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recueil (9)

Les Acrostiches en liberté

 

Les Acrostiches en liberté, un recueil collectif ludique

 

 

COMMUNIQUÉ  DE  PRESSE

 

Les Acrostiches en Liberté

  

Nouveau recueil de poésies

 

Présentation du livre :

Quatre auteurs d'univers différents ont conçu ce recueil d'acrostiches sur quatre thèmes. Chacun y a mis ce qu'il ressentait par rapport à eux. Des approches différentes d'un même thème permettent de s'approprier les ressentis de chaque auteur.

L'acrostiche est une forme poétique consistant à ce que la première lettre ou les premiers mots d'une suite de vers composent un mot ou une expression lue à la verticale.

Les vers sont alors disposés de telle manière que la lecture des premières lettres effectuées de haut en bas révèle le message.

Quatre auteurs issus de genre autre que la poésie se sont prêtés au jeu de l'acrostiche et vous font découvrir avec humour que l'acrostiche est un genre ludique.

 

 

Les thèmes abordés sont :

Entre gens civilisés

Proverbes et citations - Sentences et adages

Les Artistes

La Nature

  

Les Acrostiches en Liberté

 

 

 

Présentation des auteurs

Pierre Casadei

Pierre Casadei, comédien, metteur en scène a joué dans de nombreuses pièces de théâtre, au cinéma/télévision. Il a traduit des pièces de théâtre d'auteurs italiens. Auteur de pièces de théâtre, Pierre Casadei a lu en feuilletons publics "A la Recherche du Temps perdu" de M. Proust, "Ulysse" de J. Joyce, "Guerre et Paix" de L. Tolstoï, "L'Odyssée" d'Homère, "Pantagruel et Gargantua" de Rabelais, "La Divine Comédie" de Dante Alighieri... Amateur de chansons à texte il est aussi auteur-compositeur, interprète.

 

 

Ursula Heraud

Ursula Heraud est née en région parisienne. Elle débute dans l'écriture à l'âge de douze ans. Ses premières phrases s'expriment sous formes de pensées existentielles et poétiques. A seize ans, elle intègre un groupe de musique où elle manifeste sa rébellion contre la société. Plus tard, elle participe à des ateliers d'écritures "les mots à la Venvole" où cinq recueils collectifs seront publiés. Elle écrit des textes à évocations poétiques, des poèmes et des chansons. Son style littéraire est engagé, contemplatif et romantique. Ses lecteurs y trouvent un sens musical, pictural, spirituel et philosophique. Ses écrits semblent venir d'une autre époque. "Par le psaume d'une exquise révérence que réclament les rayons agrandis, l'horizon du soir souligne l'élégance de sa dentelure de cuivre arrondi où des missives se font messagères" dit-elle. D'une sensibilité hors du commun, elle exprime avec une grande liberté ses sentiments et ses émotions. Ses penchants actuels poétiques vont vers Mallarmé, Rimbaud, Baudelaire, Maiakovski, Marceline Desbordes-Valmore, Rollinat...

 

Krystin Vesterälen

Krystin Vesterälen est conteuse professionnelle et auteure. Elle est belge et demeure en Normandie. Elle se passionne pour les traditions orales à travers les contes, légendes, récits traditionnels. A travers ses livres de contes, légendes, récits elle retranscrit ce patrimoine oral de l'humanité. Du spectacle vivant en passant par les ateliers formatifs à l'art du conte, de la radio en passant aux CD, il était normal que Krystein Vesterälen explore de nouvelles rencontres à travers des recueils collectifs. Elle écrit aussi des contes d'aujourd'hui.

 

 

Jean-Louis Riguet

Natif du Poitou, de famille modeste, entré en activité professionnelle dès 15 ans 1/2, Jean-Louis Riguet se consacre en premier lieu à des études par correspondance en parallèle avec son travail dans plusieurs études de notaire. Autodidacte, il obtient l'examen aux fonctions de notaire à Paris, devient Conseil Juridique indépendant puis est nommé notaire à la résidence d'Orléans. Pendant son ministère il occupe des fonctions au sein des instances professionnelles et enseigne au Centre de Formation Professionnelle des Notaires à Paris pour la préparation du Diplôme Supérieur du Notariat. Après cinquante-trois ans de sacerdoce notarial, il devient retraité mais pas inactif. Jean-Louis Riguet est sociétaire de la Société des Gens de Lettres. Il écrit des romans, des docu-fictions, des nouvelles et de la poésie. Deux de ses livres ont été primés : prix Scriborom en 2013 et prix Marie-Chantal Guilmin au Salon du livre de Mazamet en 2015. Au crépuscule de sa vie il n'a pas la prétention d'être un écrivain. Il préfère se dire écriveur ou à défaut auteur.

