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Recherche de la vérité

Propos sur l'actualité

Quand on honore une personne, il est évident que l'on doit ne pas occulter des faits pouvant la rendre méprisable, une fois qu'ils sont. établis

.

Je suis extrêmement troublée, par le courage d'une femme qui n'a cessé de dénoncer un homme devenu son époux, qui l'aurait violée, au domicile de ses parents, alors qu'elle avait quatorze ans.

C'est après avoir prêté serment, au cours d'un procès, qu'elle l'accusa de ce crime.

Cette femme, Adeline Blondieau, mariée deux fois à Johnny Hallyday a réitéré ses accusations le jour du décès de celui-ci. Non poursuivie en diffamation, elle ne fut pas jamais démentie.

Ce crime qui est demeuré impuni a cependant laissé des traces.

Sans doute serait-elle restée discrète sans l'excès de ferveur et d'hommages rendus à cet homme immensément riche qui veilla à ses intérêts et à ses plaisirs avant tout.

Je désire sincèrement que la vérité soit connue et que la raison retrouve sa place.

12 décembre 2017

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En l'instant figé

J'ai saisi une feuille blanche.
Je voudrais la couvrir de mots.
Pourrais les cueillir sur les branches
Des érables et des bouleaux.

Lors, sans subir l'impatience,
En attente suis en éveil.
Si resurgissait le soleil
Se répandrait de la brillance.

L'instant, figé dans le silence.
Ne m'apporte pas d'énergie.
Ce jour sera-t-il sans magie?
Cela n'est pas une évidence.

Souvent circulent dans l'espace,
Qui demeurait silencieux,
Des murmures délicieux,
L'emplissant d'une exquise grâce.

12 décembre 2017

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MONDES MOUVANTS

12273261873?profile=originalLe monde  flottant de Jorinde Voigt

  par cette longue fresque mouvante comme un flux météorologique  ,une ondulation vibrante du chaos du monde  , comme un sismographe des remous de la terre

Dans le cadre de la 14 ème Biennale de Lyon  ici à la Sucrière sur les bords de Saône

une des  nombreuses installations prestigieuses 

Pour plus de détails si le coeur vous en dit voir mon blog "Au gré des jours "

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Un adieu ébahissant

Je me savais mal adaptée,
Ne pouvant pas changer de style,
Trouvant bien des fois difficile
De me résoudre à accepter.

De nombreux êtres admirables
Réussissent par leurs efforts
À apporter du réconfort,
À pouvoir être secourables.

Ils disparaissent sans adieux,
Sans gestes de reconnaissance,
Dans la parfaite indifférence.
Il est commun d'être oublieux.

Alors, je demeure ébahie
Par un élan spectaculaire;
Dans une ferveur populaire,
Une foule qui remercie.

9 décembre 2017

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Une chance providentielle


En hommage à M.Emmanuel Macron.

Devraient jubiler les Français
Qui attendent sans espérance
Que soit équitables les chances.
Leur sort les rend insatisfaits.

Ceux devant servir de modèles,
Par leurs concitoyens choisis
Pour bien gouverner le pays,
Souvent minables se révèlent.

Dans leur monde de privilèges,
Tout paraît leur être permis
Et même de grave délits.
Leur complicité les protège

.

Quand un appétit les motive
Ils peuvent quitter sans retour
Des enfants nés d'un bel amour.
Leurs envies les y autorisent.

Un homme élégant, vertueux,
Rayonnant de vive allégresse,
Possédant savoir et sagesse,
Voudrait voir les Français heureux.

Lors, il les invite à s'unir.
Il est doué d'une éloquence
Communiquant la confiance
Et semble vouloir les bénir.

17 décembre 2016

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Hystérie

Gueule tes émotions
Dans cette nuit
Inondée d'étoiles
Jusqu'à incendier le ciel
Au-delà de l'horizon
En une déflagration
Fulgurante
D'énergie

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L'enfant en liberté

La neige tombe sans brillance.
Dans l'immobilité ma rue,
De toute grâce dépourvue,
Est immergée dans le silence.

Des érables, les noirs squelettes
À aucun moment ne frémissent.
Les petits flocons sur eux glissent
Et s'y collent en gouttelettes.

L'ondée diminue et prend fin.
La lumière se fait plus vive.
Non loin apparaît et s'active
Un petit enfant plein d'entrain.

Sa vue m'égaye, me ravit.
Il me semble sans surveillance,
Se déplace à sa convenance.
Heureux commencement de vie!

10 décembre 2017

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Neige

On ouvre les yeux
sur une lumière de neige
un silence blanc
les arbres se recueillent
fragilité
des branches
du merle ébouriffé
de son chant cristallin

(Martine Rouhart)

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A propos du nouvel Espace Art Gallery

 

L’Espace Art Gallery a le plaisir de vous faire part de son installation dans des nouveaux locaux en plein centre de Bruxelles.

