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JEUNESSE - OH JEUNESSE

 

 

JEUNESSE

 

 

JEUNESSE    OH  JEUNESSE

 

 

COMME UN ECLAIR TU M’AS EBLOUIS !

MAIS TU ES PASSEE SANS DOMMAGE POUR AUTRUI

 

QUARANTE COUPS VONT SONNER ET JE SUIS ENCORE A ME DEMANDER

SI LES 19 PRINTEMPS DE MA FILLE NE SONT PAS LA POUR ME RAPPELER

MES TENDRES ANNEES.

 

 

JEUNESSE  OH  JEUNESSE – JE NE T’AI PAS COMPLETEMENT PERDUE

CAR MES TENDRES ANNEES JE LES AI REVECUE AVEC TOI MA PETITE FILLE

JE LES AI RETROUVEES ET MEME DOUBLEMENT PUISQUE NOUS ETIONS DEUX.

 

 

JEUNESSE  OH  JEUNESSE – SI ON LE VEUT VRAIMENT TU RESTE

ET TU NOUS ACCOMPAGNE TOUT AU LONG DE CETTE VIE

QUI VAUT VRAIMENT LA PEINE SI ON AIME ET ON RIE !

DE LA VOIR PASSER AVEC PEINE ET NOSTALGIE DE NE POUVOIR AVOIR DEUX

VIES

 

 

 

FLORA

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LA VIE

 

LETTRE A LA VIE…..

 

Citation de ma petite sœur Petite Marie

‘’je suis car je pense…je pense car je vis…je vis car j’avance…’’

 

Le Plus précieux joyau et une merveille de la nature

La plus belle chose « LA VIE »

 

Merci maman, merci papa

grâce à vous je suis là,

et depuis toujours j’adore la vie

 

Dans les mauvais moments, j’ai été heureuse

de vivre, de respirer, de souffrir, d’aimer,

d’être mère et d’avoir donné la vie, d’être grand-mère

à mon tour, car la vie donne la vie, et je continue

de vivre, de respirer, de souffrir et d’aimer encore

et encore et c’est un sentiment merveilleux.

 

Dans les bons moments, je suis émerveillée et tous

mes sens sont en éveils, pour profiter pleinement

de ces moments magiques

Vivre, respirer, aimer, souffrir et donner le meilleur

de moi- même à ceux que j’aime 

souvenirs des bons et mauvais moments, mais que

je garde précieusement pour les raconter à mes

petits enfants

 

et leur dire que j’adore la vie et…

 

déjà cité  ‘’qu’elle vaut vraiment la peine, si on

                  aime et on rie, de la voir passer avec

                  peine et nostalgie, de ne pouvoir avoir

                 deux vies’’

 

Merci maman, merci papa, de m’avoir donné la vie

 

Flora

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SAUVONS LA SAMARITAINE ASTABLIEF!

HUMEUR: Nombreux sont les chanteurs et comédiens qui ont eu la chance de faire leurs armes "chez Huguette". Elle y a mis toute son énergie, son amour, son (poignant) caractère...sa vie. Et nombreux sont ceux qui de cette petite cave, au coeur des Marolles, ont emprunté "l'escalier" de la Samaritaine. Ne laissez pas fermer ce lieu. Huguette y propose une ambiance unique, conviviale avec des artistes qui font ou qui feront l'avenir de la communauté française...La culture, c'est aussi de la politique! Et la chanson, tout art mineur qu'elle soit, a autrefois soulevé un peuple. Ne rendez pas cette scène muette...Ne fermez pas la porte ici.

Guy Rombaux
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Le Collège de Belgique invite le Collège de France

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LogoCollegeFrancemailing9328.jpgLogoinscriptionsCB8311.jpgLogoinscriptionsAcademiefondblanc8310.jpg 

À l'occasion d'une session exceptionnelle, le Collège Belgique reçoit un invité de marque, le prestigieux Collège de

France, son parrain. Pendant huit heures, réparties en trois thèmes durant l'année, des professeurs viendront

partager leurs connaissances au Palais des Académies. Et, à Bruxelles comme à Paris, ces cours sont ouverts

à tous, sans inscription préalable. Voici le programme du mois de février...

