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SAISON

Pluie qui tombe sur les arbres, les chemins, les buissons,

mélodie du firmament, musique des quatre saisons,

la terre sa partition !

Cette musique se tait, dès lors que le soleil darde ses rayons

sans la moindre mesure, flamboie de tout son or,

incendie les arbres, les chemins, les buissons, les toitures des maisons.

La vie n'est-elle pas tour à tour musique et blanc silence, sonorités

souvent s'évadant de ma main, lorsque le ciel, la terre et

l'entre deux me chuchotent leurs mots ?

NINA

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            Elle …

            Présente sa Trinité

            Si féminine

            Équilibrée

            Androgyne

           Elle ...

           L’Esprit Créateur

           Reconnaît le Père & le Fils

           En son propre Être.

           Son oreille est intérieure

           Elle ...

           Fait partie de la Trinité

           Son nom

           Est l’Esprit Sain(t)

           Inhérent en chacun

           Elle ...

 

           Manifeste dans la forme

           Une plénitude

           Hors normes

           Elle ...

 

           A le potentiel

           D’insuffler l’Esprit de Vie

           Souverain

           Elle dit ...

           Réunifie toi

           Corps/Âme/Esprit

           Connais-Toi toi-même 

           Et deviens !

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administrateur partenariats

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Tu le sais

j’aime ce qui vole

les feuilles les oiseaux

la pluie les flocons

et même les heures

qui m’apprennent

à être légère

martine rouhart

You know what

I love things that fly

Leaves, birds

Raindrops,

Snowflakes,

And even

The hours

That teach me

How to feel light

Deashelle 

Les partenariats

Arts 
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Lettres

 

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JAZZ

Le jazz est nudité,

dont chaque note exprimée,

est un si long baiser, parfois même un cri !

Musique saoule !

Sensualité environnée ici et là d'halos 

multicolores, de volutes argentées,

de maintes paupières baissées !

Musique toute dévêtue !

NINA

!

,

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BONHEUR

Des instants avec vous, rien de plus je ne veux,

mes mains dans vos cheveux, dans des matinées bleues,

nos mots perdus en terre, s'écrivent et se retrouvent,

nos regards face à face éperdus, abolissent tous les autres !

Entre eux, ce flamboiement, l'urgence de l'instant !

NINA

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ACTE DE CREER

 

J'invente, je crée, ce qui ne m'est pas ou plus donné.

Que de baisers et d'étreintes, de regards ainsi ai-je reçus ?

oh d'innombrable !

Mettre le feu tout près de soi, en écrivant, en attrapant

ici et là, tant de gestes, de sourires et de mots ; les livres y

participent aussi.

Le bonheur se fabrique, se construit, en ce qui me concerne de cette

façon là, parallèle à celui que nos proches nous apportent !

Peut-on concevoir, imaginer, une existence dépourvue de

toute matière créative ; encre, peinture, papier et que sais je

encore, sans le moindre instrument de musique ?

Si tel était le cas, notre mémoire suffirait-elle à nous faire exister, 

à faire en sorte que nous ne nous perdions pas, en créant tout

simplement ?

NINA

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La morte M.Carême

La morte

 

Il entendit la mort

Derrière cette porte,

Il entendit la mort

Parler avec la morte.

 

Il savait que la porte

Etait mal refermée

Et que, seule, la mort

En possédait la clé.

 

Mais il aimait la morte

Et quand il l’entendit,

Il marcha vers la porte

Et l’ouvrit. Il ne vit

Ni la mort ni la morte ;

Il entra dans la nuit

Et doucement, la porte

Se referma sur lui.

 