 

La nouvelle galerie se situera dès le mois de mai 2018 à deux pas de la Place De Brouckère et du Béguinage de Bruxelles. Ce nouvel espace sera de style loft américain. Le lieu sera ouvert sur de vastes espaces dégagés et lumineux.

 

Le quartier est en plein renouveau urbanistique et commercial dans le prolongement de la superbe Place Sainte Catherine, lieu renommé pour ses restaurants et ses attraits touristiques. Dans les environs se situent salle de ventes, centres d’art moderne ainsi que de prestigieux théâtres. La galerie sera donc ainsi située dans l’environnement de la célèbre Place De Brouckère et de ses belles terrasses comme celles du Métropole notamment.

 

Deux grands parkings (De Brouckère et Alhambra) se situent chacun à 150 mètres de la galerie. De nombreuses lignes de métro sont également présentes, entourées de centres commerciaux et lieux touristiques, hôtels et Palaces.

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            Nous vous y rencontrerons avec plaisir pour l’inauguration le 3 mai 2018 à notre nouvelle adresse au 83 rue de Laeken à 1000 Bruxelles.

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Vivre dans l'accélérél

Lorsque le hasard nous présente
L'être qui nous est destiné,
On sent parfois que l'on renaît,
Empli d'une joie exaltante.

On croit qu'on veillera sur l'autre,
Tentant d'alléger ses efforts,
D'écarter les possibles torts.
Dans la volupté, l'on se vautre.

Mais l'énergie imprévisible,
Qui agit dans l'espace humain,
Souvent peut faire que soudain
Se réalise l'impossible.

Lors dans ce monde où rien ne dure,
Exister dans l'accéléré
Est de plus en plus célébré.
Fort est le besoin d'aventures.

Sont troublants les couples bénis
Qui à la fin de leur voyage,
Dans la tendresse et le partage,
Se dirigent vers la sortie.

9 décembre 2017

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Cette nuit, l'idole s'est endormi

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L'étreinte infinie de l'hydre obscure qui s'est fait jour
Altérant de son évolution le cours de sa vie
Vient d'emporter l'esprit de liberté sur le chemin des choisis
Non sans avoir mesuré l'étendue de sa raison pour déjouer le compte à rebours

À présent, l'horizon s'efface dans le réservoir des profondeurs
Et dans le chant du silence flotte un air rockeur
C'est sur le lointain brisé des fonds ignorés
Que le ciel vient courtiser le mythe des temps "Yé-Yé"

Alors que le passé retient le cortège de génération aux yeux embrumés
Le présent l'accompagne une dernière fois pour celui qui les a pénétré jusqu'au cœur
Sur les Champs Élysées s'écoule alors un volcan d'humanité aux pas du biker
Où le vrombissement de Harley s'élève aussi fort que les larmes versées.

Dans cette foule où nous sommes tous unis
Le cœur et l'âme emplie de ce que tu as écrit
Jusqu'au bout du temps et sans un cri on te le dit
On aura tous quelque chose de toi Johnny...

Nom d'auteur Sonia Gallet © 2017

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Isabelle Jonniaux présente à l’Atelier 210 « J’accuse », 5 monologues « coup de poing » interprété avec fougue et virtuosité par Annie Darisse, Jessica Fanhan, Muriel Legrand, Sarah Lefèvre et Isabelle elle-même qui conjugue pour la première fois les rôles de metteuse en scène et comédienne. Un régal de mots et 5 performances de comédiennes.

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Comment est né ce projet, pourquoi ces 5 plaidoyers et pourquoi ces 5 femmes-là ?    

Isabelle Jonniaux : Annick Lefebvre est une autrice québécoise qui voulait donner la parole à 5 femmes de sa génération en révolte dans une société qui les emprisonne. Et c’est vrai que ces femmes, ces filles - elles ont entre 20 et 40 ans - sont face à des difficultés mais des difficultés de la vie. Annick Lefebvre avait envie de parler de leur révolte mais aussi de la société d’aujourd’hui. Le texte a été écrit au Québec, planté à Montréal. J’ai découvert cette écriture magnifique, extrêmement juste, incisive, engagée, très poétique et en même temps très réaliste. J’ai eu un vrai coup de foudre et je lui ai proposé de venir en Belgique pour ausculter notre environnement belge et transposer son écriture à des femmes d’ici. Je lui donc fait découvrir Bruxelles, la Belgique, ce petit pays au cœur de l’Europe. Elle s’est imprégnée pendant plusieurs semaines de toutes nos rencontres, de nos récits et elle a réécrit la pièce en la plantant ici, à Bruxelles.

Ces femmes, qui sont-elles ?