Organisé par l'Académie royale de Belgique et l'Université libre de Bruxelles, en partenariat avec les universités de la Communauté française de Belgique.

 

 
Les formes du visible
Philippe Descola, Chaire "Anthropologie de la nature"
Première leçon          09 février
Deuxième leçon        10 février
Évolution du climat et de l'océan
Édouard Bard, Chaire "Évolution du climat et de l'océan"
Leçon inaugurale (décembre 2010)
 
Première leçon            16 février
Deuxième leçon          17 février
 

Toutes les leçons sont en accès gratuit et commencent à 17 heures.


       ADRESSE

Palais des Académies
Rue Ducale 1, 1000 Bruxelles

 

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journal de bord, mardi 25 janvier 2011

Chanter en public, se produire en public est un défi contre soi-même. Un corps à corps. Une espèce de corrida. Une histoire d'amour, en quelque sorte.

 

On a beau répéter au préalable, envisager toutes les stratégies possibles, utiliser les "ficelles" qu'on a déjà utilisées des milliards de fois, tout se joue au moment où le concert se passe.

 

Bien entendu, quand on chante, on reste son premier public. Il y a, à l'intérieur de soi, un acteur et un spectateur qui résonnent en même temps.

Parfois, souvent, les deux sont en désaccord parfait.

Parfois, souvent, les deux sont en accord parfait, en symbiose.

 

Je m'attarderai sur le dernier cas cité.

 

Quand je chante en public, le spectateur intérieur (que je reste) reste parfois étonné, soufflé des performances de l'acteur (que je suis aussi). Comme si un double agissait. Je ne veux pas tomber dans la mégalo, non. Juste ... me réjouir. Juste ... me dire : tiens, je suis arrivé à ça. Et, en plus, ça coulait de source, ça allait tout seul (à ce moment-là).

 

J'ai des exemples sous la main.

 

Y a quelques années, à Tubize, à un concours de chanson, où j'avais participé ...

 

Je chantais "MES MAUVAISES PENSEES". Je terminais le quatrième couplet. Dans une salle agitée où la majorité des chanteurs (qui participaient) faisaient de la variété. Faut savoir que "MES MAUVAISES PENSEES"  fait cinq couplets, que je monte d'un ton en abordant le quatrième (couplet), et que je monte encore d'un ton dans le cinquième. Jusque là, OK.

 

Mais ...

 

Voilà qu'au moment où j'aborde le cinquième (couplet), le trou arrive. Je ne trouve plus mes repères, sur ma guitare. Je ne sais plus où je dois placer mes doigts.

 

Comme je dois agir vite (forcément, je suis en public) ...

 

Instinctiv'ment, plutôt que de me casser la tête à chercher les accords et de rompre le rythme de la chanson, je me surprends, à la seconde même, à entamer le dernier (couplet) a capella, sans accompagnement aucun.

 

Et voici que le public commence à taper dans les mains, comme si l'arrêt à la guitare relançait quelque chose, comme si ce chang'ment de ton coulait de source.  Surpris, étonné, heureux, surexcité (ah ! les tripes !), je joue à fond le jeu et j'en profite pour sortir de scène (afin de me rasseoir, dans la salle) dans la même atmosphère, en continuant à chanter a capella. Triomphe absolu.

 

Des années après, je racontais l'anecdote à un ami (artiste).

 

"Moi, c'est un truc que je ne ferais pas, j'aurais l'impression de tricher", m'avait-il dit.

 

Ca se conçoit. Jacques Brel n'aurait sans doute pas réagi autrement.

 

Quand à moi, dans l'histoire, je m'autorise (et ça me regarde) à penser autrement. Je n'ai pas le sentiment de tricher en utilisant des trucs (fréquents ou de dernière minute) en chantant. Que du contraire : je m'émerveille (et je m'y autorise) devant les possibilités, les capacités qui se présentent à moi, j'estime qu'elles font partie de moi et qu'elles m'aident à chanter, à m'exprimer. La jubilation que j'éprouve, en le vivant, est très forte et très sincère. Oui. Et ça n'empêche pas mon rapport avec le thème de ma chanson de rester sincère, non plus. Et ça n'empêche pas mon rapport avec le public de rester sincère, non plus. 

