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Baiser de sang

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Tel un baiser de sang,

Vous avez épousé un pays

Sans être dans le rang,

Vous avez toujours désobéi.

 

Vous n’êtes pas en visite

Mais y êtes bien encrée,

Dans ce pays composite,

Vous vous êtes adaptée !

 

Refusant cependant

D’être  sous la contrainte

Tout en composant,

Vos idées, vos craintes !

 

Malgré tout attachée

À votre Afrique lointaine,

Toujours dans vos pensées,

Vous la refoulez, sereine !

 

Vous êtes surréaliste,

Compliquée, sans l’être

Parfois, très réaliste

Sans le reconnaître !

 

Comment vais-je pouvoir

Vous rêver, vous si évasive,

Voler votre âme, la voir

Dans cette pose lascive !

 

Sans aucun toucher,

Ce fil nous relie maintenant,

Un pacte vient d’être fait

Même sans baiser de sang !

 

 

Toutes reproductions même partielle interdites

 

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Le Château de Lavaux-Sainte-Anne

 

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Un ouvrage militaire devenu demeure historique et refuge naturel.

Musée de la Vie des Seigneurs au 17ème et au 18ème siècle.

Musée de la Nature famennoise.

Musée de la Vie rurale en Famenne au 19ème et au début du 20ème siècle.

 

Pour visiter

 

 

Le Festival d'Art Contemporain Edition 2013

 

Deux amis d'Arts et Lettres y exposent

 

Andrée Hiar

 

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Torsade et Goutte d'eau

 

 

Marc-André Metais

 

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En fin de journée avec mon amie nous nous sommes installées dans la zone écologique

pour peindre ce magnifique cadre qui avec le soleil du soir était éclairé d'une façon magique.

 

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Mon aquarelle

 

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Adyne Gohy

 

 

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Esperar

 

Lorsque l'on attend, on espère.

Esperar signifie attendre.

Quand rien n'arrive, on persévère.

La fin peut brusquement surprendre.

Je ressentis, dès mon enfance

De nombreux et troublants émois.

J'entretins, dans mon innocence,

L'espérance qui est ma foi.

Suis longtemps demeurée pareille,

Aimant et célébrant la vie.

J'étais celle qui s'émerveille,

Emplie de projets, et d'envies.

 

Maintenant, n'espérant plus rien,

Contente d'être enfin sereine,

Sans désirer, je me sens bien.

Ma coupe est suffisamment pleine.

8 janvier 2013

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Noire de peau, au pays des plumes blanches

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Vous êtes dans vos pensées et vos mots précédents me font imaginer lesquelles !

Les mots sont parfois les blessures du silence mais ils peuvent en être les remèdes !

Les regards en disent plus long que de longues phrases mais les silences aussi !

Noire de peau au pays des plumes blanches, vous êtes différentes et normal, les regards se font mais vous troublent parfois !

Leur sourire cache parfois des mots désagréables à entendre. Vous le savez maintenant, blanc ou noir, un masque est un masque !

Entre nous deux, facile, un regard, vous me dites cela, vous fermez les yeux, vous m’avez dit ceci !

Pour les autres, mieux vaut parfois que ces regards ne soient pas accompagnés de mots.

Noire de peau, au pays des plumes blanches, vos atouts en évidence, certains craignent de noircir leurs ailes, pourtant, ceux-là, il y a longtemps qu’elles sont grises.

 

© Toutes reproductions même partielle interdites

 

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Recours au Poème, revue de poésie contemporaine

Je tiens beaucoup à signaler ce lien d'une revue en ligne qui constitue une somme incroyable de réflexions sur la Poésie, recensions, textes inédits, actualité commentée d'autres revues (papier-on line), avis des plus autorisés d'écrivains et critiques à propos de ce qui s'écrit aujourd'hui.

http://www.recoursaupoeme.fr/Rubrique/poesie_contemporaine

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Daniel Plasschaert, La Gloire amoureuse, éd. Chloé des Lys; Le Monde opaque, éd. Chloé des Lys, 2009, poèmes.

