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C'est avec un immense plaisir que nous accueillerons le chanteur basque Peio Serbielle (membre d'Arts et Lettres, d'ailleurs!) au cours du Festival "Les Voies de la Liberté 2012", à Louvain-la-Neuve (Belgique), le dimanche 22 avril. Nous l'avions invité à nous rejoindre depuis 2008... mais une incroyable mésaventure judiciaire l'empêchait d'être des nôtres. Le voilà enfin libre d'exercer pleinement son métier, sa passion pour la musique.


Le concert est prévu le dimanche 22 avril, à 11h, à la Ferme du Biéreau, à Louvain-la-Neuve.


Réservations: 

- via les Fnac et sur www.fnac.be ou 0900 / 00 600 (0,50 € / min)

- via www.ticketnet.be ou 070 / 660 601 (0,30 € / min).

- à la Médiathèque de Louvain-la-Neuve.


Plus d'infos sur le site des Voies de la Liberté


12272782695?profile=originalC'est le chanteur breton Gilles Servat qui nous avait parlé de Peio Serbielle à la fin du premier concert des Voies de la Liberté, en 2006. Rappelez-vous: c'était ce concert de mobilisation pour Ingrid Betancourt et Aung San Suu Kyi auquel participaient entre autres Renaud, Calogero, Hugues Aufray et bien d'autres...

À Louvain-la-Neuve, il y a six ans, Gilles Servat avait expliqué au public qu'il n'y avait pas que la Colombie et la Birmanie, mais aussi la France, où la liberté des personnes était en question. Et d'évoquer le chanteur basque Peio Serbielle pour lequel il se mobilisait avec d'autres (Mgr Gaillot, Jack Lang, Renaud, I Muvrini, etc.)

Peio Serbielle avait été arrêté en octobre 2004 pour complicité présumée avec des militants autonomistes de l'ETA: il avait hébergé des personnes de passage dans la montagne... sans leur demander qui ils étaient. Seize mois de détention préventive dans les prisons de Moulins, Nantes, Angoulèmes...  
Quand il est sorti finalement, Peio Serbielle a été placé sous contrôle judiciaire. Il ne pouvait quitter le territoire de la France métropolitaine et devait se présenter toutes les semaines à la gendarmerie de Mauléon, dans sa région natale.

Une incroyable entrave à sa liberté de créer, à sa liberté de s'exprimer en tant qu'artiste désireux de voyager et de rencontrer les hommes.

Nous avions invité Peio à se produire lors de l'édition 2008 du Festival des Voies de la Liberté,  puis lors de celle de 2010...

Mais ce contrôle judiciaire restait comme un obstacle qui n'aurait pu être franchi que par des autorisations très compliquées à obtenir de la justice. Peio est donc resté en France comme il s'y était engagé, chantant dans certaines régions de France, sortant le premier CD d'une trilogie et collaborant à un très beau documentaire sur la nature dans les Pyrénées et le Pays basque

12272783678?profile=originalCe n'est que fin décembre 2011, voici quelques semaines, que ce contrôle a finalement été levé: le chanteur peut voyager et ne doit plus se présenter pour "pointer" à la gendarmerie. Le procès, qu'il souhaite pour s'expliquer, n'est prévu qu'en 2013. Un délai de 9 ans après les faits, un délai déraisonnable qui pousse son avocat à se tourner vers la cour européenne des droits de l'homme.

Libre totalement de se déplacer depuis ce 23 décembre 2011, Peio Serbielle a décidé que son premier concert à l'étranger serait pour la Belgique: il participera au Festival "Les Voies de la Liberté 2012", comme il l'explique dans cette séquence diffusée sur France 3.


"Gaztetasunak", une chanson de Peio Serbielle mise en images par Ghislaine et Marc, un couple belge...




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Aphorismes sur le mot faute

 

 

 

1.Expiées ou non, les fautes graves ne sont pas toutes rémissibles.

2.Il faut savoir se pardonner certaines fautes, commises envers-soi-même.

3. La paresse et la négligence sont à l’origine d’erreurs mais souvent aussi de fautes graves.

4.Une faute par omission peut être aussi préjudiciable qu’un dommage commis.

5. Les fautes de goût engendrent parfois une agréable bonne humeur.

6. Les sept péchés capitaux ne sont pas les seuls responsables de fautes regrettables.En parfaite innocence, il y a la bêtise.

7.Une erreur nous parait moins blâmable qu’une faute or la vigilence est parfois un devoir.

