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Des dangers de la peinture...

Carmin.

  

     L’atelier était dans un désordre indescriptible. Des toiles avaient volé dans tous les sens et étaient restées dans l’état où elles étaient retombées. Les chevalets renversés dressaient leurs pieds indécents vers les policiers. Les tubes de couleur avaient éclaté et dégoulinaient le long des murs où les crochets dépouillés de leurs peintures faisaient dévier leurs coulures. Les pinceaux s’éparpillaient dans le fouillis des tissus qui recouvraient à l’origine les œuvres récentes.

     Et du sang, du sang partout, du sol au plafond où les giclures avaient dessiné un ciel pointillé de ses éclats.

     Et Carmen, affalée au centre de la salle, face contre terre, son ample tablier relevé de manière obscène sur ses larges cuisses poilues ; la main droite levée en un geste de défense, serrant encore son plumeau au bouquet multicolore ; sa main gauche dérisoirement posée sur sa nuque tailladée de multiples plaies.

     Et Jean, assis hébété au milieu du carnage, regardant le scène d’un œil fixe, un petit kriss maltais serré convulsivement contre sa poitrine osseuse.

     -Mais qu’est-ce qui vous a pris, Monsieur Martin ? Après quarante ans de mariage… Qu’est-ce qui vous est passé par la tête ?

     -Elle a perdu le rouge carmin… Elle le savait qu’elle ne pouvait pas toucher à mes tubes…

 

 

 

 

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L’armoire blanche

Souviens-toi, maman, de notre armoire blanche.
Il y avait tous les souvenirs du jeune âge :
Bijoux en toc et jeunes filles volages,
Des revues, des journaux, des ordonnances.

Pêle-mêle, des curieux bouts de ficelle,
Des “riens “anodins, des “tout” venant de chacun.
Une balle sur chaîne et plaque de chien
Et des pleurs et des rires qui s’entremêlent.

Des cartes postales de vols impossibles,
Des clefs qui n’ouvrent rien, de pauvres bricoles,
Des livres, des cahiers de la tendre école ;
Traits rouges, verts, écritures invisibles…

Un plumier en bois, une plume violette,
Des pensées séchées des années-lycée,
Un billet plié, moue d’une mariée ;
Puis des lettres, des lettres, lettres à tue-tête.

Sur l’armoire blanche gisant sur la dentelle
De blafardes photos toutes apprises par coeur,
Des costumes démodés, des voilettes de soeur :
Une famille pour que l’on pense à elle !

J’ai fait enfin comme tu m’as demandé, maman,
L’armoire blanche a fini en poussières
Avec tout dedans, tous ces nids de misères,
En un feu si haut pour toi, jusqu’au firmament.

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LA BELLE ATTENTIVE

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Elle toujours elle partout elle sans cesse

Du plus amer des nuits de longue solitude

Du plus profond des jours de lente quiétude

Elle - L'âme du temps n'est plus longue paresse

 

 

Elle brasier de feu et clarté de tendresse

Elle - Les jours qui vont à l'envers d'habitude

Ont retrouvé leur sens profond leur rectitude

Par elle tourbillon de fleurs que l'aube presse

 

 

Et pensivement lente et belle de patience

Elle lime pour toi les barreaux de la cage

Où t'enferma l'enfer des intimes absences

 

 

Toujours elle sera dans tes villes hâtives

Que tu traverseras sans luxe et sans bagage

La calme silhouette et la belle attentive

 

 

("Poussière d'âme", éd. Chloé des Lys, 2009)

 

 

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LE SEL DE LA VIE

12272807257?profile=original"Il y a une forme de légèreté et de grâce dans le simple fait d'exister , au de-là des occupations , au de-là des sentiments forts , au de-là des engagement

Ce petit plus nous est donné "

C'EST LE SEL DE LA VIE 

Adorable petit recueil de Françoise Héritier

Qui vous réconcilie avec la vie et ses grognements :Images, moments de notre vie   émotions, choses agréables auxquelles notre être profond aspire  ces moments empreints de souvenirs qui font le goût de l'existence qui la rende plus riches , plus intéressante tous les sens sont mobilisés

