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Benedictions

Bénis Ô mon âme Seigneur, quand cette veillée de Noël

que ma parole ou ma plume ne tarisse point d'éloges

Qu'à tout jamais je demeure en ta grâce,

que ta paix inonde mon âme ainsi que celle de ce

monde où tu m'as fait naître

que ton renouveau perpétuel, Amour, Lumière

et douce humilité soient à tout jamais miens

Merci de bénir chacun de tes enfants,

de les garder en ta paix et tendresse éternelle

Que tous unis en un même esprit de fratenité

nous chantions à la réssurection de ta création

le coeur allégé et joyeux......

Mes mains ouvertes vers toi Seigneur pour

accueillir ce doux baiser"

Mamyblue

24.12.2010

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Chant de Noël

"Chant de Noël" est le plus fameux des contes de Noël de Charles Dickens, publié en 1843.

Scrooge, un vieil avare, est visité la veille de Noël par le spectre de Marley, son ancien associé. Celui-ci lui annonce qu'il sera également visité par toute une série de visions du passé, du présent et de l'avenir: il recevra ainsi une sorte d'avertissement, et apprendra ce que sera sa propre mort, s'il ne change pas bientôt de vie.

Immédiatement transformé, Scrooge se révèle un autre homme, le matin de Noël: il envoie un dindon à son employé, Bob Cratchit, qu'il a toujours malmené; il se réjouit de participer aux oeuvres de bienfaisance de la Noël et se comporte comme un vieillard sociable et charitable.

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Le conte est un apologue et sa moralité est contenue dans les paroles du spectre: "Il est demandé à chaque homme que l' esprit qui est en lui voyage en long et en large derrière ses semblables; et si cet esprit ne sort pas ainsi de lui-même, il est condamné à le faire après sa mort. Il est obligé de voyager par le monde -Ah, malheur à moi!- et d'observer ce à quoi il ne peut plus prendre part, mais à quoi il aurait pu prendre part sur la terre, en en retirant du bonheur."

C'est un message de fraternité humaine qu'apporte le "Chant de Noël".

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Poudreuse

Poudreuse éparpillée sur le paysage figé

Nichant dans les sapins du jardin

Au petit matin baiser frais

D’un flocon sur ma pommette rose

La neige crisse sous mes pas

Alors qu’une frimousse au bonnet rouge

Appelle : « maman regarde »

Lorsqu’une luge glisse

Sur la pelouse blanchâtre

23/12/10

Nada

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"bravo, bravo, ai-je entendu"

 "C'est super, Hugues", ai-je entendu, y a déjà une paire d'années, "tu donnes des spectacles, tu chantes dans la rue, tu vas partout ... je te tire mon chapeau ... tout le monde ne le f'rait pas ... bon, faut dire aussi ... t'es au chômage, tu as tout ton temps libre ... t'as pas un boulot qui te bouffe à plein temps ... si t'avais un boulot, Hugues, crois-moi, ce s'rait différent ... tu n'aurais plus l'temps"

 

"Chemin faisant, j'ai du accepter, un jour, une offre d'emploi ... à plein temps ... et en m'organisant, j'ai encore trouvé, en dehors, un certain temps ... pour écrire quelques chansons, sortir de temps en temps ma guitare et donner quelques spectacles"

 

"C'est génial, c'est vraiment super, Hugues", ai-je, dès lors, entendu, "tu bosses et tu fais de la musique ... tout le monde ne le f'rait pas ... je te tire mon chapeau ... bon, faut dire aussi ... t'es célibataire ... t'as du temps libre en dehors de ton boulot ... si t'avais un ménage à t'nir, ce s'rait différent, Hugues ... tu n'aurais plus l'temps"

 

"Chemin faisant, je me suis un jour mis en couple, tout en gardant mon boulot à plein temps ... et ... en m'organisant,  j'ai encore trouvé, en dehors, un certain temps ... pour écrire quelques chansons, sortir de temps en temps ma guitare et donner quelques spectacles"

 

"C'est la gageure, génial franch'ment génial, plus que super y a pas, Hugues", ai-je, dès lors entendu, "t'es en couple, tu bosses à plein temps et tu fais de la musique ... oui, je te tire mon chapeau ... non, tout l'monde ne le f'rait pas ... bon faut dire aussi ... ta femme et toi vous êtes indépendants et vous n'avez pas d'enfants ... si tu avais des gosses à plein temps, Hugues, ce s'rait différent ... tu n'aurais plus l'temps"

 

"Je n'ose imaginer ce que j'aurais peut-être entendu si j'avais été père d'un ou deux enfants, tout en approfondissant mon couple (à plein temps), tout en gardant mon boulot (à plein temps) ... et qu'en m'organisant, j'aurais peut-être peut-être peut-être encore de temps en temps trouvé un certain petit temps ... pour ... écrire l'une ou l'autre chanson, sortir de temps en temps ma guitare et donner encore un ou deux ... spectacles"

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Le texte de l’apôtre  illustré par la tapisserie d’Angers . Un ouvrage précieux qui séduit les amateurs d’art et les lecteurs en quête de spriritualité.

