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Les traits d'union

 

 

Les traits d'union

 

Les traits d'union sont importants,

Accords de mots, accords du temps,

De nos couleurs et de nos sons,

Une harmonie dans nos chansons

 

Cette harmonie elle est humaine,

Elle est complexe et souveraine,

De grandes bourrasques dans nos hivers,

Peur d'abandon dans l'univers

 

Certains d'union sont discordants,

De désaccord des instruments,

L'enfant détruit dans son enfance,

A toute sa vie des discordances

 

A chaque instant peut arriver

Une explosion dans la tranchée,

Sans prévenir et sans raison,

Comme une fausse-note dans une chanson

 

L'arabesque de ta vie

Était devant l'école

Tout petit tu l'as dit,

Tu n'as qu'une parole *

 

Les traits d'union aléatoires

Menant au fond de ce couloir,

Ce labyrinthe de nos souffrances

Où sont enfouis toutes nos errances

 

Au tourniquet de nos questions,

Qui peut comprendre nos intentions

Tournant en rond soleil couchant,

Le monde revient à chaque instant

 

 

 

 

 

L'arabesque de ta vie

Était devant l'école

Tout petit tu l'as dit,

Tu n'as qu'une parole *

 

Le 12-1-2024

 

12361854696?profile=RESIZE_710x*Tu avais annoncé à ta mère c'est écrit ici il n'y a pas de place pour moi dans cette école...! Et Tu n'es jamais entré ni dans l'école ni dans la société!!

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Dans la salle du musée

 

Dans la salle du musée

 

Dans la salle du musée

Il y a le néant,

Toiles noires accrochées

Montrant la mort du temps

 

Univers dépourvu

Des étoiles de la vie,

Soleil interrompu

Douleurs-cacophonies

 

Dans la salle du musée,

Les ombres somnambules,

En mémoires du passé

s'enlacent et déambulent

 

L'enfant interpelé

Par le flash du destin,

Un masque est éclairé

Lui montrant le chemin

 

Sortir du sombre à travers l'art,

De ses ténèbres, du désespoir

Vers sa lumière, le grand soleil,

Sortir vers soi d'un grand sommeil

 

Dans la salle du musée

D'autres toiles exposées

S’incarnent et prennent vie,

Éden et paradis

 

Il connaît ces tableaux

Signés de lui Marco

Et malgré son grand âge,

Il entre en leurs rouages

 

Sortir du sombre à travers l'art

De ses ténèbres, du désespoir

Vers sa lumière, le grand soleil,

Sortir vers soi d'un grand sommeil

 

12361040691?profile=RESIZE_710xle 24-12-2023

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La fée du soir


Fée — Wikipédia

Souvent le soir dans ma chambre quand tout s’éteint,
Et que de pâles lueurs au loin déclinent,
Il me semble voir à la cime des pins,
Danser une âme blanche en mousseline.

Alors dans mes bras tendrement je t’enlace,
Sur un manège aux mille fééries,
C’est une valse de joie qui m’embrasse,
Au son des années si vite parties.

Je frôle tes boucles noires parfumées,
Sur ton visage qui m’apparaît familier,
J’y dépose honteusement mille baisers,
Comme tant de pardons méchamment oubliés.

Je ne te retiens pas, peut-être à demain,
Tu me souris, alors la nuit sera belle,
Toutes les fois, chaque soir, je prendrai ta main,
Et gommerai la larme qui te rappelle.

.

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Les souvenirs s'enlacent

 

 

Les souvenirs s'enlacent

 

Les souvenirs s'enlacent,

Patinant sur la glace,

Leurs mélodies grimacent

En se voilant la face

 

Certains guignols en rient,

Sous des nuées d'utopies

Des reflets d'harmonie,

Virtualité de vie

 

Les souvenirs s'enlacent,

Où était donc ma place,

Je me souviens la classe,

Quelques pas dans les traces

 

Je me vois quand je n'ose

Cette horreur de la pose,

J'étais jeune embryon

en pleine ovulation

 

Je ne serais ce remplaçant,

Assis toujours sur ce vieux banc,

Tant mieux pour eux les bons vivants,

J'ai le costume, MAIS JE JOUE QUAND??