Daniel Plasschaert, La Gloire amoureuse, éd. Chloé des Lys; Le Monde opaque, éd. Chloé des Lys, 2009,

poèmes

, .plasschaert

 

 

D’emblée, dans la Gloire amoureuse, le lecteur est prévenu: le bonheur, la gloire sont hors de notre portée, ou, du moins, d’un accès difficile:

Le visage de Dieu m’est caché

La beauté m’est voilée

Alors, pourquoi voudriez-vous que je sois

heureux aujourd’hui

Il y a, en ce recueil, des passages très familiers, comme on en trouve chez Toulet, mais en même temps très réalistes, et qui nous portent à voir les choses en noir. Mais aussi, des formules scintillantes, éblouissantes, qui tranchent sur l’universelle grisaille. J’ai été ainsi séduit par ce dialogue avec le facteur:

Bonsoir facteur, vous avez bien meilleure mine que la nuit précédente./Et le courrier bien rangé dans votre sacoche,/votre serment de n’en plus lire une ligne./Posez vos livres et buvons à notre gloire./Un éclat de givre scintille entre vos doigts./Le cuir de vos gants noirs est usé./Sous la surface, l’air est saturé de mauvais rêves./ Dans ce quartier coronaire où nous demeurons pour l’éternité, le va et vient des passants condamne nos pensées au recul volontaire des saisons./ Facteur, vous et moi sommes ailleurs./Nous sommeillons.,/dans ces singuliers lendemains/d’où ne naît aucune aube.

et, plus loin, p.27: Nous sommes le hasard, /la moisson d’un jeu divisé, un frôlement jeté pêle-mêle/dans la bouche ivre d’un joueur épuisé.

Ici sont posées les questions essentielles, et la réponse est souvent triste et désabusée: p.30, l’art du géographe tient dans une poignée de terre. Les images de la peur sont dominantes, et la protection qu’une femme peut apporter contre cet environnement sauvage et meurtrier. Ainsi, p.41:

il ne faut pas que je sorte/il faut que toute cette peur s’en aille pour de bon, ou encore, p.42: Je retourne avec fracas vers le socle où repose la soif d’aller.

Mais il y a chez les femmes de Daniel Plasschaert un peu de cette étrangeté à la fois familière et inquiétante qui meut celles de Paul Delvaux.

On retrouvera, dans Le Monde opaque, une sorte de peur devant l’amour, peur de sa disparition, de sa précarité.
…il partira. Elle partira./Emportant le grand signe/Du vivant dans leur mouvement/Roues d’où le pouvoir de l’invisible/Racontera la chute/De ceux qui sont vaincus/Par tous leurs jours de noces/Et les passants à la porte/Feront des signes/Et les parterres délaissés de leurs fleurs/Et les statues pâles/Comme des taches de clarté futile/ Elèveront leurs corps jusqu’à leurs bouches/ (…)

La femme se confond avec le monde, le monde tout entier devient elle. Il y a une force singulière en ces regrets  pleins de vigueur:

Dans le désordre des armoires/Une lampe s’allume au détour des ruelles/Un journal froissé et ta photo/Que je glisse dans ma poche/Presque machinalement/Comme un voleur fatigué/Comme si j’allais un jour /Sortir de l’ombre portée de l’astre nocturne/L’idole lumineuse et magique/Qui rouvrirait le monde effacé/De ce que nous avons écrit/Et renié par mégarde…(p.51)

Une œuvre à la fois délicate et forte dans sa densité, et qui évoque à merveille, en prise avec les photos en grisaille prises par l’auteur, cette sorte d’étrange absence/présence amère et douce qui nous gouverne

Joseph Bodson

 

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Commandant Danofsky – Daniel Plasschaert, Les Odes au jardinet.

Commandant Danofsky – Daniel Plasschaert, Les Odes au jardinet, nouvelles, Chloé des Lys, version juillet 2009.

Ne vous étonnez pas si je vous entretiens, pour une fois, d’un livre qui date un peu. Pour moi, c’est une découverte, que je tiens à vous faire partager. Etrange personnage que ce commandant Danofsky. Il lui arrive, mais oui, de partir en guerre, et, ce qui est un comble,  contre ses lecteurs. C’est qu’il tient à ses habitudes, et n’aime pas qu’on le dérange. Et qu’est-ce que ces intrus qui se mêlent de lire ce qu’il a écrit? Je ne sais s’il le fait exprès, mais il semble aussi s’être brouillé avec l’orthographe. Une vieille querelle, sans doute.