#Carême

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Mamans

Vous nous avez donné la vie. Peut-être ne le saviez -vous pas vous-même tant en ce domaine il y avait parfois de l’incertitude. Mais nous arrivâmes et vous nous avez accepté car la maman fait ce chemin jusqu’à la mort. Elle traverse mille épreuves mais n’oublie pas de protéger cet embryon d’elle-même et le conduire à grandir comme elle l’a vu faire , comme elle sent ce devoir imprimé dans le livre éternel. Puis le temps passe et vous restez notre protectrice ” à distance ” car le lien maman-enfant des jeunes années s’étiole doucement au profit de la Roue perpétuelle du temps et de notre destin personnel qui vient frapper à notre porte. L’enfant devient à son tour mère, père. Maintenant que vous n’êtes plus là, par l’absence de votre corps physique , que vous êtes revenue à l’origine , à la naissance de votre esprit originel, esprit qui es entré en nous , votre vieillesse difficile à supporter s’est un peu estompée. Nous aimons cette légèreté qui nous accompagne désormais et se moque du temps et des apparences. Voir ce corps qui s’éteignait lentement, se traînait, cette mémoire qui se perdait dans les méandres du temps, ces yeux hagards courant dans le lointain d’une chambre devenue prison, de deux jambes qui ne pouvaient plus vous porter, ce blâme d’afficher cette déroute aux yeux de la jeunesse désemparée qui se mettait à comprendre soudainement que les souvenirs candides étaient maintenant derrière elle, devenait insupportable. Lors de nos rencontres nous aimions recréer des situations d’antan en les meublant de mille façons et surtout ne pas nous attendrir sur de petits bobos ! Notre horizon commun s’est un peu obscurci et le quotidien nous a beaucoup manqué tant il s’est espacé. En son temps, quand vos jambes vous portaient encore et que vous nous parliez de rêves possibles, nous faisions semblant d’imaginer des projets communs car nous, enfants, adorons toujours montrer à notre mère de quoi nous pouvons être capables, que tout est possible ,que nous n’avons pas peur , que le message est bien passé ! Mamans éternelles des mises au monde dans la souffrance, des rires et des chagrins, des devoirs d’école pour réussir dans la vie, mamans de toutes les peines dont vous fûtes victimes, vous êtes les étoiles qui brillent dans nos nuits !



Pensée du jour
29/04/2021

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IL ME VIENT UNE QUESTION...

Et si les écureuils n'aimaient plus les noisettes?

Que le soleil soit triste et la pluie hilarante...

Que sur les joues d'enfants plus aucune fossette

Mais les rides du temps déjà omniprésentes!

Et si l'amour n'était plus jamais libéré

Et que la haine triomphe aspirant le néant?

Si pour toujours futur était désespéré...

Dites, que ferriez-vous là, maintenant au présent?

J.G.

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administrateur partenariats

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Tu dors

dans mes rêves

je dors

dans les tiens

en dormant

on s’écoute respirer

bruissant

de soie

de toi de moi

de je ne sais quoi

de joie

martine rouhart

Asleep in my dreams

And you in mine

While sleeping

We hear each other

Breathe

Smooth as silk

Yours and mine

What

If not Joy

Deashelle 

Les partenariats

Arts 
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Lettres

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administrateur partenariats

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"Rouge-queue au jardin"

Planson Marie-José

Voir venir le temps de l'indifférence,

Ignorer le bonheur sans importance,

Et que dorénavant, même un tout petit rien,

Illumine chaque heure jusqu'au lendemain.

Languir sans se mentir,

Longtemps se souvenir,

Et qu'un matin caresse,

Soudain l'on disparaisse,

Se rappelant alors....

Etre un enfant qui dort.

Winnykamien Valérie

Billet réalisé à la demande de Valérie.

Merci aux deux partenaires 

pour leur participation à cette échange

que nous souhaitons fructueux dans l'avenir.

Partenariats

Arts 
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Lettres

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DESIR

Mon corps empli de vignes, de soleil et de pluie, 

vendanges sont vos caresses, léger vent votre souffle

dans mes cheveux défaits, vos baisers sur mes lèvres, 

oh spiritueux si précieux !

Ma tête s'enivre de vos pensées qui bruissent à travers

vos baisers profonds, alcoolisés, nos gestes sont déliés

car devenus immenses ; sur nous tout le ciel est tombé !

NINA

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SANS VOUS

Sans vous, se désaccorderait ma voix, s'étioleraient mes mots, 

mon regard ne serait plus, mais deviendrait juste ce visage qui verrait,

bougerait, que l'on dirait "être joli", mais qui se déshumaniserait, lisse,

tout y glisserait si vite  !

Oui, c'est cela, sans vous, mon visage perdrait tout son regard ; bien

pire que le noir;

NINA

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AMOUR CACHE

Votre cœur n'est il point ma plus belle et ample demeure, emplie de

coussins pourpres, de moult voilages clairs ?