 

Les souvenirs s'enlacent,

Revenant en surface,

J'ai refusé la vie,

Tout ce qu'elle signifie

 

J'ai refusé son deuil,

Sa douleur, mon écueil

Je ne suis un doublon,

Qu'elle garde ses chansons

 

Je ne serais ce remplaçant,

Assis toujours sur ce vieux banc,

Tant mieux pour eux les bons vivants,

J'ai le costume, MAIS JE JOUE QUAND ??

 

12360356470?profile=RESIZE_710xle29-12-2023

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Des mots...

Avancer
Jongler avec des fragments de temporalité, morceaux de toile neuve apprêtée pour le pinceau imprévu et imprévisible du destin, parfois multicolore, luisant sous un soleil ardent ou terni par les pluies infinies. Equinoxes de larmes sans lendemains, solstice taillé dans les rochers du jour ou de la nuit, humanité renaissant de lendemains nouveaux. Le tambour résonne des coups du sort puisant inlassablement dans une existence éprouvée, l’espérance.

Muse libre
Ciels mouvants et azurs infinis perdus dans tes yeux.
Danses de brumes et d’aurores perlées sur des horizons en aquarelle, le pinceau coloré du temps en devenir en guise de stylo, tu signes ta poésie et la clos par un souffle ou un baiser. Sculpture éphémère mais intemporelle, délicate, tu t’es faite muse et œuvre à la fois, autrice de ton épopée, sentimentale. L’artiste te contemple mais ne te possède, complicité comme pont et muraille à la fois.

Le vieux phare
Gardien antique d’une mer en suspens, ami d’oiseaux éternels.
L’humanité a perçu ton signal lumineux dans le lointain, symbole de pierre poli par les eaux à travers le tumulte temporel. Guide du poète assoiffé de vers comme du marin perdu dans les brumes et les tempêtes de l’existence. Voyageur immobile s’invitant pourtant au périple, une vie après l’autre.

Vie
Je dessine le futur, je chéris le présent renaissant de poussière et de cendres, je blâme parfois ce qui a été, privilège des maudits vainqueurs, ceux qui se relèvent toujours, comme éternels. Sourires figés sur les masques, rides dans le bois et sous les peintures vives, armure millénaire de l’écrivain ou de l’artiste qui se pare pour la vie, cette valse à temps multiples.

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Filtrage

Un peu assoupi,12360022896?profile=RESIZE_400x
j'écoute les vagues de l'averse,
qui battent fenêtre et toiture,
qui dégoulinent dans le zinc des gouttières.

Dans ma tête s'y mêle un air de Yesterday.

Je rêve et je suis dans un monde ou la musique est un filtre qui assèche la pluie.

Sous la couette, il fait bon.

Nous allons bien.

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Les musiciens

 

 

Les musiciens

 

Les musiciens de nos musées

Attendent leurs muses désabusées,

Car ils sont tous si différents,

A contresens par leurs tourments

 

La poésie et la couleur

Se font la cour par leurs valeurs,

Car chaque son et chaque goût

Sont recodés par leurs atouts

 

Les musiciens et créateurs

Ayant subi un aliénant

Entendent et touchent des odeurs,

Cette fusion est un courant

 

L'âme du traumatisme

Est empreinte de lyrisme

Et ces grands funambules

Résonnent dans notre bulle

 

De la grande porte des intuitions,

Nouveau langage des différents,

Sort leur collier de réflexions,

Montrés du doigt déjà enfants

 

Les musiciens et tous leurs mots,

Artistes peintres des gestes fous

Renvoient à tous la gamme de maux

Que chacun a comme un bijou

 

L'âme du traumatisme

Est empreinte de lyrisme

Et ces grands funambules

Résonnent dans notre bulle

 

12360021688?profile=RESIZE_710xle 5--1-2024

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Je n'existe qu'au port

 

Je n'existe qu'au port

 

Je n'existe qu'au port ,imprégné du grand large,

Mes rêves y prennent vie, contournant les ombrages

Où sont nées mes passions, mes premières vistions,

Cet enfant en mon sein , en est la conception

 

Au bout de la jetée, j'avais juste onze ans,

Je cherchais l'impossible,, quand vint ce cormoran,

Ayant tourné un peu, sur la mer, les bâteaux,

Il s'est posé tout près, déposant cet anneau

 

Je n'existe qu'au port, venant de l'au-delà,

Virtuelle conception, je meurs à chaque pas

Et puis la renaissance, ce phénix de moi

Ressemblant à l'humain, mais n'existe-t-il pas ?