 

Tiens, j'ai le souv'nir d'une autre représentation ...

 

C'était à Mons, à la Maison de la Laïcité, dans une toute petite salle, en plus petit comité (y avait quand même pas mal de gens, ce jour-là).

 

Je disais un texte ("UN OISEAU", si mes souvenirs sont bons). Tout en tenant ma guitare, en vue de la chanson qui allait suivre. Le public était bon enfant. Arrivé à la quatrième phrase du texte, j'entends un clic nerveux. Une corde de ma guitare vole en éclats (sans doute la quatrième, celle de ré, c'est le cas le plus fréquent). Evidemment, au moment où ça se passe, on rit (un peu) dans l'assistance. Je ne me laisse pas décontenancer. Je diminue le rythme de vocal de mon texte, tout en le continuant. J'en profite, tout en me produisant devant les gens, pour prendre le temps d'enlever la corde de l'instrument, et d'en faire une espèce de jeu de scène, qui prend soudain des allures burlesques. Oui oui. Quand j'entame les cinq ou six dernières strophes de mon texte, je me retrouve avec la corde cassée ... en main. Allez-vous en savoir ce qui se passe en moi ... je poursuis mon jeu de scène en transformant ma corde en lasso, je la fais tourner comme un ventilateur devant tout le monde. Et ... je termine mon texte, ainsi. Dans la joie. Dans la bonne humeur. Dans l'euphorie.

 

Et ... les trois dernières chansons, je les ai chantées avec ... cinq cordes à la guitare. J'y ai même pris mon pied. Les trouvailles (plutôt que les manques) étaient au rendez-vous.

 

Je pourrais en écrire, des pages, des pages, des pages.

 

Mes derniers étonn'ments (d'acteur et de spectateur conjugués), en date, se situent samedi dernier, à la péniche "Carpe Diem", à Thuin, lors d'un concert pour une famille en difficulté.

 

Là, je me suis risqué à utiliser le ukulélé sur scène. Et ... ça n'a pas trop mal marché.

 

 Le matin qui précédait cette soirée (légendaire), je ne savais toujours pas jouer de cet instrument. Mais mon pote Philippe Mai, qui était à la base du projet de cette soirée, qui joue lui-même de cet instrument, m'avait montré, dans l'après-midi, lors des répétitions, la position des doigts pour l'un ou l'autre accord de base (il a même eu la gentillesse de m'imprimer tous les accords ... avec les positions des doigts).

 

Dans un premier temps, je m'étais dit : mouis, c'est un peu risqué, au pied levé, de chanter avec le ukulélé, en public, déjà, non, c'est trop tôt. Parallèlement, l'envie de le faire me gagnait déjà tout entier. Comment résoudre le dilemne ?

 

Je me suis raccroché à une chanson,"ODEUR DE PLAGE". Déjà, le thème inspire, à mon sens, la crédibilité du ukulélé. Manque(nt) plus que les palmiers ! Quant aux accords (de sol, de la, de fa) qui caractérisent ce morceau, je les avais déjà plus ou moins ret'nus.

 

J'ai d'abord passé le temps qui précédait mon passage (pendant que les trois potes, avec lesquels je faisais le spectacle, chantaient) à remémoriser ces accords.

 

Et quand ce fut mon tour, j'ai mis mon projet à exécution. J'ai d'abord récité un texte que j'avais prévu. Et ... je me suis autorisé, au final, à prendre le ukulélé et à entamer ma chanson. Bien sûr, je me suis contenté d'un couplet. Pour une première, ça me paraissait suffisant. Mais ça ne jurait pas. Au contraire : ça donnait p'têt une nouvelle note (pourquoi pas ... une cerise sur le gâteau ?). J'étais surtout fier (de moi), à l'idée de l'avoir fait. Hi hi hi.

