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Contes (6)

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8 Mars journée internationale des femmes... Une parmi tant d'autres.

Une des images de mon livre écrit suite à mes deux voyages au Nord du Niger :

"Un Ami, contes et paroles nomades en pays Touareg"

est édité par "5 Sens Éditions", à Genève,

il fait suite à ces rencontres amicales.

Il est à commander dans toutes bonnes librairies !

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Éditrices indépendantes !

Merci

5 Sens Editions Un Ami...

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administrateur théâtres

                                                     Tout fout le camp ! Même les contes pour enfants! 

Si vous pensez que Blanche-Neige et les 7 nains parle du harcèlement sexuel par des nains à genoux sur mineure réduite à l’esclavage domestique sur fond de misère sociale urbaine, que Pinocchio évoque la  pédophilie sur garçon appareillé par personne dépositaire de l’autorité parentale, associée à des actes de zoophilie sur le pauvre criquet qui tente de donner son avis, que  Fantasia est le symbole d’une grossophobie revendiquée  qui force des hippopotames à faire des demi-pointes en tutu rose bonbon, c’est que votre Waltophobie moderniste est mûre et  impatiente d'être partagée! Et vous adorerez ce spectacle!

Vous clamez qu'un syndrome de Walt avéré fait immanquablement confondre rêve et réalité, ce qui témoignage d’un âge mental voisinant les quatre ans.  C'est oublier au passage,  que vous-même bénéficiez de ces  mythes fondateurs  qui dans votre enfance ont pu vous conduire vers la bénéfique séparation du bien et du mal, celle du vrai et de l’imaginaire, et vers l’accession à la liberté de l’âge adulte. Et si ce n'est chose faite,  voilà qu'on incrimine,  pour les quarantenaires et les plus jeunes, l’emprise de l'image cinématographique, qui, bien moins que la tradition orale ou la lecture, permet à l’imagination de prendre son envol. Triste réalité!  Adieu donc: rêves, poésie, distanciation et humour! Et bonjour la loufoquerie et le délire stérile! 

Ah! Le monde passionnant!  

Régulièrement envoyé sur la piste des élucubrations psycho-sociales du spectacle, le psy de service qui  gère les différents cas clinique, n’est pas sûr de soigner sa patientèle victime  de Walt car lui-même - Shocking, isn't it? - est un prédateur sexuel!  Lui  non plus,  ne peut résister devant une femme endormie...  C’est l’occasion de rappeler la réalité. Celle de la récente révolte d’une mère de famille anglaise, avocate de surcroît*, qui brexite à mort  pour que les contes, qui  ont fait jusqu' aujourd’hui  les fondements de notre subconscient - lisez à ce propos l’ouvrage bien connu de Bruno Bettelheim «La psychologie des contes de fées » - , soient enfin détachés de leur contenu ouvertement machiste! En clair pour cette éminente dame, le baiser du prince donné à  la Belle au Bois dormant, c’est  carrément l’apologie de l'agression sexuelle! On le constate, celle qui fait la une des journaux, est bien atteinte, à contre sens, par ce fameux Syndrome de Walt, et s'avère sans doute incurable!

Mais revenons sur les planches! Si les trois comédiens dévoués ont  dépensé une  énergie fantastique  pour faire de leur spectacle un grand moment de divertissement  délirant, les tranches d’humour noir truffé de rose  bébé,  apparaissent de moins en moins  délectables. Mais c'est la deuxième saison,  ils cartonnent et on se réjouit.  La salle bien bondée rit, s’esclaffe,  et une critique quidam au fond de la salle, qui rêvait de féerie et de chansons waldisniaques sans mélange des genres, parodiées avec humour certes, mais avec l’élégance poétique requise, fut sur le coup, finalement passablement déçue.

L’idée de départ était pourtant excellente. Ils  eussent pu jouer haut et sans filets! Tant qu’à faire, un souffle iconoclaste moins dispersé, moins de demi-teintes et de vagabondages sociologiques et plus de férocité eussent sans doute mieux emporté le morceau. S’il faut renverser les idoles - d’où qu’elles viennent - et savourer la griserie de la moquerie, que celle-ci soit alors vraiment  pure et dure, et crue à souhait! Que l’on ricane alors franchement! 

