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Diversité

Un petit texte écrit  il y a quelques années ...

 

Diversité

 

 

Hommes prisonniers
Hommes sacrifiés
Hommes délaissés

Par la guerre et le mensonge

Hommes écrasés
Hommes tués, brûlés
Hommes exterminés

Par le mensonge de la guerre

Hommes dénaturés
Hommes bêtifiés
Hommes sans pitié

Pour la défense des idées

Hommes statufiés
Hommes glorifiés
Hommes épaulés

Pour la défense des libertés

Hommes sans nom
Hommes sans passé
Hommes sans avenir

Pour la sauvegarde de l'humanité

Hommes oubliés
Hommes critiqués
Hommes désabusés

Dans une humanité mal gardée

Hommes aimés
Hommes encensés
Hommes respectés

Par quelques unités

Hommes guerriers
Hommes éduqués
Hommes estimés

Par la communauté

Quelle diversité
Quelle opportunité
Quelle liberté
D'être l'unité dans cette quantité.

Michel Snoeck

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Mon joli petit roman

Bonjour vous tous...

J'ai -enfin- reçu l'accord de My Major Compagny pour la mise en ligne de mon projet. Ainsi, les internautes pourront, s'ils le souhaitent et si mon projet les intéresse, le soutenir jusqu'à sa publication.

J'ai besoin de vous. Aidez-moi à réaliser ce rêve. Le premier chapitre de mon roman est en ligne, les suivants suivront au fil du temps. Si mon style vous convainc, vous convient, misez sur moi.

Merci

le lien :

http://www.mymajorcompany.com/projects/chacun-de-nous-cache-un-secret-honteux

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En tant que Community manager du réseau Arts et Lettres, je vous rappelle que les billets de blogue autorisent 100 000 caractères (html), ce qui est assez considérable: vous avez donc de larges et généreuses possibilités de faire de beaux billets bien illustrés et commentés.

Ces vastes espaces d'édition vous sont offerts, servez-vous en donc.

Si vous désirez éditer des textes plus longs, vous pouvez vous adresser à Robert Paul, notre fondateur et administrateur général qui, cas par cas, examinera d'autres possibilités.

 

Arts 
12272797098?profile=originalLettres

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Esperar

Soliloque

Je ressentis, dès mon enfance

De nombreux et troublants émois.

J'entretins, dans mon innocence,

L'espoir qui fut ma seule foi.

Or, je suis demeurée pareille,

Celle qui célébrant la vie,

Souvent exulte et s'émerveille.

Emplie de projets et d'envies.

Présentement, je n'attends plus.

Je suis bien dans l'indifférence,

Qui rend les regrets superflus

Et les projets sans importance.

J'éprouve du plaisir à prendre

Les fruits que l'énergie génère,

Sans promesse, sans faire attendre.

Sereinement, je les espère.

8 janvier 2013

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Ni le temps ni l'envie d'y penser

 

 

Dans la vie de chacun, il y a ce qui fut,

Images et émois que la mémoire classe,

Et de nouveaux instants, éphémères, qui passent.

Or l'on doute parfois d'événements vécus.

Nous abusent les rêves, agissant dans la nuit.

Ils forcent à aller au seul gré de la chance,

Vers des lieux réservant d'exaltantes jouissances,

Ou d'autres apeurants nous laissant démunis.

Le courant de la vie, qui ne s'arrête pas,

Sous un soleil ardent nous conduit à la fête.

Or la foudre pourrait nous fendre un jour la tête

Mais bien heureusement, c'est peu souvent le cas.

Imaginer le pire, empêche d'être heureux.

Nous ne refusons pas d'accueillir l'espérance,

Ni de nous accrocher à de fausses croyances.

Nous restons rassurés, même devenus vieux.

On n'a pas eu le temps ni l'envie d'y penser.

À la fin, cependant s'impose l'évidence.

En méditant, je rends grâce à la providence,

J'ai beaucoup d'énergie encore à dépenser.

7 janvier 2013

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Jean-Christophe Saladin/Les adages d'Erasme 

Les Amis de la Bibliothèque de l'ULB et Tropismes vous invitent à une rencontre intitulée 

"L'ombre de l'âne : les adages d'Erasme. Une rhétorique des formes brèves à l'usage du monde contemporain."

Présentation et discussion avec Jean-Christophe Saladin, à l'occasion de la première traduction française des Adages, édition bilingue parue aux Belles lettres.


La soirée débutera à 18h et sera introduite, par Christian Brouwer, directeur de la bibliothèque des sciences humaines de l'ULB.

