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La honte vagabonde

12272969263?profile=originalSur une peinture d'Aurélie Fabre (https://www.facebook.com/aurelie.fabre38)

La honte vagabonde
Telle une Joconde pudibonde
Elle sonde son monde
Aux ondes
Nauséabondes
Infécondes
Immondes...

Que la honte monte !
Qu'elle gronde !
Que la moribonde 
Abonde !
Surabonde
 
Nous inonde !

Que son cœur rougisse celui des monstres
Afin que saigne donc
Jusqu'aux tréfonds de la mappemonde
L'orgueil omnipotent des Puissants mastodontes. 

© Novembre 2013. Marilyn Gè

 http://www.expression-exception.fr/ma-plumema-brosse.html

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« Les Plus Beaux Poèmes d'Amour » z z

 

 

 

Une anthologie d'André Rossel

 

Je m’attarde, ce jour, en un lieu que j’adore.

Rendez-vous de poètes, nés en la douce France,

D'autres, venus d’ailleurs et toujours en errance,

Des rêves, des soupirs, des propos érotiques,

De la sagesse, de la tendresse, et de l’humour,

Aveux mélodieux emplis de nostalgie.

C'est un petit Musée, où se trouvent des toiles,

Mystiques, romantiques, éthérées, provocantes,

Qui toutes me ravissent, m’émeuvent à la fois.

Ce temple m’appartient, j’aime à y revenir.

Avant de le quitter, je souris ma mère,

Qui m’en remit la clé. Ô tendre donatrice !

25/2/1992

 

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ADMINISTRATEUR GENERAL

L’Espace Art Gallery a le plaisir de vous présenter du 27/11 au 22/12/2013 l’exposition  événement des artistes suivant : Paul Henrard (Be) aquarelles, Elodie Haslé (Fr) techniques mixtes, Tine Swerts (Be) peintures, Lionel Aubert & Julie Robrolle (Fr) créations en joaillerie ainsi Fabrice Lettron (Fr) sculptures.  

 

Le VERNISSAGE a lieu le 27/11 de 18h 30 à 21h 30 et l’exposition du mardi au samedi inclus de 11h 30 à 18h 30. Et sur rendez-vous le dimanche.

Vernissage qui sera agrémenté d’extraits de Musique Celtique interprétés par la harpiste Françoise MARQUET.

 

Espace Art Gallery 35 rue Lesbroussart 1050 Bruxelles. Ouvert du mardi au samedi de 11h 30 à 18h 30. Et le dimanche sur rendez-vous. GSM : 00 32 497 577 120

 

Paul HENRARD (Be) aquarelles

« Le droit se montre »

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Elodie HASLE (Fr) technique mixte

« Eau en couleurs »

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Tine SWERTS (Be) peintures

« Au fil de … l’Ô »

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Lionel AUBERT et Julie ROBROLLE (Fr) créations en joaillerie

« Alchimie »

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Fabrice LETTRON (Fr) sculptures

 

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Collectif de la GALERIE :

        

         Fabrice LETTRON (Fr) sculptures

         Pierre CONTENT (Fr) sculptures

 

A voir également « La grande table en bois » réalisée par l’artiste

         Louis de VERDAL (Fr) sculpture

 

Exposition du 27 novembre au 22 décembre 2013.

 

INVITATION AU VERNISSAGE

 

Mercredi 27 novembre de 18h 30 à 21h 30.

Drink de bienvenue et petits sandwichs fourrés.

 

Espace Art Gallery 35 rue Lesbroussart 1050 Bruxelles.

Ouvert du mardi au samedi : 11h 30 à 18h 30.

Et le dimanche sur rendez-vous.

GSM : 00 32 497 577 120

Et à titre d’information voici les deux prochaines expositions:

 

-Titre : « Différents regards sur l’art »

Artistes : Collectif d’artistes : Igor Stepanov (Ru), Leslie Berthet-Laval (Fr) peintures, Nathalie Afonso Dell’Omo (It) peintures et Pierre Content (Fr) sculptures. Exposition  événement comprenant quatre artistes dans le cadre du 26ème anniversaire d’Alzheimer Belgique A.S.B.L.

Vernissage le 15/01 de 18h 30 à 21h 30

Exposition du 15/01 au 02/02/2014.

 

-Titre : « Au-delà de la transparence »

Artiste: Alfonso Di Mascio (It) sculptures et installations.

Vernissage le 05/02 de 18h 30 à 21h 30

Exposition du 05/02 au 23/02/2014.

 

Au plaisir de vous revoir à l’un ou l’autre de ces événements.

 

Bien à vous,

 

                                                        Jerry Delfosse

                                                        Espace Art Gallery

                                                        GSM: 00.32.497. 577.120

                                                        Voir:      http://espaceartgallery.be

 

Le site de l'Espace Art Gallery se prolonge dorénavant sur le Réseau Arts et Lettres à l'adresse: http://ning.it/KUKe1x

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Bébé

3 kg 600 d’amour, de vie. 17 jours de tendresse, d’affection, d’attention. 53 cm d’aventure, de mystère, de secret.

