Statistiques google analytics du réseau arts et lettres: 8 403 746 pages vues depuis Le 10 octobre 2009

un (2)

Un pas de deux

12272881887?profile=original12272882489?profile=original

Voici quelques photos et une petite vidéo (captée avec un matériel des plus rudimentaires mais çà donne une idée) du spectacle "Sur un nuage" ce 23 mars à la salle des fêtes de Thirimont.  J'y dédicaçais mes ouvrages et exposait quelques dessins tandis que Marielle mettait tout son talent sur la scène. Nous étions vraiment "Sur un nuage".

12272883294?profile=original

Un pas de deux :

https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=i8ek9TT-c6Q

Je m’étais mis

quelques rides histoire de faire front avec mon passé ; elle s’était mise quelques cernes, histoire de rassembler ses nuits : nous étions faits pour nous rencontrer

Tes mesures mes démesuresMes censures tes blessuresTu me dis tricote-moi12272883085?profile=originalUn verbe qui tient chaudTes lueurs mes lenteursMes coups d’états nos feuxFollets et nos peursTu me dis esquisse-moiUn brasier en fleurUn pas de deuxUn cœur qui danseCe corps en feuL’esprit en transeUn pas de deuxUn cœur qui danseCe corps en feuL’esprit en transe12272884069?profile=original…AmoureuxNos étés qui démangentNos peaux qui se mangentTu me disDe l’hiver au LéthéIl n’y a qu’une failleM’y oublieras-tuNos étés qui démangentNos peaux qui se mangentTu me disDu Léthé à l’hiverIl n’y a qu’une failleM’y oublieras-tuM’y oublieras-tuUn pas de deuxUn cœur qui danse12272884871?profile=originalCe corps en feuL’esprit en transeUn pas de deuxUn cœur qui danseCe corps en feuL’esprit en transe…Amoureux

Paroles : Pascal Feyaerts ; musique et interprétations : Marielle Vancamp

12272885282?profile=original

Lire la suite...

Un samedi après-midi dans une expo à Bruxelles

 Un samedi après-midi dans une expo à Bruxelles  

                            Antonia Iliescu

La visite d’une exposition de peinture est une aventure, il faut oser entrer dans l’univers de l’artiste, comprendre ce qu’il a voulu dire, deviner ce qui est caché aux yeux de tout un chacun, imaginer ce qu’il y a entre les lignes, voir entre les formes et les couleurs et même entre les toiles. Dès qu’on entre par « L’entrée des artistes », on se rend compte que les toiles d’Olivier Lamboray racontent une histoire, l’histoire de l’AMOUR bien réel, dans un monde de rêve bâti sous la lumière de la lune, « A la lumière de tes yeux », où on dit « saya cinta padamu » (« je t’aime », parole d’Olivier !) sur les taches blanches des murs ou sur des colonnes infinies bâties d’AMOUR. 
Les personnages (sa femme, le peintre lui-même, Magritte et Delvaux, Laly Superstar) évoluent dans le même décor d’une même ville : Bruxelles, (soit une maison, soit un train engagé sur un chemin de fer ; et oui, l’amour c’est du solide). Ce décor change pourtant dans les détails d’une toile à l’autre, et même sur la même toile, d’une fenêtre à l’autre (une fenêtre reflète les nuages gris, une autre le ciel clair du jour). Pour le déplacement on propose des carrosses sans attelages et avec un zèbre en toute liberté à la place des chevaux (dans le vrai amour il n’y a pas de contraintes). Il fait nuit dehors mais à l’intérieur il y de la lumière aux fenêtres.
L’aventure se passe à Bruxelles et l’amour prend le train avec aux commandes la femme du peintre, Agung, sa Georgette à lui. Le train passe devant l'église Notre Dame du Sablon et sous les yeux d’une fillette qui, dans l’attente de sa petite sœur promise, serre dans ses bras une poupée de chiffon (« Conception »). Laly est absente. Oui, oui, vous avez bien lu : Laly est absente. En passant d’une toile à l’autre, Laly a disparu. Mais où est-elle ? Mystère ... En fin, all is well that ends well, un mètre plus loin on la retrouve à sa place (devant la maison), assise à côté d’une valise (« Hommage à René Magritte », « Le roman de tes yeux »,…). S’est-elle enfuie avec Toutou (le chien loulou de Magritte), ou a-t-elle succombé aux charmes du chat Merlin (de Robert Paul) ou à ceux du Pablo (de Jiembé) ? Mystère…
Qu’est-ce qu’elle a pu faire le temps d’un regard d’une toile de son maître Olivier ? Etes-vous curieux de savoir son histoire de fugue ? Je vous invite sur ma page, rubrique « Vidéo ». Ouvrez « Laly et Banabar », un clip enregistré dans la cage d’escalier de ma maison… (Ne suis-je pas un « oiseau de cage » ?...)

 

Lire la suite...

Sujets de blog par étiquettes

  • de (143)

Archives mensuelles