On s’accroche
à la chaîne fragile
des mots
comme oiseau
sur un fil imaginaire
One clings
To the fragile
Chain of words
Like a swallow
On its imaginary
Line
Les partenariats
Lettres
On s’accroche
à la chaîne fragile
des mots
comme oiseau
sur un fil imaginaire
One clings
To the fragile
Chain of words
Like a swallow
On its imaginary
Line
Les partenariats
Lettres
Chères amies et amis de la galerie,
Espace Art Gallery a le plaisir de vous présenter son prochain vernissage du 02 septembre 2021 et son agenda culturel…
Après son exposition « Hors les Murs » à Crupet (Namur) pour les mois de juillet-août : Collectif international de la galerie 25 artistes – 10 nationalités – 33 œuvres et son exposition collective d’août, dans la galerie, elle vous présente ses nouvelles actualités.
Lien vers le reportage photos du vernissage d’août :
Lien vers l’exposition de septembre sur mon site Internet :
Vernissage le jeudi 02 septembre 2021 de 18h 30 à 21h 30.
Finissage les 25 & 26 septembre de 11h 30 à 18h 30.
Les artistes présents lors de cet événement sont :
Jean-Pierre CRANINX (peintures), Ventzislav DIKOV (peintures), DIELLE (peintures) et le collectif internationale de la galerie (peintures & sculptures).
Il y a actuellement 116 vidéos en ligne sur ma chaîne YouTube « Espace Art Gallery ». À partager sans modération et n’oublie pas de donner des « j’aime » et commentaires sur celles que vous aimez ? Il y a actuellement +/- 23.000 vues sur l’ensemble des vidéos depuis fin juillet 2020 ! Et je compte sur vous TOUS pour faire augmenter ce nombre à l’avenir… Belles visions !
Pour visionner toutes les vidéos sur YouTube :
https://www.youtube.com/playlist?list=UUzA0FaoQB-FAHQR_UOUCigg
Jerry Delfosse
Galeriste
Fondateur et propriétaire de l’Espace Art Gallery,
EAG Studio’s & Les Éditions d’Art EAG
Co-Fondateur et Président de
La Porte dorée ASBL
Rue de Laeken, 83 à 1000 Bruxelles
GSM: 00.32.497. 577.120
Laisse là colorer toutes tes pensées
Loin de cette terrible morosité
Ecris et découvre un monde où la magie
Est source et la poésie symphonie
•⊰✿~•
© Elea Laureen
L’ESPACE COMME THÉÂTRE DU SENTIMENT VITAL : L’ŒUVRE GRAPHIQUE DE SERGE DEHAES
Du 06 au 29-08-21, dans le cadre du SALON d’ÉTÉ 2021, l’ESPACE ART GALLERY (83, Rue de Laeken 1000 Bruxelles) a le plaisir de vous présenter l’œuvre du peintre et dessinateur belge, Monsieur SERGE DEHAES.
Avec SERGE DEHAES, nous avons affaire à un artiste « polyvalent », en ce sens qu’il associe avec le même bonheur, l’aquarelle, le dessin, la peinture et la bande dessinée. Cet éclectisme est corroboré par une excellente connaissance des styles. Chacune des œuvres exposées est un concentré de maîtrise, stylistique et technique.
NEDER SUR MEUSE (29 x 39 cm-aquarelle, pastel et crayon)
Cette œuvre concrétisme l’association de l’aquarelle, par ses couleurs tendres posées en aplat, soulignant les fleurs ainsi que la végétation entourant la maison avec la grande qualité du dessin. Ce dessin, lequel par la mise en perspective du dispositif mural de la maison, agencé par le dispositif des fenêtres, articule le mur en accroissant la sensation d’avancement. La peinture, présente dans la conception des arbres, met en exergue les troncs. Particulièrement en ce qui concerne l’arbre en avant-plan sur la droite donc les racines s’immergent dans l’eau. Observez la façon dont l’écorce est soulignée. De longs traits au crayon, structurent le corps de l’arbre sur toute sa longueur, le recouvrant de sinuosités, accélérant ainsi le rythme du mouvement des racines se dilatant vers l’eau. L’artiste s’est exclusivement concentré, en premier, sur la couleur en attendant qu’elle sèche pour utiliser, par la suite, un gras au lieu d’un crayon aquarelle. La présence du peintre se ressent également dans la conception du petit sentier en pierres se mouvant vers l’intérieur du jardin dans son uniformité géométrique. Elle se révèle aussi dans la conception spatiale : 6 plans structurent l’ensemble de la toile.
