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Bonjour,

 

Pour cette rentrée je vous propose de prendre contact avec :

Mes Bouquins  

Le Cartel du Ricminphy  roman lauréat du Lions Club désormais sur Kindle (299)     du rififi dans le monde de la pharmacie à propos d’un produit minceur

Pacifique Secret , roman   Un avion disparait des écrans radar, l’intrigue décolle…

Provoquez votre succès en Com-vente  pour mieux convaincre   désormais sur Kindle (2€99)

Je serais friand de vos commentaires, merci

 

Mes 27 pièces de théâtre,  depuis 2006  13 créées  et jouées régulièrement en francophonie

 

Une nouvelle pièce : «  Demander la main de ta femme »  1F-2H  90’  Alice n’en peut plus de Maël devenu macho…Alice vit un amour platonique avec Hugo….

 

De nombreuses comédies (une interactive « La Cour-ge »)  pour des distributions variées de 1 à 12 comédiens (certaines modulables)

 

Quelques textes pour émoustiller la réflexion :   « Nous y sommes »  1f-1h ; » Avoir ou ne pas avoir » 3 F ou 3 H  ou 1H-2F ; « Les Exclus » 3 H ou 1F- 2H ; « Mort pour » ! 1F-2H ou 3 H……

 

Trois pièces  convenant à Café-théâtre : « Cœur Croisé » ; « Chamonix », et « Demander la main de ta femme »

 

On peut en lire de larges extraits depuis mon site

Si embryon d’intérêt pour l’une ou l’autre, n’hésitez pas à me demander la fin

Merci de votre intérêt à vous qui êtes venus jusque-là….  

Un bel automne à Vous

 

 

 

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Les rôles inversés

Songerie


Je pus assister mes garçons
En leur prodiguant mes leçons
Durant leur long apprentissage.
Surtout au sujet du langage.

Or en ce temps j'étais sévère,
Les instruisais à ma manière.
Ils sont devenus bien pensants
Et se montrent reconnaissants.

J'ai longtemps joui d'un prestige.
S'ils étaient pris dans un litige,
C'était vers moi qu'ils accouraient,
De ma compétence assurés.

Tout a changé brutalement.
S'ils ont parfois un différend
Ils savent se tirer d'affaire.
Le droit n'est plus champ de mystères.

Ils ont accès à un savoir
Qui donne plaisir et pouvoir.
Fascinée je fus éblouie
Par les effets de l'énergie.

S'adapter est incontournable.
Je ne m'en sentais pas capable.
Mon fils aîné me prit en mains
Et me mit sur le bon chemin.

Ce fut un professeur sévère
Qui souvent se mit en colère,
Oubliant bien étourdiment
Que l'âge rend l'esprit plus lent.

Je souris certes satisfaite.
La providence fut parfaite.
Je profite journellement
D'avoir appris profondément.

Je me maintiens dans le courant
Grâce au soutien de mes enfants.

J'utilise leur savoir-faire
Quand maintes fois je le préfère.

3 octobre 2015

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Peur.

Je suis vêtue d'une robe noire

qui en cet instant me semble trop étroite,

les yeux cernés de bleu, le teint pâle,

 parfumée de lilas blanc,

je suis assise dans un train de banlieue,

 destination Paris-Nord ; je suis pensive,  inquiète,

j'ai peur brusquement de la vie ;

une pensée furtive me traverse violemment,

cette peur de tout perdre m'assombrit d'un coup !

Peur de la vie, lorsqu'elle se fait trop belle, attachante,

qu'elle puisse un jour de façon impromptue ne plus être,

 m'imposer l'incolore du vide.

Malgré cela, je persiste à écrire chaque jour,

 ce petit chemin vert chauffé par le soleil,

 butiné ça et là, par les baisers tièdes et joyeux,

de l'ondée claire et douce ;

  faire croître tout cela m'impose une discipline bienfaitrice,

 qui se moque royalement de l'éphémère,

de l'effacement brutal ;

en cela, l'écriture se fait mère,

mais une mère point trop douce, encore moins indulgente,

mais stimulante, soucieuse essentiellement de mon indépendance,

 de ma capacité à faire face, à affronter l'absurde,

 à être dans la pleine conscience du moment touché puis traversé,

à s'en faire notre alliée, pour simplement vivre l'instant,

celui qui ne me sera jamais volé ;

oui hâtons-nous lentement !

Puissions-nous faire comme la rose,

qui s'ouvre, se ferme, s'entrebâille,

se laisse contempler, caresser, recouvrir par la nuit,

se laisse perler de rosée et s'attendrir par l'aube étincelante ;

 oui la rose ne fait qu'exister et se moque de demain.

Elle reçoit le condensé de chaque chose qui la touche !

Ecrire est un pieds de nez à l'inéluctable finitude;

des pas de nous laissés juste après ;

puis une voix que des yeux entendront.

