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Qui mérite le nom d'ami?

                                                                       

Des pissenlits aux fleurs rieuses

Sont plus nombreux chaque matin.

Ils envahissent nos jardins,

Ce, d'une manière hasardeuse.

 

De nos jours, ainsi prolifèrent,

Tous les amis de nos amis,

Des inconnus qu'il est permis

De tutoyer comme des frères.

 

Qui sont ces nombreux arrivants,

Êtres qui étaient en attente?

Privés d'intimes, ils en inventent

Afin de se sentir vivants

.

La Fontaine, dans une fable,

Nous révéla sa volonté:

Préférer et se contenter

D'un ou deux convives à sa table.

 

L'ami est celui qui se tient

À nos côtés et nous regarde.

Il s'attendrit, nous met en garde,

Nous critique pour notre bien.

 

Comment réserver ce doux nom

À ceux que nous savons fidèles,

Dévoués, sans faire de zèle,

Dont l'attachement est profond?

 

7 mai 2013.

 

 

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Partenariat pinceau-plume avec Andrée Hiar

 

L’or n’est pas jaune, mais bleu d’eau pure,

Bleu  glacier  de  vie  pareil à l’or des yeux,

Trouvant  les  neiges vierges  d’aventures, 

Comme  on  découvre  un trésor fabuleux.

Les  icebergs  errants  fondent  en  glaçons,

Dans le bain trop chaud d’une serre immense,

Créée  par  l’humain  toujours  voraçon,     

De  l’inutile  surperformance.

 

Tel un phénix blanc qui renaît des glaces,

Le  flot  s’écoule  tout  en  gazouillant,

Sa vraie  richesse  que l’homme lasse,

En  vil  prédateur,  nocif  et  grouillant.

 

Inlassablement  le  flux  monte  et  noie,

La  terre  d’amour  pour  du  superflu,

Qui nous écoeure, nous laissant sans joie,

Snobs et dédaigneux pour ses attributs.      

 

Notre  survie fond  sans  faire  de  bruit,

En  se  liquéfiant  se  meurt  peu à  peu,

Charrie,  moribonds, ses  enfants trahis,

Coule notre avenir sans sauve-qui-peut.

 

L’or n’est pas jaune, mais bleu d’eau pure,

Bleu  glacier  de  vie  pareil à l’or des yeux.

 

 

Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.12272894863?profile=original

Un partenariat

Arts 
12272797098?profile=originalLettres

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Les Masques

 

Des ténèbres sortent les masques
Qui derrière se cache
Un voile se lève
Regards discrets
La magie disparaît

Des ténèbres sortent les masques
Qui derrière se cache
Regards figés
On aime se déguiser

Des ténèbres sortent les masques
Un loup flasque
Plein de frissons
Se dévoile dessous son camouflage.


Dominique Prime 7 mai 2013

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A PLUS TARD

Ouf ! Un peu de repos et farniente.

-   Demain midi, je partirai 4-5 jours chez mon amie Michèle Pouilly

qui a illustré mon livre en cours de finitions, une artiste très haut niveau,

pour les Pyrénées bien plus au sud de Carcassonne

(et donc sans interférence avec un passé pseudo familial peu sympathique clos depuis des années).
 

Étant sur le front à ce sujet depuis fin janvier, avec conception puis réalisation d'édition finales

qui ont exigé mes vacances de Février et Pacques, je vais goûter cette détente :


Ce livre illustré avec aquarelles originales comme toujours sur mon texte poétique

sera mon quatrième bébé en propre : "La petite fille à la lanterne" qui promet.


Je penserai à vous en allant dire bonjour à la Belle Bleue ou depuis les hauteurs lumineuses où habite mon amie !

-  Ensuite Panam encore 4 jours : dernières mises au point avec mon collaborateur,

Dom, qui a fait le livre Etoiles, avant envoi à l'imprimerie.

Alors, belles fêtes à vous d'Ascension et Pentecôte.
 

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Un défi..

