle (88) – Jeanne d’Arc
Midi-Pyrénées

Maison natale de Pierre Bayle – Carla-Bayle (09) – Pierre Bayle
Nord-Pas de Calais

Maison Forestière – Ors (59) – Wilfried Owen
Nouvelle-Calédonie

Maison de Tiendanite – Tiendanite (Nouvelle-Calédonie) – Jean-Marie Tjibaou
Pays-de-la-Loire

Maison des Champs – Cossé-le-Vivien (53) – Robert Tatin
Manoir des Sciences – Réaumur (85) – René-Antoine Ferchault de Réaumur
Maison Julien Gracq – Saint-Florent-le-Vieil (49) – Julien Gracq
Picardie

Maison familiale d’Henri Matisse – Bohain-en-Vermandois (02) – Henri Matisse
Maison natale de Condorcet – Ribemont (02) – Nicolas de Condorcet
Poitou-Charentes

Château La Rochefoucauld – Verteuil-sur-Charente (16) – François de La Rochefoucauld
Château des Ormes – Les Ormes (86) – Marquis d’Argenson
Polynésie Française

Maison-musée James Norman Hall – Arue (Tahiti) – James Norman Hall
Provence-Alpes-Côte d’Azur

Maison de Nostradamus – Salon-de-Provence(13) – Michel de Nostradamus
Villa Michel Simon – La Ciotat (13) – Michel Simon
Musée de l’atelier Paul Cézanne – Aix-en-Provence (13) – Paul Cézanne
Villa Noailles – Hyères (83) – Charles et Marie de Noailles
Musée François Pétrarque – Fontaine-de-Vaucluse (84) – Pétrarque
Cabanon Le Corbusier – Roquebrune-Cap-Martin (06) – Le Corbusier
Rhône-Alpes

Domaine du Pradel – Mirabel (07) – Olivier de Serres
Maison des Frères Montgolfier – Davézieux (07) – Raymond et Michel Montgolfier
Maison Ravier – Morestel (38) – François-Auguste Ravier
Musée Hébert – La Tronche (38) – Ernest Hébert
Presbytère du Curé d’Ars– Ars-sur-Formans (01) – Jean-Marie Vianney
Maison de Monsieur Beynier – Chatillon-sur-Chalaronne (01) – Vincent de Paul

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Caresse du printemps

 

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Il y a tout le bleu, là, foncé , là, nacré,

D’un ciel rayonnant et les masses dorées,

Corbeilles ajourées, des érables géants.

Il y a la caresse agissante du vent.

... 

Tous les sens en éveil, je reste sans bouger.

Un oiselet se pose, étonnement léger,
Observe, et sans tarder, reprend son doux voyage.

Je pense à ma lourdeur, aux outrages de l’âge.

... 

Surtout n’y plus songer, savourer le moment.

L’harmonie à l’entour est un enchantement.

Déjà les jardinets présentent quelques fleurs

Et certes, nous réservent de nouveaux coups de coeur.

... 

7/5/2004

 

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Au jardin poétique

q.gifuand j’offre du pain, de bon cœur,
Qu’il soit de seigle ou au sésame,
Atterrissent les voyageurs,
Légères et chères petites âmes.

Lors, profitant de mon absence,
Assurés qu’ils auront leur part,
Ils se régalent en silence,
Aucun ne boudant à l’écart.

Quand j’offre à des amis lointains,
Colorés et voulus non fades,
En les laissant à leurs bons soins,
Des pantoums, sonnets et ballades,

J’épie, dans ce vaste jardin,
Les promeneurs volages ou sages,
Frottant leur lampe d’Aladin.
Apprécieront-ils mes hommages?

Quelques uns paraissent ravis.
Ils rendent leur trouble visible
Et applaudissent sans envie.
Les autres passent impassibles.

6 juillet 2005
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Une charmante connivence

 

À Émie Magne

Ambiance animée d’un beau centre d’achats.

Çà et là des fauteuils incitent à une pause.

Ravie, j’en choisis un, m’installe et m’y repose.

Une jeune maman s’assied non loin de moi.

...

Elle garde sur elle un mignon garçonnet

Et dans une poussette une petite fille,

Qui semble somnoler parfaitement tranquille,

Je ne crois pas qu’elle aie achevé deux années.

...

