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Sciences (3)

administrateur théâtres

Image may contain: one or more people and people standingLes femmes savantes au théâtre des Martyrs (Bruxelles)

Un délire organisé qui fait du bien!

De tous les Trissotins que nous ayons pu voir il est de loin le meilleur. Le plus manipulateur. Grand mince et ténébreux, sans la moindre trace de perruque ou de ruban, les tics de richesse tant appréciés du temps de Molière, il se présente avec l’habit de …Baudelaire? Sans en posséder le moindre tissu poétique. Mais ces dames sont sous le charme et frémissent de tout leur être devant le trompe l’œil et le trompe les coeurs, qui n’en veut qu’à la fortune familiale! Ah le triste suborneur! Il faut nommer Stéphane Ledune pour une interprétation réellement glaçante.

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Le dieu des dames femmes sachant « manier les symboles et les signes » s’appelle Vaugelas. L’illustre grammairien. Ces femmes avides de pureté janséniste, frétillent à la moindre rime, conspuent les syllabes ordurières, picorent les insanités, se repaissent de verbosité. Elles s’apprêtent au coup de foudre pour le Grec ancien (Maxime Anselin) , non contentes du galimatias latin. Gavées de formules scientifiques, elles font fi des valeurs pourvu que, dames intensément frivoles, elles soient sujettes aux honneurs des savants esprits.

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Peste soit l’animal, le mari qui n’a rien à dire, perd sa seule alliée des bonheurs terrestres, la très avantageuse Sylvie Perederejew jouant Martine que l’on met honteusement à la porte pour simple crime linguistique. A Dieu le parler vrai, la bonne chère, les petits plats dans le four et la grande joie de vivre. Heureusement que le pater familias dont il ne porte guère que le nom, a un compère à ses côtés, le plus exquis des frères, Ariste ( un très aimable et aristocratique Laurent Tisseyre) qui l’écoute et qui, par son habileté et sa belle intelligence, le tirera de son infaillible trépas!

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Mais le colloque féminin serait bien fade sans la présence fulgurante d’une véritable sexbomb nommée Bélise (l’explosive France Bastoen) dont les émois à répétition feraient réveiller les morts. Et puis il y a la guerre entre les deux sœurs, jalouses de toute évidence! La grande, c’est Armande (Lara Ceulemans ), en col Claudine et robe religieuse bleu Marine, fort courte ma foi, autant que les idées, mais baignée dans une chevelure à faire baver les vieillards en quête de Suzanne. Et la sœurette, Henriette (Salomé Crickx), des airs de révolutionnaire qui refuse l’ascendant maternel, une mystérieuse fille de l’air, qui, blême de confusion, préférerait être muette que de braver les confrontations. Notons que le discours acéré lui vient, comme l’esprit vient au filles, au fur et à mesure que l’intrigue avance et que l’amour grandissant qu’elle éprouve pour Clitandre fait le jour … et sans doute la nuit. Ce dernier se voit bien sûr honni par la très féministe académie domestique doublée d’un impitoyable tribunal .

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On en vient donc à nos deux préférés : Clitandre (Dominique Rongvaux) , le futur beau-fils qui, très loin de se laisser faire, vient bravement se mêler au public dans la salle. Et son nouveau père, le très épicurien Benoît Van Dorslaer qui tout au long de la pièce, doit opérer la difficile conversion du mari terrorisé par sa femme, vers une condition d’homme libre, heureux de vivre. Mais qu’il est donc difficile de franchir cette porte qui l’anéantit! L’ état à atteindre, c’est l’idéal d’honnête homme, bien-sûr! Toutes le pièces de Molière en témoignent. Avouez que cet homme aurait dû être canonisé au lieu d’être jeté à la fosse commune. Comme le public se régale!

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Le metteur en scène qui œuvre au mandala de personnages a un sens de l’équilibre parfait. Chaque pierre ajoutée à l’ouvrage a du sens et du poids. Toutes les forces se rencontrent et se tiennent comme pour encourager un écho durable chez le spectateur. L’absence de décor conventionnel d’une vraie maisonnée souligne combien le décor est futile dans nos vies. Le metteur en scène s’inspire du principe de frugalité shakespearien au profit d’un travail magistral sur l’analyse psychologique, fouillée au maximum. Comme pour un hui-clos moderne, voilà un mur. En panneaux de contreplaqué, de couleur brute, le bruit de la craie blanche pour écrire, une porte de vielle salle de bain percée de trois carreaux absents, ouverts sur le néant et deux chaises de bois peintes en blanc. Une perspective plate en deux dimensions, sol et mur. C’est Tout. Il faut nommer le roi de la fête du rire délectable: Frédéric Dussenne.