ATTENTION ! Adresse du soir : Salle de Vision (Auditoire 2VIS (NB 2.233) de la bibliothèque des sciences humaines de l'ULB.

Les Adages sont un recueil de "milliers d'adages", proverbes, maximes, devises, épigrammes, en latin, de l' humaniste hollandais Erasme de Rotterdam (Desiderius Erasmus, 1467-1536); la première édition en 1500 donna à l'auteur la renommée: en 1508, Aldo Manuce en fit une seconde édition beaucoup plus complète, et à laquelle il donna le titre actuel. Ce recueil est précédé par une dissertation d' Erasme sur la place du proverbe dans la division des genres littéraires et dans l'histoire de la littérature gréco-romaine et hébraïque: sur son importance et sur sa fonction. Avec Aristote, il voit dans les proverbes des reliques et des étincelles de l'ancienne sagesse des philosophes, qui ont été sauvés du naufrage à cause de leur brièveté, de leur drôlerie, de leur ton enjoué; ainsi dans les paroles de Pythagore: "Les biens des amis sont propriété commune", on reconnaîtra une des règles sur lesquelles repose l' éthique du bonheur humain. Leur emploi "à bon escient" est difficile, comme l'est le rire au moment opportun, ou la musique qui ne lasse pas. La métaphore, l' allégorie, le sens figuré, l' hyperbole, l' harmonie et les jeux de mots, la métonymie sont les éléments formels des proverbes. Ce gros volume contient plusieurs milliers de proverbes; pour chacun d'entre eux sont indiqués: leur forme originale dans leur langue respective, les auteurs et les oeuvres dans lesquelles on les trouve, leur interprétation, leurs différents sens et les exceptions. Les proverbes sont ensuite classés par arguments pour en faciliter la recherche: avarice et parcimonie; il faut céder à la foule; il faut juger d'après l'événement; tromperies d' amis; travaux inutiles; panique etc. Ce recueil est un puits d'érudition et il est intéressant de le consulter, même encore de nos jours.

La Maison d'Erasme à Anderlecht 

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12272854867?profile=original12272855053?profile=originalIl s'agit d'un pamphlet de Friedrich Melchior, baron de Grimm (1723-1807), publié en 1753.

 

Le texte se présente comme la prophétie de Gabriel Joannes Nepomucenus Franciscus de Paula Waldstroc, dit Waldstoerchel, natif de Boehmischbroda en Bohême, philosophe et théologien moral. Un écolier de Prague décide de conquérir la gloire en composant trois menuets pour le carnaval de sa ville. Une voix s'adresse à lui: il a été choisi pour une mission plus importante, annoncer la vérité à un peuple frivole. Il est transporté à Paris, «ville fort grande et fort sale». Il assiste sans y rien comprendre à un spectacle d'opéra, et il est frappé par la grossièreté de ce qu'il voit: c'est un bûcheron qui conduit l'orchestre avec un gros bâton. «Pour le bien de la poitrine, il valait mieux sonner du cor dans la forêt de Boehmischbroda depuis le lever du soleil jusqu'à son coucher que de chanter trois fois par semaine la haute-contre dans la boutique de leur opéra.» La voix lui dit de se placer dans le «coin de la Reine»: là s'assemblent philosophes et beaux esprits. Elle devient alors «forte, véhémente et pathétique», et sur un ton apocalyptique s'adresse au peuple frivole, les Français, qu'elle a tirés de la barbarie et dotés de tous les talents, mais qui ont refusé ses grâces, dans le domaine de la musique du moins. Avec leur opéra, ils ennuient le monde depuis quatre-vingts ans, car ils ont choisi pour idole «le Florentin» [Lully]. Dans une dernière tentative pour les sauver du mauvais goût, la voix leur envoie Pergolèse qui les délivrera de ce genre puéril qu'ils appellent «merveilleux». Ils comprendront alors, comme l'ont fait les Italiens, que l'opéra doit être consacré «aux grands tableaux et aux passions, et à l'expression de tous les caractères, depuis le pathétique jusqu'au comique». Mais si les Français ne sont pas «capables de sentir le génie et le sublime» de la musique italienne, ils seront punis. On ne jouera plus chez eux que des farces et des vaudevilles, et leur théâtre redeviendra un jeu de paume.