 

Elle était formidable, cette soirée, à Thuin, à la péniche "Carpe Diem", sam'di dernier. Je pourrais, à, son sujet, en écrire, en écrire, des pages, des pages. Encore et encore. Mais ... en aurai-je le temps ? Trouverai-je les mots ?

 

Si j'étais certain que, demain, à pareille heure, d'autres événements (inévitables), ne prenaient pas trop de place, eh bien j'en profit'rais pour en parler dans le "journal de bord" suivant.

 

Mais ... restons-en à aujourd'hui.

 

Juste un dernier point, concernant cette soirée.

 

Je me suis réjoui de retrouver, pour le concert, Philippe Mai, Miche Stennier et Jean-Marie Dollé, qui, non seul'ment sont des chanteurs de talent, mais aussi ... des potes avec lesquels le courant passe super bien.


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Le fleuve Alphée

12272712671?profile=originalIl s’agit d’un essai autobiographique de Roger Caillois (1913-1978), publié en 1978.

 

La vie, l'oeuvre de Caillois furent une ample "parenthèse". Il naquit à Reims en 1913. L'univers offrait à ses yeux toutes les analogies possibles. Ces impressions influencèrent sa démarche critique et confirmèrent par anticipation ses travaux sur le sacré. Dans les décombres de sa ville dévastée, il découvrit la précarité des choses. A la recherche de l'unité absente, il analysa les pouvoirs de l'imagination par le biais du surréalisme, de la sociologie, de l'histoire des religions. Mais il rompit avec l'imprimé et considéra les livres comme de simples supports d'analogies multiples. Il découvrit le mystère du monde dont seule la poésie peut donner un équivalent. Il entrevit alors l'unité cosmique et connut la vanité de l'écriture. Il ne s'agit pas de condamner la civilisation. Seule importe la conscience de participer à la nature sauvage du monde, car s'impose à nous la fragilité de l'espèce humaine dont la complexité dénonce la faiblesse. Conscient de son inutilité, l'auteur rejoint enfin le mystère du monde dont il s'efforce de mimer par le langage l'impassibilité minérale.

 

Testament intellectuel, le Fleuve Alphée se donne comme la réflexion de Caillois sur son propre cheminement intellectuel. En reprenant une fable mythologique pour désigner cette évolution qui va du réel au livre puis revient au monde, l'auteur se conforme à sa volonté d'incarner la parole, de la transformer en illustration de l'idée plus qu'en substitut logique du concept. Avec une humilité de moraliste, Caillois considère son oeuvre comme une parenthèse mais il en dégage la progression cohérente. Tel Alphée, il retrouve son cours. Parvenu, au terme de son initiation, à percevoir l'unité du monde, il renverse les perspectives: il ne s'agit plus de dominer la matière pour déceler des processus analogiques universels mais de s'intégrer, lui, roseau pensant, dans le mécanisme général qui englobe toute l'espèce dans un mouvement perpétuel à la fois d'osmose avec la matière et de retour au néant. Il redevient un individu, dans la conscience de sa précarité et de son appartenance au cosmos. Ce mouvement réflexif, il en retrace la genèse en évoquant son enfance, l'époque où son imaginaire subit des influences indélébiles: il se passionna, comme les surréalistes, pour la magie des choses, dont le mystère développa sa tendance à l'analogie; puis, il perdit la prescience de cette affinité fondamentale avec le monde pour se perdre dans l'univers des livres et brider son propre lyrisme. Ensuite, il abjura la religion de l'imprimé et maîtrisa l'imaginaire. Tout devint le support d'analogies multiples mais conscientes, jusqu'au livre lui-même, objet ouvrant vers une réalité métaphysique, vers la totalité de l'univers. Ainsi l'homme n'édifie rien; simplement il met au jour une architecture secrète, à condition de savoir calquer son expression sur le langage mystérieux des objets, pour suggérer - sans l'expliciter - cette vérité qu'il approche sans jamais parvenir à la toucher.

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LETTRE A L'ESPOIR

 

LETTRE A L’ESPOIR

 

Petite chose si fragile, qui pourtant nous aide

à mieux vivre car …..