 

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Les visions prophétiques de St-Jean inspirent au XIVe siècle le peintre Hennequin de Bruges. Il conçoit un ensemble de tapisseries pour le duc Louis 1er d’Anjou. 84 panneaux. 6 grands personnages. L’oeuvre mesure à l’époque 130 m de long sur 6 m de haut. L’ouvrage reproduit l’intégralité des panneaux subsistants. Vingt-sept miniatures extraites de manuscrits anglo-normands du XIIIe siècle pallient l’iconographie manquante.

 

Avec Paule Amblard, Un chemin de renouveau : L’Apocalypse de saint Jean illustré par la tapisserie d’Angers à l'occasion de la sortie de cet ouvrage aux Editions Diane de Selliers.

Premier épisode : Le livre de notre destin Introduction :  Jean prisonnier sur l’île de Patmos reçoit des visions. Ce message du Ciel il va l’adresser à ses amis, ces petits enfants comme il les appelle, les communautés chrétiennes de l’époque et au-delà à tout chrétien, à tout homme. Ce qu’il raconte dans sa situation d’exil, donc de souffrance, est un chemin d’espoir. Chemin intemporel, puisqu’il révèle le cœur de l’homme dans sa vastitude, sa dimension spirituelle. Ainsi ce texte n’a pas d’époque. Il parle de nous et vient nous trouver dans nos difficultés de vie où nous sommes souvent exilés de nous-mêmes.   Le vieil homme : Le grand lecteur nous conduit. Nous sommes dans la nuit mais guidés sous la lumière du ciel et comme l’indiquent les papillons : signe de résurrection, nous sommes destinés à renaître. Le Christ au glaive : Jean tombe comme mort devant le Christ, lui qui est le premier et le dernier, le Vivant. Explication de la symbolique du glaive, des chandeliers, des arbres sous l’autel, du visage et pieds rouges du Christ. Le chemin de l’Apocalypse nous conduit vers celui qui est la lumière du monde et qui révèle le vivant en nous, notre lumière. Les larmes de Jean : Le livre qui contient le destin de l’homme est scellé et nul dans l’univers n’est capable d’ouvrir le livre. Jean pleure. Après être tombé comme mort aux pieds du Christ, il y a ses pleurs. Ces larmes sont aussi une prise de conscience de notre condition, de notre pauvreté, de notre manque. Sans elle il n’y a pas de chemin vers autre chose. L’Apocalypse nous oblige à quitter nos conforts, nos certitudes de nous-mêmes et du monde pour aller vers. Comme Abraham, il faut se quitter et se mettre en route. Le chemin vers le renouveau commence par une souffrance, celle de notre incapacité spirituelle. C’est au cœur de nos difficultés que le travail commence. Alors nous aussi, on a envie de suivre Jean et le vieil homme qui l’entraîne par un pan de manteau. Le vieil homme est un des 24 vieillards. Explication du vieil homme. Il entraîne Jean vers celui qui est capable d’ouvrir le livre : l’Agneau. Le Christ ouvre le chemin de vie à nous qui sommes comme morts.

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pédophilie 2

 

 

Je n'avais pas menti, maman

Quand mon coeur d'enfant

Tombé droit des étoiles

Tremblait sous l'aile de l'oiseau...

 

Je n'avais pas menti, maman

Et tu coupas ma langue

Avec ton infatigable couteau

A trancher le cou des poules...

 

 

 

Martine Sansnom le 23 décembre 2010

Extrait d'Irelande

 

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Pédophilie

 

 

 

 

Ouate d'enfances vierges

D'avant les premiers sangs,

D'avant le crime d'Innocence

Dont la victime porte charge de

Coupable

Par Votre silence

Qui Le disculpe

Et Vous

Absout

 

 

Martine Sansnom

 

(extrait d'Irelande)

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administrateur théâtres

Les noces de vent (théâtre de l'Espace Delvaux)

Les Noces d’étain ? Non  ... celles de   v e n t !                          Le vent qui pousse chaque couple, dans une direction bien différente de ce qu’ils ont vécu dans leur jeunesse au château des parents. Mais  Léopold, Albert, Baudouin et Astrid ne peuvent s’empêcher de retrouver avec ravissement cette connivence enfantine  et nous la faire partager au travers de leurs jeux retrouvés… malgré leurs apparences d’adultes confirmés… ( ?)  Le vent du passé au charme désuet, le vent de l’avenir si incertain souffle tantôt des bourrasques, tantôt des effeuillements de rêves brisés. C’est touchant, drôle et tendre. L’entrée de jeu était une pose ravissante  prise le  jour du mariage des quatre jeunes gens  à travers l’image projetée et solaire des marches du château. C’était  juste avant la mort accidentelle  des parents qui fêtaient leurs noces d’or.  Image éphémère, tout de suite transformée en ruine de château, façon capitaine Fracasse où se déroulera l’action. On s’y amusera autant !

