Je ne connais d'étreintes que lorsqu'à vous je songe !
Vagabondes pensées, délectables, un peu folles, mais
qu'importe puisque joie elles m'apportent !
Des baisers sans mesure, qui se frôlent et se prennent,
s'apprennent, des baisers clandestins bien plus amples
que ne le sont tous les ciels de juin !
NINA
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