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ETREINTE,

Le temps qui passe me donne à vous,

mes yeux des vôtres sont fous,

mes mains blondes et longues

ne s'accordent qu'aux vôtres,

mes nuits sans vous, sont infécondes !

La pluie qui tombe m'apporte votre parfum,

ma vie dans l'ombre, s'ensoleille de vous, ,

ma peau n'a de mémoire que la vôtre,

mon corps ne se pare que du vôtre,

du crépuscule à l'aube !

NINA

 

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Mélange.

Je dessine dans votre tête des pensées toutes bleues,

des chemins infinis, des rosiers et des neiges,

des soleils tout un cortège !

Je greffe partout en vous, des bouts de moi,

je mélange mes sourires à vos yeux,

ma peau à la vôtre,

ma vie à votre éternité : LA NOTRE !

NINA

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Mes impressions de lectrice sur le livre de Frédéric Halbreich.

Dans « Petite foire aux illusions » Frédéric Halbreich a rassemblé des textes inédits de différentes périodes de sa vie. Quelques textes en prose (à l'écriture surréaliste) entament le recueil, suivent des poèmes en vers libres, certains, très courts, tendent à se rapprocher du haïku, mais l’ensemble demeure très personnel et unique. Cette écriture est déconcertante car elle laisse notre esprit danser tantôt sur un rythme de blues, tantôt s’emballer sur un air de rock (assez métallique). Ce n’est pas un rythme de croisière, la traversée est mouvementée !

Un univers particulier donc, où la douceur croise la douleur du vivre,où les mots du Je virent en jeux de mots, où le silence restitue au présent sa force quand il ne laisse pas la place au néant, salvateur.

Sommes-nous réellement dans l’illusion ou faut-il chercher dans l’ombre des mots la parole « terre ferme » ? Dans chaque poème quelques vers sont comme îlots de sauvetage.

Après avoir lu « La muette », j’ai pensé : « Le silence avale l’univers / La vie avale la mort / tandis que se terre la lumière »

Il semble ne pas y avoir d’autre choix que d’aimer le néant dans lequel se confond l’autre et tout l’amour qu’on lui porte… même si tout cela grince quelque part parce que le monde… souffre.
La rouille parfois s’en mêle :

« Celui qui attendait là
Avait la tête rouillée
Dans le vent qui soufflait fort
S’envolaient de misérables
Particules de misère »

Les couleurs sont présentes car elles sont au cœur de la vie du peintre qu’est l’auteur. On retrouve le noir, le rouge et la lumière pour des mots qui parfois orchestrent une Danse de guerre.

« Le voisinage tremble
Et ma liberté retrouvée pleure
Il existe une danse de guerre
Que j’habite
Elle enflamme l’espace
Et l’absence d’ombre
Me rapproche de l’infinité
J’évoque le néant coloré »

Il y a l’enfance, bien sûr, mais partout le père dépose soit des notes de musique, soit des touches de couleurs au lieu de cailloux… L’âme de l’homme jette ses vœux dans l’Univers et prend le risque d’en voir certains s’évanouir « dans le bleu du dos du ciel »

« Déposons là notre victoire », dit l’auteur et allons à l’essentiel ; l’amour tel qu’il se lit dans « Les baisers voleurs »

« As-tu transi mon intérieur
En disparaissant
Kilométré ma douleur
Avec un fil d’argent
Posé ton sceau
Par amour de l’Art
Sur ma langueur
Expiatoire
As-tu démasqué l’amour
Et ses baisers voleurs
Alors enfin le silence
Nous reprendra
Mais l’excédent de ce silence
Ce sera encore toi »

.
Carmen Pennarun

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Petite foire aux illusions

12273315888?profile=originalLe présent recueil regroupe quelques textes écrits à différents moments. L'oeil averti décèlera. Certains sont tout récents, les plus anciens ont vingts ans, mais aucuns d'entre eux n'ont été publiés. Au-delà de la forme utilisée, poétique libre, prose, nouvelle poétique ou encore maximes proches du haïku, j'ai eu  la faiblesse de trouver quelques cohérence à cet assemblage. Bonne lecture, tout ça n'est qu'illusion. 

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Je voudrais .....

Je voudrais juste que vous enlaciez tout mon corps de vos bras, que vous y entriez en un monumental chant, le temps d'un infini instant !
Je voudrais que la nuit ait l'apparat du jour, que le jour ait l'ampleur de la nuit, sa transparence sombre, que le soleil pour nous, devienne sur nos peaux jumelées, un diadème vermeil, tout enchâssé en elles !
Je voudrais l'éternité de tout cela, un ciel tombé sur terre, une terre bleue et chaude.
Je voudrais juste que vous m'enlaciez .....
NINA
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Emerveillement.

les baisers solaires d'un ciel d'hiver sont parfois bien plus chauds que ne le sont ceux de mai ou de juillet !