L’apprentissage d’une vie commence, blottie aux creux des bras de sa maman, bébé soupire encore ensommeillée et se rassure des pleurs envahissants de ses rêves de nuit.

Béatifiant le monde pour le rendre beau en cet instant merveilleux. Répandant notre tendresse mêlée d’amour sur ses frêles épaules. Reflétant ainsi nos sentiments mis à nu dans nos yeux emplis de bonheur et de félicité.Revivant notre fragilité devant ce petit bout qui a transformé en qq secondes le monde, l’euphorie nous envahit.

Rebecca est devenue « nous ».

Ressentant néanmoins l’étrange sensation de ne pouvoir l’atteindre encore et de ne savoir communiquer avec elle. Ce petit mystère occupe notre esprit, notre âme avec une telle force de vie qu’elle nous insuffle, inspire, meut notre conscience dans un enthousiasme effréné, insensé nous faisant vivre les plus beaux jours de notre vie.

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MES SILOQUES POÉTIQUES

 

 

Passive, je suis, donc je pense.

Je contemple souvent le vent,

Quand il agit joyeusement,

Me semblant l'âme de la danse.

Un mot arrive, à tire d'aile,

Tel un papillon animé,

M'inspire un impromptu rimé,

Ou une idée, comme lui frêle.

Lors, je cède à mon habitude

Et j'assiste au déroulement

De phrases qui,soudainement,

Agrémentent ma solitude.

Le langage se fait musique

Quand il marie, à l'unisson,

Des vocables de même son.

Le banal devient poétique.

22 novembre 2013

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timide envol

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Petit à petit, tu te dévoiles sans contrainte, sans a priori. Tu es de notre temps, de nos régions où la liberté a encore un sens. La liberté de penser, d’être soi, d’agir, sans pour cela nuire à d’autres, elle existe !

J’y suis plongé depuis des lustres, permets-moi de t’aider à y être à ton tour !

 

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VIVRE...

En observant la pluie tomber

Ou bien le soleil se coucher...

En supportant des heures noires

Et pourtant n'y pas vouloir croire!

En s'accrochant à des petits riens

Qui dans l'instant nous font du bien.

En écoutant chanter l'oiseau

A l'aube d'un jour qu'on voudrait beau!

En laissant la musique entrer

Jusqu'aux tréfonds de son passé!

En construisant avec ardeur

Les chances d'un avenir meilleur.

En éprouvant sa volonté

De tout ce qui est laid gommer!

En dirigeant des pas dansants

Vers un demain qui soit chantant...

En rêvant fort, jusqu'à trembler

D'y croire encore qu'on puisse aimer!

J.G.

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Dans une série d’ouvrages fameux,"La psychanalyse du feu" (1938), "L'eau et les rêves" (1942), "L' air et les songes" (1943), "La terre et les rêveries de la volonté" (1946), "La terre et les rêveries du repos" (1948), "La poétique de l' espace" et "La poétique de la rêverie", Bachelard a examiné dans toutes ses nuances la rêverie fondamentale sur les éléments, telle qu'elle accompagne toute vie consciente, telle surtout qu'elle s'exprime spontanément à travers l'oeuvre des poètes.

Bachelard aborde "l'axe de la subjectivité" autour duquel se groupent, dans la rêverie, les "valorisations primitives", antérieures aux concepts scientifiques et qui en demeurent indépendantes. Selon lui, il y a lieu "de rendre la poésie et la science complémentaires, de les unir comme deux contraires bien faits". La psychanalyse de l' imaginaire qu'entreprend Bachelard, et c'est là sa découverte essentielle, ne peut être que matérialiste: elle ne peut être qu'une psychologie où les valeurs se groupent d'elles-mêmes autour des quatre éléments cosmiques, lesquels apparaissent comme les archétypes de la rêverie, de l' imagination créatrice.

C'est au feu, tel qu'il est conçu par l' inconscient, que Bachelard consacre sa première étude: "La psychanalyse du feu". Les diférentes attitudes spontanées sont définies sous forme de complexes: complexe de Prométhée, lequel illustre le respect, imposé par la société qui interdit à l' enfant d'approcher du feu; complexe d' Empédocle, qui oriente la rêverie vers la fusion avec la flamme destructive, symbole matériel de la vie et de la mort; complexe de Novalis sur l' origine du feu, sur le frottement eurythmique qui le produit. Ainsi apparaît le feu sexualisé, le feu, image d'activité sexuelle. Ce sont ces intuitions premières qui ont donné naissance à un faux problème scientifique qui a occupé jusqu'au XIXe siècle les savants, la chimie du feu. Examinant ensuite l' eau qui flambe, l' alcool et enfin le feu, symbole de pureté, d' épuration, le philosophe boucle son périple qui l'a conduit aux racines de cette idée première qui habite tous les hommes.