 

 

Prem’Edit, édition nouvelle génération à compte d’éditeur

Prem’Edit a décidé de laisser le choix des publications à un comité de lecture citoyen composé de 120 personnes. En cinq ans d’existence, ce petit éditeur a publié une soixantaine de livres, dont certains ont connu le succès comme « Alicia n’est pas rentrée » d’Hervé Guiliénine. Infos sur le site www.premedit.net 

 

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Coquecigrues par mégarde vient de sortir

COQUECIGRUES par mégarde

Poésie

Jean-Louis Riguet

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Éditeur : PREM'EDIT

ISBN : 9 791091 321686

122 pages - 14 €

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Ce nouveau recueil vient de sortir des rotatives.

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Quatrième de Couverture

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Cet animal étrange et imaginaire créé par François Rabelais dans son roman Gargantua, l'auteur le reprend à son compte pour titre de son deuxième recueil de poésie.

Bien qu'habitué à l'écriture longue comme les romans, l'auteur prend goût à la poésie en vers libres qui l'a conduit à ce recueil articulé auteur de trois thématiques : la nature, les sentiments et les actions qu'il a nommées tressautement.

L'auteur évoque les éléments, les catastrophes naturelles, l'amour, la haine, les animaux, la fête foraine, le temps avenir, présent, passé et autres sujets.

"Je suis un escroc des mots,

Un voleur de rimes

Un bandit du bon mot

Un receleur de propos"

Coquecigrues par Mégarde, un recueil léger, diversifié.

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PROLOGUE

Merci à François Rabelais qui a inventé ce mot fantasque « Coquecigrue » dans son roman Gargantua. Il envisageait alors que le royaume soit rendu à son roi, Grandgousier, à la venue des Coquecigrues, c’est-à-dire jamais ou quand les poules auront des dents.

La coquecigrue est cet animal imaginaire et burlesque tenant du coq, de la cigogne et de la grue. Elle est très friande de la ciguë, cette plante très toxique, grande ou petite, blanche ou aquatique. Vivant en colonie, ces oiseaux s’envolent dans le ciel à l’approche de l’homme et deviennent très vite invisibles.

De là penser que la coquecigrue s’apparente à un propos dénué de sens comme une baliverne, sornette ou autre billevesée, il n’y a qu’un pas à franchir pour dire qu’elle désigne une personne qui raconte des sottises ou des choses inutiles ou inexistantes.

Cette promenade m’a entraîné par erreur vers cet animal imaginaire et burlesque. Je l’ai, par mégarde, rencontré au détour d’une chimère, d’une absurdité.

Par inadvertance des vers en prose sont nés et je vous les livre comme ils sont venus en trois parties.

La première est intitulée NATURELLEMENT. Elle touche plutôt à cet ensemble de lois qui paraissent maintenir l’ordre des choses et des êtres, des caractères et des propriétés définissant les choses, sans intervention de l’homme. En quelque sorte, c’est naturel.

La deuxième se nomme SENTIMENTALEMENT. Elle évoque une connaissance plus ou moins claire donnée dans l’instant et cet état affectif complexe et durable lié à certaines émotions, tendances ou penchants. On y trouve de l’amour, de la haine, des sentiments.

La troisième est titrée TRESSAUTEMENT. Elle suppose un mouvement, une secousse, une action, une envie d’agir, un mouvement brusque et nerveux provoqués par une surprise ou une émotion vive. On peut y voir une allusion à des situations dramatiques ou émotionnelles.

J’ai pris beaucoup de plaisirs à travailler sur ce recueil et j’espère qu’il en donnera tout autant aux lecteurs qui liront ces chimères ou autres absurdités racontées par un animal imaginaire et burlesque.

Jean-Louis RIGUET

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Poème " de la Plume aux Rêves"

LE VENT DE LA POUSSIERE

 

 

Faites de la poussière et de cendres

Que le vent souffle

Vers les flots vides de nos mémoires

Engourdies de sanglots

Où je suis venue mourir

Pour cette nuée de pluie

Qui reluit, là

Sur la rose aux pétales brisés

En éclats de glace

Qui se fond

En étoffe de neige

Où seul en ses yeux

Je vois  s’évanouir un souvenir lointain

Qui prépare déjà

Les nuits éternelles

Que les roses se ferment

Sur leurs mémoires

Qui ont souffert .

 

Vide de nos espaces

Et du néant profond de nos vies enfuies

Où vent de poussière

Qui ouvrent les portes des ombres

De l’inconnu

 

Lumineux qui habille de ciel

Et de feu qui s’éclore en bouquet

D’étoiles

 

 Viviane Demol.

 

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Lettre ouverte

 

 

A Léon  (Mon papa)

 

 

 

Non, il n’est pas mort,

 il est juste parti un peu plus loin.

 

Mais il reste près de toi, éparpillé tout autour,

                                               dans ce jardin qu’il regardait

avec tant d’amour et de fierté le matin.

 

-Quand la pluie ruissellera sur ton visage,

 elle sera comme des larmes sur tes joues…

les tiennes, et les siennes mêlées.