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Au fur et à mesure que les actes se déroulent, le décor se ressert, un plafond de même texture vient même s’emboîter, la troisième dimension? La part manquante? Enlevé c’est pesé, a-t-on jamais vu une interprétation de Molière plus éternelle que celle-là? L’éphémère est devenu visionnaire. Le féminisme pourtant balbutiant chez les femmes de Molière y trouve son compte et le pauvre mari que l’on prend en pitié est bien ridicule quand-même dans sa tirade de la place de la femme à la maison! C’est tout l’art de dire, de suggérer, de sub-liminer.

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Quel dépouillement, ce lit de fer blanc, seul nouveau meuble habillant le plateau après l’entracte. Il évoque tout à la fois la lointaine ruelle dans laquelle les femmes de lettres accueillaient les courtisans dans leurs salons, mais aussi le harcèlement pathétique dont fait preuve un Trissotin digne d’ enfermement. Il n’a finalement rien pour lui, comme le souligne très bien Hélène Theunissen (Philinthe). Il peut à peine à se maîtriser devant une Henriette plus qu’inquiète devant ses assauts répétés. Trissotin, la pierre qui blesse ? On la jette dans la rivière et on garde tout le mandala dont chaque élément a une saveur policée par les vents de l’esprit et du cœur. Et vive Madeleine de Scudéry! Et la langue de Molière, dis ? La langue? Comme la fleur, il nous l’a donnée! (d’après …France Gall!)

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Dominique-Hélène Lemaire

GÉNÉRIQUE DU SPECTACLE
TEXTE Molière
JEU Maxime Anselin, France Bastoen, Lara Ceulemans, Salomé Crickx, Stéphane Ledune, Sylvie Perederejew, Dominique Rongvaux, Hélène Theunissen, Laurent Tisseyre, Benoît Van Dorslaer
DÉCOR Vincent Bresmal
COSTUMES Romain Delhoux
LUMIÈRES Renaud Ceulemans
RÉGIE Christophe Deprez
MISE EN SCÈNE Frédéric Dussenne

Ridicules, ces femmes savantes ? « Je prends au contraire au sérieux le débat philosophique qui les agite » « L’enjeu, pour Philaminte, Armande et Bélise, est d’importance, car il ne s’agit pas moins que du statut des femmes dans une société patriarcale, et leurs propos ne sont pas dépourvus de sens.»  F.D.

COPRODUCTION Théâtre en Liberté, L’acteur et l’ecrit – Compagnie Frédéric Dussenne, LA SERVANTE, Théâtre des Martyrs 
Photos : Isabelle De Beir

DATES
Les représentations auront lieu du 15 au 26 janvier 2019.
Les mardis et samedis à 19h00, les mercredis, jeudis et vendredis à 20h15, le dimanche 20.01 à 15h00.
Bord de scène mardi 15.01.

INFOS & RÉSERVATIONS
02 223 32 08 – http://theatre-martyrs.be/

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administrateur théâtres

ESPRIT FARCEUR, ES-TU LÀ? (BLITHE SPIRIT)

Quelques mots-clés : Fantômes, mariages, séances de spiritisme,  au-delà,  mort,  sciences occultes, domesticité, médium, excentricité, épouses, Angleterre, écrivain, romancier, Blithe Spirit!

Cette authentique  comédie anglaise  se voit incarnée par une authentique comédie belge - La Comédie de Bruxelles. La ghost story  a cartonné au Centre Culturel d’Auderghem, habitué à programmer du 100% parisien. Le récit foldingue de l’improbable farce de Noël Coward y est évidemment pour quelque chose.  Brillant, intensément drôle et classique, le drame fantaisiste  « Blithe Spirit » date de 1941 et  n’a jamais cessé d’être joué dans le monde anglo-saxon depuis sa création mais ne l’avait jamais été en Belgique. 

  "I will ever be grateful for the almost psychic gift that enabled me to write Blithe Spirit in five days during one of the darkest years of the war! " - Noël Coward. 

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Cela se passe dans la très belle et opulente  maisonnée britannique  où habite le  couple Condomine, servi par une jeune domestique désopilante, Edith, un personnage complètement siphonné! De quoi introduire adroitement le spectateur dans le surréalisme et les  stéréotypes de la bourgeoisie féodale. Charles, l’écrivain en mal de plume, fait venir avec la complicité de sa femme, un médium, Madame Arcati,  pour recueillir l’inspiration  pour ce genre de personnages dans son dernier roman. Il compte observer transes, astuces et ficelles afin de les réutiliser dans ses écrits. Un couple d’amis, le Dr et Mme Bradman  est invité pour le jeu de spiritisme qui sera bien plus crédible si on est plusieurs ! L’étude de caractères n’en sera que plus riche !  