L’ensemble vibre à l’intérieur d’une dynamique rarement atteinte à l’intérieur d’un calme ambiant.
Le coloriste se révèle dans la magnifique conception de la couleur verte dans l’élaboration du gazon ainsi que des feuilles des sapins.
Chacune d’entre elles est tributaire de deux tonalités axées sur le vert : l’une claire, l’autre sombre. Le chromatisme régissant les fleurs sur le parterre, associant essentiellement le rouge, le jaune et le bleu, confère à l’ensemble une gaité ainsi qu’une innocence, débouchant sur l’idée d’un style, celui de l’art dit « naïf » réinterprété selon la sensibilité de l’artiste. Notons que ce dernier a traité l’arrière-plan du tableau, par après, en atelier.
TOKYO (59 x 43 cm-digigraphie)
C’est avec cette œuvre que s’affirme le dessinateur de bande dessinée. Elle s’inscrit dans ce que l’on pourrait qualifier d’ « aventure urbaine », en ce sens que l’artiste a fait partie d’un groupe appelé « The Urban Sketchers », dont l’enjeu consistait pour les artistes (qui ne se connaissaient pas) à se donner rendez-vous dans une ville déterminée et de dessiner un même sujet à partir de visions différentes. Et ce, quel que fut le temps. Il est arrivé à l’artiste de travailler sur place pendant trois ou quatre heures d’affilée. Créée, précisément « in situ » au Japon (comme son titre l’indique), cette œuvre se distingue par son côté « crépusculaire », suscité par un ciel rouge alterné de jaune, contrastant avec deux zones sombres coupées par une plage blanche en leur milieu, dans le bas de la toile. L’ensemble des passants déambulant dans la rue accentue ce côté « crépusculaire ». Les édifices sont traités, chromatiquement, par du bleu foncé (en dégradés) et du blanc (également en dégradés), alternant avec des notes jaunes et rouges : les hiéroglyphes japonais sur le toit de l’immeuble au centre, à l’arrière-plan de la toile. Les fils électriques des poteaux servent d’axes reliant divers points dans l’espace, augmentant ainsi la dynamique narrative. Le visiteur sera à coup sûr intrigué par cette croix blanche, posée au sol entre deux plages, d’un bleu sombre. Si l’artiste Ignorait l’explication de sa présence sur ce lieu, force est de constater que cette forme va jusqu’à intriguer le passants, puisqu’un couple se fige face à elle de façon ostentatoire.
CHEZ ANNICK SCHAERBEEK (100 x 320 cm-huile sur toile)
Il s’agit d’un diptyque comportant des similitudes au point de vue de l’organisation spatiale :
L’avant-plan, faisant office de parquet, offre un ensemble cinétique déterminant pour la dynamique de l’œuvre. Il y a une opposition subtile exprimée entre l’élément vertical de l’arrière-plan et l’élément horizontal de l’avant-plan, offrant un déséquilibre visuel accentué par des situations presque en trompe-l’œil : les lamelles du parquet, le revêtement en damier, noir et blanc, à l’intérieur de la cheminée ainsi que le tapis posé sur la droite du panneau de gauche. La verticalité est assurée, notamment, par les deux fauteuils striés, accentuant l’affrontement visuel entre les éléments verticaux et horizontaux.
La table retournée, soutenue par trois chaises, sur laquelle sont posés différents objets lesquels, de par la position oblique de la table, offrent un déséquilibre trouvant son origine dans la peinture de Matisse. Déjà, concernant NEDER SUR MEUSE (évoqué plus haut), l’artiste avait basé sa composition sur ce même principe. Prenons en considération le fait qu’il aime les points de vue frontaux, donnant au visiteur le sentiment d’un décorum théâtral.
Concernant l’œuvre précitée, nous avions attiré l’attention sur le fait que l’artiste avait reproduit le style dit « naïf » selon sa sensibilité propre.