Isabelle Jonniaux : Ce sont 5 citoyennes tout à fait ordinaires et ce sont avant tout des personnes qui parlent de leur point de vue mais elles ne sont à priori fermées d’esprit, elles ont une vision subjective, comme nous tous. On parle à partir de qui on est, de notre histoire, du lieu où on a grandi, de notre milieu social, de notre éducation, de notre quartier... Et chacune de ces femmes a cette authenticité-là. Donc, on a une caissière qui vient de Liège, c’est une vendeuse qui n’est pas diplômée et elle vient à Bruxelles travailler au cœur de l‘Europe où elle est confrontée à des femmes surdiplômées, à ce milieu bruxellois et européen. C’est évidemment un texte critique mais elles ne sont pas là pour dire que tout va bien, elles sont là justement pour dire ce qui ne va pas. Il y a cette perspective d’une fille qui vient de l’extérieur et qui se trouve face à des femmes qui la jugent sur son apparence. Elle, elle revendique son droit à exister dans ses petits combats en tant que vendeuse. Ensuite, on a une entrepreneuse qui essaye de monter sa boîte, qui ne s’en sort pas ce qui la rend très aigrie, très amère et qui en vient à faire exploser sa haine sur ce qu’elle considère comme un obstacle à la croissance du pays. Elle est donc radicalement raciste, nationaliste, extrémiste et on plonge dans cette pensée -là, qui fait peur car politiquement très incorrecte. En même temps, elle agite un peu les consciences.

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Son discours peut être dérangeant, on peut le ressentir comme tel.

Isabelle Jonniaux : Oui mais c’est ce que j’aime aussi. C’est le rôle du théâtre de remuer. Ce qui m’intéresse, c’est de mettre au plateau des choses qui bousculent. J’aime aussi bien sûr voir des choses qui m’amusent mais le théâtre que je pratique et que j’aime est à l’endroit de l’intime. Et ces femmes parlent de l’intime. Ce qui est intéressant, c’est qu’elles ne sont pas là pour provoquer mais comme leur temps de parole est assez long, on a le loisir d’entrer dans le processus de pensée de chacune d’elles. Et on évite le jugement même sur les pensées les moins avouables comme celles de cette femme qui pense extrême droite. Parce qu’après elle, vient justement une émigrée et que toutes, elles dénoncent des aprioris qu’on pourrait projeter sur elles. Les monologues commencent toujours par une série de « C’est pas vrai que ci », « C’est pas vrai que ça », c’est pas vrai, c’est pas vrai... On casse des aprioris même sur des personnes que l’on déconsidère, que l’on juge pourries ou mal pensantes, et je trouve que c’est essentiel dans notre société. Qu’est-ce qu’il y a derrière, comment on en vient à penser comme cela ? Il est essentiel de prendre le temps de se demander comment on en vient à être si haineux par exemple car si on ne fait pas cet effort-là, je pense qu’on loupe quelque chose sur la compréhension de certaines dérives nationalistes, je dirais, que l’on ressent dans notre société. Et donc, parmi les personnages, il y a la fille qui est intègre, une immigrée, et qui prend la parole au nom de tous ces gens qui sont stigmatisés, tous les étrangers ; et elle nous donne une énorme leçon sur la problématique de l’identité culturelle en renvoyant la Belgique à son propre paradoxe, la Belgique où l’identité est tellement divisée entre les Flamands et les Francophones ou à Bruxelles, où, comme elle dit, il y a 163 nationalités. Comment peut-on s’intégrer dans ce pluralisme ? On a également la parole d’une fan absolue d’une chanteuse populaire, Lara Fabian. C’est une groupie qui, à nouveau, renvoie à la question « Pourquoi me critique-t ‘on ? » Où est le mal ? Je suis fan, j’ai plein de poster de l’artiste autour de moi et je ne suis pas plus nulle ni plus pathétique qu’une autre. N’ai-je pas le droit d’être comme tout le monde ? Et puis le dernier personnage, c’est un peu la parole de l’auteure, c’est la parole des poètes, des écrivains qui conservent le monde. Sa revendication c’est le manque d’amour. C’est une femme qui sur-aime et qui aurait comme projet politique de créer des postes d’anges gardiens pour chaque personne dans la société.

Pourquoi cette scénographie-là ? Des projections insolites au plafond, des photos hachurées ?