Rester dans l’entre-deux hybride mi-figue mi-raisin,  déforce l’entreprise et  a engendré  le désintérêt  progressif de la spectatrice peu convaincue.  Comment, dès lors, ne pas se contenter de se  gausser du maniérisme sociologique politically correct  ambiant et  de  compatir muettement avec le regard de gosses de 8/12 ans partant baillant derrière leurs parents en traînant les pieds?

https://lesrichesclaires.be/evenement/le-syndrome-de-walt-2/

https://lesrichesclaires.be/fiche-descriptive-syndrome-de-walt/

Distribution

Texte DE

Cécile Delberghe et Eric De Staercke

MISE EN SCÈNE

Eric De Staercke, assisté de Joséphine de Renesse

AVEC

Cécile Delberghe , Simon Hommé et Benjamin Torrini

MUSIQUE

Eloi Baudimont

COSTUMES

Raphaëlle Debattice

DÉCORS

Benoît Cogels

CRÉATION LUMIÈRES

Frédéric Delhaye et Benoît Guilbert

Du 14 au 31 décembre 2017

Les Riches-Claires
Rue des Riches Claires, 24 1000 

http://www.lesrichesclaires.be 
accueil@lesrichesclaires.be 
02-548.25.80

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LA LÉGENDE DU HOUX

A l’époque de Noël, les branches de houx avec ses baies rouges sont omniprésentes. Est-ce que vous savez comment cette plante est devenue un symbole de cette saison festive ? Eh bien, je vais vous le raconter.

Le houx était la plante sacrée de Saturne qui, dans la mytologie grecque était l’équivalent du titan Cronos, père de Zeus. C’était le houx que les Romains utilisaient pendant la Saturnalia, une des festivités païennes qui est à l'origine de la date du 25 décembre pour la célébration de Noël. Pendant ces festivités, les Romains s'offraient mutuellement des couronnes de houx et décoraient aussi les statues de Saturne avec des branches de cette plante.

Les premiers Chrétiens adoptèrent cette tradition afin de ne pas éveiller des soupçons et des persécutions, et le houx perdit ainsi son caractère païen pour devenir un symbole chrétien typique de la saison de Noël, au moins dans les pays occidentaux: les feuilles pointues de la plante représentent les épines de la couronne que Jésus portait lors de sa crucifixion, les feuilles vertes représentent la vie éternelle et les baies, le sang de Jésus.

Et, évidemment, il y a aussi une légende chrétienne associée à cette plante. Selon cette légende, lorsque la Sainte Famille était poursuivie par les soldats du roi Hérode, qui en voulait à l’Enfant Jésus, plusieurs plantes leur permirent d’en échapper. On raconte que l’une de ces plantes ce fut le houx, qui abrita la Sainte Famille quand les soldats étaient sur le point de les trouver.

À l’époque, le houx n’était pas encore un arbuste à feuillage persistant, mais la Vierge demanda protection et – ô miracle – les feuilles poussèrent à nouveau et le houx étendit ses branches pour les cacher. Très reconnaissante, la Vierge Marie l'aurait béni en annonçant que le houx resterait vert pour toujours. Et le houx devint ainsi un arbuste à feuilles persistantes, symbole d'immortalité.

Dans l’Europe médiévale, le houx était symbole de bonheur. On devait planter cet arbuste devant la maison pour la protéger contre les tonnerres et les éclairs, et les feuilles et les baies se chargeraient d’éloigner la sorcellerie et les mauvais esprits…

Vous avez aimé ce conte? Faites-le partager à vos enfants ou petits-enfants, à vos amis et connaissances, en un mot à tous les enfants que nous avons tous été un jour.

Il y a des contes que les enfants peuvent lire tout seuls; d'autres contes que vous pouvez leur lire ou leur raconter avec vos propres mots. Que la magie des mots les accompagnent toujours le long de leur vie.

Joyeux Noël.

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administrateur théâtres

Du 19 septembre au 20 octobre 2013, au théâtre du Parc

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La plongée dans nos nuits par  Dominique Serron et Vincent Zabus : « Enfin, après 1001 nuits, la transformation complète de l’homme le révèle, aimant et pleinement pacifié. »

 

La réalité ? On a pendu la crémaillère chez Laurent (éditeur, la quarantaine) et Laure, qui ont emménagé dans un appartement improvisé dans une ancienne librairie  désaffectée, autre réalité. Peut-être celle de L’ombre du Vent … A cet événement, ils ont choisi le thème de la fête : les contes de mille et une nuits… Hasard ? Nécessité ? La réalité appelle-t-elle l’imaginaire ou est-ce le contraire qui se passe?  Une dispute Shakespearienne a surgi au sein du couple, « the green-eyed monster » plante ses crocs au fond du cœur de l’homme ! Laurent est jaloux ! Il a besoin de sa dose de valériane pur pouvoir dormir mais il a évidemment  perdu la clé de l’endroit où elle est rangée.