ACADEMIE DE ST. JOSSE (27 x 33 cm-aquarelle, pastel, crayon)
Avec cette œuvre, nous assistons à une déclinaison, à la fois picturale et conceptuelle du verbe « Apprendre ». Que voyons-nous? Une leçon basée sur l’apprentissage, à savoir l’image des élèves face au model à reproduire. A’ partir de « gribouillis » « maladroitement » posés, remplissant les personnages soit entièrement, soit sommairement, signifiant les visages dans les traits les plus évidents, parmi lesquels le nez, l’artiste nous convie vers une évocation rappelant l’écriture « enfantine », laquelle évoluant en dehors de toute culture, c’est-à-dire de toute « norme », se passe de codifications. Cette liberté retrouvée est une évocation sans entraves de l’Art brut (évoquée plus haut).
SERGE DEHAES a fait ses études à l’Académie des Beaux Arts de Bruxelles où Il a étudié le graphisme. Illustrateur, il enseigne la communication visuelle dans cette même institution.
Il retouche parfois ses toiles dans son atelier même si, de façon générale, l’essentiel de son travail est accompli. Le graphisme, la peinture, l’aquarelle, le dessin et le pastel, constituent l’éventail de sa personnalité créatrice. Chacune de ces disciplines lui permet de s’affirmer dans chaque domaine. Cette démarche est, comme il se plaît à le dire, dicté par le principe de la nécessité : celle d’un changement évolutif. Même si ce n’est pas fréquent, il lui arrive de prendre des photos mais uniquement dans le but de les retravailler picturalement. Mais ce qui d’emblée saute aux yeux, c’est son amour pour la couleur. Coloriste attitré de l’auteur de bandes dessinées Philippe Geluck, il travaille sous la contrainte morale de ne jamais tomber dans cette routine que seraient les « redites » en termes chromatiques concernant un même sujet. De toutes les étapes créatrices, c’est la couleur qui vient en premier. En effet, celle-ci est envisagée avant même la conception du dessin. L’artiste travaille au crayon aquarelle. Les masses de couleurs profitent de leur aspect consistant pour que l’on y dessine par dessus. Selon lui, le « dessin pur » n’est pas suffisant car il doit jongler avec l’ensemble des éléments, tels que la mise en couleurs et la perspective, à l’intérieur de la composition générale. Plusieurs artistes structurent son écriture picturale. Parmi ceux-ci, MATISSE (évoqué plus haut) et PICASSO ont une valeur primordiale. Matisse, en ce qui concerne la scansion rythmique de l’espace ainsi que pour son amour des couleurs posée en aplat. Pour la prédominance de cette même couleur sur le dessin ainsi que pour la pose du dessin dans la couleur. Picasso, parce que l’artiste le considère comme un chercheur infatigable, prêt à toutes les expériences, évitant ainsi le piège de cette « routine » dont nous parlions plus haut concernant le besoin de renouveler son travail de coloriste au service de l’auteur de bandes dessinées Philippe Geluck.
SERGE DEHAES nous convie dans son univers féerique où les couleurs enrichissent et définissent l’atmosphère trouvant ainsi sa révélation dans un déséquilibre progressif au diapason du regard lequel, à chaque étape de son périple, réinvente le sentiment vital de l’espace.
Signature de l'artiste: Collection "Belles signatures" © 2021 Robert Paul
N.B. : Ce billet est publié à l'initiative exclusive de ROBERT PAUL, fondateur et administrateur général d'Arts et Lettres. Il ne peut être reproduit qu'avec son expresse autorisation, toujours accordée gratuitement. Mentionner le lien d'origine de l'article est expressément requis.
Robert Paul, éditeur responsable
A voir:
Focus sur les précieux billets d'Art de François Speranza
L'artiste SERGE DEHAES et François L. Speranza : interview et prise de notes sur le déjà réputé carnet de notes Moleskine du critique d'art dans la tradition des avant-gardes artistiques et littéraires au cours des deux derniers siècles
Photos de l'exposition de SERGE DEHAES à l'ESPACE ART GALLERY
Quand au soleil couchant,
Florence sombre
Dans la moiteur
Des souffles du passé,
L'Arno, tranquille,
Promène ses eaux sous les ponts,
Immortelle sérénade.