 

on dit    «  L’espoir fait vivre  « 

 

Tu es là, espoir de toutes choses,

 dans la vie,

dans la santé,

 dans les peines,

 dans les joies

 et

Souvent tu passe à côté, sans même nous voir,

Sans même nous mettre du baume au cœur,

Sans même nous donner le force d’ espérer encore.

 

Mais chose merveilleuse de la vie, et bien malgré

toi, et bien malgré nous, l’espoir est en nous, et

nous espérons toujours.

 

Car tu es là, quelque part dans le temps et dans

la vie, et un jour tu nous fait signe et enfin on

espère encore et encore, que tu nous délivre d’un

fardeau, d’une maladie, d’un triste sort, et alors

on renaît à la vie qui continue impartial, et on croit

encore, et on se met à espérer toujours quelque chose

de nouveau pour la vie, la santé, les peines et les joies.

 

CAR LA VIE C’EST CA

 

‘’ L’ESPOIR ‘’

 

Parfois tu nous joue des tours, mais nous,

nous restons confiants et nous y CROYONS toujours

 

N’OUBLIONS PAS L’ESPOIR FAIT VIVRE

 

Flora

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L'AMITIE "LA VRAIE"

 

L’AMITIE

 

 

L’amitié, c’est une force étrange qui attire deux êtres à tout se dire,

a se voir tous les jours – à partager tout ou presque tout de leur vie.

 

L’amitié, la vraie, c’est d’être là quand le besoin s’en fait sentir,

ou simplement être là pour son ami (e), pour lui raconter son bonheur ou

son malheur ou sa bêtise du jour et écouter l’autre lui donner un conseil,

ou lui faire un reproche.

 

L’amitié, la vraie, reste dans le temps et pour très longtemps, quoi qu’il arrive,

 car elle est encrée au plus profond de chacun de nous, car c’est un amour profond

et qui est sincère.

 

Je souhaite à tout le monde d’avoir des amis, des vrais, car ils sont rares et

précieux.

 

J’ai cette chance si merveilleuse, il faut y croire et faire en sorte que cela dure

toujours malgré les écarts imprévus de la vie.

 

Merci mon ami (e) d’être là

 

Flora 

 

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Ce volume retrace l'histoire de cette importante institution au service des lettres et du théâtre belge et dessine les perspectives de son avenir. Il est en outre accompagné d'un catalogue exhaustif de ses  publications.

AML Editions, 2009, 263 pages

 

Brochure Archives et Musée de la littérature Belge
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Le Patrimoine de Bruxelles c'est chez CFC-Éditions

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Dans ses collections publiées en français, CFC-Éditions explore la mémoire des lieux, des arts et des idées, affirme la richesse culturelle bruxelloise et rehausse l'image internationale de la ville.

Elle fait ainsi mieux connaître la région de Bruxelles, ses communes, ses habitants, ses artistes, son patrimoine (lieux emblématiques, quartiers, parcs,…) en mettant en place une dialectique et un brassage d'idées entre les collections historiques et les collections centrées sur le présent et l'actualité.

 

Elle questionne les thèmes qui touchent à la citoyenneté : comment connaître la richesse patrimoniale de la région où l'on vit, par quel biais développer des repères critiques et comprendre par la confrontation du passé et du présent les démarches artistiques contemporaines, grâce auxquelles Bruxelles fait partie du concert international.

CFC-Éditions développe un projet durable et crée au cœur de Bruxelles un pôle culturel francophone des plus importants grâce au soutien accordé par la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale.

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CFC-Éditions développe un projet durable et crée au cœur de Bruxelles un pôle culturel francophone des plus importants grâce au soutien accordé par la Commission communautaire française de la Région de Bruxelles-Capitale.

 

photo_cont.jpgLa librairie Quartiers Latins et CFC-Éditions sont situées en plein cœur de Bruxelles, sur l'exceptionnelle Place des Martyrs, construite au siècle des Lumières. Un emplacement hautement symbolique pour une librairie et une maison d'édition dont la mission culturelle porte notamment sur la thématique de la ville et plus particulièrement sur celle de Bruxelles.