 

12272938870?profile=original Nouvelle réalité: c’est  Monsieur  Ibrahim, (l’épicier de la rue Bleue, vous vous souvenez ?) qui débarque et lui présente des cornes de gazelle pour le consoler: «  Mangez ! Et lisez !!! Laissez‐vous envahir l’esprit… » Début du voyage initiatique façon Lewis Caroll. Ces gâteaux magiques, une fois croqués, deviennent les gâteaux aux amandes dégustées par Shazaman et Shariyâr, deux sultans d’un autre âge et d’un autre espace, affolés par « la trahison féminine ».  Entretemps - si l’on peut dire -  l’art de la suggestion, les costumes, les voiles qui voilent et dévoilent,  la danse, les éclairages subtils ont réveillé l’imaginaire du lecteur. L’Orient est là.  Le spectateur, lui, se sent happé dans  la  galaxie théâtrale : c’en est fait de lui, il n’est plus spectateur. Il est  acteur aux côtés de mille et un personnages et a libéré son propre imaginaire.

 

12272939064?profile=originalL’esprit de Laurent se peuple des personnages des contes que lui racontait sa mère. Tout un programme ! L’imaginaire est à la fois évasion et prison, comment s’en sortir ? La sève de l’histoire est la fresque des peurs et des angoisses humaines. Nous sommes dans le théâtre de l’invisible. Voilà les deux sœurs, Shéhérazade (une Antigone orientale  admirablement jouée par France BASTOEN) et sa sœur Dounia… même intelligence, même complicité, même humanité, même soif de justice, hors la  fin funeste d’Antigone. Shéhérazade brave l’autorité paternelle (un Patrick BRÜLL flamboyant). Elle veut arrêter le massacre. Elle a le plan que l’on connait. Elle va métamorphoser le cruel Shariyâr.  Ou Laurent, qui sait ? Ou le spectateur? 

 

12272939859?profile=originalL’histoire a été co-écrite par Dominique SERRON et Vincent ZABUS. Une écriture fluide, généreuse, pétillante d’humour et fourmillant de références. Elle puise sa source dans une très belle humanité et  elle émerveille. Pas étonnant que surgissent alors  tous ces personnages fabuleux et si vivants à la fois, au sein d’imaginaires si bien conjugués ! Les failles de Laurent  sont les chemins qu’il faut  emprunter résolument pour accéder aux questions essentielles. Tous finissent  par se sentir transformés : écrivains, comédiens, spectateurs. Le grand Sigmund a lui aussi traversé la trame de  l’écriture.  La psychanalyse des contes de fées de Bruno Bettelheim agit en sourdine.   Et le miracle de la réconciliation finit par advenir après des tribulations fantastiques qui mélangent hardiment Laurent, son frère, son père, son patron et sa femme adorée et les personnages de contes.

 

12272940081?profile=originalComme dans l’Oiseau bleu de Maeterlinck, il y a une fée mystérieuse qui guide Laurent dans ses pérégrinations et ses  épreuves.  Le nombre trois est mythique.  Laurent en est conscient et  joue le livre dont il est le héros! Il vogue avec une  présence et une aisance extraordinaires d’un personnage à l’autre. Son regard, ses gestes, ses répliques ne cessent d’interroger passionnément. Malgré ses quarante ans, il a gardé   toute la fraîcheur d’une âme enfantine. Vous vous souvenez du jeune Guy Béart ? C’est un peu lui… Mais de qui parle-t-on ?  Mais du comédien, bien sûr, Laurent CAPELLUTO ! Une personnalité très  attachante et impétueuse. Et Laure, innocente, féminine et moderne en diable, qui est-elle ? Qui est le miroir de l’autre ? Laure ou la délicieuse Laure VOGLAIRE, comédienne ? « Qui suis-je ? » est la question récurrente.  

 

12272940660?profile=originalUne  pièce  incontestablement novatrice et  passionnante. La mise en scène est éblouissante. Les décors poétiques s’effacent, se fondent, s’élèvent, volent presque! Tout y est : depuis les 40 voleurs jusqu’au tapis volant en passant par d’autres contes moins connus.  Musiques envoûtantes (Jean-Luc FAFCHAMPS, assisté d’Aldo PLATTEAU), lumières et costumes féeriques. Beauté scénique à chaque tableau que l’on doit se retenir  d’applaudir.  La troupe de l’Infini Théâtre est merveilleuse, jeune, audacieuse, créative à l’infini. Ils n’ont  certes pas volé leur titre : « the sky is the limit ! »

Mise en scène : Dominique SERRON.

Scénographe: Ronald BEURMS.

Costumes: Renata GORKA.

Lumières: Nicolas OLIVIER.

Création Musicale: Jean-Luc FAFCHAMPS.

Assistant : Valentin DEMARCIN.

Assistante: Florence GUILLAUME.

Assistant stagiaire: Antoine COGNIAUX.