Lorsque le ciel d'hiver nous donne tout son bleu, son éclat, n'est-ce pas extraordinaire pour nos visages levés vers lui,

tout offerts ? , 

Ne s'agit-il pas d'un instant fabuleux, d'une inestimable offrande ?

Rien ne se voit, mais tout se reçoit ; ne faut-il pas s'émerveiller d'une clarté, d'un souffle chaud, de tous ces instants fugaces, mais oh combien mémorables ! Les écrire, les peindre, les mettre en musique un peu plus tard, en faire don, les faire exister tout le temps..

Dans ces moments là, le ciel ne prend t-il pas la forme d'un visage, enfin sa dimension, voire toute son immensité ?

La terre alors, ne devient-elle pas complémentaire au soleil devenu bleu, indissociable ?

Je le crois.

NINA

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administrateur théâtres

Help! A l'aide! Billet urgent!

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  • 12271920090?profile=originalMoi

    Bonjour tout le monde! L'année dernière Arts et Lettres a été censuré par Facebook et jamais les liens hyper texte n'ont été réactivés. Aujourd'hui, jour pour jour , c'est mon blog www.deashelle.com qui assure le lien entre Facebook et notre réseau qui est victime d'un blocage. Tous mes articles

  • 7:02 PM
  • 12271920090?profile=originalMoi

    et mes photos ont disparu de toutes les pages, groupes et profiles de mes correspondants et des miens. J'ai trouvé un lien où vous seriez très aimable de signifier votre plainte et demander que ce lien soir sorti de la liste rouge et réactivé. Pour le bien de la journaliste bénévole et celui des artistes qu'elle soutient depuis dix ans plus un !  

  • 7:03 PM
  • 12271920090?profile=originalMoi

    Il faut écrire votre réclamation dans la rubrique " Veuillez nous en Informer " sur le lien suivant : https://developers.facebook.com/tools/debug/sharing/?q=https%3A%2F%2Fwww.deashelle.com%2F&hc_location=ufi

  • Merci de tout coeur à tous ceux qui prendront la peine de me venir en aide.... Deashelle

URGENT! 

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JOIE DE VIVRE

Balade matinale sous le ciel assombri, 

automne tout en deuil, 

odeurs de pluie et de châtaignes grillées,

bruissement des arbres et le chant de la pluie,

silence dominical et clapotis des gouttes sur mon parapluie vert, 

mes bottines cerise sur l'asphalte réglisse,

mes mains, mon corps, ennuagés de brume,

au loin tinte la cloche de l'église du village,

je marche à vive allure, pour échapper à l'orage,

autour de moi, aucun visage, sinon le vôtre par la pensée,

oui par la pensée, ma peau lisse contre la vôtre glisse,

nos sourires deviennent rires,

joie de vivre, d'exister pour un instant géant,

une rose pour moi, dans votre regard brun,

ici et là, s'enlacent nos mains,

cet amour de lys, chaque jour s'écrit, pour ne jamais

cesser de vivre.

NINA

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DANIEL BASTIÉ : LES MONDES CANNIBALES DU CINEMA ITALIEN

Sous-genre du film d'horreur, le cannibal movie a été créé par le cinéaste italien Umberto Lenzi, avant d'être repris par différents confrères. Avec "Cannibal holocaust", Ruggero Deodato atteint un summum qui n'a jamais été surpassé. Issu du "mondo", les films de cannibales ont pour but de susciter le dégoût, tout en proposant une réflexion sur notre société, opposant la vie de tribus primitives à celles des citoyens dits civilisés.12273319875?profile=original

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GEORGES GARVARENTZ ET LA MUSIQUE DE FILM

Les éditions Ménadès présentent le premier ouvrage sur le compositeur Georges Garvarentz (né Georges Diram Wem) d'origine arménienne. Il a composé de nombreux succès pour le chanteur Charles Aznavour, ainsi qu'une centaine de musiques de film et de séries télévisées. Il est également le compositeur de la comédie musicale "Deux anges sont venus" et de l'opérette "Douchka".

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Je suis un oiseau, j'ai un appétit d'oiseau sauf pour les mots. J'aime la littérature, la poésie, la musique, les chats et tous les animaux, l'écriture, l'amour et l'Amitié et la nature...J'écris des romans mais la
poésie est mon carburant. Des poèmes brefs, une poésie "de l'instant". J'éclabousse aussi de temps à autre un papier Arche d' aquarelles et de pastels, et cheminer dans mon jardin, saison après saison, heure après heure.

Dans une autre vie...j'ai travaillé comme juriste-fiscaliste, et enseigné le droit des assurances (de personnes) à l'ULB.