 

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Le jour où je me suis aimée......

Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai compris qu’en toutes circonstances,
> j’étais à la bonne place,
> au bon moment.
> Et, alors, j’ai pu me relaxer.
> Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Estime de soi.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai pu percevoir que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle,
> n’étaient rien d’autre qu’un signal lorsque je vais à l’encontre de mes convictions.
> Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Authenticité.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai cessé de vouloir une vie différente
> et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive contribue à ma croissance personnelle.
> Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Maturité.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai commencé à percevoir l’abus
> dans le fait de forcer une situation, ou une personne,
> dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
> sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts
> et que ce n’est pas le moment.
> Aujourd'hui, je sais que ça s’appelle Respect.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai commencé à me libérer
> de tout ce qui ne m’était pas salutaire,
> personnes, situations, tout ce qui baissait mon énergie.
> Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
> Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Amour Propre.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai cessé d’avoir peur du temps libre
> et j’ai arrêté de faire de grands plans ,
> j’ai abandonné les mégaprojets du futur.
> Aujourd’hui, je fais ce qui est correct, ce que j’aime,
> quand ça me plait et à mon rythme.
> Aujourd’hui, je sais que ça s’appelle Simplicité.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai cessé de chercher
> à toujours avoir raison et me suis rendu
> compte de toutes les fois où je me suis trompé.
> Aujourd’hui, j’ai découvert l’Humilité.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai cessé de revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
> Aujourd’hui, je vis au présent, là où toute la vie se passe.
> Aujourd’hui, je vis une seule journée à la fois, et ça s’appelle Plénitude.
>
> Le jour où je me suis aimé pour de vrai,
> j’ai compris que ma tête pouvait me tromper et me décevoir,
> mais si je la mets au service de mon cœur,
> elle devient un allié très précieux.
>
> Charlie Chaplin
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journal de bord, lundi 24 janvier 2011

 

 Quatre heures et demie (du matin).

 

"Hugues, je te félicite de rentrer dans les temps !"

 

Me dira, me répét'ra, sur les lieux du boulot, sans doute, le chef (comme la s'maine dernière, plusieurs jours d'affilée), lorsqu'effectiv'ment, j'aurai terminé ma tournée de facteur, avant 16 heures (heure où il faut fermer la boutique, parce qu'on met l'alarme).

 

"Hugues, je te félicite de rentrer dans les temps !"

 

A priori, ça fait plaisir. Qui n'aime pas être reconnu dans les tâches qu'il accomplit, surtout si ces tâches sont positives ?

 

"Hugues, je te félicite de rentrrer dans les temps !"

 

Quelque chose me gêne, m'emm..., me déplaît carrément, néanmoins, dans cet éloge. Mmm.

 

"Hugues, je te félicite de rentrer dans les temps !"

 

Comme si ... j'étais responsable, les jours de poisse où je réintégre les lieux du boulot ... un peu, beaucoup plus tard que prévu, du temps que je ne gère pas bien. Comme si ... je devais "encore" faire un effort les jours où on croule sous l'effroyable quantité de courrier qui nous tombe dessus et qu'objectiv'ment, c'est de notre faute, ces jours-là, si on rentre plus tard.

 

Holà, holà !

 

Et quand je lui exprime mon point-de-vue (comme je l'exprime ici), au chef, celui-ci, un jour, me répond :

 

"Les jours où tu as plus de boulot, tu ne sais pas décider à l'avance du temps que tu réserves à tes clients ?"

 

Bonne question. Logique. Pragmatique.

 

Mais, encore une fois, pas trop réaliste, à mon sens, quand on sait, quand on sent, quand on vit, chaque jour, les quatre heures (parfois, plus) qu'on passe en tournée ... qu'on sait que chaque client est un cas particulier ... qu'on ne peut jamais savoir à l'avance les rapports qu'on aura avec les clients ...

 

"Hugues, je te félicite de rentrer dans les temps ?"