 

En retrouvant l'anneau par simple création,

Mes arts ou l'écriture je retrouve l'intuition

Et cette âme est la seule de ce vivant en moi

Tout ce qui m'environne ressemble à mon surmoi

 

Je n'existe qu'au port, métaphore de ma vie

Et ce cercle divin est lien de paradis,

Le reste est dérisoire, un univers obscur

L'ombre de ma clarté , avec de belles parures

 

12357860454?profile=RESIZE_710xle 7-1-2024

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Toi le génie de bronze

 

 

Toi ce génie de bronze

 

Toi ce génie de bronze et moi le nain de pierre,

Tous deux dans ce grand hall, véranda ou verrière,

Notre sort est scellé, pourtant si différents

Moi gribouillant mes arts, toi musicien géant

 

Nous sommes des remplaçants, cest ce qui nous unit,

De nos frères morts avant, déjà au paradis,

Ce néant à combler, pendant toue une vie,

Allant vers notre étoile, errante aux infinis

 

Toi ce génie de bronze, moi David de papier,

Dans mes carnets du vent, si souvent déchirés,

Sonates et symphonies de mon cher Beethoven,

Ton dieu de l'intuition circulant dans tes veines

 

Dans l'ombre de tes sons j'aperçois la lumière,

Ton âme vibre en la mienne comme dans un sommeil,

Je suis le funambule de ta toile d'harmonies,

Happé et enlacé par l'espoir de survie

 

Toi ce génie de bronze toisant mon ignorance,

Est-ce la vérité ou bien ma résilience

Je suis fétu d'angoisses, agressé par mes peurs,

Mais cet élan vers toi m'emporte de bonheur

 

le 11-1-2024

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Parle moi de toi Josette Gobert

Viens t’assoir près de moi, sur ce banc qui a entendu tant de confidences et de secrets, sur lequel nous avons si souvent rêvé notre vie.
Parle-moi de toi et de ce qui t’obsède, de ce mal qui te ronge, de tes silences assassins.

Parle-moi de moi, de ma peine, de mes sentiments perdus, du temps d’avant et de ces jours présents à ne savoir que faire.

Parle-moi de nous et de ce monde étonnant que nous reformions sans cesse avec tant de ferveur et de la vie qui s'y inscrivait merveilleuse.
Devant ce vieux miroir éteint, l’image jaunie d’un bonheur perdu que le temps des mensonges a effacé.
Toi, moi, et nos mains séparées, égarées dans des vies oubliées, dans des vagues d’incompréhension, d’indifférence.
Parle-moi de cette histoire qui devait durer toujours, que du bout des doigts, elle a touché, troublé mille fois en rêve.
Parle-moi de toi, de moi et de nos désirs engloutis dans le tumulte d’une vie trop active, trop pressée.  De toutes ces années devenues muettes que le renoncement a envahi et détruit.
De ce bonheur facile qui a échappé à nos esprits épris de liberté et qui ne laisse que des plaies douloureuses, de ces départs tueurs qui ont abattu notre histoire.
Parle-moi de ce plaisir perdu, tendre et joyeux qui nous a fait tourner la tête le temps d’été, de ce bonheur cueilli d’espoir et d’amour.
De nos engagements que les jours ont réduits en poussière. De tous ces regrets de n’avoir pas été plus vigilant envers nous-même et d’avoir laissé s’échapper l’essence même de notre vie. Que toi et moi, nous avons précipité dans l’automne de la nuit.

L’image de deux créatures blessées, mutilées qui jouent, frôlent par moment le désespoir et la haine.
Cette façon de cacher au visage du monde le mensonge et l’échec derrière des larmes contenues.

Parle-moi du temps qui nous reste, toi et moi et dis-moi que nous le voulons ensemble malgré tout, pansés, recollés de toute part. Une histoire nouvelle renaissant de cendres encore chaudes.
Parle-moi du printemps qui arrive et de cette douce chaleur qui envahit le monde.
De ta main prenant la mienne sur ce chemin de campagne.