 Cette pièce, fracassante de rires, raconte les couples et leurs tribulations au bord du pathétique, les caractères dissonants, les relations houleuses, les manques,  les phrases qui tuent, les gestes qui sauvent…. Et surtout l’humour qui fait vivre, si bien représenté par Olivier Leborgne, dans le personnage de Yanne «  Jan Van Damme, le plaisir de ces dames ! », la pièce rapportée d’Astrid, joyeux flamand bon vivant,  toujours prêt à donner un coup de main pour faire la noce et  que la fête soit bonne.

Il y a Evelyne, une anorexique fragile, complètement tarte,  et  très gourmande de plaisirs vivants que son mari , Baudouin, dit Doudoune, est incapable d’assouvir, tant il est coincé. Un psy.  Il y a Albert le frère aventurier qui se fout de l’argent, du château et qui est revenu du Togo… mais sa relation avec Malou est fort à mal, ils ont perdu un premier enfant, enterré avec les parents dans la chapelle du Château. Il y a Astrid, maîtresse femme, à l’affut des papillonnages de son mari,  terre-à- terre : … mais où est passé le service en Limoges ? Il y a l’ineffable Léopold,  spécialiste en répartition des tâches sans que lui  ne lève jamais le  moindre  petit doigt, médecin de son état et dissipateur des biens familiaux. L'hypocrisie personnifiée. Sa femme, mélancolique, rêve d’un Rodolphe disparu en Louisiane… Il y a le vin, le château, l'argent, les rêves.... Les interprétations des huit comédiens sont étincelantes, le rire désopilant envahit la salle… on voudrait rester baigné dans cette comédie douce–amère tellement proche de nos cœurs, car tous jouent vrai et juste, avec talent intense et générosité. C'est un spectacle dont l'auteur est le vent, une co-écriture qui est  digne des  plus grandes scènes.

Ecriture Eric De Staercke   Avec Catherine Conet, Patricia Dacosse, Eric De Staercke, Caroline Lambert, Olivier Leborgne, Vincent Raoult, Victor Scheffer, et  Pascale Vander Zypen.

 

 http://www.lavenerie.be/index.cfm?r1=1&r2=101456

http://www.lavenerie.be/static_images/fv267.pdf

 

jusqu'à la fin décembre et aussi pour le réveillon,  le 31 décembre à 22h!  Amusez-vous!

et vive le VENT !

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journal de bord, jeudi 23 décembre 2010

En marchant, en flânant, en m'arrêtant, en écoutant ...

 

Quelque part, au hasard d'un comptoir ... hier soir ...

 

J'ai entendu quelqu'un dire, à propos de quelqu'un d'autre :

 

"Le problème c'est qu'elle est trop romantique ... et ça ne va pas ... qu'on soit romantique dans des chansons, des poèmes, OK ... mais dans la vie, ça ne va pas"

 

J'écoute.

 

Je digère.

 

"Le problème c'est qu'elle est trop romantique ... et ça ne va pas ... qu'on soit romantique dans des chansons, des poèmes, OK ... mais dans la vie, ça ne va pas"

 

Y a du vrai dans le propos. La vie est tout, sauf ... romantique. Je suis bien placé pour le savoir. Et l'art (la chanson ou autres) est une chouette manière de canaliser son romantisme, d'en faire quelque chose. Ca fonctionne même très fort. Surtout quand on se rend compte, à l'autopsie, que les publics sont truffés de gens romantiques, qui se reconnaissent, s'identifient au "romantisme" exprimé en chansons, en poèmes ...

 

Alors ?

 

"Le problème c'est qu'elle est trop romantique ... et ça ne va pas ... qu'on soit romantique dans des chansons, des poèmes, OK ... mais dans la vie, ça ne va pas"

 

Je nuancerai le propos.

 

La vie n'est pas romantique, non.

On est entouré, chaque jour, de gens pas très romantiques, OK.

Et ... le plus grand des romantiques en est le premier informé.

 

Mais ...

 

Au prix où l'univers est peuplé d'individus à la fois très semblables et très différents ...

 

Au prix où les romantiques ne manquent pas sur cette planète ...

 

Au prix où les romantiques, qui ne manquent pas sur cette planète, existent, ont besoin d'être reconnus (dans leur romantisme) et ne pourraient pas fonctionner autrement ...

 

Au prix où, malheureusement, plus d'un romantique est prêt, hélas, à offrir tout son romantisme à un partenaire (du sexe opposé ou autres) qui n'est pas forcément prêt à le recevoir ...

 

Au prix où tout romantique est hélas un peu "sauveur" ...

 

Et j'en passe ...