Mais qu’y trouve-t-on, dans ce jardinet, si je peux le divulguer? Des salades étrangement raisonnables. Des limaces philosophes, dans le jardin du commandant. Transfuge de quel règne, de quel rêve? Minéral, animal, ou végétal? Mais qui empêchera jamais Alice de passer de l’autre côté du miroir? Des histoires pour les enfants? Oui, peut-être, mais pour des enfants déjà un peu âgés, tristes et graves, un peu revenus de tout, mais souriant quand même.

Un certain décalage par rapport à la réalité, très léger, parfois imperceptible, comme une horloge qui marquerait l’heure avec une justesse excessive, mais où la grande aiguille et la petite auraient été interverties. Un monde à la fois enfantin et barbare, où la seule règle ou presque – mais elle n’a rien de contraignant ni d’astreignant – c’est d’aller à l’encontre des idées, des clichés généralement admis.

La joie du jardinet: étrange scène d’amour très physique entre les plantes et le jardinier. Si vous me cherchez…Cela fait un peu songer à Saki, ou à Arcimboldo, ce peintre italien qui faisait des portraits très composites. Goûtez-y donc, si vous en avez l’occasion: vous m’en direz des nouvelles.

Joseph Bodson

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PARFOIS...

Quand la tristesse est dense

Comme une boule de coton

Avec laquelle on pense

S'étouffer tout de bon!

Surgit on ne sait d'où

Un sursaut d'énergie

La vague d'un désir fou

Comme un bouquet d'envies!

Quand les gênes sont forts

De nos aïeux mixés

N'est point de mauvais sort

Qu'on ne puisse surmonter!

Envie de dire merci

A l'orchestre du monde

Dont le rythme assourdi

Prend mon âme vagabonde!

Quand au bout d'un parcours

Comme un cadeau précieux

Un beau regard d'amour

Nous caresse des yeux!

Bondit encore la joie

D'une aube de langueur

Et puis, si on y croit

Une goutte de bonheur!

J.G.

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administrateur partenariats

 

Becco, près de Theux,  est un charmant petit village pittoresque,

construit sur un promontoire.

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Ce petit village rural doit vraisemblablement son nom

de la romanisation de "bôkholt" (bois de hêtre),

quoique l’explication populaire fasse référence à la relative

pauvreté du sol : "en’na nin bêcop"  (en wallon : il n’y en a pas beaucoup).   

    

Le village groupe de petites exploitations agricoles en long et des habitations

du XVIIe siècle. L’unité et l’homogénéité de l’ensemble confèrent au hameau

une valeur architecturale non négligeable.

La première chapelle de Becco fut achevée en 1714 et dédiée à saint Eloi,

patron des orfèvres et forgerons.

Au-dessus du portail trône la statue de saint Eloi avec son enclume.

A proximité, se dresse un imposant tilleul, avec à son pied,

la Croix du Tilleul datée de 1890.

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Emerveillées par le charme discret de ces vieilles maisons de pierres roses

et jaunes du pays, nous avons planté là nos chevalets,

et nous nous sommes laissées imprégner par des

sensations uniques:

le motif et nous, le papier et la peinture.

 

 

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Les artistes au travail, Jacqueline Nanson et moi-même !

 

 

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La petite cloche a tinté trois fois les heures et les demies, comme autrefois,

et nous en avons oublié les affres de la vie quotidienne,

quittant à regrets sitôt le travail terminé...

A bientôt !

 

Jacqueline et Liliane

Un partenariat

Arts  12272797098?profile=originalLettres

 

 

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Femmes

Femme d’un jour

Femme toujours

Passe un ange

Sur le Gange

 

Regards discrets

Tout en poésie

Défile sa vie

Loin des secrets

 

De sa voix limpide

Journées intrépides

Crie le fond de son cœur

S’arrêtent les voleurs

 

Femme du monde

Se libèrent les ondes

Coulent les rivières

Loin de la lumière

 

Gestes gracieux

Entre les cieux

Senteur de chèvrefeuille

Se tourne la feuille.

©Dominique Prime Juillet 2013

 

 

 

 

 

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Telle que

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Vous aimez Venise, ville éternelle !