Un pouce dans la bouche, les yeux gardés ouverts,

Une poupée, venue du Vièt-Nam je pense.

Je suis en face d’elle et veux tenter ma chance:

Obtenir un sourire par des gestes divers.

...

Ma tentative est vaine, du moins en apparence.

J’insiste cependant, espérant l’amuser.

Je couvre mon visage, un truc utilisé.

Va-t-elle demeurer dans son indifférence?

...

Or, quand presqu’aussitôt, je libère mes yeux,

Je la vois m’imiter avec intelligence.

Je suis émerveillée par cette connivence.

Elle a vite compris et accepte le jeu.

...

La maman a sans doute assisté au manège,

Et, très certainement, a dû s’en amuser,

Se levant pour partir, et tout près de son siège,

Elle m’adresse un signe et sa fille un baiser.

...

Laval, 5 septembre 2006

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FINALEMENT, RIEN QUE LUI...

Je pense être asociale…

Si je n’ai aucune difficulté de m’intégrer dans un groupe quel qu’il soit (dans le cadre de mon boulot, du syndicat ou de mes cours), c’est tout à fait différent dans ma vie de tous les jours.

Je ne m’arrête en rue que si quelqu’un m’interpelle, pendant les courses que si on vient à moi… Et que dire de ma sortie au « Vieux Moulin » où j’ai préféré rester à l’intérieur plutôt que de consommer en terrasse, dans un cadre magnifique et ensoleillé ?

Les murs me rassurent… J’ai choisi une place un peu en retrait, face à l’entrée. Je pouvais y observer le va-et-vient. Peu à peu, je me suis fondue dans l’espace, je suis devenue invisible. Personne ne s’intéressait à moi… Même le serveur m’avait oubliée.

Les structures, elles, me font sortir de ma coquille… Après une courte période d’observation des protagonistes, je m’investis totalement. Je participe aux activités, aux échanges. Je peux aisément gérer des groupes, faire les pires pitreries ou même mener des combats si je le juge utile.

J’ai toujours aimé l’école. J’aurais souhaité ne jamais en sortir… C’est sans doute pour cela que j’adore tout ce qui est formation. L’éducation perpétuelle est, pour moi, des plus gratifiantes. Non seulement elle nourrit mon intellect mais je m’y sens à l’aise entre personnes sensées avoir des objectifs semblables.

La solitude me pèse… Je pense que l’être humain est un animal qui ne peut vivre qu’en compagnie. Nous avons tous besoin les uns des autres, du plus humble au plus précieux. Nous avons reçu le don de la parole, des mots à ne savoir qu’en faire et beaucoup d’entre nous ne savent ou n’osent s’exprimer. J’en suis.

Je sais aussi que jamais je ne pourrai faire confiance à quelqu’un qui ne fera pas partie de ma bulle. Tant pis pour moi, sans doute.                                                                                                 J’avais d’ailleurs tellement espéré… mais je ne suis probablement pas la bonne personne, celle qui ferait battre son coeur. Je ne me fais plus d’illusion. Je me contente d’être moi-même en taisant mes sentiments.

 

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Salon du dessin 2012 à Paris

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du mercredi 28 mars au
 lundi 2 avril 2012
Palais de la Bourse - PARIS

21ème édition du Salon du Dessin

Le Salon du Dessin est une manifestation unique de renommée internationale, devenue référence dans le monde du dessin de collection.
 

Collectionneurs, experts, conservateurs, chercheurs ou amateurs venus du monde entier participent à cet évènement qui occupe une place majeure dans le paysage du marché de l’art.

 

Présidé par Hervé Aaron, le Salon du Dessin accueille cette année 39 galeries, spécialisées dans les dessins anciens, modernes ou contemporains et figurant parmi les plus prestigieuses de la profession.

Ce sont plus de 1000 dessins qui seront alors regroupés dans le cadre historique du Palais Brongniart.
 

 

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https://artsrtlettres.ning.com/photo/brussels-by-night-la-grand?context=latest

 

La place principale de Bruxelles

Est ainsi magiquement belle !

Elle apparait sous un jour enchanté,

Dans une ambiance de conte de fée.

Sous un ciel gris et maussade,

Les vives lumières des lampadaires

Donnent vie et chaleur à la terre.

Elles enchantent les façades,

En montrent la texture douce et vivante

Par tout temps, qu'il pleuve neige ou vente !

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