Avec "L' eau et les rêves", la méthode de Bachelard s'assouplit -il ne s'agit plus d'une psychanalyse, mais, comme l'indique le sous-titre d'un "Essai sur l' imagination de la matière" -, en même temps que son domaine s'élargit et que le philosophe se laisse davantage guider par les images des poètes, s'abandonne à sa propre rêverie. L'ouvrage suit une progression vers la profondeur, vers la substance. Commençant par les images qui "matérialisent mal" les eaux claires, brillantes, qui donnent naissance à des images fugitives et faciles, Bachelard aborde ensuite les eaux dormantes, en utilisant particulièrement les passages de l' oeuvre de Poe où revient le thème, chez lui obsessionnel, de l' eau lourde, de l' eau de mort, ce qui le conduit au fleuve des morts (complexe de Caron), au noyé qui flotte (complexe d' Ophélie). Dans les "eaux composées", Bachelard traite de l'équilibre des liqueurs, de l'eau qui brûle, de l' eau pénétrée par la nuit, de la terre imbibée d' eau. Remontant vers les archétypes symboliques, il montre l' eau, le liquide, comme nourissants, abreuvants et souligne leur caractère maternel, féminin. L'eau est aussi lustrale, moyen de purification; il existe "une morale de l' eau". Deux chapitres, consacrés à la "suprématie de l' eau douce" et à "l' eau violente", précèdent la conclusion qui évoque l' eau murmurante, l' eau qui parle.

"L' air et les songes, essai sur l' imagination du mouvement", s'attache à rassembler et à analyser des éléments épars du psychisme aérien, d'abord tel qu'il se manifeste dans les rêves de vol, point de départ de nombreuses croyances et d'innombrables développements poétiques. La "poétique des ailes" permet au philosophe d'atteindre le sens profond de l' apparition des créatures ailées dans la poésie -oiseau, âme, ange- et particulièrement chez Willam Blake. A ces chapitres dédiés au psychisme ascentionnel succède une étude sur la chute Imaginaire et sa signification morale. Dans un quatrième chapitre, Bachelard rend hommage aux travaux de Robert Desoille, lequel a tenté de soigner par le renforcement des valeurs verticalisantes: hauteurs, lumière et paix, des psychismes névrosés. C'est dans l'oeuvre de Nietzsche, qu'il analyse sous ce rapport avec une très grande finesse, que l'auteur trouve un des plus saisissants du psychisme ascentionnel (chap V): "le Ciel bleu", "les Constellations", "les Nuages", "la Nébuleuse". Grâce à l'image de "l' arbre aérien", on nous expose qu'"un être de la terre peut être rêvé en suivant les principes de la participation aérienne". Après une brêve étude sur "le vent" chez les poètes, le livre se termine sur des pages intitulées "La déclamation muette", qui "montrent l' animation que reçoit l'être quand il se soumet corps et âme aux dominantes de l' imagination aérienne", et sur deux conclusions, l'une sur l' imagination littéraire considérée comme une activité naturelle, la seconde sur le profit qu'aurait une philosophie du mouvement à se mettre à l'école des poètes.

Les deux derniers volumes de la série groupent les images et les rêveries terrestres, selon que l' imagination se fait active, extravertie dans "La terre et les rêveries de la volonté" ou introvertie, involutive, intimiste dans "La terre et les rêveries du repos". Le premier volume s'ouvre sur l'opposition du dur et du mou: "La dialectique de l' énergétisme imaginaire, du monde résistant", qui engendre quatre chapitres, deux consacrés aux matières dures, à leur travail et aux images qu'elles suscitent: "La volonté incisive et les matières dures. Le caractère agressif des outils" et "les métaphores de la dureté"; deux aux matières molles qu'on peut pétrir: "la pâte" qui en est l'exemple optimum, la boue et ses implications symboliques et morales. Un sixième chapitre rassemble ces deux pôles opposés: "le lyrisme dynamique du forgeron", lequel travaille le dur devenu momentanément mou. La deuxième partie du livre des images terrestres vis-à-vis desquelles l'être garde ses distances: "le rocher", quand il ne se livre pas à la "rêverie pétrifiante" qui fige et durcit, quand il ne découvre pas dans le métal, dans le minerai, une vie propre, celle que l' alchimie projetait d'utiliser. Les cristaux ouvrent une correspondance avec le ciel: ce sont des étoiles terrestres, des cristaux de neige enfouis; la perle est goutte de rosée; le summum de la valorisation est atteint par la pierre précieuse, véritable monstruosité psychologique". Un dernier chapitre sur la "psychologie de la pesanteur" s'insère entre le thème du vol et celui de la chute: il est consacré au redressement, à la lutte de l'homme contre la pesanteur.