Isabelle Jonniaux : Les paroles sont concentrées et le contexte est riche. Cela ne permet pas la surcharge. Les mots sont dits et puis l’imaginaire se met en route. Mais ces femmes sont plantées à Bruxelles bien qu’elles viennent d’endroits différents en Belgique. Et le texte fait référence à l’espace urbain. Je voulais ouvrir des fenêtres sur cet espace avec des images de bâtiments mais qui sont en soi symboliques, les façades vitrées des bureaux européens, une construction anguleuse pour la fille intègre, des avions, des ciels, des réverbères, une cheminée mais ponctuée de lumières pop électro et toutes ces images sont au-dessus de nos têtes. Pour moi, cela raconte l’endroit à partir duquel on parle. Ce qu’on regarde tous les jours conditionne méchamment ce que l’on pense et la manière dont on appréhende le monde et je l’ai mis au plafond parce que c’est un peu ce qui nous pèse, ce qui pèse sur nos têtes. Et puis cette scénographie est venue de la gare centrale parce que ce sont des personnages que l’on croise dans la rue, que l’on n’entend pas, à qui on ne donne pas la parole. Et nous, nous avons trainé dans les gares, dans la gare centrale justement pour essayer de les repérer - « Tiens, qui serait la fille qui agresse ? » - juste sur l’apparence, avec de gros préjugés - là, c’est la fille qui agresse, celle-là c’est la fille qui encaisse. On a pris plaisir au jeu des préjugés et de l’apriori. Cette gare, c’est aussi l’endroit où les gens se croient, se rencontrent et ne se regardent pas. J’avais envie de repartir de ces fameux couloirs du métro dans la gare où il y a toutes ces lumières...

Jamais eu l’idée de placer un homme dans ce gynécée ?

Isabelle Jonniaux : Non ! C’est un parti pris et c’est surement dû à Annick Lefebvre qui voulait vraiment donner la parole aux femmes. Mais ce n’est pas un spectacle proprement féministe.

Il y a quand même un humour bien féminin ?

Isabelle Jonniaux : Oui et pourtant les hommes ne font pas la différence parmi le public. Ils ne se disent pas : « Tiens c’est un humour féminin’, parce que les femmes parlent de la société, des hommes, des femmes, de la politique, des incompétences. Mais l’autrice étant femme, elle dit : « Je ne peux pas me mettre à la place d’un homme. Donc je regarde la société avec mon regard de femme bien que cela parle de tout et à tout le monde ». Une des cinq a une pulsion et dit : « Il faudrait abattre tous les monuments austères de Bruxelles, ces chevaliers Albert, Léopold etc... Il n’y a qu’une maigre statue d’Élisabeth, toute minable, faisons d’elle une héroïne comme les hommes ! ». Mais la pièce pose un regard glacial sur la société et l’acte de vouloir remplir la ville de statues de femmes, c’est parce que réellement dans tous les métiers, dans tous les arts, le rôle des femmes est moindre. C‘est aussi pourquoi l’autrice avait envie de donner de beaux rôles de théâtre à des femmes, qu’on les entende dans toute leur complexité et leurs paradoxes. Et ce qui est peut-être très féminin, c’est que ces femmes assument complètement leurs paradoxes internes même si leur parcours n’est pas linéaire, elles sont pleines d’ambivalences, de mauvaise foi mais l’assument totalement parce que c’est tellement humain...

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Propos recueillis par Palmina Di Meo

 

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Grain de sable au vent



” Je ne peux supporter le vent violent

Qui me secoue et freine mes pas,
Brise mon élan, lie mes bras
Quand je fuis la bise ou un autre vent,

Le froid, la nuit, me glace les os
Quand tant de chaleur qui s’évanouit
S’enfuit comme un déclin du héros
Qui grelotte gelé dans son lit,

L’horizon se défile à mes yeux
Et ne vois ni la mer, pas même un volcan,
La montagne enneigée, un chemin joyeux,
Une fleur au jardin aux amours d’antan,

Parmi les autres je crains tant d’être seul ;
Je ne comprends pas à quoi je sers,
Avec eux je roule comme dans le désert,
Crie le grain de sable au vent éternel ” .

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Comme une goutte...

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Comme une goutte
Qui s'évade

La belle aubade

Elle s'évapore

Dans le décor
Fine et légère

Bulle d'air

Douce rosée
Effarouchée

Matin sucré

La cristalline

Alors se dessine

En Papillons

Pure émotion

En claire voyance

Elle est prudence

Et dans sa danse

L'eau est cadence

La belle importance

Ruisselle en puissance

Richesse de vie

La douce harmonie

De cette précieuse

Perle impérieuse

De ses clapotis

Elle nous réjouit

Et nous éblouit

Quand le soleil luit

A la charmante pluie

En nos terres nourries

Subtile et adoucie

Merci...

Texte protégé Laurence Delattre © LouMiss 03.08.17

Image du Net

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La mal paraît inexistant

En hommage à ceux qui dénoncent.


Dénoncer un crime commis
Est certes un besoin qui persiste.
Or quand peu de moyens existent,
Au silence, on reste soumis.