Description
« Elle en fit le tour pour tenter de comprendre comment elle pourrait s’en sortir et gagner en notoriété. Dans la vraie vie, on ne l’aimait pas trop en fait, elle s’en était rendu compte; il lui fallait donc que, sur le réseau, elle se rattrape, espoir d’une adolescente de seize ans en quête de reconnaissance, d’amitié, d’amour, de bien-être, quoi de plus normal ?
Pâle, la mine inquiète, les cheveux en broussaille, Marie commençait à s’enfoncer ; elle avait déjà oublié la mise en garde de son amie ainsi que le discours pourtant juducieux de Thomas sur les réseaux sociaux et leurs dangers. Debout dans son bus auprès de sa compagne de route, elle ne quittait pas des yeux son smartphone, l’autre l’imitant mais avec plus de détachement. La technologie numérique, un progrès considérable mais non sans incidence. Marie avait déjà eu vent de graves cas de dépendance ayant abouti au suicide mais elle pensait que cela ne pouvait qu’arriver aux autres, pas à sa propre personne! Il n’y avait aucun danger, elle n’était pas déraisonnable… »
Marie, seize ans, privée de père, hypersensible mais très bonne élève, et son premier véritable smartphone… le bonheur à l’état pur en perspective ? Béatrice, sa mère, généreuse et le coeur à l’ouvrage, une femme fière et digne, tout pour sa fille… pour le meilleur ? Thomas, la belle cinquantaine, professeur de français et de morale, seul et célibataire, mission principale: l’écoute et le soutien… les valeurs humaines à l’honneur ?
Un énigmatique personnage vivant reclus, dont on ne sait rien ou presque… dangereux ou pas ? Connexion, déconnexion, reconnexion, dérives, drame et choc, c’est au coeur d’une véritable odyssée psychologique en crescendo, de plus de 400 pages, que Thierry-Marie Delaunois nous entraîne avec son septième roman.
Auteur de dix publications, chroniqueur littéraire et événementiel, membre sociétaire de l’Association des Ecrivains Belges de langue française, il cherche principalement à mettre en valeur les relations humaines avec leurs forces et leurs faiblesses. « Connectée ! » à placer entre toutes les mains ? Le stress post-traumatique, une maladie de ce siècle toujours incurable et la dépendance aux réseaux sociaux et ses effets néfastes sont ici évoqués.
Connectée | Thierry-Marie Delaunois | Les Bernardiennes | 416 pages | 2019 |
Une histoire du théâtre belge de langue française
Auteur.trice : Paul Aron
Postfacier.cière : Nancy Delhalle
Rubrique(s) : Il était une fois la Belgique, Ouvrages de référence, Théâtre
ISBN : 978-2-87568-397-7
Format : 12 x 18,5 cm
Pagination : 368
Prix : 11,00€
N° de série : 362
Parution : Janvier 2018 (1ère éd. 1995)
Voici enfin rééditée la première histoire du théâtre de langue française en Belgique. Publié en 1995, l’essai de Paul Aron retrace en quatre chapitres près de deux siècles d’activités : réalisations des auteurs et des metteurs en scène, histoire des genres et des formes, mais aussi interventions des pouvoirs publics, enjeux et contextes du monde théâtral sont évoqués de manière synthétique et vivante. Paul Aron s’attache principalement aux ruptures qui ont fait date. Il pointe les événements marquants, les grandes initiatives de tous ceux qui ont contribué à cette histoire. Nancy Delhalle évoque dans une postface les événements qui ont suivi. L’ouvrage ainsi complété est une formidable synthèse de la mémoire du spectacle vivant dans notre pays.
Il faut des mots
qui chantent
pour saisir
un oiseau
ou la lumière
en plein vol
You need
Singing words
To catch
A bird
Or light
In mid flight
Les partenariats
Lettres
Invitation à cheminer avec nous, le 27 août, au Dé à Coudre (Bruxelles, Altitude 100)
Chers amis,
Michèle Peyrat et Martine Rouhart ont le plaisir de vous inviter en poésie autour d’un chaleureux verre de l’amitié, pour fêter nos retrouvailles et la sortie du recueil
CHEMINER L’AME FLOUE
Le flou mystérieux des photos en noir et blanc de Michèle et la poésie intimiste de Martine s’y rejoignent et se répondent…
*Quand ? Le vendredi 27 août à 20h
La réservation est indispensable (en raison des mesures sanitaires).