"La terre et les rêveries du repos" forme un "essai sur les images de l' intimité". "Les rêveries de l' intimité matérielle" exposent comment l' imagination s'efforce de parvenir à l'intérieur des choses, au fond des choses conçu comme le terme de son activité. Dans "l' intimité" querellée, le philosophe étudie les images qui, sous la surface paisible, évoquent la matière agitée. "L' imagination de la qualité" introduit dans les objets la tonalisation du sujet imaginant. Ce sont les grandes images du refuge: la maison, le ventre, la grotte qui forment la matière des trois chapitres de la seconde partie, "la maison natale et la maison onirique", le complexe de Jonas, "la grotte"; Bachelard y démontre que le diagnostic psychanalytique qui rassemble ces rêveries sous l'étiquette de la tendance inconsciente du retour à la mère ne peut expliquer la diversité de ces trois itinéraires de retour, leur coloration différente. De la grotte, image matérielle du repos, se distingue "le labyrinthe", objet de rêverie active, troublée, tortueuse. Trois brefs chapitres closent l'ouvrage: "Exemples de ce que pourrait être une encyclopédie des images", ils vont du "serpent", "labyrinthe animal", et de "la racine", "labyrinthe végétal", au "vin et à la vigne des alchimistes", rêverie active et concrète.

Abondants en pages savoureuses, en découvertes multiples, en aperçus ingénieux, ces ouvrages forment une somme des fondements subconscients de la vie de l' esprit. Ils établissent le rôle décisif, exhumé par un véritable philosophe des profondeurs, des intuitions sensorielles spontanées dans toutes les activités intellectuelles et spirituelles. Non seulement ils ouvrent à la psychanalyse, loin de la spéculation abstraite et des classifications discutables, un ample et solide domaine, mais ils redonnent leur pleine valeur à l'activité littéraire et singulièrement poétique en tant que découverte du monde et du soi.

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Eléments en folie

Crache le feu


Dans la folie de la terre


Souffle le vent


Le ballet se met en route


Se déchainent


Les astres en colères


S’élève le vent en poupe


Déchire le ciel


La valse des éclairs


Dans un accès de colère


Coloris écarlates


Rouge sang


Les jupes s’enflamment


Dans la tourmente


La chorégraphie s’emballe


Le spectacle fait rage


Sarabande des cieux


Feux follets


Explosent la palette dans la nuit.

©Dominique Prime septembre 2013

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Nul n'oserait penser au pire

 

Il est des îlots de bonheur,

Où le destin peut nous conduire.

Ils ont certes tout pour séduire,

Harmonie, lumière et chaleur.

Où le destin peut nous conduire,

Se trouvent grâces et splendeurs,

Harmonie, lumière et chaleur.

Nul n'oserait penser au pire.

Se trouvent grâces et splendeurs

Or parfois, une folle ire,

Nul n'oserait penser au pire,

Crée soudain une immense peur.

Or, parfois, une folle ire,

Prend la place de la douceur,

Crée soudain une immense peur.

Le fragile bonheur chavire.

27/12/2005

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Faire-part de naissance

 
Il est né aujourd'hui.
Accouchement spontané.
La maman est en pleine santé et le papa, fier de sa progéniture.
Naissances multiples portant le nom de "cicatrices érotiques". ... 27 textes, assaisonnés d'aquarelles de Claude Donnay en 1ère, 4ème de couvertures et une petite surprise.
Merci à mon cher éditeur d'avoir mené cet accouchement de main de maitre.
Belle soirée à tous
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Le domaine royal de Chaalis.

12272972290?profile=originalVous avez aimé le Primatice et la chapelle royale de Chaalis, ce joyau est serti dans un éclatant écrin qui lui aussi mérite visite. Une visite guidée par le fantôme de Nélie Jacquemart-André...

12272972864?profile=originalNélie Jacquemart-André : autoportrait (1880).

L'abbaye royale de Chaalis c'est aussi une remarquable collection (Boucher, Van Loo, Houdon, Pajou... et même deux Giotto - actuellement en restauration dans les ateliers du Louvre - dont un St Jean l'Evangéliste que les membres d'Arts et Lettres devraient bien connaître), dont voici pour ce qui concerne la peinture un bref aperçu :

12272973681?profile=originalSandro Boticelli (1445-1510) : Vierge à l'enfant (tondo).

12272974081?profile=originalJoos Van Cleeve (ca 1485-1540 ; atelier de) : Vierge aux cerises.

12272973890?profile=originalGiovanni Mansueti (ca 1470-1527) : Picta (le Christ soutenu par la Vierge et Saint Jean l'Evangeliste)

mais encore du mobilier renaissance ou les souvenirs des voyages de Nélie...

12272974483?profile=original.... dans un bâtiment conventuel du XVIIIe siècle :

12272975063?profile=original... à suivre...

Michel Lansardière (texte et photos).

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Liberté, illusion?

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Tu es libres de corps mais quand vas-tu être totalement libre d’esprit ?

De corps, tu te libères, tu l’affiches mais au grand sens du terme, en nous mettant en scène, c’est un jeu artistique !