 

Oh, il me le dit gentiment, le chef. Je me fais peut-être du souci pour rien.

 

Ceci dit ...

 

Quand je sais qu'il agit avec une logique de chef, ce chef ...

 

Quand je sais qu'il n'est pas spécial'ment en bonne posture, certains jours, vis-à-vis des délégués syndicaux, qui ont aussi leur mot à dire ...

 

Quand je sais qu'il est sans doute prudent, dans ses discours, dans sa manière de le dire, parce qu'il sait qu'il n'est pas seul à décider, mais qu'il doit quand même agir (de son côté) ...

 

Je garde quand même la distance.

 

Et quand je m'écoute ...

 

Je reste sur la défensive.

 

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“L’âne culotte » est un roman d'Henri Bosco (1888-1976), publié en 1937.

Constantin Gloriot, le narrateur, raconte l'aventure qui lui est arrivée lorsqu'il avait douze ans. A cette époque, dans le village de Provence où il vit avec ses grands-parents, un âne mystérieux, surnommé l'âne Culotte par les enfants parce qu'il porte des braies en hiver, intrigue les habitants. On sait qu'il vient d'une ferme de la montagne, et sert un certain M. Cyprien dont les villageois ne parlent qu'avec crainte et méfiance. Un jour, Constantin, malgré l'interdiction de sa grand-mère, décide de suivre l'âne, qui le mène jusqu'à son maître. Il découvre alors un véritable "paradis", un verger poussé en pleine montagne, où les animaux charmés vivent sans crainte. M. Cyprien le charge de porter une branche d'amandier en fleurs au curé du village, l'abbé Chichambre. Mais, menacé par une petite fille du village, Anne-Madeleine, Constantin se voit obligé d'aller couper une seconde branche d'amandier. Il est surpris par M. Cyprien, qui lui apprend qu'il ne faut pas toucher au paradis. Dès lors, les événements se précipitent. Par Hyacinthe, la petite servante de ses grands-parents, qui connaît aussi le "paradis", Constantin découvre que, depuis sa faute, M. Cyprien a disparu, jusqu'au jour où celui-ci revient en secret et emmène avec lui Hyacinthe, qu'on ne reverra plus. Le journal de M. Cyprien, découvert et annoté par l'abbé Chichambre, et lu beaucoup plus tard par le narrateur, vient compléter l'histoire: M. Cyprien, ancien navigateur et magicien, a voulu recréer le paradis sur terre qu'il avait connu dans une île. Il devait léguer son pouvoir sur les animaux et les plantes à Constantin. Mais la faute de celui-ci l'a convaincu de l'omniprésence du mal, et l'a poussé à repartir, pour créer un nouveau paradis en compagnie d'Hyacinthe à qui il transmettra son savoir.

 

On a souvent classé Henri Bosco parmi les écrivains "régionalistes". Cette désignation hâtive rend bien peu compte de l'atmosphère de conte étrange qui est celle de l'âne Culotte. Certes, c'est toute la Provence, avec ses moeurs surannées - comme la messe dite à l'occasion des premières neiges -, ses animaux et ses plantes aux noms oubliés, qui est la véritable héroïne du roman. Mais on aurait du mal à y retrouver l'image simple et bon enfant qui en est souvent présentée dans la littérature française. Cette Provence est une  terre surnaturelle, où se fondent l'héritage folklorique et païen, et les légendes chrétiennes, comme en témoignent les dictons prononcés par la Péguinotte, la vieille servante des grands-parents de Constantin, mêlant conseils sur les récoltes et antiques superstitions. L'histoire de l'âne Culotte et de son maître M. Cyprien rappelle à la fois l'âne d'or d'Apulée, puisque l'animal est manifestement décrit en termes anthropomorphiques, et la Confession de saint Cyprien de Lucien, qui décrit le repentir du magicien qui croyait s'adonner à des pratiques divines alors qu'il servait le diable. On peut penser aussi à toutes les légendes proches du mythe d'Orphée, comme celle du "Charmeur de rats", puisque c'est au moyen d'une flûte magique, la Syrinx, que Cyprien exerce son étrange pouvoir sur les animaux. Cependant, à cela s'ajoute la dimension chrétienne de l'aventure: c'est le dimanche des Rameaux que l'âne Culotte emmène chez son maître M. Cyprien le jeune Constantin juché sur son dos à l'instar du Christ entrant dans Jérusalem. Mais l'enfant, loin d'annoncer un nouveau règne du paradis, est celui-là même qui, en cédant aux menaces d'Anne-Madeleine, et à un obscur besoin de violer la loi, introduit le désordre dans le domaine préservé de M. Cyprien.