 

Je ne dirai pas : "dans la vie, ne soyons pas romantiques"

 

Je dirai, encore ce matin : "assumons notre romantisme, il est précieux, pour nous, pour nos semblables ... mais soyons assez vigilants pour savoir, pour deviner à qui on l'offre, à qui on le donne ..."

 

Dix heures vingt.

 

 

 

 

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LaM - Collections du musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut Lille métropole

LaM - Collections du musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut Lille métropole

AgrandirPar un collectif d'auteurs Aux Editions Hazan

Le musée d'Art moderne de Villeneuve-d'Ascq a réouvert en septembre 2010 sous une nouvelle identité : le LaM, musée d'art moderne, d'art contemporain et d'art brut Lille Métropole.

transparent.gifAvec une surface d'accrochage totale avoisinant les 4 000 m², le LaM est désormais le premier musée à présenter simultanément des collections d'art moderne, d'art contemporain, ainsi que la plus grande collection française d'art brut issue de la donation L'Aracine en 1999.

Cette présentation concomitante de ces collections permet une approche renouvelée de l'art du XXe et du XXIe siècle.

Cette publication célèbre cette réouverture et offre une sélection d'oeuvres donnant à voir la pluralité et l'étendue des collections du musée, qui n'ont eu de cesse de s'accroître au fil des donations, des acquisitions et des dépôts.
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Last Flo 2010

La voici, égale à elle même. Seule et libre, sans les couleurs qui la laissent fragile, vulnérable..

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Les couleurs sont des particules qui meurent trop vite. Je les refuse aujourd'hui, juste pour marquer mon désir d'immortalité.


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Torture (extrait du recueil "EQUATIONS")

                                                                     

                                   TORTURE                              

Torture-moi mon  âme

pour ce que je t'ai fait.

Mais tu es le maître en torture

et un blanc de semaine sans mot

me laisse sans visage. 

 

Un poème dans tes yeux

et la torture naît.

Mais la torture existait

bien avant la naissance du poème.

 

Le silence emplissait la cage de mes mains

dans le roulement de la ville bruyante

Les néons du soir absorbaient la Vérité.

Nombreux ils épiaient, les saltimbanques du désir

Mais les "occases" ont été écartés, rejetés

dans le néant de la route sans méandre

de la route droite.

 

Seul, le seul, l''ABSOLU

te taraudait, oh mon âme

 

 

Le goût du souvenir

te fragmentait aussi le coeur.

Ces "occases" fragments, ces saltimbanques du désir,

jamais, ne m'ont effleurée.

 

Il me fallait un TOUT

Seul, l'ABSOLU a pu me retenir

 

Mais j'étais devenue l'Intouchable

L'ABSOLU est torturé

REGRETS, regrets, regrets .

 

Des lames de regrets se prennent dans la nuit.

.

L'ABSOLU pense : 

"Ces lèvres sont mensonges"

Il pense faux 

 

L'ABSOLU  crie :

"Sacrée fille"

Il aurait dû crier : "Fille sacrée, sacralisée, sacrifiée". 

 

L'ABSOLU dit :

"Poème tu me tortures"

Et le maître en torture, c'est lui, l'ABSOLU

 

Alors mon âme crie :

 

"Me laver de toutes ces contraintes,

Me laisser absorber

sans me voiler la face.

Laisser faire le temps me défaire,

Me libérer, n'être plus RIEN

 

QU'UNE POUSSIERE DE COSMOS DANS L'ABSOLU

 

Me diluer, me fondre dans l'INSTANT ....

sur le jeu de patience que je suis devenue".

 

Rolande Quivron ler mai 1980

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 .

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Ecce homo. Comment on devient ce que l'on est

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C’est l’autobiographie de Frédéric Nietzsche, écrite en 1888 et publiée après sa mort en 1908. Dans la première partie, intitulée "Pourquoi je suis si sage", Nietzsche distingue les éléments de
sa propre personnalité et relève en lui deux tendances opposées: l'une, décadente et qui le conduirait à l'apathie, déterminée par son déplorable état physique (il fut souvent et longtemps malade); l'autre, anti- décadente et combattive, développée par la volonté de salut qui veille en lui et marque toute sa philosophie, volonté qui lui a fait surmonter la compassion et le ressentiment. Avec une fierté qu'il ne cache pas, il attribue la diversité de son caractère au sang polonais qu'il a hérité de ses aïeux paternels et qui se révèle dans son physique. Doué d'un instinct aigu de propreté qui lui permet de découvrir la boue cachée sous l' hypocrisie des formes morales, il aspire avec passion à la solitude.