Nous cherchons par tes poses, les miennes, les nôtres à évoquer aux spectateurs nos sentiments mais aussi sans chercher à le faire, les leurs, parfois enfouis dans leur inconscient !

Là, tu es Diabliczka, ce qu’en disent les autres, les bedeaux, bigotes et même les hypocrites ne pensant qu’à leurs instincts machistes ou envieux, tu t’en moques éperdument !

Pour le reste, tu es Anna, il y a souvent un frein à tes actes, les parents, les amis, l’âge, le qu’en dira-t-on, les…

N’oublie pas que tout à ses l’imites, l’amitié, la famille, le partage, la… Tout, sauf, le déroulement de ta vie !

Pour toi, comme pour moi, le fil de la vie se déroule même s’il est contraignant d’emmerdes, d’absurdités ou rempli de joies, alors, prenons ces dernières à profusions pour qu’elles effacent un peu les autres.

Accordons-nous un espace temps même court, je ne parle pas d’un, deux, trois, quatre, cinq ans mais le temps de souffler pour repartir d’un pied plus alerte… Pour que ta liberté de corps contamine celle de l’esprit !

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NORMAL, PARA-NORMAL (suite 3)

De rayons en rayons, nous garnissions notre chariot de nos envies et de nos parlottes avec les enfants qui nous accompagnaient toujours.

Le rituel était le même, d’abord le GB pour les courses  des choses que nous aimions et ne trouvions que là-bas, ensuite, le lunch à la cafeteria et pour terminer, la chaîne du froid dans un grand magasin spécialisé dans la surgélation/congélation : Frigibat.

Ce jour-là, n’était pas comme les autres, je voulais que tout aille vite, très vite et j’impatientais mon mari et les enfants par ces exigences de vitesse.  Il m’en demanda évidemment la raison : « Jacqueline va arriver à la maison ». En fait, c’était un appartement.

Quoiqu’il douta rarement de mes intuitions, les enfants et lui avaient envie d’aller manger, comme d’habitude et je m’entendis répondre : «  ne viens pas encore avec tes idées ».  Mais voilà, je ne venais pas avec mes idées, ce sont elles qui s’imposaient à moi.

Et j’insistais, encore et encore.  Jacqueline va arriver et il n’y aura personne pour l’accueillir, tu te rends compte, tout ce chemin etc…. (+/- 170 kms).

Trois contre une, je finis par céder et nous nous retrouvâmes devant une assiette et un appétit que j’expédiais très vite.

C’est alors que la discussion reprit avec plus de véhémence de ma part.  Pas question d’aller chez Frigibat : il fallait rentrer le plus vite possible.

Connaissant l’exactitude régulière de mes pressentiments, mon mari finit par céder et nous reprîmes la route : direction l’Allemagne.

Arrivés chez nous, mécontentement de mes trois compères : il n’y avait personne, si ce n’est notre chien..

Le temps de décharger la voiture, de ranger les courses, nous décidâmes de nettoyer, pendant que les enfants joueraient dehors : il faisait très bon.  C’était notre tour pour les charges communes : vitres et escaliers.

Mon mari décida de les faire, pendant que moi, je m’occuperais des trois portes fenêtres de notre appartement.  L’un et l’autre nous avions regard sur la rue.  Je n’oublierai jamais la tête de mon époux, lorsqu’il vit passer la voiture de ma sœur et de mon beau-frère qui fit demi-tour un peu plus loin, pour se ranger au bas de notre appartement.

Au moment où nous faisions nos courses au GB et que j’énervais mon petit monde, eux se trouvaient chez mes parents et ma sœur disait à son mari : «  chou, et si nous allions chez Claudine et Victor »   Vous connaissez déjà la suite.

Fiction ou réalité : à vous de décider.

Claudine QUERTINMONT D'ANDERLUES.

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         RACHEL TROST : FLOATING MOMENTS, IMPRESSIONS D’INSTANTS


Du 06 – 11 au 24 – 11 – 13, l’ESPACE ART GALLERY (35, Rue Lesbroussart, 1050 Bruxelles), nous offre l’opportunité de découvrir l’œuvre de l’artiste suédoise, Madame RACHEL TROST par une exposition intitulée FLOATING MOMENTS.

Une constante soutient l’œuvre de RACHEL TROST (qui signe toutes ses toiles par un R), à savoir une dilution extrêmement contrôlée du sujet sur la toile. A tel point que le visiteur se trouve dans l’incapacité totale de l’identifier, tellement celui-ci se trouve dilué dans la couleur.

En effet, le sujet se trouve être précisément la forme diluée. Une forme flottante comme l’indique le titre de l’exposition. Il y a dans son œuvre, toutes proportions gardées, une atmosphère « impressionniste ». Toutes proportions gardées, parce qu’il s’agit, en fait, d’un impressionnisme abstrait, en ce sens que se déploie sur la toile un langage au service d’une impression exprimée dans la translucidité d’une abstraction, au travers de laquelle se meuvent des silhouettes indéfinissables.