 

Du reste, ce paradis n'était-il pas déjà vicié, condamné d'avance? De façon miraculeuse, l'enchanteur d'animaux avait réussi à attirer et à apprivoiser le serpent lui-même, qui vivait dans son verger. Un seul animal, comme nous l'apprend le journal de M. Cyprien, résistait à son pouvoir magique, et continuait à tuer: le renard. Dès lors le pari de M. Cyprien se heurtait à l'éternelle interrogation sur le mal: devait-il tuer le renard pour protéger les autres animaux? Constantin, en trahissant M. Cyprien, déchaîne les forces maléfiques, et celui-ci ne peut résister au désir d'égorger le renard. Il n'était qu'un pauvre magicien, et non un envoyé du Ciel.

 

Ainsi le roman apparaît-il clairement comme un roman d'initiation, fondé sur une quête du bonheur. Comme l'affirme Constantin, commentant le journal de M. Cyprien: "Nous voulons tous le paradis sur terre, et l'homme se croit né pour le bonheur." Sans doute est-ce une faute que de vouloir créer un Éden humain que nul Dieu ne garde. Mais si les promesses du Ciel sont les plus belles, elles sont annoncées par les dons de la Terre, célébrés en termes lyriques tout au long du roman comme les signes mêmes de la présence divine.

 

« Je les connais tous, les sites humains d'où sont partis les hommes, l'abri du charbonnier, la cuve à vin creusée dans la paroi du roc, le poste à feu oublié du chasseur et, quelque part en un lieu hanté de moi seul, perdu dans la broussaille, cette aire immense avec des talus et quatre grands fossés mangés par l'herbe. Un vieux peuple, rude et sensé, au cours d'une migration énergique, avait sans doute établi là, jadis, son camp à l'ombre de la Terre. »

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Le chantre du Luberon désira reposer dans le cimetière de Lourmarin. Il fit part de ses dernières volontés dans un texte publié par ses amis d'Alpes de Lumières :

« Enfin on chantera tes bêtes : renards, martres, fouines, blaireaux, nocturnes et le sanglier qui est peut-être ton dernier dieu (Mais silence, tu me comprends...)

Pour moi, si quelque jour, je dois tomber loin de ta puissance, je veux qu'on ramène mes cendres à Lourmarin, au nord du fleuve, là où vécut mon père et où, trop peu de temps, j'ai connu les conseils de l'Amitié.

Et que l'on creuse alors sur ta paroi, en plein calcaire, là-haut loin des maisons habitées par les hommes, entre le chêne noir et le laurier funèbre, un trou, ô Luberon, au fond de ton quartier le plus sauvage. J'y dormirai.

Et puisse-t-on graver, si toutefois alors quelqu'un prend souci de mon ombre, sur le roc de ma tombe, malgré ma mort, ce sanglier »


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Voltaire avait mal aux dents

 En 1760. Ca ne nous rajeunit pas. Voltaire se fait vieux et il a mal aux dents, enfin.. à celles qui lui restent.!

La suite dans ce n°3 ou l'on relate la vie trépidante de ce Personnage qui allait si bien avec Ferney.

Illustration de couverture Gegout©2011 dit Lutopic

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 "Voltaire à Ferney" association créée  en 1999 pour faire pièce à la vente du château de Voltaire, à décidé en 2008 de se lancer dans une entreprise de longue haleine: publier, avec 250ans de décalage, les éphémérides de la vie du philosophe à Ferney (1758-1778 ).

Du pain sur la planche pour les vingt années à venir.

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