 

C'est le Petit Prophète qui a déclenché la célèbre «querelle des Bouffons». Déjà, en février 1752, Grimm, qui vivait à Paris depuis trois ans et cherchait à se faire connaître par un coup d'éclat, avait publié une Lettre sur Omphale, dans laquelle, à propos de la tragédie lyrique d'A. C. Destouches, Omphale, il attaquait la musique française, artificielle, précieuse et ennuyeuse, prétendait-il, et conseillait aux Français d'imiter les Italiens. En août de la même année, une troupe italienne (les Bouffons) vient représenter à l'Académie royale de musique l'intermède de Pergolèse, la Serva padrona, avec le plus grand succès. La riposte de la musique française vient non pas de Rameau, mais de Mondonville, qui crée une «tragédie lyrique», Titon et Aurore, le 9 janvier 1753. Une semaine après, Grimm fait paraître son spirituel et injuste Petit Prophète de Boehmischbroda (ce titre faisant sans doute allusion au musicien Johann Stamitz, originaire de Bohême). Dès lors, les lettres et les pamphlets vont se succéder, dont les plus connus sont la Réponse du coin du Roi au coin de la Reine (Voisenon), l'Arrêt rendu à l'amphithéâtre de l'Opéra sur la plainte du milieu du parterre, intervenant dans la querelle des deux coins (D'Holbach ou Diderot), le Correcteur des bouffons à l'écolier de Prague (Jourdan), la Guerre de l'Opéra (Cazotte), et, bien entendu, en novembre 1753, la Lettre sur la musique française de Rousseau, fervent partisan des Italiens (voir Essai sur l'origine des langues).

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Un espoir imprécis

 

Un silence doré occupe ma maison.

Au ciel clair, le soleil rayonne dans l'ivresse.

À la joie qu'il répand, se mêle la tendresse,

D'un espoir imprécis, venu de l'horizon.

Au ciel clair, le soleil rayonne dans l'ivresse.

J'aimerais qu'il arrive à saouler ma raison.

D'un espoir imprécis, venu de l'horizon,

J'attends une énergie causant de l'allégresse.
.

J'aimerais qu'il arrive à saouler ma raison,

Anachronique gardienne, en éveil, sans cesse.

J'attends une énergie,causant de l'allégresse,

Or, ne peux, je le sais, recevoir d'autres dons. 

 

Anachronique gardienne, en éveil, sans cesse,

Elle me tient captive en sa vaste prison,

Or, ne peux, je le sais, recevoir d'autres dons.

Celui créant l'humour est source de liesse.

 

5 Janvier 2013

 

 

 

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BELLE ET HEUREUSE ANNEE 2013

12272854483?profile=originalMille souhaits de bonheurs en partage d'émotions et de créativité

Merci pour votre attention fidèle tout au long des jours et des semaines

La beauté est une rencontre

et va son chemin mais  il reste dans les yeux toute la lumière du monde

Amicalement à tous

Arlette

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FEUILLE DE ROUTE


Vole mon cœur,
Tiens d’une main cette ardente flamme
Et de l’autre main guide-nous et rame !
Demain n’est loin qu’aux yeux aveugles.
Les cris des mouettes annoncent la « Terre ! »,
Ta promesse est proche et sereine.

Vole de tes ailes,
Survole les océans noircis
Par tant de haine et tant d’oubli
Et oublie les blessures terrestres.
Il est des cieux immaculés
Qui accueilleront nos amours folles.

Vole, et de tes rêves,
Redessine-nous un nouvel atlas,
Un aéroport pour nos deux cœurs,
Un doux asile pour nos deux corps
Usés par l’âge et les voyages,
Pour qu’enfin s’apaise ta rage.

Khadija, Agadir le Samedi 05/01/2013

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Nouvelle année

 

 

Je ne laisserai pas endormi ton esprit,

Immergées tes raisons dans un épais silence,

Égarés les apports de ton intelligence.

Je me sens apaisée et crois avoir compris.

Doux ami, tu n'es pas devenu qu'une chose,

Sans beauté, périssable, abandonnée, sans prix.

Ta ferveur semble intacte en tes nombreux écrits,

Ton âme repoussait l'ennui rendant morose.

Je t'accueille chez moi, où tu restes présent.

Tu vivais à Paris, ville à longue distance,

Ton portrait qui faisait échec à ton absence

Défie certes le temps et le vieillissement.

En mains, un téléphone, attentif, tu écoutes.

La photo a fixé un décor, une pose,

Un instant de ta vie, ailleurs, pour une pause.

Nous avions fait ensemble un bon bout de la route.

Puisque je suis en vie, je fais, ce jour, le voeu

De sauver par mes soins l'amitié amoureuse,

Qui me rendit longtemps créative et heureuse.

Je ne voudrais pas voir s'étouffer un beau feu.