Certaines personnes pourtant
Ne veulent pas se l'interdire,
Relèvent le défi de dire,
Prennent des risques parfois grands.


Elles s'exposent au courroux
De ceux tout à fait incapables
De penser que serait coupable
Un être ayant tous les atouts.


Je trouve démoralisant
Que l'immoralité profonde
Dérange bien peu en ce monde.
Le mal paraît inexistant.


7 décembre 2017

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Partir en beauté...

La beauté qui pleure

Fleurs épanouies

Coroles qui se meurent

Lueur d'une bougie...

Dans le soir paisible

Une joue qui tremble

Un sanglot audible

Des mains qui s'assemblent...

Le cœur est blessé

Au seuil du néant

On a beau rêver

Il s'enfuit le temps!

Demain, triste jour

Une fumée blanche

Et le non-retour

S'est brisé la branche!

Défi à l'amour

L'oubli au tapis!

Ils embaument les pleurs

Quand mémoire fleurit...

J.G.

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ADMINISTRATEUR GENERAL

Espace Art Gallery vous présente son sommaire :

 

1.4 Actuellement à EAG

 

Exposition de novembre - décembre :

 

Collectif d’artistes dessinateurs pour la présentation, dans toute la galerie, de planches originales ! Organisation en partenariat avec Les Librairies FLAGEY à Ixelles. Organisation de Xavier Morin de PerspectivesArt9 Suisse.

 

Les Librairies Flagey présentent : les Dessins

 

4 vernissages, 4 expos-ventes, 8 dessinateurs, 8 dédicaces :

 

- Jeudi 16/11 vernissage événement Tyto Alba (La Vida) et Fred Simon (Mermaid Project)

 

- Mercredi 22/11 Éric Maltaite (Choc) et Daniel Ceppi (Lady of Shalott)

 

- Mercredi 29/11 Hugues Labiano (L'Etoile du désert) et Baudoin Deville (Rider on the Storm)

 

Lien de mon site Internet où est repris le reportage photos des trois premiers événements ci-avant : http://www.espaceartgallery.eu/la-galerie-a-le-plaisir-de-vous-presenter-le-reportage-photos-des-expositions-dedicaces-organise-par-les-librairies-flagey-a-ixelles/

 

- Mercredi 06/12 Jacques Terpant (Chien de Dieu) et Jérome Phalippou - l'Atelier sous Fremoux (Les aventures de Betsy)

 

Et une sélection de dessins originaux en plus : Vance, Tardi, Schuiten, etc…

 

Pour de plus amples informations :

Frédéric Ronsse, fredronsse@gmail.com

https://www.facebook.com/events/161502864447701/

 

Lieu de l’exposition :

Espace Art Gallery 35 rue Lesbroussart à 1050 Bruxelles

http://www.espaceartgallery.eu/

Technique : (Planches originales de BD)

Vernissages : le 16/11 vernissage événement, 22/11, 29/11 et 06/12/2017

Exposition : du 17/11 au 10/12/2017

Finissage le 09/12 & 10/12/2017

 

 

Le VERNISSAGE a lieu le 16/11 de 18h 30 à 21h 30 et l’exposition du mardi au samedi inclus de 11h 30 à 18h 30. Et sur rendez-vous le dimanche.

 

Vernissage qui sera agrémenté d’extraits de Musique Celtique interprétés par la harpiste Françoise MARQUET.  

 

Le FINISSAGE les 9 & 10 décembre 2017 de 11h 30 à 18h 30.

 

2.4 Prochainement à EAG

 

Exposition de décembre :

 

Eliette GRAF (Suisse) peintures

« De la poésie à la magie du rêve »

 

Jean Pierre STRETTI (Fr) peintures

« Variations du réel »

 

Maria Berna CECCHIN (Fr) peintures

« Variations du réel »

 

Karinn PISSENS (Be) sculptures et peintures

« Les voies de Dieu »

 

Le VERNISSAGE a lieu le 13/12 de 18h 30 à 21h 30 et l’exposition du mardi au samedi inclus de 11h 30 à 18h 30. Et sur rendez-vous le dimanche.

 

Vernissage qui sera agrémenté d’extraits de Musique Celtique interprétés par la harpiste Françoise MARQUET.  

 

Le FINISSAGE les 30 & 31 décembre 2017 de 11h 30 à 18h 30.

