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concours (26)

administrateur théâtres

 Signez "Non" au déversement du flux télé du Concours  Reine Elisabeth sur Musiq3

URL Courte : https://12827.lapetition.be/

Une pétition qui intéresse l' Art et  la culture :  Le Reine Élisabeth de Musiq3, c’est fini !


La RTBF a décidé sans concertation que pour la finale du concours, il n’y aura plus de commentaires distincts en radio et en télévision.

Dorénavant, seuls les propos télévisés seront diffusés sur tous les supports.

Et c’est la fin de Musiq3 en tant que média spécifique du Concours !

http://www.lesoir.be/212001/article/culture/medias-tele/2013-03-21/hadja-lahbib-presentera-reine-elisabeth-2013

Après la viande de cheval qui se fait passer pour du boeuf, voici le son de la télévision étiqueté « c’est de la radio ! »

• De qui se moquent les responsables du service public culturel francophone?
• Pourquoi ont-ils si peu de respect pour leur/notre outil ?!
• Si peu de respect pour le métier artistique des techniciens, des réalisateurs et des présentateurs de la radio? Jusqu’à virer du jour au lendemain certains de ses collaborateurs contractuels sans considération des engagements pris.

Alors que se prépare l’événement-phare belge et international qu’est le Reine Élisabeth, voilà qu’on lui ferme les micros pour la finale? « Ôte-toi de là que j’my mette! », décrète la télé. 
Pour des raisons d’économie. C’est incroyable.

Musiq3 n’est pas de la télé sans image, c’est une radio.
La musique ne peut pas se laisser faire.

Nous, mélomanes des musiques classiques, jazz et contemporaines, 
Nous, minoritaires en audimat mais qui avons les mêmes droits que les téléspectateurs de jouir des médias que nous avons choisis et faits nôtres,
Nous, qui existons dans la société et qui apportons notre part active dans la vie culturelle de la cité,
Nous, qui payons le Service Public pour ce qu’il est et devrait être,
Nous n’acceptons pas que la direction de la RTBF nous fasse prendre des vessies pour des lanternes et de la télé pour de la radio.

Rendez-nous notre radio !

On se pince à devoir rappeler quelques évidences aux professionnels qui pilotent nos médias nationaux :
• Les commentaires de télévision sont conçus dans le cadre d’une image
donnée, dans des temps contraints et complètent un programme considéré
comme un tout.
Alors que la parole-de-radio constitue un tout en soi et génère par elle-même les images mentales chez les auditeurs.
• La parole de télé est tributaire des exigences de ce média:
-commentaires d’une image que les auditeurs de radio ne voient pas, par définition (vu que c’est leur choix d’écouter la radio),
-présence d’images qui ne sont pas toujours liées au sujet (jamais en radio).
• Le réalisateur de télévision privilégie logiquement l'image par rapport au son, et mixe le son en fonction de cette image. Donc le son que restitue un poste de télévision est traité différemment avant diffusion, pour «calibrer» le son sur ce qu'on voit. 
Ce n’est pas le cas en radio (mais on nous a informé que le son musical de Musiq3 serait bien le son « de radio »).

Les présentateurs choisis pour la finale, des professionnels que le public aime bien, ne sont pas en cause. 
Mais la télévision est un média « grand public » cherchant légitimement à bien vulgariser et à satisfaire le plus grand nombre. 
Les auditeurs de Musiq3 seront, eux, privés des commentaires pointus développés dans la durée par différents spécialistes, et auxquels tout aussi légitimement, ils ont droit.
Non, tout ne se vaut pas!

Quelles autres émissions se verront ainsi « télé-déversées » dans Musiq3 ?
Est-ce la suppression de la chaîne qui est programmée ?

Musiq3  soutient la vie musicale de notre pays. 
Notre chaîne n’exclut personne, quiconque veut l’écouter est le bienvenu. Elle est seulement différente des autres chaînes ... et de la télé — à chacune sa spécificité.

Ce qui se passe ici va dans le sens du nivellement généralisé auquel, tant bien que mal, Musiq3 résiste. L’attaque par la direction — oui c’est une attaque — est «facile» parce que Musiq3 est une petite chaîne. Il y a là quelque chose d’absolument scandaleux puisque s’exerce sans régulation la loi du plus fort.
Or, c’est précisément parce que Musiq3 est une petite chaîne originale qu’il faut la défendre.