Chacun de nous au cours de la journée frôle et capte mille petits plaisirs , dans nos sites et blogs respectifs il y a tout ça en partage

Je vous offre ce petit plaisir de paix et de douceur par cette estampe de O Kozon 

Arlette

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J’ai remis les hérissons en liberté…

Plus rien ne les empêche maintenant de prendre le large… de vivre leur vie de hérissons dans la généreuse nature. Et pourtant, chaque matin, je les retrouve roulés en boule sous les bouts de tissu en éponge et en flanelle que j’ai pris la précaution de laisser à leur disposition dans la remise. Leur gamelle, contenant la même nourriture qu’ils avaient lors de leur séjour dans ma baignoire, est vide. Je ne peux m’empêcher de la remplir…

Les traces ne trompent pas : ils se baladent la nuit dans la cour, fouinent sous les feuillages… Mais au petit matin, ils rentrent dans leur cocon. C’est ainsi qu’ils prennent leur plaisir de hérisson.

La notion de plaisir est propre à chacun…Pour moi, elle est liée à nos sens… Alors que le bonheur, lui, est plus profond, plus un ressenti, un état d’être et d’esprit… Tandis que le bonheur est constitué de plaisirs, grands et petits, le plaisir n’est pas forcément le bonheur.

Je prends du plaisir à écouter des chants d’oiseaux, une mélodie, une chanson, le doux clapotis de l’eau, le bruit du vent dans les arbres… J’aime toucher et caresser… Je pense d’ailleurs que nos mains ne devraient servir qu’à cela. Il y aurait moins de douleur sur cette terre… Je ne me lasse pas de humer et de m’imprégner de l’odeur des fleurs, de celle la nature qui revit après l’orage ou de la fraîcheur d’une nuit d’été… Je me délecte d’un délicieux nectar, de plats savoureux amoureusement préparés, du goût des premiers flocons de neige…  De tous ces plaisirs qui font que la vie vaut la peine d’être vécue… Surtout s’ils sont partagés. Ils font partie du bonheur… Mais ne sont pas LE bonheur.

Qu’est-ce qu’il y manque ? Le désir du hérisson d’aller voir plus loin… De franchir le pont du confortable menant à cette nature offerte mais si mystérieuse, peut-être hostile… La peur aussi de souffrir encore : les hérissons sont si peureux.

Le Hérisson-Soleil, lui, a très envie de franchir ce pont… Il ne lui manque pas grand-chose… Seulement un sourire, un geste ou une parole qui lui donnerait envie d’aller voir plus loin.

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FRACTURE...

Et un jour, c'est la fracture

On se retrouve différent

Presque sans savoir comment!

Elle s'est effrité l'armure...

 

Il y a certes très longtemps

Que tout tangue et se déforme!

C'est venu insidieusement

On a éludé pour la forme...

 

Mais un jour, c'est la fracture

On se retrouve intransigeant!

On veut exister simplement

Alors s'entame une procédure...

 

Il y a tout au fond ce creux

Comme un cri si longtemps rentré!

Qui s'écoulerait par les yeux

Et guérirait de la cécité!

 

Oui, un jour c'est la fracture

Même si on a du mal à le croire

C'est autre chose qu'une rupture...

Une renaissance et un espoir!

J.G.

 

 

 

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Mon ami Stéphane KOWALCZYK sort un film sur le chanteur KIKO...

Ce chanteur vient d'ailleurs d'être choisi avec quelques autres pour la Tournée Musique " Sud de France " qui aura lieu en juin en Languedoc-Roussillon.

Un film où les aléas sont intégrés et où les musiques entraînent le réalisateur vers des imaginaires variés.

Classiques s'abstenir...



" Kiko, l'expérience filmique ", version intégrale:


Michel Sidobre, depuis le Languedoc-Roussillon.


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Sujet ennuyeux ? L'intercommunalité ? Que non !