-Associations littéraires:

Vice-Présidente de l'Association des Ecrivains Belges de langue française (AEB)
http://www.ecrivainsbelges.be/

Membre du Conseil d'administration de l'AREAW (Association Royale des écrivains de Wallonie)

Chroniqueuse littéraire pour la Revue Reflets Wallonie-Bruxelles
http://areaw.org/

Membre de Clair de Luth (Mons)

Membre de Pen Belgique

-BIBLIOGRAPHIE et PRIX

Agir et accueillir, récit, Théles, 2010
Au fil des pages, roman, Memory,2012
Puzzle, roman, Memory, 2013
Aller-Retour, roman, 2014 (Prix Areaw Emile Poumon 2014)
Séparations, roman, Dricot 2015
Agir et accueillir, édition revue et augmentée, Brumerge 2016
Proche lointain, roman, Dricot 2016
Résonances, deux textes dans le recueil, JFE, mai 2017
L'instant fugace, textes dans les recueils, JFE, volumes 1 et 2, 2017 et 2018
Recueil JFE numéro 1 Carré poétique
Recueil coffret Michele Peyrat, Flou de mots, 2018
La solitude des étoiles, roman, 10/ 2017(ed.Murmure des Soirs)
Cueillette matinale, poèmes, Demdel, 2018
Résonances, tome 2, JFE, août 2018
Recueil collectif De l'humain pour les migrants, JFE 2018
Recueil collectif des "rencontres automnales" de la Lyre Emigrée 2018/et Recueil août 2019
Crimes et sentiments, polar collectif (Audace), 2019
Miroirs à marée basse, poésie (Le Coudrier), 2019 (avec I Bielecki et P Moreau)
Livres d'artistes "Les caresses du silence" avec Marina Boucheï, 2019
et "Au bord du jour", prévu fin 2019
Les Chants de Jane (Grenier Jane Tony), poèmes, "On s'attardera dans la lenteur", septembre 2019

Préface du recueil de poésie Du bout du jour, de Ph Colmant, Ed Demdel 2018/ Préface du volume 3 des "Ecrits philozozophiques" de Fabien Dumont

La symphonie inachevée, nouvelle parue dans la Revue Générale juillet août 2014
Et si Montaigne et Nietzsche s'étaient rencontrés, nouvelle, dans la Revue Générale février 2017

Un soir un livre, Le lys dans la vallée, texte dans Reflets Wallonie-Bruxelles, juin 2018

Texte dans Francophonie vivante de décembre 2017 (association Ch Plisnier)

Coffret collectif M Peyrat « photo+texte » janvier 2018

REVUES littéraires
Textes et poèmes : sur Facebook, Aura (Clair de Luth ), Nos Lettres de l'AEB,Le CAPITAL DES MOTS, Infusion revue, Lichen, La Revue Générale, Cabaret, Anthologie de Denys-Louis Colaux, Aura, Immagine & Poesia de H Bertrand Anthologies 2017/2018/2019, Lichen, Setu, L'Ecritoire d'Estieugues,
BLEU D'ENCRE 38, TRAVERSEE , POESIE PREMIERE,...

Prix :
Poème Tranchées bleues primé au prix P Nothomb 2014
Prix Mons/Émile Poumon 2014 décerné par l'AREAW

A PARAITRE :

-Livre(s) d'artiste(s) avec Marina Boucheï
-"Loin des routes agitées", poèmes et illustrations, Le Coudrier, 1er trimestre 2020
-Les Fantômes de Théodore, roman, Murmure des Soirs, février 2020
-Dans le refuge de la lumière, Bl d' E, octobre/novembre 2020

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QUESTIONNEMENT...

C'est quoi cette flamme qui ne veut pas s'éteindre

Ces vingt ans qui explosent à l'aube du déclin?

Plaisanterie de la vie de qui on peut tout craindre...

Ou bien simple cadeau, le clin d'œil du destin?

J.G.

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EXISTER A TOUT PRIX

Si je le décide ;

je vois l'océan et non la Seine,

le bleu et non l'obscurité,

l'immensité et non l’exiguïté.

J'entends un chant et non une voix,

un rire et non un cri,

un silence et non un brouhaha,

une cueillette et non un arrachement.

Je peux si je le désire vraiment ;

ressentir une caresse et non une gifle,

un amour et non le vide,

une douceur et non une rugosité,

du sucré et non de l'amertume.

Si je le décide ;

je peux croire en l'intelligence et non en la bêtise,

en l'éternité et non en la finitude,

en l'existence bien plus qu'en la vie.

Je peux si je le désire vraiment ;

vous donner un baiser et non un regard caché,

un sourire et non des mots qui se bousculent,

ma joie de vivre et non ma déprime,

mes couleurs et non mes ténèbres,

une partie de moi et non rien.