Nous voulons que soit respectée la spécificité de notre radio. Il faut annuler cette invention et retrouver la variété des commentateurs spécialisés de Musiq3 parlant non face à un objectif mais devant leur micro de radio.
Ceci est une manifestation de défense d’une des rares radios francophones belges où l’on se donne le temps de développer un propos et où il n’y a pas de pub.

C’est aussi une question de résistance philosophique: la radio est le dernier bastion de l’oreille. Il nous faut la défendre *à ce titre*.

Alexandre Wajnberg
Chroniqueur scientifique à Musiq3, musicien et aussi auditeur.

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administrateur théâtres

Goûtez d’ores et déjà à l’Inde!

En prélude au festival europalia.india, Europalia invite chacun à partager ses souvenirs, aventures et images d’Inde en participant à son concours photos en ligne europalia.india.

12272840882?profile=originalVoyageurs et photographes ont la possibilité de s’approprier la page facebook d’Europalia et de devenir l’un des artistes de l’ exposition virtuelle sur www.europalia.eu

 

Le concours se déroulera du 12 octobre 2012 au 12 avril 2013 sur www.facebook.com/Europalia. Chaque mois Europalia publiera les meilleures photos dans son exposition virtuelle sur www.europalia.eu.

A la fin du concours un prix Europalia et un prix du public seront attribués. Chaque participant a la chance de gagner une journée VIP pour deux personnes durant le festival europalia.india. Une journée surprise pleine d’histoire, de culture et de saveurs indiennes !  Rendez-vous donc  sur: www.facebook.com/Europalia

Du 4 octobre 2013 au 26 janvier 2014 le 24ÈME FESTIVAL EUROPALIA fera découvrir la beauté inégalée de l’Inde : le raffinement des sculptures, les représentations exotiques des nombreux dieux, l’exubérance des Maharajas, les nombreuses et anciennes religions toujours bien vivantes, la savoureuse cuisine indienne, les légendes fascinantes, les pierres précieuses et les bijoux, les spectacles tournoyants de Bollywood, l’envoûtante musique indienne, la scène artistique contemporaine et son bouillonnement, le raffinement et la grâce des danseurs pour qui chaque mouvement de main ou de pied a une signification particulière … et encore beaucoup plus encore !

Tous ces événements plongeront le public dans le mystère intemporel de l’Inde, durant quatre mois, au sein de nombreux centres culturels de Belgique et des régions  environnantes.

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administrateur théâtres

Il était une fois une Sonate  en trois mouvements : Allegro appassionato, Moderato cantabile et Orlando furioso. Ou la construction en  trois parties de ce mémorable concert donné à la salle Henry le Bœuf , salle comble, devant la famille royale en conclusion du prodigieux concours de violon Reine Elisabeth 2012 dont c’est la 75e édition. Trois concurrents extraordinaires: une Amazone Coréenne bleue, un Prince Japonais et un Titan de Russie. Jouer c’est se surpasser. C’est ce que les trois jeunes artistes ont fait, tenant en haleine un public captivé. Trois concerti monumentaux sous la baguette virevoltante de Michel Tabachnik, musicien éclairé débordant de vitalité. Au Programme :

- Concerto Nr 1 en sol mineur op 26 de Max Bruch, soliste: Shin Hyun Su, troisième lauréate

- Concerto  en mi mineur opus 64 de Félix Mendelssohn, soliste: Narita Tasuki, deuxième lauréat

- Concerto  en ré majeur opus 35 de Tchaikovsky,  soliste: Andrey Baranov, premier lauréat

Allegro Appassionato 

Shin Hyun Su assume un phrasé incisif qui tranche avec le puissant murmure de l’orchestre que Michel Tabachnik conduit avec une  souplesse virevoltante. Le voilà, tempérant les cors anglais, insufflant du  recueillement avant la vague passionnelle qui précède le premier solo de la tragi-musicienne. Celle-ci, Tantôt extrait des intonations salées comme des larmes de son instrument, tantôt et offre un déferlement de musicalité. Dans l’Adagio, elle sait aussi faire sourdre tout en finesse, comme un ruisseau invisible, des modulations romantiques de son archet. Les commentaires de l’orchestre se nourrissent de gravité une pluie de pizzicati évoque les tressaillements d’une invisible harpe. La musique, serait-ce faire ressortir l’invisible? Les quatre cors et les deux trompettes jettent soudain une amplitude de tonalités qui repoussent au loin tous les horizons. Le rêve et la sérénité lumineuse se sont installés. Le moment de grâce se termine sur deux petites notes descendantes. L’Allegro energico porte bien son nom : jeu subtil de  l’exultation victorieuse. L’Amazone bleue est en parfaite symbiose avec l’orchestre dont le cœur bat la chamade. Les percussions scandent un final glorieux. Tout est dans le geste du dernier coup d’archet.   