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Au fur et à mesure on  découvrira que l’arroseur est finalement arrosé. Quand la table se met à tourner… les déclencheurs de phénomènes paranormaux font d’un coup (ou de plusieurs) face à  plus surnaturel qu’ils ne peuvent maîtriser.   Sur le plateau, se déroule donc un exercice de psychologie systémique avant la lettre, car on change un élément et hop! toute la chaîne est affectée! Les relations du couple sont sans dessus dessous, des vérités fantômes  apparaissent, des vengeances et des preuves d’amour (ou  non) sèment la discorde, car la boîte de Pandore a été malencontreusement entr’ouverte!   L’épouse de Charles,  la colérique Léa, devra se faire à la présence d’un fantôme très encombrant: la belle Elvira, ou réussir à s’en débarrasser! Mais comment peut-on dématérialiser des esprits ? Les quiproquos, les exorcismes se mêlent aux  effets surnaturels visuels  qui se déchaînent, les sortilèges de docteurs et de médiums s’entrechoquent, le public rit aux larmes  tout en  dégustant la perfection de la mise en scène (Daniel Hanssens). 12273205474?profile=original

La production met en vedette une  distribution  éblouissante emmenée par son directeur Daniel Hanssens. La plus palpitante, c’est Blithe Spirit, Elvira la défunte épouse de Charles (Laurence d'Amélio), bourrée de charme et d’esprit (Logique !). La plus marrante, c’est Léa,  la grinçante épouse dominatrice de Charles (Laure Godisiabois). La plus sauvage, c’est  la voyante  qui vient à vélo (Catherine Claeys).  ... La plus inénarrable, c’est Edith, la domestique qui de confusion, avalerait bien son tablier (Christel Pedrinelli)! La plus parfaitement idiote et excitée, c’est Cécile Florin la femme du médecin (un docteur très bien campé, Victor Sheffer)! Ce Quintet féminin a du souffle, de la fantaisie, de l’inventivité et de l’à-propos. Il fait preuve d’une vivacité sans pareille, dans l’une des  comédies les plus excentriques et les plus malicieuses du patrimoine anglais moderne… ! Et le personnage  masculin principal ? Le bigame astral est incarné par l’excellent  Pascal Racan. Il s’en va, sur la pointe des pieds: "Good-bye again! Parting is such sweet sorrow!" Une habitude, chez Noël Coward, qui en profite toujours à la fin  pour libérer ses héros masculins de l'emprise féminine! Et le plus drôle? C'est le plateau qui vous le dira! 

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https://en.wikipedia.org/wiki/Blithe_Spirit_%28play%29 

 

Vous voulez lester votre  fin d’année 2016 d’une charge de fantaisie émotionnelle palpitante? Tout y est et tout  vous plaira!

COMÉDIE DE NOËL COWARD / DU 6 AU 31 DÉCEMBRE

Mise en scène et adaptation française : Daniel Hanssens

Avec Pascal Racan, Catherine Claeys, Laure Godisiabois, Laurence d'Amélio, Victor Scheffer, Cécile Florin, Christel Pedrinelli. 

© Crédit photo : Grégory Navarra

Achetez vos tickets

http://www.comediedebruxelles.com/spectacle/esprit-farceur-es-tu-la-blithe-spirit-.html

La Comédie de Bruxelles (ex-argan42) est une compagnie de théâtre créée par le comédien Daniel Hanssens  qui produit ses spectacles dans différentes salles bruxelloises. www.comediedebruxelles.be -- 02/560.21.21

 

 CENTRE CULTUREL D'AUDERGHEM

   2016-12-10

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20:30

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 CENTRE CULTUREL D'UCCLE

   2016-12-16

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20:15

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15:00

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administrateur théâtres

A mi-chemin entre deux réalités : Cinéma ou Théâtre ? Italie ou Europe-la-nordique ?  Comédie ou leçon de philosophie ?  Entre deux théories: le Big Bang ou la théorie de l’état stationnaire ? Entre deux visions du monde : celle de l’homme, celle de la femme ? La transhumance ou le home sweet home ?