En face de moi, l'inoubliable regard

d'un enfant blond, me contemple, s'étonne,

de mon brusque obscurcissement,

me fait don de son ensoleillement bleu-ciel,

c'est un peu une rose !

NINA

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OUVERTURE

12273123656?profile=originalRonde parfaite Lune de Septembre

Comme une ouverture vers l'autre nuit

Vers ce je ne sais pas encore

Vers la parfaite vision

Lune Ronde est venue dans ma fenêtre de la nuit

AA

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Une fantaisie excitante

Pantoum

 

La journée reste éblouissante.

Au ciel des nuages figés

De soleil certes gorgés.

Je ressens une joie ardente.

 

Au ciel des nuages figés

D'une beauté attendrissante.

Je ressens une joie ardente.

L'envie me prend d'y voyager.

 

D'une beauté attendrissante

Sont tous ces îlots enneigés.

L'envie me prend d'y voyager,

Une fantaisie excitante.

 

Sont tous ces îlots enneigés

Faits d'une matière fondante.

 Une fantaisie excitante

D'y être engloutie immergée.

 

                                                                         2 octobre 2015

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administrateur théâtres

12273127690?profile=original 

OPÉRA

LA VESTALE

GASPARE SPONTINI

Alessandro de Marchi & Eric Lacascade

 

 

13, 15, 17, 20, 22 Octobre 2015  20:00

25 Octobre 2015  15:00

 

 Au CIRQUE ROYAL

 

Opéra en trois actes, version française

Livret de Victor-Joseph Etienne de Jouy

Création Salle Montsansier, Paris, 15/12/1807

 

                                                                                         NOUVELLE PRODUCTION

 « Depuis La Vestale, il n’a point été écrit une note qui ne fût volée de mes partitions ! » Gaspare Spontini avait parfaitement conscience du caractère influent de sa partition: il y proposait de nouvelles perspectives pour l’opéra, en imaginant l’ensemble de la partition selon une dramaturgie forte qui déterminait des effets naturalistes, l’orchestration et la forme musicale, et en ouvrant ainsi la voie à des compositeurs d’opéra tels que Rossini, Wagner, Berlioz et Meyerbeer... Ce grand opéra avant la lettre, regorgeant de tableaux spectaculaires sur l’amour interdit d’une vestale pour un général romain, fit aussitôt de Spontini le compositeur le plus important de l’ère napoléonienne. Pour sa première mise en scène d’opéra, le metteur en scène français Éric Lacascade aborde un thème actuel : « Plus que la passion amoureuse, l’enjeu de l’opéra est la libération d’une femme qui s’affranchit du pouvoir religieux. »

 

La vestale est une œuvre à redécouvrir, véritable passerelle entre le baroque et le romantisme. Si l’influence de Gluck se fait sentir dès les premiers accords de l’ouverture comme dans les scènes chorales, superbes, ou les grands récitatifs, l’originalité et le raffinement de l’orchestration de Spontini porte en elle de nombreuses innovations que bien des contemporains et successeurs lui empruntèrent. Berlioz notamment citera souvent l’opéra de Spontini en exemple et Wagner dirigera l’œuvre en 1844.

L’histoire se déroule sur fond de tragédie romaine. Le général Licinius est amoureux d’une jeune prêtresse du temple de Vesta, Julia. Alors qu’ils se jurent fidélité, le feu sacré placé sous la surveillance de Julia, s’éteint. Arrêtée, celle-ci refuse de dénoncer son amant et se voit condamnée à être enterrée vive. Elle sera sauvée par la puissance de l’amour. Un orage divin enveloppe le temple et permet à Licinius d’arracher Julia à sa tombe. Le feu sacré est restauré.

 

L’opéra de Spontini  fut  créé à Bruxelles dès 1810. En 1954, Maria Callas remet le rôle au goût du jour dans une mise en scène mémorable d’un certain Visconti. Mais il faudra encore plus de cinquante ans pour le réentendre à la Monnaie !

 

Le chef d’orchestre italien Alessandro de Marchi que nous n’avons pas eu l’occasion d’entendre depuis plusieurs saisons, viendra diriger l’Orchestre symphonique de la Monnaie pour cette nouvelle production qui sera présentée au Cirque Royal  du 13 au 25 octobre 2015. On y retrouvera également les Chœurs de la Monnaie dirigés par le chef Martino Faggiani et la MM Academy préparée par Benoît Giaux.