 

 

3.4 Informations diverses :

 

Adresse, photos, nouvelles, projets, liens, …

 

Espace Art Gallery 35 rue Lesbroussart 1050 Bruxelles. Ouvert du mardi au samedi de 11h 30 à 18h 30. Et le dimanche sur rendez-vous. GSM : 00 32 (0)497 577 120

 

La septième « Rencontres littéraires de Bruxelles » a lieu tous les derniers mardi du mois soit le 30 janvier 2018 à 19h. Réservation souhaitée par mail eag.gallery@gmail.com

 

Autres infos et visuels sur mon site Internet et ma page Facebook

 

4.4 Bruxelles culture :

 

Autres infos sur mon site Internet…

 

 

Au plaisir de vous revoir nombreux…

 

Jerry Delfosse

Galeriste

Créateur et propriétaire de l’Espace Art Gallery

& Les Éditions d’Art EAG

GSM: 00.32.497. 577.120

eag.gallery@gmail.com

 http://www.espaceartgallery.eu/

https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu/

 

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ADMINISTRATEUR GENERAL

 

Espace Art Gallery 35 rue Lesbroussart 1050 Bruxelles. Ouvert du mardi au samedi de 11h 30 à 18h 30. Et le dimanche sur rendez-vous. GSM : 00 32 497 577 120

 

La galerie a le plaisir de vous inviter à ses prochains vernissages les 16/11 et 13/12/2017. Voir le lien ci-après pour les infos sur les artistes et visuels affiches et invitations :

http://www.espaceartgallery.eu/espace-art-gallery-vous-presente-ses-prochains-vernissages-le-1611-et-13122017/

 

Reportage photos lors du vernissage du 16/11, 22/12, 29/12 et le dernier à venir du 06/12 :

http://www.espaceartgallery.eu/la-galerie-a-le-plaisir-de-vous-presenter-le-reportage-photos-des-expositions-dedicaces-organise-par-les-librairies-flagey-a-ixelles/

 

La troisième « fête/concert et remise des recueils » a été un grand succès jusqu’à 22h. Voir le lien ci-après pour le reportage photos : http://www.espaceartgallery.eu/edition-dun-recueil-dart-de-luxe-a-tirage-limite-et-fete-de-remise-de-louvrage-aux-artistes-y-mentionnes/

La prochaine fête de remise des recueils est prévue en mai 2018 pour le volume 6 de 2017.

 

La sixième « Rencontres littéraires de Bruxelles » a eu un vif succès de la part du public présent. Voir le lien ci-après pour le reportage photos des auteurs et du public :

http://www.espaceartgallery.eu/la-galerie-a-le-plaisir-de-vous-presenter-le-reportage-photos-de-la-sixieme-rencontre-litteraire-de-bruxelles-du-28-novembre-2017/

 

La septième « Rencontre littéraire de Bruxelles » a lieu tous les derniers mardi du mois soit le 30 janvier 2018 à 19h. Réservation souhaitée par mail eag.gallery@gmail.com

 

À l’initiative de l’Espace Art Gallery, d’Arts et Lettres et des éditions M.E.O. nous avons le plaisir de vous convier aux « Rencontres littéraires de Bruxelles ». Cela se déroulera dans la galerie chaque dernier mardi du mois à 19h. La septième rencontre aura lieu le mardi 30 janvier. Cela sera annoncé sur mon site Internet, ma page Facebook et Arts et Lettres.

 

De part une initiative du Vidame José Duchant, consultant artistique « http://www.joseduchant.be/ » de l’Espace Art Gallery, Jerry Delfosse galeriste, créateur et propriétaire de l’Espace et Les Éditions d’Art EAG a décidé d’offrir un gros lot de meubles de prestige à l’ASBL Les meubles du cœur «  http://www.meublesducoeur.be » pour encourager cette Association dans son dynamisme caritatif.  

 

D’autres projets sont dans les cartons et seront annoncé prochainement dans cette même rubrique…

 

Jerry Delfosse

Galeriste

Créateur et propriétaire de l’Espace Art Gallery

& Les Éditions d’Art EAG

GSM: 00.32.497. 577.120

eag.gallery@gmail.com

 http://www.espaceartgallery.eu/

https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu/

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administrateur théâtres

Jean d'O for ever! Hommage

On avait fini par le croire immortel ! Ce n'est pas tant son statut d'académicien qui lui conférait une telle illusion que son appétit pour la vie, son insatiable curiosité et son verbe riche qui faisaient de lui depuis des décennies le prof de français et de littérature de notre pays. Jean d'Ormesson aimait Venise, les bains de mer, Chateaubriand, Paul-Jean Toulet, les femmes et l'Académie. Il ne manquait jamais une occasion de renouveler ses professions de foi, de dire à quel point il est poli d'être gai et inconvenant de trimbaler ses soucis et son spleen à la télévision, dans les livres ou dans les assemblées. Il suffisait d'apercevoir sur les écrans son sourire de galopin et son regard bleu pétillant pour recouvrer instantanément sa bonne humeur. Aujourd'hui, c'est la France entière qui porte le deuil.