*Où ? Au Dé à Coudre (de Monique Michel), situé Avenue des Armures, n° 28 à 1190 Bruxelles (Altitude 100) / Lectures de Nadine Rakofsky
*Comment réserver ? En envoyant un mail ou un message Facebook (ou par tout autre moyen) à
michpey@yahoo.fr
martine.rouhart@skynet.be
En espérant vous retrouver, nous vous envoyons nos sincères amitiés,
JEAN LHASSA : PENSÉES ET APHORISMES
La pensée en quelques petits mots. Facile, rapide, succincte. Marc-Aurèle, en son temps, La Rochefoucauld dans le sien, sont pour moi les maîtres à penser du genre. Et comme disait Picasso, trois règles peuvent s’imposer à cette technique, le savoir, le savoir-faire et le savoir-connaître. Je n’ai probablement aucune de ces trois compétences. Mais ce que j’ai apprécié et pratiqué dans l’aphorisme, c’est le raccourci, c’est la faculté de dire beaucoup avec peu et en toute sincérité. Vérités d’un instant qui se fixent pour toujours. Au temps de vérifier si elles méritent cette éternité.
Jean Lhassa
Jean Lhassa a publié plusieurs ouvrages sur le cinéma. Il est également romancier et nouvelliste. Il a rassemblé dans cet ouvrage l’essentiel de ses réflexions sur la vie et le monde, notées et collectées depuis 1970 jusqu’à nos jours. On peut y voir un hommage à Marc-Aurèle et à tous les auteurs de maximes et d’aphorismes.
Ed. Ménadès - 244 pages
Ces précieux petits bijoux poétiques sont actuellement au nombre de 21.
Martine Rouhart les communique à Deashelle qui les traduit alors en anglais.
Les poèmes et les traductions sont alors édités sur le réseau par les bons soins de Liliane Magotte, administratrice des partenariats A&L.
Vous pouvez accéder aux 21 poèmes avec leur traduction en cliquant sur ce lien de recherche A&L
QUINZE RENCONTRES ARTISTIQUES - volume III
Auteur : Daniel Bastié
Au menu de cet opus : Federico Ariu, Marie-Céline Bondue, Hamsi Boubeker, Bénédicte Chabot, Jerry Delfosse, Sophie Dubois, Nicolas Géal, Marcel Ghigny, Salvadore Gucciardo, Georges Lebouc, Jean Lhassa, Sarah Lounici, Victor Ntacorigira, Nipanki Orei et Fernando Pampliega. Des personnalités belges à découvrir en cette période après Covid. Des créateurs talentueux qui rendent les arts vivants !
Ed. Ménadès - 166 pages
Daniel Bastié : Quinze rencontres artistiques - volume II
Quinze personnalités artistiques, toutes différentes et uniques, et un regard sur leur manière de procéder. Qu’ils soient écrivains, compositeurs ou peintres. Il s’agit de rencontres effectuées pour la revue « Bruxelles Culture » et qui présentent succinctement les activités de chacun au rythme de questions-réponses conviviales et participatives. Les quinze artistes sélectionnés apparaissent par ordre alphabétique. Bien entendu, à l’ère d’Internet, je ne peux que vous inviter à découvrir davantage de leur production par le biais d’un ordinateur. Bandes musicales, panorama de dessins et couvertures de livres foisonnent sur la toile en quelques clics de souris via des sites personnels, Youtube, Amazon, Babelio, etc. Voici un ouvrage sans autre prétention que celle de faire partager des coups de cœur et des élans d’amitié. Surtout, ne vous privez pas de plonger dans leur vie de plain-pied, faisant mentir le dicton qui clame que personne n’est prophète dans son pays !Au menu de cet opus : Myriam Buscema, Marc Brees, Christian Dalimier, Viviane Decuypere, Michel Dircken, Michael Loncin, Joske Maelbeek, Kate Milie, Silvana Minchella, Mythic, Cécile Parent, Huguette Van Dyck et,entre autres, Me’asa Weyo.
