Est bienfaisante l'harmonie.
L'âme se laisse caresser,
L'esprit arrête de penser,
Se crée une grâce infinie.
Le fleuve se meut en silence.
Dans le parc, zéphyr et chaleur.
Ont poussé des saules pleureurs
Que les ans ont rendus immenses.
De nombreux canards se reposent
Des mouettes volent sans bruit.
Certes, tout importun a fui.
Rien ne déplaît ni n'indispose.
Subtile joie née de la paix,
De la beauté du paysage.
Ce jour, le ciel est sans nuages,
D'un bleu uni restant léger
21 août 2013
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