Dans la seconde partie: "Pourquoi j'en sais si long", Nietzsche se déclare "immunisé" par nature contre les problèmes de la transcendance. Une espèce d' "excursus" psychophysiologique lui montre la vie libre au grand air comme au travail spirituel le plus noble; il en arrive que l'air sec favorise la naissance du génie, alors que l'humide chaleur germanique tue les germes de la grandeur. Quant à la "récréation" de l'esprit, Nietzsche pense que la lecture est la forme la meilleure, puisqu'elle aide l'homme à se séparer de lui-même, et lui permet de pénétrer les sciences et les âmes étrangères; toutefois il ne faut pas laisser la pensée des autres "escalader les murs" de notre esprit quand celui-ci est sur le point de créer des conceptions nouvelles.

Quelques livres donc forment sa bibliothèque, tous français. Comme récréation, il accepte encore la musique de Wagner, durant les jours de leur accord à Triebschen; mais Wagner, en réalité, n'est que l'héritier du romantisme français tardif et décadent, alors que la musique dont rêve Nietzsche doit être profonde et sereine comme un après-midi d'octobre. Nietzsche recherche enfin l'origine de sa propre sagesse; celle-ci tient dans sa géniale habileté à exclure de
soi ce qui devrait toujours être nié: il faut se garder de toute passivité, qui pourrait infirmer la liberté de l'individu. Pour devenir ce que l'on est, il n'est pas besoin de s'étudier: même les erreurs de la vie ont leur valeur, pace qu'à travers elles se développe et grandit, s'alimentant des capacités artistiques de l'instinct, "l'idée organisatrice" qui s'épanouira ensuite spontanément au moment de la maturité.

Dans la troisième partie: "Pourquoi j'écris de si bons livres". Nietzsche reconnaît que l'incompréhension que rencontrent ses oeuvres est juste, puisqu'il s'est élevé à un niveau humain supérieur à celui que les hommes modernes peuvent atteindre, et son parfait lecteur devrait être un monstre de courage et de curiosité. Il a façonné la langue allemande par des
moyens artistiques incroyables, et il a découvert le grand style des périodes. C'est à cette partie que sont annexées les fameuses préfaces des oeuvres, à travers lesquelles on peut suivre l'évolution de la philosophie nietzschéenne.

La quatrième partie: "Pourquoi je suis une fatalité", explique l'importance que Nietzsche attribue à sa propre philosophie: il sent qu'il a commencé quelque chose de prodigieux: sa vérité est terrible, "parce qu'auparavant on appela vérité le mensonge". Il est le premier immoraliste
et, s'il a mis en tête de son plus grand ouvrage le nom de Zarathoustra, de celui qui créa la fatale erreur de la moralité en expliquant le monde par le concept métaphysique de la lutte du bien contre le mal, il l'a fait délibérément, car il était juste que celui qui erra et fut le plus sincère
des penseurs, se surmontât lui-même par amour du vrai jusqu'à se transformer en son contraire, le Zarathoustra nietzschéen, lequel a découvert et dénoncé la morale chrétienne et, par cela même, représente le destin. L'impératif de Nietzsche a cette signification: il faut avoir la
force de concevoir la réalité telle qu'elle est; ce n'est que par cette voie que l'homme peut trouver la grandeur. Et "Ecce homo" se termine par ces mots: "M'a-t-on compris? Dionysos en face du Crucifié..." Dans cet ouvrage -ainsi qu'il l'affirme lui-même dans une lettre, -Nietzsche a voulu se présenter "avant l'acte funeste et solitaire de la transmutation des valeurs": en traçant en lignes hardies son portrait pythique il entendait appeler l'attention sur lui et rompre ainsi l'absurde silence qui s'était fait autour de lui.

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journal de bord, mercredi 22 décembre 2010

 Quand on passe sur scène, quand on chante, quand on conte, quand on joue la comédie ...

 

Après coup ...

 

Quand ceux (ou celles) qui nous ont vu(e)s nous (re)parlent de nous, ça nous fait évidemment plaisir.

 

Quand ceux (ou celles) qui nous ont vu(e)s émettent à notre égard des restrictions, des critiques, c'est un peu plus périlleux.

 

Ceci dit, quand on est lucide, quand on prend du r'cul ...

 

Les critiques nous font souvent avancer. Aussi.

 

Le problème, souvent ...

 

Les gens qui viennent nous voir et nous formulent (et c'est leur droit) leurs critiques ... ne s'adressent pas forcément à nous au bon moment, ou utilisent (volontair'ment ou non) un ton, une manière de parler qu'on n'est pas forcément capables de recevoir.

Plus d'un artiste vous le confirmera.

 

Que de fois, en terminant un spectacle, en ayant encore la tête dans les étoiles, en sentant encore mon coeur à moitié dans mon spectacle, et en allant rejoindre (avec tout mon enthousiasme) une table où se trouvaient des gens venus me voir, je n'avais pas le temps de m'asseoir et j'en entendais déjà un (ou une) pour me dire (sur un ton franc battant, parfois, à la limite de l'agressivité) : "dommage qu'on ne t'entendait pas toujours !", "la guitare n'était pas accordée", "tes chansons sont longues ... il faut s'accrocher".