Dans la créativité journalière il s'installe parfois une routine de ce que l'on sait faire, parfois dans un élan se crée sur la toile  un Ailleurs"que l'on ose partager aux regards, l'un d'entre eux s'est posé il s'en est suivi un poème que l'on osait espérer...de là s'installe un duo, une complicité, le poète répond à nouveau attentif à la toile,  il en sort "Complicité en duo"qui donne encore plus de vibration à la toile, la soutenant , l'épaulant chaleureusement et là c'est le défi pour la troisième toile, bouclant la trilogie... L'artiste peintre doute, s'interroge sa toile, sera telle à la hauteur du poète qui attend patiemment pour construire son "songe" lui donnant son identité en ses mots bien à lui sur "Résonance lunaire"

Et puis moment de grâce le poète se réjouit de ce qu'il a écrit, le peintre est encore émue et le remercie..

.La trilogie n'est pas complète il lui faut des appuis pour oser la montrer et là les mains s'activent, le Maestro aussi,  ravie de ce qu'il a donné et partagé...

Voilà c'est l'histoire d'un défi très important pour moi  et ceux qui l'on crée, soutenu que je voulais partager avec vous.

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En lui, j'appréhendais ma secrète blessure.

Ainsi devenait-il mon frère. Ce qu'il nous montrait, de sa révolution intime, avec tant de simplicité, je l'avais mille fois souffert, sangloté, hurlé. Lui, il le disait mieux que moi. Il le chantait, comme une évidence.

Avec une économie de gestes, bouleversante.

L'art, c'était -je le savais- de transcender le drame intime. Celui de générations d'êtres vivants, depuis la nuit des temps. Et l'indiscret projecteur, braqué sur lui pouvait bien la livrer, cette fêlure, au monde entier. Et la mienne, demeurer secrète.

Nous avions cela, en commun. Les mots. Lui, la musique l'accompagnait. Jadis, la musique m'avait inspirée. A nouveau, comme au détour des paillettes et du décor, je la percevais, cadeau de l'imprévu ! 

En quel lieu de nous-même résidait le gouffre? Etait-il né avec nous, était-il plus ancien que nous? De quoi s'était-il alimenté? De notre trompeuse insignifiance? De notre pauvreté? De la difficulté d'être? D'être soi? Comment l'avions-nous abordé? Apprivoisé? Surmonté? J'avais passé des heures de ma vie à écrire. A lire. A peindre avec fureur et peine. Dans la solitude de ma maison. Et lui, il chantait. Partout. Mais nul ne le savait. Et pour moi, tout d'un coup, il a été tard, trop tard. Mais qu'importe? C'est ainsi. Ce fut ainsi. Je l'ai accepté.

Pour moi, mais pas pour lui.

Alors, quand je l'ai vu, et écouté, avec tout ce qui émane de lui - et que je sens tellement proche de moi, j'ai eu envie de dire merci. De dire combien il m'a émue. Et de répéter qu'il est heureux, et bon, que la jeunesse s'empare de ce flambeau-là pour le porter au-delà de nous.

Voilà, j'ai chaud au coeur. Depuis quelque temps, il offre -sans s'en douter- des plages d'émotion. Je sens la vibration, là, au creux, chaude et sensible. Et même si mes mains restent vides, désormais, vides de couleur, vides de mots, le monde, lui, continue et continuera de vivre par cette respiration, la sienne, et, par des millions d'autres, encore et encore! Dans le frémissement des violons, la succession des tempo, le fracas des cordes et les vives lumières de la scène.

Le monde! Mon univers, unique, sacré: celui de la passion faite art...

Faite voix.

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A N A L P H A B E T E

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J’écris mal

Ce feu de tes yeux en délire

Et cette sueur sous tes bras

Et sur ton corps et cette mousse

Intime et qui me fait vibrer

Je fais ce que je peux

J’écris

 

 

J’écris mal

Nos matins clairs de soubresauts

Sur nos nuits à jeun et ouvertes

Comme tes fruits

Amour splendide et nue offerte

Comme fruit fendu

Défendu

J’écris

 

 

La trace de nos corps comme un signe

Au creux des vives galaxies

Dont ne meurt la lumière

Qu’après des siècles et des siècles

Et dont se rêve la distance

Si proche si lointaine

 

 

Amour murmuré

Amour muré

 

 

J’écris

Tes cris

Mais mal

(inédit)

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" Orchidée " aquarelle d'Adyne Gohy

 

Prélude

 

Orchidée papillon,

Fleur de passion,

Tes ailes graciles,

Calmes et indociles

Légères se lissent.