 

-Quand une fleur s’ouvrira, ce sera son sourire

 

-quand le brouillard viendra,

ce sera comme son haleine sur ton visage.

 

-Quand il neigera,

          les flocons seront des baisers un peu froids.

 

-Quand tu marcheras pieds nus sur la pelouse,

                                               ce sera comme la caresse de ses doigts !

 

Non, il n’est pas mort.

                                   On ne sait pas mourir tant

                                               qu’une personne ici bas pense à nous

et continue de nous aimer.

 

 

Eric Wynants ( mal-entendant)

(j’ai écris cette lettre pour la femme de mon papa)

 

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Fidélité

Fidélité consentie et conventionnelle
loin des jeux troubles de la
perversion,
aux seins des élégantes promises...
Tu fais ton nid.
Te souviens-tu jadis ?
De ceintures l’homme assurait ton respect !
Ignorant par ce fait, ce qu’appartenir veut dire…


Chaînes éternelles des épousailles,
ne sais-tu pas, que l’Amour lie plus fort encore
que tes règles, et les lois
crées par l’homme aux craintes de mauvais aloi ?

Offensant avec désinvolture, leur moitié idiote et alanguie,
rendant des hommages aux jupons qui passaient,
confortant ainsi avec fierté leur virilité,
pour eux, de toi, ils ne se souciaient !...

Aujourd’hui, fidélité tu me tiens et tu m’ennuies.
Tu m’enchaînes et tu me plies,
miséricorde des bonnes femmes et des bonnes âmes,
tu es un jour sans pain, et tu crèves la faim !
De loin tu m’épies,
sur le chemin des malandrins toujours tu cris au loup !

Je ne suis ni promise ni papillon, te subir n’est pas ma loi,
mais l’amour qui me transporte à tous les droits…



19/01/2006

Lunessences



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Comment devenir...

 

Je suis à l’inverse de toi, dans un avenir sans émoi, la caresse d’un sourire
ne saura que m’endolorir.


Ere glaciale de mon cœur,
éternité pour une erreur
dans l’innocence commise,
pour lui, une méprise.


Doucement de l’autorité
sûrement il a abusé.
Paroles de miel chuchotées
toujours à l’hymen destinées.


Loin de vous je voudrais grandir
pour ne plus avoir à souffrir,
croire que je pourrai guérir,
et ne plus désirer périr.

Mais il est là, il vit et jouit,
deux mains par leur amour uni.
Union sale et obsolète
dont je suis le seul fruit maudit.



27/09/2006

Lunessences


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Doux leurre… !

Qu’est-ce que la douleur ?
Je ne sais pas. Est-ce une émotion ?
Une réaction ?
Est-ce que douleur rime avec peur ?
Est-ce que ces deux mots entremêlés amènent leurs maux signifiés ?
Sont-ce ces deux maux entremêlés qui éloignent la raison ?
Comment douleur vient-elle en moi se générer ?
Pourquoi moi ? Pourquoi toi ?
Pourquoi nous ? Pourquoi vous ?

Elle est là, je la sens, volcan bouillonnant au fond de moi.
Elle est là, pourquoi ?
Elle me ronge, elle attend,
c’est un fauve aux aguets,
elle m’épie sans arrêt.

Je ne sais pas pourquoi ni comment,
tout au fond de moi, elle se tapit.
Un geste un mot, elle bondit
dans mon corps, dans ma tête,
elle me brûle, elle me lance, me déchire et me saigne… La Bête…

Elle s’acharne des heures sans relâche…
Enfin repue et lasse, doucement elle me quitte et se cache.
Elle s’est endormie, mais elle reste là, elle attend.
Je la sens au fond de moi. Quand est-ce que cela finira ?

J’ai peur !
Pourtant je sais qu’elle partira, quand je ne serai plus…
J’aimerai tellement l’apprendre, la comprendre, pour l’attendre et …
Qu’elle ne soit plus !



04/06/2006


Lunessences


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Savoir

Savoir...

La vérité est une voie une porte,
chemin royal du cœur,
accès direct à la confiance, aux sentiments.

Elle est libération, d'une conscience
souvent prisonnière d'un si ou d'un mais,
introduisant le mensonge, l'illusion...

Vérité aux dures apparences,
froide et cinglante jetée au visage,
tu égratignes l'égo, parfois le cœur...

Tu es douceur, parfum de roses
quand tes mots au goût de miel,
caresses d'amour, chérissent l'être
à qui tu es donnée.

Tu es lumière,
tu es l'écho du gouffre de nos millénaires…
Et innées connaissances,
tu es compréhension,
suggestion aussi, par intraveineuse...

Toujours tu seras source de paix,
pour l'âme qui se baigne jour après jour dans tes eaux.

Pourtant Vérité souvent on te cache,
on te pare de bonnes intentions,
par choix ou intérêts.

Vérité tu le sais, tôt ou tard
même si tu es quatre,
Vérité je te connaîtrai.



11/02/2007
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