Que de fois, en recevant ces critiques de plein fouet, sans avoir eu le temps de respirer, j'ai eu très mal au coeur.

 

Mais, en revanche ...

 

Je ne conteste pas la légitimité de ces mêmes propos, quand, à tête froide, le jour suivant, après avoir passé une bonne nuit, je les revisite, je pèse le pour et le contre et j'agis en conséquence.

 

Effectivement ... malgré ma voix puissante, il n'est pas toujours aisé d'entendre un chanteur (ça peut dépendre de la longueur de la salle ou ... des gens qui font du bruit ou causent tout haut, parfois, dans la même salle).

Effectivement ... je ne prends pas toujours le temps d'accorder correctement ma guitare (j'entends d'abord le son avec mon oreille, à l'instinct, et j'oublie parfois de vérifier avec mon accordeur ... c'est une lacune, je le r'connais).

Effectivement ... mes chansons sont parfois longues (depuis 28 ans que je chante, je l'entends ... ce n'est pas un hasard si, quand j'écris, je me limite volontair'ment à trois couplets).

 

J'aimerais, maintenant, m'attarder sur trois critiques (extrêmement fondées) que j'ai reçues, vendredi dernier, lorsque j'ai chanté, avec Aude Van Diest, au "Cercle Diogène".

 

Faut dire que la personne en question n'est autre que ... ma chérie.

Qui écrit aussi.

Qui est une personne attentive à tout ce qui l'entoure.

Qui a l'honnêt'té d'exprimer clair'ment ce qu'elle ressent, sans jamais donner de directives et sans considérer son avis comme "l'avis des gens" (de cette trempe-là, ça ne manque pas parmi des gens dans l'public et parmi ... certains organisateurs de spectacle qui, dès lors, refus'ront de vous engager).

 

Parmi les trois avis de ma belle ... qui me connaît, bien sûr, et qui sait attendre le moment où je pourrai entendre ce qu'elle me dira (souvent, ça se passe quand on est en voiture ou quand on déjeune) ...

 

"Je n'aime pas quand tu accompagnes quelqu'un à la guitare ... je m'en suis encore rendu compte quand tu accompagnais Aude ... et je comprends pourquoi, quand nous avons essayé de travailler ensemble, ça n'a pas marché ... tes rythmes à la guitare, je les trouve accidentés ... ce n'est pas fluide pour moi ..."

 

Y a beaucoup de vrai, ici. Y a beaucoup de choses, ici.

 

Mais ... il s'agit de rester juste et de se respecter.

 

Nous avions, à une époque, essayé, mon amie et moi, de faire quelque chose : elle lisait un texte et je l'accompagnais à la guitare.

Et la difficulté résidait dans le point suivant :

Elle pouvait reprendre vingt, vingt-cinq fois son texte, opiniâtrement, jusqu'au moment où elle arrivait à l'interprétation qui lui semblait la plus juste.

Quant à moi, je fatiguais à chaque reprise.

Et je n'arrivais pas (tout en connaissant la ligne mélodique) à restituer la même mélodie. Je jouais d'instinct. Comme je ressentais le morceau à ce moment-là. Et ça la déstabilisait.

Nous en sommes restés là.

Peut-être : un jour ...

 

Quand je sais que mon amie et moi, quand nous sommes ensemble, au p'tit déjeuner, nous écoutons pas mal de CD's, dont des CD's de guitaristes chevronnés (Jacques Stotzem, qu'elle adore), dont les morceaux coulent, sont fluides,

je comprends sa tournure d'esprit quand elle m'entend jouer ... et accompagner quelqu'un d'autre.

 

Il est tout à fait vrai qu'avec Aude, je ne pratique pas autrement. Je connais les chansons du programme. Je connais la manière d'Aude ... d'interpréter ces morceaux, je les sens surtout. Et ... à chaque fois que je l'accompagne, en répét', ou durant l'concert, j'adapte, d'instinct, mon jeu en fonction du moment, et de son interprétation du moment. Et ... je ne fais jamais deux fois la même chose, non plus.

Elle m'a d'ailleurs dit : "C'est fou comme tu me sens bien !"

Quant à mes différences de jeu, ça n'a jamais l'air de la déstabiliser (sauf : quand je prends un ton trop haut pour elle).

 

Quand j'accompagne, à d'autres moments, lors d'autres spectacles, mon amie Cathy Zeroug (ça fait quinze ans que ça dure), je m'y prends de la même façon.

 

Et même quand je suis sur scène ...

 

J'utilise volontiers ma guitare comme support, mais jamais de manière continue. Il se trouve toujours un moment où je m'arrête de jouer ... pour mettre un mot en évidence, pour prendre une personne du public à témoin ...

Ma manière de faire plaît beaucoup à certains, déplaît à d'autres ...