Moderato cantabile

Narita Tasuki émeut par sa grâce, son élégance et sa virtuosité tranquille. Un seigneur de la musique qui explore la partition avec aisance et maîtrise. Le duo avec les vents est empreint de tendresse et de générosité. Le musicien produit des respirations lentes  et des sommets délicats. La transparence de la porcelaine. Sa créativité artistique s’imprime dans la flexibilité  de son corps. Se prend-il pour un roseau dansant au gré du ruissellement des clarinettes ? Deux cors et deux trompettes brillantes soudain se liguent pour préparer l’écrin du monologue  extraordinairement émouvant du soliste. Son  babillage intime se dépose aux pieds de l’orchestre sous le charme. Dans le mouvement suivant, les plaintes sonores et douloureuses de l’orchestre seront bientôt couvertes par la volubilité juvénile du jeune artiste. Les répétitions en force du cadre dramatique de l’œuvre forcent le soliste à exprimer la chose qui meuble toute son interprétation : l’harmonie. Alors les violons glissent imperceptiblement dans des couleurs bienveillantes. La fin du deuxième mouvement  est une construction séraphique du plaisir. Le troisième se termine dans l’allégresse, la légèreté et l’intensité. Vivacité à l’état pur, perlée de hautbois avant l’estocade finale.

 Et deux splendides bis: le  caprice Nr 1 de Paganini et ...une perle japonaise.

Orlando furioso

La vie est un combat sans merci. Contre le malheur qui imprègne toute chose,  Andrey Baranov forge des sonorités d’une puissance incomparable. Cet athlète musical entraîne l’orchestre dans le dépassement absolu. Ses soli de virtuose sont mouvementés et douloureux. Transfiguré par la musique, il ferait chanter un morceau de marbre ! Paroxystique dans la douceur comme dans la  force. On est dans de l’expressionisme fantastique. Un Titan, dont la concentration est phénoménale et l’expressivité, celle de toutes les Walkyries réunies. Slaves,  bien sûr ! Mystère : la finale égrènera des étoiles.    

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administrateur théâtres

12272799258?profile=originalSolistes de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth

BOZARSUNDAYS

Dimanche 18.03.2012 11:00

Palais des Beaux-Arts / Salle Henry Le Bœuf

 Chaque année, dans un idéal d’excellence, et le rêve d’une carrière assurée,  des étudiants de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth participent au Concours musical international Reine-Élisabeth-de-Belgique. La Chapelle est soutenue par de nombreux mécènes culturels. Elle participe au perfectionnement de jeunes talents du monde entier dans plusieurs disciplines musicales. Dans chacune des quatre disciplines, les étudiants de la Chapelle sont suivis personnellement par un Maître en résidence: Violon (Augustin Dumay), Piano (Abdel Rahman El Bacha), Violoncelle (Gary Hoffman)(nouvelle classe), Chant (José Van Dam), Musique de chambre (Quatuor Artemis)

Ce dimanche matin, la salle Henry Le Bœuf du Palais des Beaux-Arts de Bruxelles  accueillait trois jeunes talents qui nous ont offert un programme de choix:

Christia Hudziy piano - Noëlle Weidmann violoncelle

Edvard Grieg, Sonate pour violoncelle et piano, op. 36, 1er mouvement
Leos Janacek, Pohadka

Harriet Langley violon - Dana Protopopescu piano

César Franck, Sonate en la majeur

L’une d’entre elles, qui a travaillé à la Chapelle depuis six ans, est une jeune fille de 19 ans. Elle s’appelle Harriet Langley, elle  est australienne, de mère coréenne. Elle a déjà parcouru le monde entier et  va présenter le concours Reine Elisabeth de violon ce printemps 2012. Non seulement elle a l’occasion grâce à cette formation de développer sa personnalité musicale aux côtés d’un très grand maître prêt à lui transmettre tout son savoir faire, mais elle est très reconnaissante, ainsi que ses collègues artistes  que la Chapelle - cas unique dans la formation musicale en Europe -  leur permette de se produire sur de nombreuses scènes prestigieuses y compris à l’étranger. Après le concert nous les avons rencontrées, toutes trois  aussi charmantes, et amoureuses de la musique.  

