Se perdre, se trouver ;
réalité et imaginaire ne font qu’un seul corps,
drôle de terre, qui tourne mélodiquement dans ma tête,
avec insouciance, aisance,
et dont le cœur fait s’accélérer le mien,
si attaché au vôtre !
Désir qui se débat, se déploie,
se nourrit de la chair du soleil et du ciel,
de vous si je le veux,
lorsque mon corps s’entrebâille
sur la couche de l’absence dans une pièce close,
dont les murs me touchent,
à l’instar de vous.
Être éprise de vous est mon échappée belle,
ma voix magique et bleue, feutrée,
dont l’échancrure s’aventure
sur l’étendue diaphane et nue,
que vous touchez peut-être,
avec vos yeux nuageux de tristesse !
Rien de vous, vous ne voulez laisser paraître,
alors je vous écris sans cesse.
Commentaires
Merci Rébecca !
Un si beau poème touchant
Merci aussi à Joëlle, Valériane et Rosyline ! Amitiés.
Oh merci de tout mon cœur Alain !
... Toujours aussi mélodieux, lumineux, évident ... Quelle caresse, mon Dieu ! ... Votre écriture est celà ...