 

Et, en toute légitimité, ma chérie me dit : "Je suis tellement sensible à ce que je vois ... que tous tes a côtés m'empêchent parfois d'écouter vraiment tes chansons"

 

J'en prends note. Même si je resterai toujours celui que je suis (faut pas se renier). Mais ... d'accord, un morceau de guitare qui est plus fluide, qui coule, c'est important (aussi) pour un auditeur. Et ... j'aim'rais aussi (sans me renier), y arriver (ou ... m'en approcher). Si, un jour, c'est le cas, eh bien, j'en serai très content.

 

Un autre commentaire de ma chérie à mon égard ...

 

"Au début de ta prestation, ta chanson "LES MOUTONS", j'aime moins, tu le sais ... je retrouve ton côté revendicard du début que je te connaissais ..."

 

C'est pas faux.

 

J'ai écrit "LES MOUTONS" en 1995. Elle figure sur mon premier CD, sorti lui-même en ... 1997.

 

Depuis lors, plein d'eau a coulé sous les ponts, j'ai vécu plein de choses, plein de certitudes sont parties.

J'ai été hyper revendicard durant des années. Et si mes opinions, encore à l'heure actuelle, gardent leur direction, j'ai appris à me nuancer et à développer ... mon côté tendresse (pas mal de gens me le disent).

 

Ceci dit, même si "LES MOUTONS" date de 1995 ...

 

A l'époque, je dressais déjà un bilan sur mon côté revendicard, qui s'allégeait déjà. Ce n'est pas un hasard si je démarre mes trois premiers couplets par : "Je n'en veux plus aux moutons ...". Ce n'est pas un hasard, si, dans le dernier couplet, je dis : "Je n'en veux plus aux moutons ... et j'en fais même partie quand ça m'arrange ou quand je crois en avoir envie"  (je ne me posais déjà plus en donneur de l'çons).

 

En 1995, j'avais déjà ... treize ans de chansons.

 

Et "LES MOUTONS" résumaient déjà, fermaient déjà un volet de toute une série de chansons "revendicardes" écrites entre 1982 et 1990 : "LES RECUPERES", "LES RIEURS", "LES CONSEILLEURS", "LES INTERMEDIAIRES" ...

 

Dans le courant de cette année (en train de se terminer) ...

 

J'ai aussi retouché certaines phrases, certaines tonalités musicales, dans "LES MOUTONS". Je voulais aussi tester ma nouvelle version ... en public.

 

Mais, bien entendu, ma chérie est auditrice (comme tout un public) et reçoit une chanson avec ses yeux, avec son coeur.

 

Quand je lui ai fait part de toutes les nuances, propres à ma chanson "LES MOUTONS" (que j'évoque ici plus haut), elle m'a encore répondu : "Oui, mais le terme moutons, je n'aime pas".

J'écoute. Et ... j'approuve, quelque part.

Dieu sait si j'aime de moins en moins, je n'aime pas, je déteste ... les généralisations, les affirmations, les jug'ments de valeur.

 

Et ... un dernier regard de "ma belle" dans ma prestation :

 

"Tu as introduit chacune des deux parties en jouant de l'harmonica ... or, dans les deux cas, tu jouais de la même façon ... un peu comme si c'était deux fois la même chose ..."

 

Intéressant ! Intéressant !

 

Evidemment, je ne m'en suis pas rendu compte, au moment où je prestais.

 

Mais ... j'y suis attentif.

 

Et sur la chanson "A TOI, TOI ..." (avec laquelle j'ai démarré la s'conde partie, morceau avec lequel ma chérie accroche), je veill'rai, la prochaine fois que je le chant'rai (dans l'métro, par exemple) à bosser sur les nuances musicales.

 

L'année 2011 s'annonce sous d'heureux auspices.

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toi, elle, lui

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Mais qui se cachent sous ces masques ?

Seriez-vous Colombine ou ce satané Arlequin ?

Et bien oui, qui peut dire avoir vu son visage ?

Vous ?

Ne rêveriez-vous pas encore plus que moi alors, parce que d’après la légende, il ne s’est jamais démasqué ? 

A moins que devant une belle, le soir ?

Et si nous refaisions ce conte, si cet Arlequin ne serait qu’une demoiselle déguisée, à cette époque les mœurs étaient remplis d’interdits ?

Et sous ses masques féminins, n’y aurait-il pas un Casanova dissimulé afin de tromper la vigilance d’un mari ?

Avec des « si » on mettrait Paris en bouteille dit-on mais pourquoi pas ne pas y mettre Venise ?

Je vois en rêve ces beaux parleurs, cet Arlequin, ce Casanova, l’un d’eux conquiert une belle inconnue, masquée et le soir, imaginez la surprise ?

Ou encore une belle inconnue, se laisse séduire par un de ces protagonistes masqués en imposant personnage, le soir, il la raccompagne chez elle et devinez ?

Je fabule peut être mais qui sait ?

Qui sont-ils, des riches, de simples gens du peuple, des nobles, des artistes, des délateurs, des amoureux ?