Tes couleurs ravissent

Mon cœur délicat

Couleur grenat,

Ourlées au Jardin d’Eden

Par une nature magicienne,

Tes symphonies enchantent

De courbures lentes

Nos séjours tempérés.

Hampe sacrée,

Lumière tropicale,

Feu de vestale,

Ta sensualité colore

Nos hivers inodores.

Sous ton regard, j’entends

Un violon envoûtant.

Notes et parfums…

Musicalité d’un matin.

 

Sandra Dulier

 Un partenariat

Arts 
12272797098?profile=originalLettres

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Vingt minutes de terrorisme

 

Apeurée mais pas en danger,

Pendant la fureur d’un orage,

Faisant croire à la folle rage

D’un dieu brutal qui se vengeait.

Il envahit soudain l’espace,

Le transforma en chutes d’eau,

Fit trembler comme des roseaux

Les érables me faisant face.

La lumière neutralisée,

Je ne voyais plus devant moi.

Lors, bien qu’à l’abri sous mon toit,

Je n’étais pas sécurisée.

Vingt minutes de terrorisme,

Pour foudroyer sur leur chemin

Des animaux ou des humains,

Puis l’arrêt du machiavélisme.

La lumière qui resurgit

Devient dorée, exubérante,

Métamorphose époustouflante.

Elle me comble, me ravit.

Montréal 16 août 2007

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Renaissance de Vénus.

12272891456?profile=originalRenaissance de Vénus

Perfection de l'ovale

Quand le beau le dispute à l'étrange

Ether, éternité, part des anges

Aux nues portées que ses yeux avalent

Tête penchée, toute de bonté

De tendre compréhension

Sans ostentation ni affliction

Limbe doré, lumière diffusée

Transparence des chairs, mains esquissées

De sa gorge aux colombes

Aux voiles moulées par l'onde

Secrets enfouis par sa bouche murmurés

A qui sait l'entendre,

Armé de sa seule patience,

Ingénuité, humilité, innocence

Couronne tressée au cour du Tendre

Retour à Sienne, aux sources

De ce visage illuminé

Image de pinacothèque rêvée

Ombre d'or, soleil dans notre course

Aux vanités, glorioles, avidités

Contrepoint, miroir et réflexion

Belle Toscane aux douces inflexions

Médium d'où jaillira notre vérité.

Michel Lansardière

A une belle inconnue aperçue à la Pinacothèque de Sienne, un amoureux éperdu...

(je ne connais pas davantage l'auteur du tableau, du XVIe ou XVIIe siècle je pense... Excusez la qualité médiocre de la photo, à l'époque je l'avais prise en argentique, puis rephotographié le cliché papier en numérique).

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Yéroushalaïm, Jéru Salem, Ville de Paix

https://www.youtube.com/watch?v=Gu_6wIK71aA&feature=related

Entre amour et haine

Rappelle toi d'où tu  viens !

Fidèle, garde en toi l'appel de ton haut destin

Cœur du monde, Ville de Salem

Consacrée par le Prince Ange Divin Melki Tsédec

Roi de Justice et de Paix

Qui consacra  pour Abraham le Pain et le Vin....

La première fois  que je te retrouvais ...

Par delà ta vision, sur la colline blanche perchée,

C'est la Jérusalem céleste entrevue qui me fit pleurer.

Sur ton Sol le Seigneur a marché.

Et partout Sa présence dans tes collines de Judée,

Un souffle, un pas.

Je croyais toujours qu'Il était juste là, derrière moi...

C'est depuis Yéroushalaïm,  ce minuscule point de terre

que Son sang vermeil a coulé, touché et redonné vie,

résurrectionné notre vieille mère terre toute sclérosée

Qui se mourrait.

Jérusalem

En ton sein, en ta terre,

au plus haut de ta colline sacrée,

reposent les cendres de mon père,

le blond chanteur Meyer Hillinger,

Que ma sœur Tsipora Francine a pris soin de faire ramener d'Anvers,

A son appel en rêve, fidèle.

Et sur lui, depuis la colline de Gilo, elle se sent prêt.