"Résistez. Résistez aux séductions moutonnières de la médiocrité, à l'ignominie des retournements intéressés, aux murmures de la lâcheté qui ne recule devant l'effort que pour se trouver tout à coup, mais trop tard, acculée à la tragédie. Résistez. Résistez. Gardez par-dessus tout l'amour de la liberté et votre sens critique. Combattez par l'ironie des indignations trop légitimes. Combattez par l'espérance un pessimisme trop justifié" 

Jean Bruno Wladimir François de Paule Le Fèvre d'Ormesson est né le 16 juin 1925 à Paris. Son père ambassadeur l'entraîne dans ses différents postes consulaires en Bavière, en Roumanie ou au Brésil. Le jeune Jean y gagne le goût pour la France éternelle, la certitude que notre culture et notre littérature sont des phares pour le monde entier, mais que cette flamme doit être entretenue pour ne pas s'étouffer. Jusqu'à 14 ans, il passe le plus clair de son temps au château de Saint-Fargeau, propriété de sa mère. Il y apprendra l'éducation bourgeoise, dévorera la bibliothèque qu'une famille de « la haute » se doit de constituer et de faire lire à sa descendance. Élève brillant, il entre à Normal sup, puis se lance dans des travaux d'écriture à l'Unesco, dans des cabinets ministériels, puis dans différents journaux. En 1970, il est directeur du Figaro, dont il contribue à relancer les ventes et le prestige. Pendant plus de quarante ans, il sera la figure de proue de ce journal, même après l'avoir quitté. En 2010, l'extraordinaire succès de la Bibliothèque idéale – choix de textes de référence de la littérature française qu'il préfaça –, qui séduisit plus de 1,5 million de lecteurs, montra à quel point il était encore la grande signature de ce quotidien.L’image contient peut-être : 1 personne, gros plan

La littérature fut la grande affaire de sa vie. Il l'embrasse en 1956 avec L'amour est un plaisir, mais ne connut son premier grand succès qu'en 1971, avec La Gloire de l'Empire, un roman récompensé par le Grand Prix de l'Académie française (déjà !). Il écrivit jusqu'à son dernier souffle. Au total, une petite quarantaine de livres souvent autobiographiques (Le Rapport Gabriel, Du côté de chez Jean...) où se mêlent l'humour, l'érudition, les obstacles que le destin met sur notre chemin pour nous priver du bonheur.
Certains lui valurent de fulgurants succès, ainsi ceux de sa période vénitienne : Le Vent du soir en 1985, puis Le Bonheur à San Miniato deux ans plus tard, ou Histoire du juif errant en 1990 et La Douane de mer en 1994. La parution de chacun de ses ouvrages devenait un événement culturo-médiatique. Jean d'Ormesson sera entre 1975 et 1990 l'écrivain le plus souvent invité à Apostrophe.

Ces dernières années, d'Ormesson multiplia les recueils de ses chroniques ou des romans plus abscons sur l'univers, Dieu et la place de l'homme dans l'univers. Son livre La Conversation, savoureux dialogue entre Cambacérès et Bonaparte, lui procura un plaisir qu'il n'avait pas encore connu : celui de remplir tous les soirs le théâtre Hébertot à Paris. Au printemps 2015, il ne cacha pas sa fierté d'entrer de son vivant dans la Pléïade comme Kundera, Gide et Lévi-Strauss avant lui. Un plaisir qu'il eut le temps de savourer plus de deux ans...

http://interligne.over-blog.com/article-un-jour-je-m-en-irai-sans-en-avoir-tout-dit-de-jean-d-ormesson-124254460.html

« Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux ou lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n’est qu’un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. 
On est souvent trompé en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière, et on se dit : J’ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois, mais j’ai aimé. C’est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui. »