Faut-il donc que le visiteur « comprenne » ce qu’il voit ? Nullement. La « compréhension » s’accomplit par le simple éveil du regard. Est-ce un bateau glissant sur l’eau que l’on voit au loin ? Ou simplement cinq traits verticaux reposant sur un axe horizontal noyés dans la brume ? TENEBRES SUR L’ABIME (80 x 100 cm – huile sur toile).

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Si nous évoquons une atmosphère « impressionniste », c’est parce que la philosophie des impressions exprimées, notamment, par un Monnet au 19ème s. (dans un langage plastique n’ayant, bien sûr, aucun rapport avec celui de l’artiste), prend avec RACHEL TROST l’aspect d’instants, inscrits dans le flottement d’un moment intérieur qui se réfléchit dans la réalité immédiate de l’acte créateur, vécu par l’artiste comme par l’imaginaire du visiteur qui le réinterprète et le prolonge.  

Chose extraordinaire, la lumière issue des notes embrumées n’est pas le résultat de couleurs vivaces mais bien d’un chromatisme terne, presque immatériel, réalisé dans des couleurs telles que le violet, le bleu-pâle, le noir, le rose-clair, le rouge avec des dégradés. Ce langage se développe chez l’artiste de façon analogue sur toute l’œuvre exposée : la composition se structure souvent à partir d’une forme, sombre et incertaine, généralement campée au centre du tableau, entourée de zones claires, sans excès, assurant à l’œuvre son climat tempéré. VISION I (80 x 100 cm – huile sur toile) –

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VISION II (80 x 100 cm).

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FRAGMENTS (80 x 100 cm)

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est sans aucun doute l’œuvre la plus polychromée que l’artiste ait exposée. On y retrouve les couleurs qui sont sa signature mais pensées d’une façon plus « joyeuse », avec une note rouge, au milieu du tableau, donnant à l’ensemble une touche manifestement lumineuse.

RACHEL TROST, qui vit à Bruxelles depuis maintenant quinze ans, s’est toujours trouvée à la charnière d’un discours agençant abstraction et art figuratif. Elle a débuté en peignant des fleurs dans un style où la forme trahissait déjà les prémisses du paysage abstrait. Au début, elle faisait se superposer les couleurs. Aujourd’hui, sa technique est basée sur le mélange, souvent à l’huile dilué. L’artiste a effectué ses études artistiques à Jérusalem. Elle s’est perfectionnée en fréquentant des ateliers d’artistes. En plus de sa formation artistique, elle a étudié la Littérature à l’Université Hébraïque de Jérusalem. Elle a également enseigné cette matière. Car elle est aussi une poétesse malgré le fait qu’elle n’écrit plus. Sa poésie s’est déplacée du papier vers la toile. Les mots ont pris la matière de la couleur et les images de la pensée ont fondu sur la fenêtre du tableau où l’impression se dilue en instants flottants.

 

François L. Speranza.

 

 

Arts 
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Lettres

 

N.-B.: 

Ce billet est publié à l'initiative exclusive de Robert Paul, fondateur et administrateur général d'Arts et Lettres. Il ne peut être reproduit qu'avec son expresse autorisation, toujours accordée gratuitement.

 

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administrateur théâtres

12272969867?profile=originalJournée internationale des droits de l'enfant

La journée internationale des droits de l'enfant est la date anniversaire de la signature de la Convention internationale des droits de l'enfant le 20 novembre 1989 par 191 pays.

En 1954, l’Assemblée générale des Nations unies recommande que tous les pays instituent une Journée mondiale de l’enfance, sans pour autant en fixer le jour. Le choix du 20 novembre fait référence à la Convention internationale de droits de l'enfant du 20 novembre 1989, dont la date fait référence à la Déclaration des droits de l'enfant du 20 novembre 1959.

À cette occasion, un certain nombre d'événements sont organisés par les acteurs du monde de l'enfance.

Et nous, que faisons-nous? Allons-nous rester alertes au-delà de cette date symbolique?

Une convention et des droits

La Convention Internationale des Droits de l'Enfant est un texte de 54 articles, adoptée par les Nations Unies le 20 novembre 1989. Elle affirme qu'un enfant n'est pas seulement un être fragile qu'il faut protéger mais que c'est une personne qui a le droit d'être éduqué, soigné, protégé, quel que soit l'endroit du monde où il est né. Et aussi qu'il a le droit de s'amuser, d'apprendre et de s'exprimer. Elle a été ratifiée par 191 pays sur 193. Seuls la Somalie et les États Unis ont refusé de s'engager.

Ce texte est très important, mais pas suffisant : il reste beaucoup à faire pour faire des droits des enfants une réalité. Les droits ne sont réels que dans la mesure où ils sont mis en pratique, pour les enfants comme pour tous. Promouvoir les droits des enfants, c'est tout d'abord créer les conditions sociales, économiques et culturelles afin que tous puissent y accéder. C'est à ce prix que les droits de l'enfant seront véritablement respectés.