Quant au mien, n'est il point votre vert jardin, tout fleuri d'immortelles,

de ces saules redevenus joyeux ?

N'est ce pas là, complémentarité quasi parfaite ?

NINA

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La vie

s'y

Le silence, rien que le silence, l'éloquence vocale de la vie la 

plus nue ! 

Etendue sur le sable, mon regard dans le ciel se dissout, s'y

indissocie, à l' instar de mon corps buvant la terre entière !

Transparence partout, je suis si bien, en osmose parfaite ;

bien-être;

Consciente d'être vivante !

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Cher Ami,

Savez vous Cher Ami, que mon ventre de vous, n'a rien porté ?

C'est là, mon grand chagrin !

Cette féminité, à vous, ne s'est point fiancée jusqu'au bout,

car l'homme que vous êtes, n'a pas compris, ni soupçonné, tout

cet amour discret !

En moi, fleurit malgré cela, un jardin un peu triste, mais néanmoins

vivant !

Puissent un jour, sur mon ventre encore neuf, pleuvoir vos baisers ?

NINA

 

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ETREINTES

Je ne connais d'étreintes que lorsqu'à vous je songe !

Vagabondes pensées, délectables, un peu folles, mais 

qu'importe puisque joie elles m'apportent !

Des baisers sans mesure, qui se frôlent et se prennent,

s'apprennent, des baisers clandestins bien plus amples

que ne le sont tous les ciels de juin !

NINA

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LE PRINTEMPS

Voici les premiers pas de danse du printemps débutant !

D'immenses arbres verts, du turquoise ça et là, des étreintes,

des baisers bleus, des chevelures dénouées, des corps pleins

d'audace et des parfums qui passent ! 

Des épaules dénudées, des visages démasqués, des sourires

solaires, redécouverts, des cortèges de rires, puis cette joie à 

n'en plus finir, des mains sur des jambes nues, des désirs qui 

tour à tour balbutient, crient !

Des incendies en soi, de l'ombre sur mon visage, du soleil sur

le tien, un cache-cache sans fin, de la pluie dans mon ventre,

dans le tien je ne sais ?  

Alors, je m'allonge, je regarde le ciel, qui se donne à moi toute

seule, lorsque tu n'es plus là ! Ici et là, s'élancent des livres-papillons,

bruissent la mélodie des hauts feuillages, dévalent des enfances arc en ciel,

insolentes, naissent en elles des planètes et des mers nouvelles !

C'est tout cela le printemps !

NINA

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Bonjour, c'est moi !

  • Bonjour, c’est moi. Je t’observe depuis un moment du haut de ma fenêtre, tapie dans l’ombre pour que tu ne me voies pas. Je t’entends aller et venir, courir après ce temps qui t’est cher sans te satisfaire.
    Ma vie est plus sereine, tranquille. Chercher un peu de nourriture, dormir, fouiner sans cesse dans les coins et recoins. Visiter avec délice des endroits emplis de mystère, de secrets, de souvenirs. Me couvrir de poussière et emmener avec moi ce doux sentiment du passé.
    Depuis peu, je te sens moins réactif comme quelqu’un qui a perdu son âme, ou est-ce ton cœur qui ne bat plus la chamade manque d’amour ? Un besoin irraisonné d’aimer comme les grands romantiques de tes lectures, de tes chansons. Le temps semble interminable dans la solitude du cœur.
    Je me permets de te parler d’un monde blessé, infirme où chacun a néanmoins une place même infime. Un monde souvent injuste devant lequel s’agenouiller devient difficile et incompréhensif. Où même aimer est devenu compliqué tant il faut de contrainte pour entrer dans la norme. Un monde qui nous isole pour mieux nous décourager. Un monde d’indifférence qui se répand de jour en jour et rend la vie malaisée, difficile.
    Malgré cette torpeur, une étincelle avait éclairé ta vie. Une rencontre lointaine et toujours présente, un discours simple, touchant et sincère. Un amour si profond, ancré dans le cœur qui n’attend qu’un geste pour se répandre et déverser des flots de tendresse. Un moment de lucidité pour le découvrir, l’apprécier.
    Je crains malheureusement que ma petite voix ne soit pas assez puissante pour éveiller cet essor et ne te laisse consolé, réconforté.
    L’amour aussi a besoin d’efforts pour exister, de raison pour vivre.
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