Venise épique avec ses mystères, ses intrigues, chaque ruelle, chaque pont imagine des arcanes !

Venise, ville d’eau, pas de cure mais de vie !

On s’y déplace, on s’y rencontre, elle vous entoure, vous protège.

Vous sortez des ondes, demoiselle, telle une nymphe !

Vous apparaissez la nuit, votre couleur de peau la reflète mais vous serez bientôt au grand jour.

Vous aussi, intriguez, vous aussi, êtes mystérieuse !

Ce rapace, cet oiseau de nuit représente la sagesse.

Vous, sage ?

Oui, vous avez une certaine sagesse, celle de savoir ce qu’est le véritable bien, pas celui prôné par les dogmes de notre société !

A la nuit tombée, son vol présageait une heureuse nouvelle. Son silence le rendait de bon augure, son apparition n'était funeste que lorsqu'il chantait.

Votre silence est rare mais vous ne chantez pas !

Avouez que ces métaphores sont des euphémismes !

Je vous préfère non sage, noire de peau, point nymphe que vous chantiez ou pas mais au grand jour !

 

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Épître à l'ami retrouvé

 

Doux ami,

Je pense à toi, ou bien à vous.

Certes, il arrive que l’on joue

À vouvoyer ceux que l’on aime,

En se prenant au jeu soi-même.

Mais ce plaisir est démodé.

On tutoie pour accommoder,

Pour ne pas paraître pédant.

Souvent sans raison, cependant.

Je t’ai vouvoyé, à l’époque

D’une amitié sans équivoque,

À ce que croyaient nos amis.

C’était au temps des pas permis.

Je t’ai tutoyé en silence,

Durant ton obsédante absence,

Et vouvoyé dans les sonnets,

Que sans espoir, je t'écrivais.

Pensées et vœux d’anniversaire,

D’une âme aimante solitaire.

Tu les liras, avec émoi,

Certainement plus d'une fois.

30 juin 2008

 

 

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Le fleuve se meut en silence

 

 

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Est bienfaisante l'harmonie.

L'âme se laisse caresser,

L'esprit arrête de penser,

Se crée une grâce infinie.

Le fleuve se meut en silence.

Dans le parc, zéphyr et chaleur.

Ont poussé des saules pleureurs

Que les ans ont rendus immenses.

De nombreux canards se reposent

Des mouettes volent sans bruit.

Certes, tout importun a fui.

Rien ne déplaît ni n'indispose.

Subtile joie née de la paix,

De la beauté du paysage.

Ce jour, le ciel est sans nuages,

D'un bleu uni restant léger

21 août 2013

 

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C H E V A L I E R E S

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Dans la forêt de pins colonnes d’autre empire

Où l’ombre comme une algue entoure les troncs secs

Quand le silence pur comme un Parthénon grec

Etouffe tout ce qui bruit qui pleure et respire

         Passaient trois cavalières

 

 

Le souffle du vent sur leurs manteaux dépliés

Fait frissonner les chairs si claires de leur corps

Qui sur le rouge sombre apparaissent en or

Parfois un éclair blanc heurte les boucliers

         Et fait luire les heaumes

 

 

L’une blonde - et ses seins que nul métal ne couvre

Font un éclat de chair dans l’ombre des ramures

Contrastant avec les reflets froids de l’armure -

Dans la tapisserie des chênes et des rouvres

         Et d’ombre les forêts

 

 

L’autre penchée vers les lointains horizons

Guette le moindre bruit que le lointain renvoie

De loin en loin dans les clairières et les voies

Quand le soleil n’est plus dans le soir qu’un tison

         Qui s’éteint lentement

 

 

La troisième joyeuse et fantasque luronne

Les cheveux dénoués la lance de travers

Fait des autres on dirait le chemin à l'envers

Redoutant que son rire au lointain ne résonne

         Et d'humeur si folâtre

 

 

Elles sont toutes trois tes soeurs complémentaires

La beauté qui t'attire au soleil de son corps

L'attention qui te garde des méfaits du sort

La fantaisie enfin guillerette lingère

         Des beaux draps de ta vie

 

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Cent mille fois encore

Cent mille fois encore

 

Cent mille fois encore à la lumière blême

Virevolte l’image, un reflet jaillissant,

Fantômes en cortège, irréel ravissant.