L'UNESCO a toujours accordé une place significative à l'enfant au sein de ses programmes et de ses activités, qui visent notamment au développement optimal de la personnalité dès la petite enfance, au progrès social, moral, culturel et économique de la communauté, à l'appréciation des identités et valeurs culturelles, et à la sensibilisation au respect des droits et des libertés fondamentales.

La situation en France et dans le monde

La promotion et le respect des Droits de l'Enfant ne doit pas rester un simple idéal, mais doit devenir une réalité au quotidien, que soient enfin reconnus les droits essentiels de l'enfant : droit à la protection, droit à la santé, droit au développement harmonieux, droit à la culture, droit à l'éducation.
Enfant en France :

  • Un million d'enfants pauvres
  • 19.000 enfants maltraités
  • 76.000 sont en danger dans un contexte familial dégradé et qui menace leur développement éducatif et/ou matériel
  • quelque 240.000 enfants placés ou pris en charge
  • 85 000 sont touchés par le saturnisme
  • record des suicides des 15-24 ans.
  • 150 000 filles et garçons quittent chaque année le système scolaire sans aucune perspective
  • 15 000 ne suivent pas leurs cours alors qu'ils sont inscrits au collège ou au lycée et qu'ils n'ont pas encore 16 ans.
  • 15 % des enfants qui arrivent au collège ne comprennent pas ce qu'ils lisent

Même si la France traite globalement bien ses 15 millions de moins de 18 ans, elle "peut mieux faire", résumait récemment le Conseil français des associations pour les droits de l'enfant (Cofrade).

Le 14 décembre, l'Unicef sortira son rapport annuel intitulé "Enfants exclus, enfants invisibles", sur les enfants qui ne sont pas enregistrés à l'Etat civil ou les enfants de la rue. Fin 2004, le même rapport indiquait que plus d'un milliard d'enfants sur Terre, soit plus de la moitié au monde, "souffrent de privations extrêmes liées à la pauvreté, à la guerre et au sida.

En 2005, un enfant meurt encore toutes les 3 secondes. Sans parler des millions d’enfants privés d’éducation, de soins, de nourriture, d’eau potable… Parmi les nombreuses oeuvres qui agissent pour que soit reconnue la dignité des pauvres et des enfants du monde entier, l'UNICEF est surement l'une des plus connues, c'est pourquoi nous vous conseillons de découvrir, ou de redécouvrir, l'oeuvre de l'UNICEF.

 

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Correspondance,

Cher Ami,

 

Je viens de croiser une rose endormie,

 les baisers de l’ondée la bercent,

 exacerbent son parfum.

 Un bout d’avril en plein automne ;

je vous le donne !

seule, je traverse un bois tout en or,

Le ciel est d’un blanc neigeux et uniforme,

 point triste, car lumineux.

Mon cœur dévêtu, lorsqu’il est près de vous,

vous offre toutes les somptuosités,

 les élégances du monde,

à l’instant même qu’il les surprend,

 les touche, s’en désaltère.

C’est l’aube de l’écriture ;

 chemins sinueux et bleus

sur la terre devenue blanche.

Bien à vous.

 

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administrateur théâtres

Igor Stravinsky - Concerto "Dumbarton Oaks" et Septuor - et Beethoven - Concertos pour piano n ° 2 et n ° 4 - avec Leif Ove Andsnes  au piano et à la direction d’orchestre

images?q=tbn:ANd9GcQUN8BkzUxBWHgDlcQ7aQIWQUButaGnKe9NWEqDQTuVtAKz-RThNw&width=264« Pour le New York Times, Leif Ove Andsnes est « un pianiste d’une élégance, d’une puissance et d’une intelligence exceptionnelles ». Avec sa technique magistrale et ses interprétations pénétrantes, le célèbre pianiste norvégien triomphe dans le monde entier, considéré comme « l’un des musiciens les plus doués de sa génération » par le Wall Street Journal. Il donne des récitals et joue des concertos dans les plus grandes salles de concert au monde, avec les plus prestigieux orchestres. »  Hier soir,  la collaboration du norvégien Leif Ove Andsnes avec le Mahler Chamber Orchestra lors du concert  donné au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles  était  du véritable or musical. Jeune et enthousiaste,  Leif Ove Andsnes est en train d’éditer l’intégrale des Concertos pour piano de Beethoven dans  un cycle intitulé « Le Voyage Beethoven ». L’œuvre  de sa vie?  Joués au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles en novembre dernier les Concertos n° 1 et 3 sont déjà  édités chez Sony, loués par la critique et récompensés par le prix Caecilia de l’Union de la presse musicale belge 2012. « La musique de Beethoven est pour moi la musique la plus humaine et la plus spirituelle qui soit. Beethoven pensait que changer le monde est possible et que la musique est vérité. Cela me touche profondément. »