Que de mystères dans ces dédalles mystérieux de ruelles, de canaux mais sur cette place, ne serais-je pas là aussi ?

Que de questions mais qui sont donc ces personnages ésotériques et si richement vêtus ?

Qui se cachent sous ces masques ?

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administrateur théâtres

appel à projets: prix littéraire 2011

Prix littéraire 2011 du Parlement de la Communauté française

La 37e édition du prix littéraire décerné par le Parlement de la Communauté française se destine aux essais ou biographies de qualité littéraire. Doté de 3.718 €, il récompense un auteur d'expression française, lequel aura fait preuve d'un talent particulier dans une oeuvre inédite ou déjà publiée.

 

Il est obligatoire de remplir différentes conditions de participation.

Les auteurs non belges fourniront ainsi la preuve qu'ils résident en Belgique depuis cinq ans minimum, avant l'expiration du délai pour le dépôt des oeuvres.

Les manuscrits ou publications parviendront en cinq exemplaires, pour le 1er février 2011 au plus tard, au secrétariat du Jury du prix littéraire (adresse ci-dessous).

En outre, les manuscrits doivent être clairement dactylographiés, paginés et solidement reliés. Les ouvrages ne peuvent avoir été édités avant 2007, ni avoir été couronnés par un autre prix important. Chaque auteur ne peut présenter qu'un seul ouvrage. Les ouvrages écrits en collaboration sont toutefois acceptés.

A noter qu'une brève notice biographique doit accompagner l'envoi. Les candidats intéressés qui auraient déjà concouru au prix littéraire du Parlement doivent obligatoirement reposer leur candidature.

L'inscription est totalement gratuite. Un accusé de réception sera envoyé à chaque candidat.

La cérémonie de remise du prix se déroulera dans le courant de la première quinzaine d'octobre 2011.

 

 

 http://www.pcf.be/ROOT/PCF_2006/public/prix/litterature/decret_prix_litteraire.html

 

Renseignements complémentaires:

Jury du prix littéraire
Parlement de la Communauté française
Mme Marie-Jeanne Radelet
rue de la loi 6
1000 Bruxelles
02/506 39 38 -radeletmj@pcf.be 

Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

pour information:


Le prix  2010 a été attribué à


Geneviève Damas pour sa pièce « STIB – Suite de Trajets Infrahumains Balisés », 

  publié en 2009 aux éditions Lansman. 

 

Le Jury était présidé par Monsieur Jean-François Istasse, député du Parlement de la Communauté française, et était composé de membres de l’Académie royale de langue et de littérature françaises, de l’Association des écrivains belges de langue française, du Pen Club et de représentants du Conseil de la jeunesse d’expression française.

 

Le prix a été attribué à Geneviève Damas pour sa pièce « STIB – Suite de Trajets Infrahumains Balisés », publié en 2009 aux éditions Lansman. La lauréate s’est imposée au premier tour de scrutin, à la majorité des voix.

 

Le Jury a apprécié la rencontre, à la fois drôle et émouvante, entre deux  femmes  « paumées » que la vie n’a pas gâtées, dans les transports en commun. La vérité de ces deux femmes, blessées mais combattives, transparaît tant dans les scènes qu’ lles vivent que dans le langage qu’elles emploient. De sorte que l’on assiste à une excellente gradation dans la métamorphose des personnages qui vivent une dure réalité et qui tentent d’en sortir.

 

Le Jury a également reconnu que l’auteur parvient à faire un retour aux émotions simples et altruistes, telles que la générosité, la tendresse, la compassion. Sans se prendre au sérieux, sans en avoir l’air et comme sans le savoir, l’auteur approche du cœur des êtres et des choses avec un humour caustique et néanmoins roboratif.

 

 

la suite sur : http://www.pcf.be/ROOT/PCF_2006/public/presse/communiques_de_presse/remise_prix_litteraire_2010.pdf

 

From the desk of Deashelle

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Prix Charles Caty : appel à candidatures

Dix-huitième période triennale : 1er décembre 2007 - 30 novembre 2010

Montant : 1250 euros

Ce prix triennal en peinture et arts apparentés, créé en 1953, est destiné à un artiste ayant fait ses études régulièrement et avec succès, à l'Académie des Beaux-Arts de Mons.

Les candidats prendront rendez-vous, début décembre pour venir déposer le mercredi 12 janvier 2011, 3 tableaux, un curriculum vitae, un album de photos montrant l'évolution de l'œuvre et un press book, au Palais des Académies, rue Ducale, 1, 2e étage, 1000 Bruxelles.

Le jury se réunira le jeudi 13 janvier 2011 ; les candidats viendront retirer leurs œuvres et leur documentation, le vendredi 14 janvier 2011.

Pour toute information complémentaire, nous vous prions de contacter Béatrice Denuit:
beatrice.denuit@cfwb.be

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