Toute la nuit, il m'appelait et combattait la fille d'Israël,

- par lui engendrée et qu'il voulut, comme Iphigénie,

à la mort sacrifier, pour son bien, pour sa vie

- contre sa mère malade protéger par devoir paternel -

elle, descendante de la lignée de David, à ses yeux, convertie, infidèle

qui au Christ, cette vie encore et encore, s'est consacrée,

elle, la petite fille du Juge rabbinique, libre et rebelle

qui de la Kabbale avant 40 ans parlait en étrangère,

elle, revenue le trouver, transcendant sa misère

pour l'aimer et le choyer.

Et pour eux tous, les miens, je prie,

pour que soit sauvé en esprit

mon clan familial judaïque actuel

qui tant a souffert

et fut sacrifié, décimé,

qui tant a erré sur la terre ...

afin qu'ils s'ouvrent tous à l'Amour du Je Suis,

au Moi d'Amour cosmique céleste, du sein du Père issu

qui sur ce sol  a choisi de David leur lignée,

pour s'incarner dans sa venue,

qui sur ce sol béni a marché.

Lui, le Messie par eux non reconnu.

Lui, que j'ai rêvé d'abreuver d'eau et soulager sur Son chemin de croix

dans ces temps où je m'entrevois

Essénienne et désespérée

de perdre le Seigneur... enfin reconnu

plus que l'Essénien Maître.

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Une heure s’élance.

Une heure s’élance.

 

Une heure s’élance  en écarquillant ses grands yeux :

C’est fou ce qu’elle désire de ce jour à venir ;

Regarde, elle tend les bras, vois, c’est merveilleux

Et dire que dans l’instant elle pourrait bien mourir !

 

Généreuse, elle t’invite au grand ballet du temps :

Elle comptera tes pas sans folie, sans sagesse ;

Surgira de son ciel un tel rayonnement

Que tu en oublieras le courage, la paresse.

 

C’est fou ce qu’elle désire de ce jour à venir :

Que tu marches vers elle et que tu étincelles ;

C’est une heure de vie qui voudrait te sourire.

 

Regarde, elle tend les bras, vois, c’est merveilleux !

Et dire que dans l’instant elle pourrait mourir …

En une seconde s’éteindre en d’autres lieux !

 

Pierre WATTEBLED- le 3-05-2013.

 

 

 

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Nuages

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Dans un ciel gris anthracite
Un fil d’or relie l’orage
Les éclairs foudroyants
Éclairent notre firmament
Du courage qu’il nous faut
Pour manier la faux
Les nuages de pluie remplissent notre ciel
De la pluie, de l’eau
Pour remplir notre seau

Dominique Prime 3 mai 2013

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Nuages

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Les nuages comme la ouate
Glissent les uns au-dessus des autres
Se mêlent et s’entremêlent
Gris, bleus, noirs de toutes les couleurs
Légers, transparents comme un duvet
Se fondent et se confondent
Dans notre ciel.
Dominique Prime 26 avril 2013

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Nuages

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Notre ciel se charge de formes différentes
Utiles et inutiles
Anthracites, bleus, blancs, gris
Gaze, tulle et ouate
Epais, fins, de chaque épaisseur
Sur nos têtes volent les nuages


Dominique Prime 26 avril 2013

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En fleurs et en pleurs

 

 

En fleurs et en pleurs
 

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l.gifes pétales, d'un blanc rosé,
Des merveilleuses fleurs brisées,
En gros éclats gisent à terre,
Témoins d'une gloire éphémère.

Sur le gazon vert, que la pluie
A rafraîchi pendant la nuit,
Larges morceaux de porcelaine
Et sur l'arbre, des fleurs en peine.

Hier, il était magnifique,
Lumineux, quasiment magique,
Un ravissement pour les yeux.
Il me semblait si vigoureux!

Le voilà en métamorphose,
Lors, la nature qui dispose,
Le vêtira dans peu de temps
D'un nouvel habit attrayant.

Mais ce matin, il est en pleurs,
Dépouillé de nombreuses fleurs.
J'en recueille tous les débris
Et rêveuse, je m'attendris.

5 mai 2006
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Ô larmes desséchées ! Comment vous retrouver

Alors que cette fois j’ai besoin de pleurer 

Et vous voir arroser ce cœur aride de plaintes,

Cette bouche dont la parole a oublié l’adresse ?