Avec Patrick MILANI cela devient un polar où un certain Robert Pirardi ( Roger SCHIVARDI, ancien candidat aux Elections Présidentielles françaises) est assassiné durant le Carnaval!

Si l'auteur a choisi cette " victime " c'est parce que cet homme politique est un des rares à contester la perte de démocratie que représente cette organisation territoriale...


Mais laissons parler Patrick MILANI:



Et son modèle en chair et en os:



Si vous souhaitez vous procurer  " La loi des masques " :

http://www.edilivre.com/la-loi-des-masques-patrick-milani.html


Michel Sidobre, depuis le Languedoc-Roussillon



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LE VIEUX MOULIN D'ECAUSSINNES

 

Le cadre a toujours été idyllique…

Petite fille, j’ai dû le fréquenter quelques fois puisque je me souviens du juke-box installé contre le mur près du comptoir, des engrenages mal entretenus et du Cécémel que je dégustais religieusement. Il devait durer longtemps puisque je n’en recevrais pas d’autre. C’était ainsi… A l’époque pas question pour les enfants de se gaver de chips et de soda.

A l’arrière du café, il y avait un étang fréquenté par de nombreux pêcheurs. Papa a d’ailleurs participé à plusieurs concours. On y accédait par un petit pont enjambant la Sennette, rivière un peu capricieuse, gérée par des mains expertes qui activaient au besoin le mécanisme ouvrant les vannes du petit barrage en pierre situé non loin de là…

Et puis, le café, racheté par une secte,  a fermé ses portes, l’étang a été comblé, le petit pont n’a plus été entretenu et le barrage a été définitivement ouvert… Certaines de ses pierres ont d’ailleurs mystérieusement disparu… Tel l’univers de la Belle au Bois dormant, le Vieux Moulin s’est endormi… Pendant longtemps.

J’avais grandi… Une bande de jeunes à peine plus âgés que moi, refusant d’être ou de rester chômeurs se sont mis en tête de lui rendre vie. Ils l’ont racheté… Retapé… Et ont un jour rouvert le café sous les sourires narquois des habitants du coin. Il se disait que ces jeunes fous n’y connaissaient rien aux affaires, qu’ils se lasseraient vite et plein d’autres choses encore moins gentilles…

Bien des années plus tard, non seulement le Vieux Moulin existe toujours mais il a acquis ses lettres de noblesse. L’accueil y est sympathique et bon enfant. La carte des bières, véritable panel des spécialités belges, n’a rien à envier à celle des délicieux plats proposés en toute simplicité par Ali et son équipe.

Si bémol il doit y avoir, c’est à l’arrière du bâtiment qu’il se trouve… L’étang comblé est devenu morne plaine et du petit pont ne restent que quelques vestiges branlants interdits au public… Le barrage est devenu le refuge des canards et des poules d’eau. Mais la nature reprend toujours ses droits, pour le plus grand bonheur de quelques écureuils un peu taquins.

 

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Humble hommage à Jean Jaures

 

 

Des êtres orgueilleux ont parfois du mal à reconnaître qu'ils ont commis une erreur préjudiciable à autrui. Cependant, s'ils ont le sens de la justice, ils ont à coeur de la réparer.

« errare humanum est.....»

Jean Jaurès avait cru à la culpabilité de Dreyfus et s'était impliqué pour que lui soit infligéla plus lourde condamnation possible. Quand il eut admis l'innocence de cet homme qui subissait une torture, il fit tout en son possible pour faire cesser son calvaire.

Son comportement lui fait honneur.

Par ses fréquentations, Jean Jaurès, apparaît n'avoir jamais été xénophobe. C'était incontestablement un sage et un humaniste.

Alors qu'il dénonçait l'antisémitisme d'un bon nombre de Français, il prononça cette phrase

qui révéla sa conviction profonde au sujet des races.

« C'est qu'au fond, il n'y a qu'une race, l'humanité »

Il est pénible de se souvenir de la tragédie qui mit fin à sa vie. Le devoir de mémoire fait qu'il a droit à la reconnaissance unanime de ses concitoyens.