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Mon cher oiseau

 

Mon cher oiseau

 

Mon cher oiseau était déjà

Sur le rebord de la fenêtre

Et je le sais il venait là

Pour faire de moi, un nouvel être

 

Il a bien vu ce que j'étais

Et tout de suite m'a protégé,

Je suis resté sous sa grande aile,

Ma mère tira sur mes ficelles

 

Mon cher oiseau est resté là

Toute ma vie,, mes premiers pas...

Et j'ai grandi je lui dois tout,

Il a été mon garde-fou

 

12353988063?profile=RESIZE_710xle 28-12-2023

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Confusion

La terre et le ciel12347630474?profile=RESIZE_400x

Se confondent.

 

Tout est figé

De gel.

 

Je tends l'oreille

Aux clameurs

De l'immobilité.

 

Je cherche

Une silhouette de vie.

 

J’attends ton soleil.

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Dans le tunnel

 

Dans le tunnel

 

Dans le tunnel des encombrants

Les ombres glissent lentement,

En transhumance indéfinie,

Espèce virtuelle en insomnies

 

Impasse de tout, impasse de rien,

limbes du jour et de demain

Et dans leur sein tu es bien là,

Un corps sans vie à chaque pas

 

Tu es un clone mutant

Avec une âme d'enfant,*

Apparence d'existant,

Mais déjà mort-vivant

 

Dans le tunnel , tu es au fond,

Ton frère jumeau et sa chanson

Ecrite ensemble par nos parents,

Je resterais le remplaçant

 

Mon labyrinthe à contresens,

Désorientant chacun des sens,

Pour compenser j'ai recréé

Dans un sixième : virtualisé

 

Tu es un clone mutant

Avec une âme d'enfant,

Apparence d'existant,

Mais déjà mort-vivant

 

le 2-1-2024

 

12347190260?profile=RESIZE_710x*Celle de mon frère et la mienne

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La liberté de quoi

 

La liberté de quoi

 

La liberté de quoi,

La liberté de qui,

Tout au bout de son bras

Tient-elle le paradis?

 

Cette grande statue

Au cœur de Manhattan,

Je ne l'ai reconnue,

Serait-elle sœur Anne ?

 

La liberté de quoi,

Que pouvons nous en faire,

Est-ce une image ou pas

Ou bien une chimère

 

Les spirituels dollars

S'envolant de sa bible,

Des logos de bazar

Ont fait de nous leurs sibles

 

Et tout au fond cette lumière,

Petite étoile imaginaire,

Dans le creux de ma main,

Ouvre la porte de mon destin

 

La liberté de qui,

Le bonheur d'une vie,

Virtualité d'un dieu,

Pacotilles à mes yeux

 

Mais je vois dans son phare

Le dessin d'un espoir,

Liberté d'être moi,

Il n'y a d'autres choix

 

Et tout au fond cette lumière,

Petite étoile imaginaire,

Dans le creux de ma main,

Ouvre la porte de mon destin

 

12346848260?profile=RESIZE_710xle 30-12-2023

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Sur le banc d'horizon

 

 

Sur le banc d'horizon

 

Sur le banc d'horizon, les ombres ont bien vieilli,

Les douleurs et l'amour s'en vont à petits cris,

L'écho des profondeurs résonne dans tes yeux,

Le gris a envahi l'immensité des cieux

 

Le ballet des oiseaux déchire l'onde du vent

Et l'angoisse assombrit la beauté du couchant,

L'hiver git en ton âme comme une brasier éteint

Et dans ses cendres blanches te revient le refrain

 

Sur le banc d'horizon tu revois cet enfant,

Dans la cour de l'école tu n'étais qu'encombrant,

Dans les cascades de rires, des gamins de la vie,

Ton ressort affaissé et ton âme envahie

 

Les feuilles sont tombées de ton vieil arbre assis

Et tu entends des bruits sur l'asphalte jauni,

Les saisons ont tourné sur le manège du temps

Cet enfant te sourit car son oiseau est grand

 

Sur le banc d'horizon de ce grand tourniquet,

Tourbillon t'a rejoint car l'horloge a tourné,

L'amour ne suffit pas pour te faire renaître,

Seulement un miracle, elle en a un peut-être

 

12345710473?profile=RESIZE_710xle 23-12-2023

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Tranquilités

Devant moi,12344768667?profile=RESIZE_400x

Un plan d’eau tranquille,

Autour de moi,

Un air tranquille,

Plein mes yeux,

Une lumière tranquille,

 

Dans ma méditation,

Un visage tranquille.