Alfred de Musset

Après quelque temps,
Tu apprendras la différence entre tendre la main et secourir une âme.
Et tu apprendras que aimer ne signifie pas s’appuyer, et que compagnie ne signifie pas toujours sécurité.
Tu commenceras à apprendre que les baisers ne sont pas des contrats, ni des cadeaux, ni des promesses…
Tu commenceras à accepter tes échecs la tête haute, comme un adulte, et non avec la tristesse d’un enfant.
Et tu apprendras à construire aujourd’hui tes chemins, parce que le terrain de demain est incertain, et ne garantit pas la réalisation des projets, et que le futur a l’habitude de ne pas tenir ses promesses.
Après un certain temps,
Tu apprendras que le soleil brûle si tu t’y exposes trop.
Tu accepteras le fait que même les meilleurs peuvent te blesser parfois, et que tu auras à leur pardonner.
Tu apprendras que parler peut alléger les douleurs de l’âme.
Tu apprendras qu’il faut beaucoup d’années pour bâtir la confiance, et à peine quelques secondes pour la détruire, et que, toi aussi, tu pourrais faire des choses dont tu te repentiras le reste de ta vie.
Tu apprendras que les vraies amitiés continuent à grandir malgré la séparation. Et que ce qui compte, ce n’est pas ce que tu possèdes, mais qui compte dans ta vie.
Et que les bons amis sont la famille qu’il nous est permis de choisir.
Tu apprendras que nous n’avons pas à changer d’amis, si nous acceptons que nos amis changent et évoluent.
Tu expérimenteras que tu peux passer de bons moments avec ton meilleur ami en faisant n’importe quoi, ou en ne rien faisant, seulement pour le plaisir de jouir de sa compagnie.
Tu découvriras que souvent nous prenons à la légère les personnes qui nous importent le plus ; et pour cela nous devons toujours dire à ces personnes que nous les aimons, car nous ne savons jamais si c’est la dernière fois que nous les voyons…
Tu apprendras que les circonstances, et l’ambiance qui nous entoure, ont une influence sur nous, mais que nous sommes les uniques responsables de ce que nous faisons.
Tu commenceras à comprendre que nous ne devons pas nous comparer aux autres, sauf si nous désirons les imiter pour nous améliorer.
Tu découvriras qu’il te faut beaucoup de temps pour être enfin la personne que tu désires être, et que le temps est court…
Tu apprendras que si tu ne contrôles pas tes actes, eux te contrôleront.
Et qu’être souple ne signifie pas être mou ou ne pas avoir de personnalité : car peu importe à quel point une situation est délicate ou complexe, il y a toujours deux manières de l’aborder.
Tu apprendras que les héros sont des personnes qui ont fait ce qu’il était nécessaire de faire, en assumant les conséquences.
Tu apprendras que la patience requiert une longue pratique.
Tu découvriras que parfois, la personne dont tu crois qu’elle te piétinera si tu tombes, est l’une des rares qui t’aidera à te relever.
Mûrir dépend davantage de ce que t’apprennent tes expériences que des années que tu as vécues.
Tu apprendras que tu tiens beaucoup plus de tes parents que tu veux bien le croire.
Tu apprendras qu’il ne faut jamais dire à un enfant que ses rêves sont des bêtises, car peu de choses sont aussi humiliantes ; et ce serait une tragédie s’il te croyait, car cela lui enlèverait l’espérance!
Tu apprendras que, lorsque tu sens de la colère et de la rage en toi, tu en as le droit, mais cela ne te donne pas le droit d’être cruel.
Tu découvriras que, simplement parce que telle personne ne t’aime pas comme tu le désires, cela ne signifie pas qu’elle ne t’aime pas autant qu’elle en est capable : car il y a des personnes qui nous aiment, mais qui ne savent pas comment nous le prouver…
Il ne suffit pas toujours d’être pardonné par les autres, parfois tu auras à apprendre à te pardonner à toi-même…
Tu apprendras que, avec la même sévérité que tu juges les autres, toi aussi tu seras jugé et parfois condamné…
Tu apprendras que, peu importe que tu aies le cœur brisé, le monde ne s’arrête pas de tourner. 
Tu apprendras que le temps ne peut revenir en arrière. Tu dois cultiver ton propre jardin et décorer ton âme, au lieu d’attendre que les autres te portent des fleurs…
Alors, et alors seulement, tu sauras ce que tu peux réellement endurer ; que tu es fort, et que tu pourrais aller bien plus loin que tu le pensais quand tu t’imaginais ne plus pouvoir avancer !
C’est que réellement, la vie n’a de valeur que si tu as la valeur de l’affronter !

Jorge Luis Borges

« Les douleurs ne sont point éternelles ; il faut tôt ou tard qu'elles finissent, parce que le cœur de l'homme est fini ; c'est une de nos grandes misères : nous ne sommes pas même capables d'être long-temps malheureux. »

Chateaubriand

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DOCTEUR HONORIS CAUSA DE L'UNIVERSITE DE LOUVAIN

LE SAVIEZ-VOUS ?
Le 23 juin 1947, l'Université de Louvain couronnait Etienne DRIOTON pour ses travaux, en lui décernant le titre de Docteur honoris causa. Il ne put assister à la cérémonie de promotion qui eut lieu à Louvain 12 jours plus tard. Ses congés terminés il avait du regagner l'Egypte et déjà était reparti pour Assouan. Ce voyage vers la Haute Egypte était en effet urgent.Il devait inspecter le temple de Philaë durant la période des basses eaux. Elle arrivait à son terme et de nouveau le temple serait submergé. Il devait étudier la faisabilité d'un déplacement de l'ensemble cultuel sur une autre île afin de le mettre à l'abri des eaux du Nil. Projet novateur qu'il avait suggéré au roi Farouk dès 1937 ! On sait que ces travaux pharaoniques seront réalisés beaucoup plus tard dans les années 70.

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