Christia Hudziy au  piano et Noëlle Weidmann (dont c’est la première année à la Chapelle)   au violoncelle nous ont joué la Sonate pour violoncelle et piano, op. 36, 1er mouvement d’Edvard Grieg.  Ce n’est pas une mince affaire que de convoquer l’intérêt musical un dimanche matin à 11 heures quand dehors sonnent les cloches d’une superbe matinée de printemps. Ce duo féminin très accompli  a réussi à capter toute notre concentration. Sensibilité et vigueur étaient au rendez-vous tandis que dans le second morceau, Pohadka de Leos Janacek, l’inventivité  et les surprises fusaient des cordes du violoncelle. Le début commence comme un véritable conte de fées. Une voix semble nous souffler «  Il était une fois… Pohadka, a fairy tale ». Et c’est le cas,  vérification faite, Pohadka veut dire en tchèque « conte polulaire… » C’est dire si l’interprétation était suggestive !   On se demande comment Christia et Noëlle, qui jouent en se tournant le dos ont tant de connivence musicale et de bonheur complice. Le double chant qu’elles tressent dans le dernier mouvement  est enchanteur.

 

César Franck, Sonate en la majeur. Le duo avec Dana Protopopescu au piano était sublime. Harriet, la violoniste boit des yeux les mains de la pianiste et lui renvoie une  sculpture musicale  complexe et passionnée. La fougue croisée des deux instruments se complaît dans les notes graves, la violoniste souligne les accents marqués en fin de phrase par un geste d’accompagnement ferme et gracieux. L’archet semble se libérer et grimper vers des notes de plaisir estival. Puis des ondes de retour vers l’intériorité retombent en cascades.

 Il y a au cœur de l’œuvre un récitatif joué les yeux fermés, un chef d’œuvre pour

qui veut se recueillir. Il semble que toute la misère du monde soit envoyée vers le ciel, avec l’espoir enfermé  comme  dans une bouteille à la mer. Et ce message, on est sûr que Dieu l’aura entendu. Les lignes mélodiques sont pures, escortées avec délicatesse par les  arpèges au  velouté très mélodique de la pianiste.  La tendresse et le romantisme du début se mutent en  volonté de faire exploser la joie de vivre.  

C’est au tour du public d’exploser de bonheur, quand dehors, en plein midi, sonnent les cloches d’une superbe matinée de printemps.

 

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12272748085?profile=originalConcours annuel 2013 de la Classe des Arts

 

Dès la création de la Société littéraire de Bruxelles, ancêtre de l'Académie, l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche lui confie l'octroi de deux prix annuels, l'un pour les Sciences, l'autre pour les Lettres. Cette tradition s'est maintenue depuis 1769 et actuellement chaque Classe peut décerner six prix d'égale valeur destinés à récompenser les auteurs des meilleurs travaux présentés en réponse aux questions qu'elle a mises au programme de l'année.

La Classes des Arts de l'Académie a clôturé la liste des questions du Concours annuel de 2013.

Les réponses à ces questions doivent être déposées au plus tard le 31 mars 2013.

Liste des questions

Création artistique

Première question : sculpture
Dans son œuvre, le candidat choisira une recherche tridimensionnelle (sculpture) en accord avec l’environnement. La taille définitive, le choix des matériaux et la technique d’exécution devront être précisés. Le projet pourra être présenté sous forme de maquette ou de montage photographique/infographique.

Deuxième question : art du relief
Même programme que pour la première question, mais appliqué au relief.

Histoire et Critique

Première question
On demande une étude sur la critique et l’esthétique musicales de Boris de Schloezer.

Deuxième question
On demande une étude sur l’architecte Jean Englebert.

Conditions réglementaires générales

A. Histoire et Critique

Prix de 1250 €.

Les mémoires présentés aux concours annuels des quatre Classes de l’Académie sont adressés directement à M. le Secrétaire perpétuel (Académie royale de Belgique, Palais des Académies, rue Ducale, 1 à 1000 Bruxelles) avant le terme fixé. Ceux qui seraient remis après ce terme seront exclus du concours.

Les mémoires doivent être adressés en trois exemplaires. Ils portent normalement le nom et l’adresse de leur(s) auteur(s). Néanmoins, ceux qui le désirent peuvent garder l’anonymat. Dans ce cas, ils joignent à leur travail un pli cacheté renfermant les renseignements ci-avant et portant une devise ou un sigle reproduit en tête de leur mémoire.