La mise en scène, confiée au français Eric Lacascade,  a été créée en 2013 au Théâtre des Champs-Elysées à Paris et a, depuis le début, été mise en place en vue de la présenter au Cirque Royal de Bruxelles. Issu du monde du théâtre, le metteur en scène français Eric Lacascade fait ici ses premiers pas à l’opéra. Il nous propose une version détachée de tout historicisme comme de toute transposition contemporaine. Le dispositif scénique est simple, un plateau nu brûlé par le soleil ou plongé dans la pénombre, quelques meubles. Eric Lacascade utilise une certaine stylisation dans le décor et le jeu des chanteurs pour dégager les traits psychologiques des personnages tout en se tenant au plus près de la musique de Spontini. Il voit dans l’ouvrage de Spontini un drame intemporel et définit ainsi le personnage principal : « Julia,  femme victime, femme guerrière, femme révoltée, femme insoumise, révélée à elle-même par l'amour passion. La puissance de cette passion, la puissance de cette femme enflammée dépasse de loin toute époque. Soumise à un rituel ancestral dans lequel la femme est au service de Dieu et de l'homme, elle ose choisir la singularité de son amour, contre la loi divine, contre la loi de la cité. » Il ajoute que c’est également la « présence du peuple, peuple de vestales, de prêtres, de guerriers, de citoyens, foule bigarrée et mélangée, toujours au bord de l'explosion qui fait aussi la puissance de l'œuvre. »

La Monnaie - La Vestale

 Photo © Chad Ress / Gallery Stock

 
Titre jadis incontournable du répertoire bruxellois, La Vestale de Spontini n’a pas été donné ces dernières décennies. Nous vous présenterons la version française de cette tragédie lyrique, une oeuvre que l’on peut considérer comme annonciatrice du grand opéra. Le metteur en scène de théâtre français éric Lacascade, connu pour ses adaptations de Molière, Kleist et Shakespeare, proposera ici sa première mise en scène à l’opéra, déjà donnée au Théâtre des Champs-Élysées à Paris en coproduction avec la Monnaie. Il adaptera sa production à l’espace du Cirque Royal, où il sera rejoint par le chef d’orchestre Alessandro De Marchi.   Peter de Caluwe

 


La distribution réunit des artistes invités régulièrement sur la scène bruxelloise, Yann Beuron, Sylvie Brunet-Grupposo, Julien Dran et Jean Teitgen. Pour ses débuts pour la Monnaie, la soprano franco-canadienne Alexandra Deshorties interprétera le rôle de Julia.


Le ténor français Yann Beuron qui créa en 2014 le rôle du mari de la sœur ainée dans Au monde de Philippe Boesmans, interprètera pour la première fois le rôle de Licinius, l’amant de la vestale. La mezzo-soprano française d’origine sicilienne Sylvie Brunet-Grupposo incarnera la Grande Vestale. Elle avait impressionné le public et la critique pour ses débuts dans le rôle d’Azucena (Il Trovatore) en 2012 et dans la reine Gertrude (Hamlet, Verdi) en 2014. Dans le rôle de Cinna, nous retrouverons le jeune ténor français Julien Dran, découvert à la Monnaie avec le personnage d’Edmondo dans Manon Lescaut (Puccini) en 2013, et, dans le rôle du Souverain Pontife, la basse française Jean Teitgen,.

Coproduction La Monnaie / De Munt, Théâtre des Champs-Élysées
Avec le soutien de SWIFT

Réservation en ligne ICI

CALENDRIER et tickets: http://cirque-royal.org/?

gclid=CjwKEAjw1riwBRD61db6xtWTvTESJACoQ04QIvV5xD1WDEVqDXrl1VU7KZn26akA5juepBocDpxdZRoCGNfw_wcB

 

La Monnaie

http://www.lamonnaie.be/fr/opera/568/La-Vestale

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Face à la nuit

 Soliloque

De mon salon plein de lumière
J'entrevois la profonde nuit.
Sur le gazon tombe la pluie
En perles fines et légères.

Ma pensée demeure imprécise.
J'essaie vaguement de savoir,
En cet instant de fin d'un soir,
Pourquoi mon âme est indécise.

Contente d'être bien solide,
J'ai profité d'un bel été
À la saveur de douce paix.
L'immense ciel y fut splendide.

Je ne me sens plus entière
En ayant changé de visage
Et perdu à jamais l'usage
De talents dont je fus fière.

Les saisons ont nombreux effets
Sur les présents de la nature.
Ils se renouvellent, perdurent.
Ses pouvoirs restent inchangés.

Le vent de vie tourne les pages
Du livre ouvert de chaque humain.
Il y contiendra son destin
Qui se déroule sans présages.

Des joies et des souffrances arrivent
Souvent imprévisiblement,
Différentes complètement.
Elles s'en vont à la dérive.

Sur le tapis de la descente,
Ne sais où je vais atterrir
Ni ce que je pourrai cueillir
Si la chance y est en attente.

30 septembre 2015

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ENCORE FAIM...

Des jolis mots qui foisonnent

Dans les livres et les chansons

Qui dans la mémoire résonnent

En dépit de toute raison!

De ces matins qui frissonnent

A l'idée d'un rendez-vous

Et des heures que l'on se donne

Où l'on pourra être fou!

Des lambeaux de nuits torrides

A l'écoute de deux corps

Où de vivre on est avide...

Cette envie de dire encore!

De se perdre dans des yeux

Et d'y retrouver la vie

Et puis se sentir heureux

L'histoire n'est jamais finie!

J.G.

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