4 janvier 2013

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Martyr

 

Elle lui tendit ses bras de soie

Etala sur son lit si tiède

Des draps qui craignaient le froid

L’enlaça sans point se lasser

De le traiter de tant de soins

C’était son bébé de demain

 

Il se pencha sur son torse nu

S’endormit sur ses flancs charnus

Comme se coucherait sur une page

Une lettre écrite d’une main molle

Que la passion a rendue folle

Et entama son long voyage

 

Elle se réjouit de sa torpeur

Offrit son sein parmi les fleurs

De son jardin aux mille merveilles

Qui n’attendait que son soleil

Pour refleurir et s’égayer

Entre le printemps et l’été

 

Il lui tendit un cou de marbre

S’étira comme s’étire le sabre

Dans l’étui d’un vieux guerrier

Et s’adonna au long baiser

Le plus long connu des vivants

Sauf  que lui était bien mourant !

 

Khadija, Agadir, Jeudi 03/01/13

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LES COULEURS HUMAINES DE MICAELA GIUSEPPONE

LES COULEURS HUMAINES DE MICAELA GIUSEPPONE

 

Du 19-12–12 au 13–01– 13, l’ESPACE ART GALLERY (Rue Lesbroussart, 35, 1050 Bruxelles) propose une exposition intitulée COLLECTIF D’ARTISTES DANS LE CADRE DU 25EME ANNIVERSAIRE D’ALZHEIMER Belgique A.S.B.L.

A cette occasion, l’EAG nous offre l’opportunité de découvrir les œuvres de Mademoiselle MICAELA GIUSEPPONE. Cette artiste autodidacte Italienne utilise la couleur dans toute sa symbolique. Cette symbolique est représentée par une farandole de couleurs vives, telles que le rouge, le bleu, le jaune ou le vert. Un chromatisme qui évoque l’amour, la passion (le rouge), la paix (le bleu), l’espoir (le vert), la chaleur humaine (le jaune). Le noir est très rarement présent.

Cette myriade de couleurs symbolise la volonté de répondre à la détresse généralisée de notre époque. Dans son œuvre, une couleur apparaît assez timidement bien qu’auréolée d’une atmosphère joyeuse, à savoir le blanc. Mais ce blanc n’est pas choisi au hasard. Cette couleur de l’innocence est celle de l’Homme, campé en silhouette, aérienne et légère. Cet Homme volant qui unit presque toujours les deux extrémités du tableau par une corde (quasi une ficelle), blanche elle aussi, comme l’on unit deux extrêmes d’une même entité (la Terre), est conçu de façon sommaire, dans des traits esquissés en aplat, rappelant agréablement certaines figures de Matisse dans sa dernière période. On le retrouve un peu partout, notamment concernant IL MIO CANTO LIBEROMON CHANT LIBRE 50 x 50 cm)(3)

 

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et dans LUCIDI BATTITIBATTEMENTS LUCIDES 50 cm de diamètre) (4),

 

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de façon ostentatoire ou discrète. Mais aussi perché sur les toits des gratte-ciels recouvrant la Planète (BILIMONDO - 28 x 75 cm) (1).

 

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MICAELA GIUSEPPONE exprime également dans ses œuvres sa passion pour la musique et plus spécialement pour la chanson italienne. CLAUDIO BAGLIONI ou MINA dont les textes sont empreints de messages revendicatifs ou tout simplement d’humanité, illustrent symboliquement chacun de ses tableaux, en ce sens qu’on les retrouve cachés derrière ses couleurs, son graphisme et ses messages. Le mystère esthétique que renferme le graphisme des partitions musicales, faite de glyphes, ésotériques pour le néophyte, la fascine par rapport au pouvoir de la langue qui constitue à elle seule, un message universel.

A titre d’exemple, IL MIO CANTO LIBERO (évoqué plus haut) est illustré d’extraits de la partition musicale d’une chanson de CLAUDIO BAGLIONI portant le même titre.

Tels les rayons d’un soleil partant et aboutissant à la main de l’Homme tenant également une corde à l’autre extrémité, ils sont ancrés au sein de l’humanité à l’intérieur de ce tableau circulaire aux dimensions d’un soleil d’espoir.

I NOVE EVENTILES NEUF EVENEMENTS (30 x 30 cm) (6)

 

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est une synthèse des principaux évènements qui ont structuré l’évolution de l’humanité, tels que le Théorème d’Einstein, l’avènement du cinéma ou la découverte de l’ADN. L’œuvre est parsemée de la présence de la figure humaine, que ce soit sur la pellicule du film commémorant le Cinéma ou à l’intérieur de l’écran cathodique. L’Homme est là. Constamment présent tel un leitmotiv qui nous ramène à l’écoute obsédante de notre conscience.