17 mai 2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Danielle Bellefroid nous a envoyé un émouvant petit message, que je me crois autorisé de révéler:





"Coucou à toutes et à tous

Je n'ai pas récolté de lauriers du jury lors de la finale du Gd Prix ce 12 mai ;-) mais ce qui est plus important pour moi .... tout ce que je désirais et espérais pour cette finale c'est réalisé ... me faire plaisir et partager ce plaisir avec le public, il a répondu présent ...je suis donc comblée :-D

J'ai vraiment pris beaucoup de plaisir en faisant la connaissance des autres artistes de vivre ensembles  cette aventure musicale et n'oublierais pas ces moments de sympathie et de bonheur.

Et puis aussi le fait d'avoir surmonté mon appréhension de remonter sur scène , telle que je suis et avec mes béquilles
est une petite " victoire personnelle" .

Pour celles et ceux qui savent capter la chaîne TV. RTBF3 , le spectacle passera le 31 mai dans l'émission wallons-nous .


Voici les vidéos des deux chansons, ( avec un montage perso ) car je ne peux pas diffuser les images
du spectacle avant l'émission TV

Bonne journée et profitez bien de ce long W-E.

Amitiés à vous tous

Danielle"







Je joins sur ce petit billet quelques superbes chansons qu'elle a partagées sur le réseau, ce dont l'on peut réellement se réjouir.

Lecteur de musique exclusif Arts et Lettres


R. P.

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Ce que mon père me dirait de là haut.

Tu sais , chaque épreuve que l'on passe est une étape de plus pour grandir

Tu sais , il faut toujours croire au bonheur et à l'espérance afin d'évoluer.

Içi sur terre avoir confiance car on est jamais vraiment seul ,si on garde

en mémoire les bons moments que l'on a passé ensemble,

Bien sur je suis de l'autre coté du miroir , mais comme c'est un miroir

moi je te vois, et je peux t'assurer que je te protègerai contre vents et marées,

Ne pleure pas car tes larmes viennent jusqu'à moi et celà me fait mal,

plus tu passeras d'épreuves , plus tu t'éleveras dans l'immensité ,

l'immensité où nous être décédé vivont en harmonie et en paix.

Nous sommes là suivant tes traces et n'ai pas peur ta force on te la donnera,

je t'accompagne sur le chemin de ta vie, observe autour de toi les petits signes

observe bien car sur ta route on te fera des clins d'oeil pour te rassurer que nous sommes là

Tu sais , tu dois garder ESPOIR , CONFIANCE, AMOUR, pour garder ton sourire , pour ouvrir ton coeur à la vie.

 

Voilà ce que tu me dirais , PAPA.

 

 

 

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Dans mon salon

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Je m’y assieds chaque matin,

Ma tasse de café en main.

Savourant la dernière goutte,

Je reste immobile à l’écoute.

... 

Dans le silence, ma pensée,

Me reconduit sans me lasser,

À la rencontre de moi-même.

Je soliloque sur un thème.

...
Pendant l’errance, chaque fois,

L’instant présent s’impose à moi,

Je mets fin à ma douce pause,

Quitte mon salon et ses choses.
...

J’en arrive à n’avoir plus d’yeux

Pour ce qui le rend chaleureux.

Mais ailleurs l’énergie, sans cesse,

M’émerveille de ses prouesses.

...  

20 juin 2007

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L'étoile de David

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En Terre sainte, l’on trouva,

Gravés sur des tombes d’Hébreux,

Des lys qui étaient stylisés
...

L’étoile en est les six pétales.

Les croisés, de retour en France,

Prirent cette fleur pour emblème.
...

Pendant l’été, chaque matin,

Cent lys, sauvages et ouverts,

Rendent merveilleux mon jardin.
...

Hissés sur leur très haute tige,

Ils semblent taillés dans la soie.

Les contemplant, je me souviens.

... 

On m’a donné ce nom de fleur, 

Voulant honorer ma grand-mére,

Elle se prénommait Étoile.

