La beauté qui pleure
Fleurs épanouies
Coroles qui se meurent
Lueur d'une bougie...
Dans le soir paisible
Une joue qui tremble
Un sanglot audible
Des mains qui s'assemblent...
Le cœur est blessé
Au seuil du néant
On a beau rêver
Il s'enfuit le temps!
Demain, triste jour
Une fumée blanche
Et le non-retour
S'est brisé la branche!
Défi à l'amour
L'oubli au tapis!
Ils embaument les pleurs
Quand mémoire fleurit...
J.G.
Commentaires
Joli moment de recueillement.
La conscience d'exister ne s'éteint jamais, seul le regard change. Le désert se moque du grain de sable ballotté par le vent ! De l'un nous allons vers le tout. A pas de loup, à pas de loup ...
Amitiés, gilbert.
Très beau.
Tu es une belle personne, Jacqueline.
M E R C I pour cette mise en vedette de ce billet sur le temps qui passe...
Doux au cœur!