Comment ne pas pleurer cet oiseau qui était

Hier encore symbole de l’envol et des joies ?

Comme si d’être orpheline très tôt n’avait suffi,

Ou de perdre de suite trois embryons sans noms

Etait un moindre mal pour l’âme prisonnière

Du silence des morts des vieilles traditions !

« Se plaindre, lui dit-on, n’est pas bon pour une femme 

Dont l’éducation doit l’élever sans vacarme

Pour qu’on célèbre  dans le silence sa patience ! »

Et pleuvent les parallèles aux prophètes et aux saints !

Jusqu’à ce que le Moi s’emmure dans le silence

Et dans l’abnégation disparaisse tout Non !

Cet oiseau qui hier faisait la joie de tous ;

Beau, joyeux, élégant, bon vivant et parfait,

Ne vole que d’une seule aile, les pieds quasi liés,

Et regarde peiné sa nichée quémander

Jeux, soins et attentions, est-ce trop demander ?

Trop, bon Dieu, pour l’oiseau de daigner lui laisser

Aux moins ses deux petites ailes pour pouvoir caresser

Ce duvet qui rappelle sa vieille mobilité ?

© Khadija ELHAMRANI,  vendredi  03/5/2013.

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administrateur théâtres

Le Concours Reine Élisabeth 2013 en Télévision

Le concours Reine Elisabeth 2013 - session piano - en télévision

piano à queue  Pour rappel, 75 candidats ont été admis à participer aux 1ers éliminatoires, qui se déroulent en public à Flagey du 6 au 11 mai 2013. Parmi eux, 28 femmes et 47 hommes de 19 nationalités différentes. Les Coréens sont une fois encore en force (au nombre de 17 !) et deux musiciens belges ont été retenus : Stéphanie Proot et Yannick Van de Velde. Les 24 demi-finalistes seront connus à l’issue de la proclamation à Flagey, le 11 mai en fin de soirée.

La demi-finale

Elle se déroule au studio 4 de Flagey, à Bruxelles, du 13 au 18 mai, à 15h et à 20h.

Chaque demi-finaliste se produira deux fois : une fois pour un concerto de Mozart et une autre fois pour un récital d’environ 40 minutes. Les candidats doivent choisir parmi 9 concertos de Mozart, et ils sont accompagnés par l’Orchestre royal de Chambre de Wallonie dirigé par le chef allemand Michael Hofstetter. Le jury choisira un récital parmi les deux programmes proposés par les candidats, qui comprennent tous les deux l’œuvre imposée, à savoir « Dream », du compositeur américain résidant en Belgique Frederic Rzewski. La proclamation des 12 finalistes aura lieu le 18 mai en fin de soirée.

Les prestations des 24 demi-finalistes sont filmées et diffusées sur La Trois à partir de 21h05.

La finale

Elle a lieu dans la grande salle Henry Le Boeuf au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, du 27 mai au 1er juin, à 20h.

Chaque soir, nous entendrons 2 des 12 finalistes. Chaque prestation est composée d’une sonate (de Haydn, Mozart, Beethoven ou Schubert), suivie de l’œuvre imposée inédite et d’un concerto au choix. Les candidats sont accompagnés par l’Orchestre national de Belgique sous la direction de la chef américaine Marin Alsop. Le classement des finalistes sera dévoilé par le président du jury, le 1er juin en fin de soirée.

Les prestations des 12 finalistes sont filmées et diffusées en direct sur La Trois à partir de 19h50. Et rediffusées en différé sur ARTE Belgique. Pour la première fois, la diffusion est commune en radio et en télévision.

A la présentation, une nouvelle venue : Hadja Lahbib, qui prend ainsi la relève de Corinne Boulangier, directrice de La Première. Elle sera entourée de Patrick Leterme et Saskia de Ville. Avec leurs invités, ils nous feront vivre cette finale de l’intérieur et nous entraîneront dans tous les coins des BOZAR, du hall Horta à l’oreille de scène, du bar aux coulisses de la scène.

Les propos d’entracte seront accompagnés d’une série de reportages réalisés par Thierry Loreau et Pierre Barré. Sans oublier les portraits des candidats, concoctés cette année par la VRT. Hadja Lahbib et Patrick Leterme recevront chaque soir une personnalité du monde musical, mais aussi des invités d’autres disciplines qui donneront leur son de cloche. Saskia de Ville interceptera les candidats à chaud, au sortir de leurs prestations.