Les mémoires déposés devront être originaux et préciser explicitement la question à laquelle ils répondent. Ils consisteront : 
- soit en un document inédit, qui peut cependant inclure des parties de mémoire présenté par ailleurs pour la collation d’un grade académique (licence, doctorat, agrégation de l’enseignement supérieur, diplôme d’études approfondies…), mais en aucune façon un tel mémoire in extenso ; 
- soit en un ensemble de publications, sorties de presse postérieurement à la formulation de la question par l’Académie, constituant un ensemble cohérent et réunies par une présentation et des conclusions générales.

L’étendue des mémoires sera réduite au strict nécessaire (maximum 250 pages de 2 500 caractères par page). Le plus grand soin sera accordé à la correction de la forme et à l’exactitude des citations ; la bibliographie prendra en compte les travaux publiés jusqu’à une date aussi proche que possible de celle du dépôt du mémoire.

Les membres et les associés ne peuvent prendre part aux concours dont le programme a été établi par l’Académie.

Les mémoires soumis restent déposés dans les archives de l’Académie et y sont accessibles aux chercheurs.

Les auteurs peuvent solliciter de l’Académie, si elle en a la possibilité et l’accord de la Classe, la publication en tout ou en partie des travaux couronnés.


B. Création artistique

Prix de 1250 €.

Les envois devront être faits directement à M. le Secrétaire perpétuel de l’Académie (Académie royale de Belgique, Palais des Académies, rue Ducale, 1 à 1000 Bruxelles), avant le terme fixé.

Les concurrents sont tenus de garder l’anonymat ; ils joindront à leur œuvre un pli cacheté renfermant leur nom et leur adresse et portant une brève devise ou marque distinctive qui sera répétée sur le projet même.

L’Académie n’accepte que des travaux complètement terminés. Les auteurs des projets couronnés sont tenus d’en donner une reproduction photographique qui sera conservée dans les Archives de l’Académie avec les autres pièces du concours.

Un délai de trois mois est accordé aux auteurs des projets pour en réclamer la restitution, à leurs frais. Passé ce délai, l’Académie n’est plus responsable de ces projets.

Les compositeurs qui ont obtenu un prix de l’Académie, autorisent celle-ci à faire exécuter l’œuvre couronnée à l’occasion d’une de ses séances publiques.


Pour toute information complémentaire, nous vous prions de contacter Béatrice Denuit.

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administrateur théâtres

Je t'appelle Citadelle (grand concours)

Grand concours de slam de la Maison de la Francité

Rompant avec les habitudes, le concours 2011 de la Maison de la Francité sera consacré au slam. Venu de la rue et parfois qualifié de « poésie urbaine », ce genre est largement ouvert aux non-professionnels. Proche du texte de chanson, fait pour être déclamé en public, le texte de slam exprime en toute liberté des thèmes comme le vécu personnel de l’auteur, son expérience de la vie et de la société, dans un langage où dominent le rythme saccadé et les jeux de sonorités.

En forme d’interpellation, le titre « Je t’appelle citadelle » amorce une chaîne de rimes avec des mots comme « elle », « aile », « infidèle », « passerelle », « Bruxelles », « fraternel », etc. Quant au contenu, le « tu » pourra désigner une personne, une ville, l’Europe, ou encore le bonheur, etc. La citadelle, en effet, peut être vue comme une réalité concrète ou morale, sous un angle positif (observatoire, protection, refuge) ou négatif (domination, enfermement, inaccessibilité) ; chacun d’entre nous peut donc avoir sa (ses) citadelle(s). Enfin, le verbe « appeler » a au moins deux sens différents : « héler » ou « nommer »…

Le concours se déroulera en deux étapes :

envoyez-nous pour le 31 mars 2011, par poste, fax (02/219.67.37) ou courriel

(mdlf(at)maisondelafrancite.be) votre texte (entre 25 et 50 lignes) avec la fiche d’identité. Ils feront l’objet d’une sélection visant à retenir les 30 meilleurs.

Chacun des 30 lauréats sera alors invité à déclamer son texte et à envoyer l’enregistrement à la Maison de la Francité pour le 9 mai. Un jury classera les lauréats en 3 catégories

(cadets, juniors, adultes)

en tenant compte de la qualité des textes et des interprétations.

Les lauréats seront invités à la remise des prix, fixée au 1er juin 2011, où les attendent des chèques, des livres, entrées gratuites, etc.

Découvrez le règlement complet du concours et la fiche d’identité.

www.maisondelafrancite.be
Tél. 02/219 49 33 - mdlf(at)maisondelafrancite.be


avec l’aide de la Commission communautaire française et de la Communauté française

(from Deashelle!)


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