Daniel Bastié, né à Watermael-Boitsfort en 1962, est un auteur belge de langue française. Il réside à Bruxelles où il enseigne dans diverses écoles de la Cocof. Dès ses 16 ans, il explore différentes pistes créatives : de nuits blanches à écrire des contes, en passant par les mouvements de jeunesse, il peaufine sa formation à l’Académie royale des Beaux-Arts de Bruxelles, avant d’entamer des études de journalisme à l’ULB qu’il abandonne et suivre un cursus qui l’amène à l’enseignement. Dès 1990, il travaille pour différents médias (AZ, Passe-Partout, Les Fiches belges du Cinéma, Grand Angle, Soundtrack, Saisons, etc.) avant de tenter l’écriture de romans. Au début de l’année 2010, Jacques Noël, directeur des Editions Grand Angle, lui propose de rédiger divers ouvrages qui traitent de cinéma. Un challenge, puisqu’il ne s’agit pas de produire le cinquantième volume sur Alain Delon ou Jean-Paul Belmondo, mais de cerner des genres qui n’ont jamais ou peu fait l’objet d’études. Sortent successivement des titres consacrés à la musique de film (Georges Delerue, Michel Magne, Philippe Sarde et François de Roubaix), ainsi que des analyses de longs métrages nés sous la houlette de la Hammer et devant la caméra de Jess Franco et de Jean Rollin.
Ed. Ménadès - 174 pages
QUINZE RENCONTRES ARTISTIQUES
Auteur ; Daniel Bastié
Quinze personnalités artistiques, toutes différentes et uniques, et un regard sur leur manière de procéder. Qu’ils soient écrivains, compositeurs ou peintres. Il s’agit de rencontres effectuées pour la revue « Bruxelles Culture » et qui présentent succinctement les activités de chacun au rythme de questions-réponses conviviales et participatives. Les quinze artistes sélectionnés apparaissent par ordre alphabétique. Bien entendu, à l’ère d’Internet, on ne peut que vous inviter à découvrir davantage de leur production par le biais d’un ordinateur. Bandes musicales, panorama de dessins et couvertures de livres foisonnent sur la toile en quelques clics de souris via des sites personnels, Youtube, Amazon, Babelio, etc. Focus sur Jean-Louis Aerts, Frank Andriat, Ariane Bosquet, Jeannine Burny, Héléna Darcq, José Duchant, Sabiha El Youssfi, Maurice Frydman, Fabrice Gardin, Hugues Henry, Corinne Hoex, Joël Jabbour, Clément Martinery, Maria Palatine et Henri Seroka.
Editions Ménadès - 103 pages
J’ai en commun
avec les oiseaux
de croire
aux promesses
inventées
par la lumière du matin
What I share
With birds
Of the sky
Is believing
In the promises
Invented
By the first
Morning light
Les partenariats
Lettres
ILSA, LA LOUVE DES SS
- ESSAI-
"Ilsa, la Louve des SS, est bien plus qu’une histoire de fesses. Il a lancé un genre cinématographique devenu politique. La farce érotique et gore s’est muée en une contestation de la société et de sa morale. "Ilsa, la Louve des SS" est l’archétype du film liant le sexe au gore. « Ilsa She Wolf of the SS » n’a rien d’un chef-d’œuvre et pourtant sa pellicule a résisté à trente-cinq ans d’une production pornographique exponentielle aussi débile que cradingue. Consécration suprême, l’œuvre est entrée dans le langage courant : il n’est pas rare d’entendre une dame affublée du surnom d’« Ilsa la louve » au motif qu’elle a le caractère bien tranché et donc le coup de rein facile. Le machisme ordinaire aime l’amalgame. ..." Cet extrait est tiré du rédactionnel de Pascal Martin paru dans le quotidien Le Soir du 4 août 2011 et résume fort bien l'ambiance du film Ilsa. Un long métrage qui a marqué les seventies bien davantage qu'on pourrait le croire.
Aujourd'hui, Daniel Bastié propose une étude rigoureuse de la veine appelée "nazisploitation" en dévoilant ses codes et en la remettant dans son contexte temporel. Bien entendu, il ne s'agit nullement d'encenser le nazisme ni les extrémismes de tous bords. Avec un recul indispensable pour réaliser un travail objectif, aborder ses thèmes, ses personnages principaux, et recenser ses auteurs et ses réalisateurs qui sont les vrais leviers du système, il a surtout tenté de saisir l'influence de ce type de productions sur le public d'une époque où beaucoup des citoyens avaient connu la guerre.
Editions Ménadès - 202 pages