  12272868278?profile=originalLe décor est d’un réalisme enchanteur. Nous sommes au pays du Brunello. Le village en plein ciel se situe sur une pente escarpée. Une Fiat 500 a été abandonnée par trois voyageurs étranges au pied de la colline abrupte. Un éminent cosmologiste belge Monseigneur Georges Lemaître et son collègue le britannique Fred Hoyle accompagné de sa femme Barbara Clarke, tous  personnages ayant existé, débarquent sur la place du village, au pied de l’antique  pompe à bras devant l’auberge des voyageurs.  Il n’y a  pas de téléphone, juste des cigales éreintées par le soleil de midi,  année 1957.

Virgilio, l’aubergiste a du mal à sortir de sa sieste. Mais c’est l’Italie, le bon vin et le respect de la robe, qu’elle soit ecclésiastique ou féminine, auront vite fait de lui rendre ses dons d’hospitalité. Langue locale, jovialité, bonne humeur, vin blanc, musique (de film !), voilà le début d’agapes réelles  autour de nourritures autant  terrestres que célestes. De quoi mettre en appétit le spectateur qui va assister à un duel verbal de hautes sphères, entre les deux éminences scientifiques.Chose peu commune au théâtre.

 12272868873?profile=originalMonseigneur Georges Lemaître en route pour le Vatican est à la veille d’aider le pape Pie XII à rajuster de malheureuses prises de position concordistes à propos des nouvelles théories du Big Bang. Son collègue Fred Hoyle  le taquine et de brillants échanges fusent entre  les adversaires.   Une façon indirecte  de monter que le « disputare » n’aboutit pas nécessairement à la « disputatio »Il y a  disputes et disputes.  Cela semble être une des intentions de l’auteur Jean-François Viot.

Monseigneur Georges Lemaître, père scientifique de « l’atome primitif »,  distingue la notion de « commencement » de celle de « création », la première étant une entité physique, la seconde un concept philosophique. Il ne veut en rien mêler Dieu à la science. « Dieu ne se prouve pas, il se trouve ». Sir Fred Hoyle lui, n’a pas eu l’heur de trouver Dieu, il n’a trouvé que la femme, avec qui éclatent de belles crises domestiques. En effet, « Monsieur le savant toujours absent » donne la migraine à l’hyper-sensible Barbara (Maud Pelgrims) et la fait sortir de ses gonds sous ses apparences de jeune dame rangée des années 50.  Les crises cycliques de sa femme sont bien à l’image de la  théorie de  « l’état stationnaire » prônée par son (tendre ?) mari, postulant qu’à une large échelle, l’Univers est partout le même, qu’il l’a toujours été et qu’il le sera toujours.

 Empoignades scientifiques et domestiques alternent avec des leçons de science extrêmement ludiques et illustrées. Les postures et les déplacements  et les silences éloquents des deux hommes de sciences, si opposés physiquement et mentalement, sont une source de comique inépuisable. La prestance de chat mystérieux de Alexandre Von Sivers en soutane  et  l’accoutrement du malicieux François Sikivie en costume anglais font pouffer de rire. Virgilio l’aubergiste (Grégoire Baldari), un nouveau dans la Commedia dell’Arte ?  se prête gracieusement à l’exercice de pédagogie active qui utilise ballons et grains de riz. Massimo (Michael Manconi), son  jeune neveu,  est tout aussi drôle et réaliste.  Imperturbable, Virgilio  sert généreusement  les cantucci et le vin de cette messe scientifique, comme au cinéma.

 

Une pièce savante et marrante quand même, un curé débonnaire, un mari qui ne manque pas d’airs, et l’homme toujours, comme toujours il l’espère : sur le devant de la scène, immuable tableau! Dans une Toscane de rêve.

Soulignons enfin que la mise en scène est signée Olivier Leborgne. Une aventure où l’excellente scénographie d’Edouard Laug et la construction du décor par l'équipe de Marc Cocozza, Christophe Beaugé et Mathieu Regaert sont des éléments indispensables au spectacle, sans compter la poésie des lumières de Laurent Béal.

http://www.atjv.be/fr/saison/detail/index.php?spectacleID=496

Une production de l’Atelier Théâtre Jean Vilar et du Festival Royal de Théâtre de Spa.

Exposition Georges Lemaître présentée par les Archives Georges Lemaître (UCL) : Panneaux et vidéo sur le parcours de Georges Lemaître, accessibles lors des représentations.


Dimanche 24 février : l’ATJV soutient CAP48. Réservez vos places au profit de l’opération ! www.cap48.be

19 au 24 février 2013 Théâtre Jean Vilar
Durée : 1h30

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