Déjà le petit jour, farandole ou carême.

 

Ce n’est pas que parfois, me croiras-tu jamais,

Tes gestes, ton visage et ta chère silhouette

Dessinée à ravir, quelle riche palette,

Me donnent le vertige, au plus haut des sommets.

 

C’était avant-hier et c’était aujourd’hui,

Notre histoire s’écrit, une œuvre sans rature,

Des joies et des plaisirs, souffrances qu’on endure,

Instants où à jamais, le bel âge s’enfuit.

 

Ne pas se retourner, ni pleurer ou se plaindre,

Regarder devant soi, car est belle souvent

La raison qui construit, elle chasse le vent

Et permet d’avancer, sans tricher et sans feindre.

 

Les printemps ont passé et aussi les hivers

Je ne m’étonne plus et flirte avec l’automne

Le chemin était là, il n’y a pas maldonne

Me suis trompé parfois, mais les yeux grands ouverts.

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To be or not to be

To be or not to be

 

S’il n’y a plus pensée ou désir exprimé,

S’il n’y a plus combat, douleur insoutenable,

S’il n’y a plus ailleurs, chimère inoubliable,

S’il n’y a plus ressort qui te tient animé

 

Quand tombe encor le soir sur ton rêve arrêté,

Quand s’efface l’espoir qui portait ta gaîté,

Quand te restent les pleurs et ton amère peine,

 

Où aller pour agir, encor croiser le fer ?

Où aller pour oser démolir cet enfer ?

Où aller pour crier si tu n’as plus la haine ?

 

Il ne te reste ici pauvre esprit déprimé

Il te reste à te taire, en l’univers minable

Il ne te reste rien, issue impitoyable

Il te reste la mort, où tout s’est abîmé

 

 

 

jo cassen

De Routes en Art

ISBN 979-10 90120 13 06

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Monologues

I

Bien faire ou ne pas faire

Je vois mon voisin qui s'affaire.
Chaque jour, il a fort à faire,
S'appliquant à faire et défaire
Ayant le désir de parfaire.

Le plus souvent, moi je fais faire
Pour n'avoir pas à faire refaire.
Dehors, j'apprécie ne rien faire,
Sans aucun souci à me faire.

Pour pleinement me satisfaire,
Ce que j'ai grand plaisir à faire,
C'est flotter sur l'eau. Quelle affaire!
Le corps en croix, se laisser faire!

II

Dire ou ne rien dire?

Certains se plaisent à prédire,
D'autres s'acharnent à médire,
Et des rancuniers à maudire.


Quand on pense avoir à redire,
On ne devrait pas s'interdire
D'oser combattre certains dires.

Or, avec le temps, c'est à dire
Devenus vieux, on laisse dire,
On s'est lassé de contredire.

 

5 juillet 2009

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administrateur partenariats

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Le lac de Warfaaz

Romantique plan d'eau ancré dans un vert bocage,

  situé non loin de Spa. Il invite les promeneurs tranquilles à

une pause dominicale bienfaitrice...

 

Les familles de la région s'y promènent ,

les pêcheurs nombreux s'y retrouvent, échangeant leurs commentaires

sur de fiers trophées, et des fiancés énamourés rament langoureusement,

emmenant leur belle sur un canot de bois pour compter fleurette

depuis plus de cent ans ...

 

Notre équipe,

Adyne Gohy, Jacqueline Nanson et moi-même !

 

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Des promeneurs intéressés...

Notre objectif était -cette fois- de peindre l'eau et ses reflets.

Adyne nous fit une démonstration très intéressante des différentes manières

d'aborder le sujet...

Et voici le résultat !

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Cette séance fut d'autant plus agréable que notre amie aquarelliste

Jacqueline Nanson

nous a fait le grand plaisir de se joindre à nous !

Une chouette après-midi, entrecoupée de rires et de petites causettes ,

bavardages avec quelques visiteurs  admiratifs ...

Du bonheur, une fois de plus !

  

A bientôt !

Jacqueline, Adyne et Liliane

Un partenariat

Arts  12272797098?profile=originalLettres

 

 

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