Les blessures de l’âme causent de la souffrance.
La tristesse obsédante a raison de la foi.
Celles agressant la chair ont un tout autre poids,
Le corps peut s’insurger jusqu’à l’intolérance.
La tristresse obsédante a raison de la foi.
Elle brime l’esprit, empêchant son errance.
Le corps peut s’insurger jusqu’à l’intolérance,
Quand les nerfs ne sont plus soumis à une loi.
Elle brime l’esprit, empêchant son errance.
La liberté perdue, il n’y a plus de joie,
Quand les nerfs ne sont plus soumis à une loi,
L’équilibre affaibli, le drame semble intense.
La liberté perdue, il n’y a plus de joie.
Pourtant, soudainement, peut naître l’espérance.
L’équilibre affaibli, le drame semble intense,
Or, l’incroyable arrive et c’est la délivrance.
3 octobre 2011