12272941455?profile=originalAvec:
Laurent CAPELLUTO (Laurent (le mari de Laure), le portefaix, le prince endormi)
Laure VOGLAIRE (L'épouse de Lui, la première pucelle, la femme enterrée vivante)
France BASTOEN (Shéhérazade, la deuxième pucelle, la mère de l'adolescent)
Vincent HUERTAS (Le frère de Laurent, le sultan Shazaman, Masrour...)
Jasmina DOUIEB (Jasmina (l’amoureuse du frère), Douniazade (sœur de Shéhérazade)...)
Patrick BRÜLL (Le père de Laure, le Vizir (père de Shéhérazade), Robert l’Ifrite...)
Othmane MOUMEN (Monsieur Ibrahim (l’épicier), les trois Qalandars, la vieille Sacamal...)
Vincent ZABUS (Jean-Jacques (le patron de Laurent), le sultan Shariyâr, Djafar le vizir déguisé)

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Photos:  Isabelle De Beir

En savoir plus: http://www.theatreduparc.be/spectacle/spectacle_2013_2014_001

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administrateur théâtres

Le jardin parfumé (théâtre du Grand Midi)

« Les regards langoureux mettent en communication une âme avec une autre et les tendres baisers servent d’intermédiaires entre ton ardent jardinier et mon jardin parfumé... »


"Apprends ô vizir – que Dieu te prenne en sa miséricorde – que les femmes sont de différentes sortes : on loue les unes, on blâme les autres. La femme qui est louée par les hommes est celle qui se porte bien physiquement, qui a une bonne stature, une chair généreuse avec un teint blanc et brillant. Elle sentira bon. Ses épaules seront éloignées l’une de l’autre, ses bras seront larges, les deux os de l’avant-bras renflés. Sa bouche sera étroite, avec des lèvres tendres d’une couleur rouge cramoisie, épaisses, chaudes, équilibrées, charnues. Elle aura un nez étroit et gracieux, des joues lisses d’un blanc éclatant, rehaussé de rose, de grands yeux. Son visage sera majestueux et, d’après certains, il devra être de forme ronde. Ses sourcils seront bien arqués, sans être séparés par trop d’espace. Son front sera vaste, sous une chevelure d’un noir semblable à celui du fard pour les cils. Son cou sera long, et rond à la base. Cette femme aura les épaules larges, la poitrine spacieuse et bien développée, ainsi que la ceinture, les deux seins debout, la taille et les plis du ventre bien proportionnés, les hanches larges et fortes, le sein arqué, le nombril en fond de gouffre, les mains et les pieds menus…." Notre actrice, Nathalie Stas incarne avec humour cette femme idéale, et nous conte avec sagacité toute la théorie de l’érotologie de ce manuel peu connu dans notre monde occidental : « Le Jardin parfumé » de Cheikh Nefzaoui , écrit vers 1510. Un art d’aimer. Une recherche de paradis. Elle a le charme, la séduction des 1001 nuits, l’opulence de l’amour et navigue dans le décor oriental comme une reine, plutôt que comme une esclave ou une courtisane promise à la mort. ... Qui est le maître dans ce monde d’hommes, dans ce traité écrit par un homme pour les hommes ? Nathalie Stas provoque et renverse les rôles avec finesse et drôlerie. Sous une coupole d’étoiles, les tissus transparents d’une tente dans le désert, les coussins magiques, les bâtons d’encens, et les timbres de musiques d’ailleurs, et un déshabillé de rêve. Pruderie envolée, le vocabulaire est poétique ; les confidences, détaillées ; les conseils, humoristiques ; les descriptions, précises. Le corps sculptural retrace le bonheur des mots. Et la voix, et la danse. Le texte est garant de la vie. La curiosité du vizir, sa seule chance de survie. Ce vizir, c’est chacun de nous. Elle sent déjà le fil de la lame sur sa gorge offerte. Un spectacle étonnant dans la froidure glacée de notre mois de novembre ! Ne soyez pas frileux, et déposez les mineurs d’âge au cinéma avant de pénétrer dans la tente de l’amour!

LE JARDIN PARFUMÉ


du 16 novembre au 11 décembre à 20h30, uniquement les jeudis, vendredis et

samedis. Relâche dimanche et lundi

Librement et coquinement adapté par Bernard Damien

Pour et avec Nathalie Stas dans le rôle de la belle et mystérieuse Shéhérazade

Scénographie Ateliers du Vrai-Semblant Costumes Véronique Biefnot
Photographie Nicolas Toussaint Régie Alexis Couvrat
Dossier de presse
Nicole Palumbo



http://www.xltheatredugrandmidi.be/index.php?pid=36

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