 

Je vais bien.

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Sur l'escalier du temps

 

Sur l'escalier du temps

 

Sur l'escalier du temps

La bille fait l'enfant,

Elle descend au tempo

De la couleur de l'eau

 

Nos mirages visuels

Dans un rêve virtuel

Apparaissent en reflet

De nos ombres éclairées

 

Sur l'escalier du temps

Le mouvement nous fuit

Et pas plus que le vent

On ne retient la vie

 

Pas plus que les nuages

Nous retenons nos âges,

Nos univers s'en vont

Et passent les chansons

 

Nous sommes liés à la cadence

De nos désirs dans l'existence,

Ces quelques marches des descendance,

Alors vivons sans discordance

 

Le refrain nous revient

Comme elle saute plus loin,

Son cliqueti précieux

On l'entend dans nos yeux

 

Sur l'escalier du temps

Notre reflet s'en va

Emporté par l'élan

Le soleil n'est plus là

 

Nous sommes liés à la cadence

De nos désirs dans l'existence,

Ces quelques marches de descendance

Alors vivons sans discordance

 

12344081277?profile=RESIZE_710xle 21-12-2023

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Aller-Retour

Mille fois vous êtes partie12342920885?profile=RESIZE_400x
en de trop proches voyages.
Mille fois j'ai été
de plomb.

Mille fois vous êtes revenue,
en de si lointains voisinages.

Mille fois j'ai été
de fragile cristal.

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Circulez circulades

 

Circulez, circulade

 

Circulez, circulades, arabesques d'Hérault,

Villages de nos amours, reflets dans mes tableaux,

Saint Etienne, Montpeyroux, bergerie de nos cœurs,

Le père de ma compagne , cet homme du bonheur

 

Et nous avons trouvé, enfin le petit nid

Devenu peu à peu le plus beau paradis,

Horizons merveilleux et à perte de vue

Aux horizons du vent les anges m'ont reconnu

 

Circulez, circulades, au village de Paulhan,

Sur la place des platanes où s'égrène le temps

En parlant aux oiseaux mes amis de toujours

Déambulent des vies, leurs chagrins, leurs amours

 

Et que la fête commence et leurs ombres reviennent,

Les mémoires disparues d'une valse de Vienne,

Ce sont d'anciennes mémoires elles vont, glissant, tournant

Et dans ce mouvement je découvre le temps

 

Circulez, circulades, mon oiseau était toi,

Celui de mon école qui me parlait tout bas,

C'est bien toi démasquée et nue ma Tourbillon,

Toi qui m'a fait renaître je n'étais qu' embryon

 

12342728668?profile=RESIZE_710xle 15-12-2023

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ADMINISTRATEUR GENERAL

Mes bons vœux aux membres du réseau...

Chères amies et amis du réseau,

En cette fin d’année ce constat !

Dans ce monde hyper connecté, à tous les niveaux, les gens ne se parlent presque plus entres eux. Nous sommes tous dans notre petit monde personnel et nous souhaitons que le Monde change sans toutefois changer notre monde intérieur. Rien ne peut changer si l’on ne change pas notre façon de faire, en nous-même, avant de vouloir changer les autres et le Monde. Tout part de notre microcosme (humains) pour se développer ensuite dans le macrocosme (humanité) !

Nous n’apprenons pas de notre triste passé pour nous élever un peu plus pour un Monde meilleur… 

Il faut accepter de s’aimer pour aimer et aimer pour être aimé.

Belles fêtes de fin d’année et une excellente année 2024 pleines de joies et d’amour en vous et autour de vous…

Jerry Delfosse

Administrateur général du réseau Arts et Lettres 3.0.

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