A la présentation : Hadja Lahbib

Hadja Lahbib entre la RTBF en 1997 à la cellule société du JT. La même année, elle présente le journal télévisé ( JT soir, puis JT de 13 h et depuis 2011, les journaux du week-end).

De 2000 à 2009, elle est journaliste à la cellule internationale où elle a souvent été envoyée spéciale au Proche Orient, en Afghanistan, au Pakistan. En 2008, elle réalise le documentaire « Afghanistan, le choix des femmes » et le livre tiré du film. En 2009, elle réalise « Le cou et la tête », documentaire tourné au Kenya sur le village de femmes d’Umoja. Depuis 2007, elle présente le magazine Quai des Belges sur ARTE Belgique. En 2010, elle anime le « Diversity Show : Retourne dans ton pays ». Depuis l’année dernière, elle coprésente avec l’écrivain Dimitri Verhulst, le magazine Vlaamse Kaai sur ARTE Belgique.

La RTBF est cette année maître d’œuvre pour les captations. A la réalisation : Benoît Vlietinck

Le concert de clôture

Concert des 3 premiers lauréats, le 17 juin au BOZAR à 20h.

Retransmis sur La Trois le soir-même à 21h05.

Bis Repetita

Les meilleures prestations des finalistes durant tout l’été sur La Trois.

Sur le web

La demi-finale et la finale seront reprises sur :

- Le site du Concours Reine Elisabeth

-Le site de Musiq’3

- ARTE-Liveweb (uniquement la finale)

- Belgacom

- Cobra.be

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BOURSICAULT*

 

Un  écureuil  économise,

Par petits tas son stock pour l’hiver,

L’infortuné,  perd  sa  chemise,

Un  peu  frileux  sur  son découvert.

 

Une  fourmi  engrange  son  blé,

Dans des greniers creusés sous le sol,

Le  gros  banquier est  toujours flatté,

Des  fortunes  planquées au  sous-sol.

 

La  mouche  à  miel  glane  du  nectar,

La  reine  pond  et  mange  royal,

Dans l’Olympe pour joyeux fêtards,

Boit comme les Dieux, l’hydromel ancestral.

 

Le  garde-corps  et  ses  deux  côtés,

Maintient l’ordre des gens et des biens,

Les   boursicaults  peuvent  s’acquitter,

Et  les fraudeurs  garder  leurs moyens.

 

Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.

 

 

*Boursicault petite somme mise en réserve.

 

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administrateur partenariats

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Bouleau au doux Amour et Vénus dédié

 

Ô toi, arbre entre tous, joli,

Si délicat, fin et gracile

Tout à Vénus dédié,

Je te contemple émerveillée,

De jour comme et de nuit,

Dans ta grâce immobile.

Tu irradies amour et beauté

Et ton feuillage aérien et fin

Fait de mille tendres cœurs petits

Exhale une douce et mobile clarté

Et verse en nous un chant serein.

Je m’extasie du tendre blanc éclat

De ton écorce au toucher délicat.

A travers toi,

J’entrevois

Vaste, tout un pays

Dans sa mystérieuse poésie,

Reprenant le flambeau de l’Esprit.

Tout jeune encore dans ses possibilités

Mais riche d’éveil pour un lointain

Cultivant le Beau et le Bien.

La Russie au cœur gonflé

D’amour et fraternité

Où dévotion sincère s’épanouit

Pour le Saint des Saint,

Où tous les germes d’avenir

Seront prêts

A éclater

Pour le Devenir

De notre mère Terre.

Et préparer le Temps béni

 Où notre planète bannira la guerre.

Arbre adolescent sacré

Que de bienfaisante bonté

Tu détiens et promets !

Dans tes racines profondes

Sont inscrits de lointains nouveaux mondes,

Où il fera bon vivre et chanter,

 Où chaque humain sera entouré et soigné,

Où l’Art à l’Amour Universel sera consacré.

Rebecca Terniak

Poète

" Génèse de l'arbre vénusien " Video de Robert Paul

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Un partenariat d'

Arts

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Lettres

 

 

 

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