MICAELA GIUSEPPONE qui privilégie l’acrylique n’en est pas à sa première exposition. Elle a notamment exposé au SALON INTERNATIONAL D’ART DU MUSEE DU LOUVRE, à la GALERIE VITTORIA de la Via Margutta, à Rome ou au PLA DE PALAU, à Gérone, en Espagne.

Elle apparaît assez discrètement aux cimaises de l’ESPACE ART GALLERY et n’expose que six toiles de dimensions plutôt petites. Mais qu’à cela ne tienne ! Gageons que dans une future exposition, elle nous dévoilera l’éventail de son très grand talent.

François L. Speranza.

 

Une publication

Arts
12272797098?profile=originalLettres

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PARCE QUE...

Parce qu'au bout du temps

Le soleil se couchant

On ne veut plus souffrir

Surtout ne pas gémir...

Parce qu'en y pensant

La révolte va grondant

On a appris enfin...

A ignorer demain!

Parce que rien n'est fini

Tant qu'en nous brûle la vie

Son pouvoir nous surprend...

Le regard dans le vent!

Parce que le mérite

Un beau jour nous invite

A brutalement pensé...

Qu'on est digne d'être aimé!

Parce que liberté

Cesse d'être un mot rêvé

Mais devient le moteur

Qui brûlera nos peurs...

Parce qu'être une femme

Se décline sur une gamme

Dont la force va croissant...

S'approchant du néant!

Parce qu'abandonner

Non plus que renoncer...

Sont des mots vides de fièvre

Qui ne franchissent pas nos lèvres...

Nous sommes depuis toujours

Le refuge de l'amour

Dans une continuité

Qui ne cesse d'étonner!

J.G.

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De la coupe aux lèvres

 

Sur une étagère rangées,

Brillant toujours, malgré leur âge,

Dix coupes fines, sans usage,
Restent cependant protégées.

En fin d'année, l'espoir nous gagne,

Une envie ne me quitte pas,

En commençant un bon repas,

Je vais savourer du champagne.

Réelle envie ou bien caprice?

Me reviennent à pas de loup,

Des grâces passées et surtout,

Des murmures de voeux complices.

Chères images, un temps heureux!

 L'élégance nous était chère.

Dans une grisante atmosphère,

Nous devenions des demi-dieux.

Je rêvais de la fantaisie,

Qui enchante l'âme et la tête,

Quand durant un souper de fête,

Elle pétille par magie.

De bon vins, nous furent servis.

Celui que j'avais apporté,

N'ayant pas été débouché,

Mon souhait s'est évanpoui.

 

31 décembre 2012

 

 

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Meilleurs voeux pour 2013 ...

Un petit extrait de ma lecture du moment ...

' La poésie, pour moi, c'est la ' preuve'. La preuve, par l'expérience personnelle, qu'il y a un domaine

dans lequel nous nous épanouissons et dans lequel nous ne sommes plus à la merci des forces contre

lesquelles on lutte, avec lesquelles on combat. Nous sommes dans un autre domaine .

Celui de l'art, de l'imaginaire. Autrement dit, de quelque chose qui ne se rapporte pas à une réalité matérielle

concrète, mais la dépasse et nous met en position de rêver. Rêver au rythme du poème,avec l'idée d'une liberté accrue

par la poésie. C'est une sensation que je retrouve tout aussi naturellement dans la musique, dans la peinture ...

Il me semble en fait de compte que tous les arts ont quelque chose à nous apporter.

Je ne crois pas que chacun d'eux en particulier puisse prétendre à la réalité universelle, car les goûts et les perceptions

nourrissent la différenciation - même si certains artistes semblent au-delà des particularismes.

Au delà des distinctions se dresse l'idée qu'il faut qu'il y ait de la musique, de la peinture, de la poèsie ...

Cette idée , je la crois, elle, universelle.

Et je constate, avec beaucoup de plaisir, que nous vivons dans un monde de plus en plus inter-connecté en matière d'art,de musique, de peinture, ce qui me conforte dans l'idée qu'il y a de l'universel révélé dans l'art, né de cette aspiration à la beauté que nous avons en partage.

 

Tous comptes faits ou presque ( Stéphane Hessel).

 

 

Merci à vous tous et toutes Amis d'Arts et Letttres .

 

Amicalement .

 

Liliane .

 

 

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