 Le silence qui précède les premières notes du concerto pour piano N°2 est éloquent. Le Mahler Chamber Orchestra est tout de suite  envoûtant par sa présence musicale   et   Andsnes fascine par la façon souple et onctueuse qu’il a de diriger depuis son clavier dont il a orienté la face avant vers  le public. Le couvercle s’est évidemment envolé.  Il s’agit d’une vraie cérémonie musicale élégante et fluide qui fait jaillir l’harmonie du cœur de l’homme et de son instrument et vient envahir les auditeurs de  bonheur. L’alternance  du jeu pianistique et de la   gestuelle de direction d’une délicate précision est une source ininterrompue de découvertes. On est pris dans une sorte de spirale musicale fascinante. Gestes  ou clavier? On s’empresse de ne jamais quitter l’artiste des yeux bien qu’il tourne le dos. On est suspendus dans les aller-retours passionnés entre les deux instruments : l’orchestre et le clavier. Il manie les deux, les  mariant sans relâche à la manière d’un magicien.  De plus,  l’accord entre le pianiste et les différents pupitres a quelque chose de  sacré: on ressent un réel flux musical.  Leur  fascination mutuelle est  surprenante  et engendre l’élan musical inédit qui fait vivre la musique de Beethoven.

 Comment l’orchestre fait-il pour rebondir avec tant de moelleux, en ce qui semble  une seule note, lorsqu’il qui semble cueillir au vol les phrases émouvantes du pianiste dans le concerto pour piano N° 4 ? Dans  le premier mouvement, le pianiste  a plongé  tout de suite dans la romance la plus  tendre puis le  thème a été repris joyeusement par  l’orchestre. On respire la pureté de vents, le souffle et la puissance de l’orchestre, la largeur des champs musicaux et on se fait effleurer par des chutes de pétales de fleurs légères dont on ne sait d’où elles viennent. Émotions en cascades : les cadences de l’interprète  sont  autant de  concerts en soi. L’orchestre  cloué par l’émotion ne semble pas décidé à reprendre l’archet, tant c’est intense et beau. Puis c’est la reprise de parfums voluptueux. Le pianiste joue sur les sommets de la virtuosité sans perdre la moindre plume… de cygne, tant c’est à la fois léger et palpable en même temps. On découvre des scintillements aquatiques, des miroitements et la propagation de l’onde en larges cercles autour du piano. On vit ce concert de manière presque physique. Les mains du pianiste n’arrêtent pas de jouer même lorsque le piano se tait. Leif Ove Andsnes entretient toutes les fulgurances, les violoncelles passionnés, les vents plein de caractère dans les duos de hautbois et de bassons,  l’ambre des altos et les percussions triomphales.  Dans le finale, c’est le triomphe de la beauté de l’émotion humaine.

Ainsi, Beethoven semble avoir pris le dessus dans le cœur des spectateurs lors de ce concert inoubliable. Mais les œuvres de Stravinsky,  le Concerto "Dumbarton Oaks" pour orchestre de chambre en mi bémol majeur et le   Septuor ont produit un paysage musical très évocateur. La taille de l’orchestre réduite, comme elle devait l’être dans la splendide propriété de Dumbarton Oaks (Washington DC)  aux Etats-Unis  en 1938 a permis de singulariser la beauté de chaque instrument, comme si tout à coup un dieu se penchait sur les musiciens qui jouent debout et les observait à la loupe! On pense … à Jean-Sébastien Bach pour la partie fuguée. Ce concerto fut commandé par un couple de mécènes, Mildred and Robert Wood Bliss pour leur trentième anniversaire de mariage. De l’aveu même du compositeur : « c’est un petit concerto dans le style Brandebourgeois! » qui, ruisselant de sonorités farceuses, se termine par une sorte de marche nuptiale pleine de sève musicale célébrant les bonheurs infiniment petits.  Le  plaisir musical et la curiosité étaient aussi bien au rendez-vous dans le Septuor aux sonorités de flammes dansantes (créé en 1954, chez les mêmes mécènes). Mais c'est Beethoven qui  a ravi les auditeurs, eux  qui croyaient connaitre  tous ses concertos par cœur!

http://www.bozar.be/activity.php?id=13121 

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féte de l'eau "toudja" béjaia

Toudja ,ton corps est le sol de cette mère commune qui se noie dans les mots de ton histoire exprimés ,d'ou les regards suffisaient aux vieux et jeunes copins ,d'écouter ce chant du jour  quand leurs coeurs battaient  lentement sous les bruits de moulins à eau comme une marée ,haute ou basse ,pendant que l'eau coule sans arret  aux pieds de l'arbre témoin de chemins perdus dans un silence de la nuit qui berce  la ville à l'intérieur  de son mur.Je me souviendrai  de ton nom à travers mes souvenir et pensées ,toi "TOUDJA" par l'ingégnieur "nonius datus  II siécle"  une tendresse au gout du temps ou le soleil se lévera chaque "toi mon soleil".

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