NINA

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ABSENCE ET JOIE,

Vous n'êtes pas là,

je tricote un pull de fleurs,

je me balade nue, car toute vêtue de vous,

je glane des coquillages à Paris-plage,

je contemple la terre juste en levant la tête,

je marche sur le ciel,

je caresse un serpent musical,

je cours sous la neige de juillet,

j'enlace le soleil pourpre,

je joue à être triste,

je suis triste dans la joie,

je parle à un coquelicot solitaire,

je mets en mots les chiffres que je déteste,

je vois des portes ouvertes ici et là, partout,

des fenêtres dans les yeux des gens,

des mourants qui redeviennent vivants,

des cris qui sont des chants,

des chiens qui sont des chats

et vice versa .......

Vous n'êtes pas là,

je ris quand je suis triste,

je chante à l'infini,

je caresse mes paupières, en songeant à vos mains,

sans bagage, je prends le dernier train pour la Provence,

je dors sous un arbre monumental et bleu,

je met de l'été dans l'hivers,

du printemps dans l'automne,

j'agrandis le ciel et toute la terre,

je mange à noël de délicieuses mirabelles,

je marche sur la tête sur le faubourg Montmartre,

je brode des roses dans le ciel vert,

j'invente des prénoms multicolores,

je fais venir l'Atlantique à Paris,

la mer du Nord à Carcassonne,

je traverse, d'une seule enjambée, la planète infinie,

je vois des ombres roses et des soleils au sol.

Vous êtes revenu,

alors vous lirez tout cela ou pas  !

NINA

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ENERGIE POTENTIELLE

Meggie Lombart Edition Meggie LOMBART ISBN 978260225907

Déroutant en premier abord, énergie potentielle semble mener le lecteur comme le ferait une série…  Le livre tient en haleine probablement parce qu’on aimerait en connaître le dénouement.

J’avoue avoir eu du mal à m’accrocher à l’histoire, les circonstances peut-être ?  Toujours est-il qu’il m’a fallu quelques pages pour entrer dans le récit.  Certes, dans l’ensemble ce roman est  bien construit, cependant il me semble qu’il manque un je ne sais quoi qui lui aurait permis d’être transcendant.  L’histoire est un « huit-clos », un récit d’amour sacrifié, espérant renaître de ses cendres sur base d’un chantage au suicide.

« Alex en entrant dans une pièce trouve Marion devant une baie ouverte s’apprêtant à sauter du trentième étage.  Le premier tente de sauver la seconde et cette dernière, par ce chantage, semble vouloir créer une sorte d’électrochoc dans l’esprit de son ex-compagnon. »  C’est peut-être ce qui m’a dérangé dans ce récit, cette forme de contrainte qui, dans la vraie vie, conduirait vers le chaos.  A mon regard, le décor est mal posé et c’est dommage puisque c’est le fil rouge sur lequel repose un duel psychologique.  Est-il réaliste de se ternir au-dessus du vide, trente étages tout de même, en manipulant le verbe ?  Ce détail me semble irréaliste et dénature, à mon avis, un livre bien écrit.

Justement en parlant d’écriture, elle est intéressante.  Les antagonistes se cherchent, se trouvent et puis se perdent en approches asynchrones. Ce jeu de cache-cache sentimental offre quelques rebondissements. On comprendra rapidement que les non-dits, seront le coeur du récit, cependant jusque ou serait on prèt à s’envoler pour sauver ce qui n’a jamais été réelement construit?

Ce roman gagnerait à être adapté pour le théâtre, les dialogues s’y prêtent et le mouvement d’acteur s’appropriant l’espace de la scène permettrait la mise en valeur des dialogues.

Ceci écrit, l’auteur porte le lecteur vers une situation de malaise.  Est-ce voulu ?  Je le crois, pour cette raison on peut prétendre que ce roman mérite nos regards. 

Le pitch :

« Trentième étage d’un immeuble, une baie vitrée ouverte sur le vide.  Marion s’apprête à sauter lorsqu’Alex entre dans la pièce.

S’ensuit alors un duel psychologique entre ces deux êtres emmurés dans leurs principes, prisonniers de leur liberté, mais, paradoxalement, englués dans un conformisme.

Comment en sont-ils arrivés là aujourd’hui ?  Auront-ils la force d’avouer leurs faiblesses pour franchir les barrières de leur égo ?  Pourront-ils dénouer l’écheveau de leurs faux-semblants ? »

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Voix.

Le silence est cette voix, celle de la pensée de vous à moi.

Cette voix souterraine, dont la couleur pourtant est celle du ciel !

Mon Cher Ami, voix souterraine car secrète, destinée à moi seule.

Vous m'aimez donc profondément, sans un geste ?

NINA

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