... 

10/2/2005

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Ce désir d'exister

 

Des êtres bon vivants ont, tout au cours des ans,

conservé des émois,

Certainement ardents, heureux ou attristants,

Transcendés quelques fois.

...

La quête des plaisirs du corps et de l'esprit

pour fêter l'existence!

Chacun, bien ou mal pris, lui reconnaît un prix.

et la désire intense.

...

Pour l’ultime voyage, pas besoin de bagages

ni de mémoire non plus.

Les perdants du tirage, peu importe leur âge,

font de tristes élus.

18/10/95

 

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Le poids des mots

 

À Claude

Ce ne sont pas les mots qui mentent,

On les entend comme l'on veut.

En les employant, il se peut

Que leur complicité nous tente.

...

Tu disais, d’un ton assuré,

Ton amour incommensurable

Et moi, jouant la raisonnable,

J'estimais le mien modéré.

...

Je m’amusais à te surprendre,

Coquette, je faisais semblant,

Quant à ton aveu fort troublant,

J’étais sûre de le comprendre.

...

Or il advint que ton amour

Fut réduit à très peu de chose.

Je n’en sais toujours pas la cause.

Le mien survécut grand et lourd.

2 février 2007

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Orages masqués de Cupidon.

 

Les peupliers d’argent battent la  mesure,

Sous l’œil bleu goguenard du soleil amusé,

Qui  compte  les tuiles couvrant  la masure,

Laissées  par le  vent,  d’un air  cornemusé.

 

Blottis  dans  les  buissons  à  l’abri  des  gouttes,

Les ramiers roucoulent  leurs amours printaniers,

Tandis que les enfants, plic ploc, goutte-à-goutte,

Posent des amourettes  dans leurs petits paniers.

 

Les jardins en fête éclatent leurs couleurs,

Après  l’onde  du  ciel  tombée  à  l’aurore,

Tandis que les matous, les chatons miauleurs,

Chantent aux minettes maman je t’adore.

 

Le  spectacle est joyeux et danse l’ivresse,

De la résurrection  des sens et des odeurs,

Traînant dans les sentiers du parc en liesse,

Le bonheur de vivre  des esprits frondeurs.

 

Des couples d’amoureux s’enlacent tendrement,

Rêvent  mille  projets  aux  futurs  merveilleux,

Bondés  de  chérubins  et  d’emmerbêtements,

Pour les conduire un jour vers des demains studieux.

 

Ainsi  les  orages  comme  les  tournesols,

Suivent  la  lumière  fléchée  par  Cupidon,

Qui sème les amours dans l’air ou sur les sols,

Heureux de se trouver, de la farce des dindons.

 

Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.

 

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Se battre pour vivre et s'aimer .

Se battre en pensant à ceux qui croient encore au devenir

à vivre chaque moment avec la foi de changer sa destinée

Toutes les misères du monde , tendre la main à celui

qui ne vois plus l'horizon , la route pour avancer

Un meilleur avenir pour ceux qui sont sans toit

pour ceux qui on tout perdu sauf l'espoir..

 

Vivre pour découvrir le soutien de ceux qui ont le coeur sur la main.

partager les moments difficiles , apporter de la chaleur ,de l'amour

a celui qui a baissé les bras , à celui qui a trop vécu dans la solitude.

 

Aimer à chaque épreuve comme pour ouvrir une porte vers un autre devenir

se rapprocher de ceux qui ont perdu le sourire et leur montrer le chemin de l'entraide

Je pense aux malades qui ont choisit de survivre , seul parfois , mais toujours riche d'amour.

 

Se battre pour apporter de la chaleur dans le coeur des gens perdus 

ceux qui ne voient plus la lumière par la faute de leur désespérance.

 

Je veux encore imaginer que tout celà va changer

je veux encore croire en l'humanité , à la richesse du coeur.

 

Seulement croire en l'homme qui ne ferme pas la porte

mais ouvre sa générosité a celui qui n'a plus rien.

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