8. C’est à tort que l’on parle d’une erreur judiciaire, elle résulte toujours d’une faute et devrait être inadmissible.

9. Certains ne réparent les dommages causés par leur faute que s’ils y sont contraints et forcés.

10. L’expérience acquise et la maturité ne nous préservent pas des fautes d'inadvertance.

11. Dans une poésie, les fautes de syntaxe forment des taches d’huile sur un tapis de soie.

12. Faute de faire un effort, certaines personnes sont absolument incapables de louer un talent jalousé.

13. Ne pouvant oublier, on ne pardonne pas une faute qui était condamnable.

 

NB: Page extraite de mon recueil d'aphorismes

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Attila, Reine des Belges

 

ATTILA, REINE DES BELGES
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Dans une maternité de Bruxelles, Jacqueline, enceinte de deux ans et demi refuse d’accoucher.

De ce point de départ loufoque, se tisse un récit hallucinant -mais vrai-, une épopée personnelle et familiale à travers le XXe siècle à feu et à sang, un conte sur la quête d’identité, l’abandon, l’exil. Ce solo autobiographique, écrit à plusieurs mains, nous entraîne dans un tourbillon de personnages bigarrés, brossés avec vigueur et férocité, et nous raconte, sans s’embarrasser de réalisme ni de gravité, l’histoire d’une adoption peu ordinaire. On voyage du présent au passé, du Ciel à la Terre… on rit  tellement qu’à la fin, on en pleure.



La presse enthousiaste :

«  Plus on avance dans la pièce, mieux on saisit la profonde humanité du propos sur la question de l’identité. Vers la fin, l’épopée burlesque devient un hymne bouleversant. Courez voir ce conte autobiographique lumineux. »
(L’Humanité).

« Un Seule en scène sportif, généreux et complètement dingue. Une sacrée performance ! »
(Le Soir, C. Makereel).

Un spectacle de la Compagnie de la Grande Echelle.

Pièce écrite et jouée par : Marie-Élisabeth CORNET
Coauteurs : Laurent DUBOST, Samuel LÉGITIMUS
Lumières : Christophe SCHAEFFER
Costume : Benjamin LEFEBVRE
 

 



 

Agenda des représentations

 

Me 25/01/12 à 20h00
CC Comines-Warneton
T 056/56 15 15

Je 26/01/12 à 20h00
Salle Baudouin IV
CC Braine-le-Comte
T 067/87 48 93

Ve 27/01/12 à 20h30
Ancienne Eglise de Berchem-Ste Agathe
CC Le Fourquet
T 02/469 26 75

Sa 28/01/12 à 20h00
Salle Culturelle de Thuillies
CC Thuin
T 071/59 60 35

Je 09/02/12 à 20h00
Centre Le Scailmont
Foyer Culturel de Manage
T 064/54 03 46

Je 08/03/12 à 20h00
CC Beauraing
T 082/71 30 22

Ve 09/03/12 à 20h30
Salle Mathieu de Geer à Barvaux-sur-Ourthe
CC Durbuy
T 086/21 98 71

Sa 10/03/12 à 20h00
Salle Jean Degouys à Quevaucamps
Foyer Culturel de Beloeil
T 069/57 63 87

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 













Crédit photos :

Bruno Manno

 

 

 

 

Communiqué par Asspropro - Association des Programmateurs Professionnels

www.asspropro.be | info@asspropro.be | T 081 73 59 46

Asspropro, une scène proche de vous !


Avec le soutien :

de WBI (Wallonie-Bruxelles International) - de la Région Wallonne - de la Province de Namur - de la Première - du journal Le Soir.
Retrouvez l'ensemble des tournées Asspropro sur Myspace : www.myspace.com/asspropro

Captation réalisée par le Service Audiovisuel de la Province de Namur

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La muse de Musset

 

 

Musset ne pouvait pas exister sans amour.

Admirant les éloiles au cyclique parcours,

Il se plut à penser qu’elles étaient en quête

De rejoindre un amant lors d’une tendre fête.

...

Sans jamais s’arrêter dans une course vaine,

Comme elles croyait-il s’épuise l’âme humaine.

Être aimé malgré soi n’apporte aucun bonheur,

Aimer sans nul espoir ne prive pas d’ardeur.

...

Il vécut tourmenté, en maîtrisant sa peine,

N'ayant jamais, aux lèvres, de mots empreints de haine.

Des souvenirs heureux l’exaltaient maintes fois,

Lui inspiraient des vers emplis de doux émois.

...

«J’aime!» Voilà le mot que la nature entière

Lui murmurait la nuit sans en faire mystère.

Musset ne cessa pas d’aimer sans espérance.

Sa muse fit qu’il sut transcender sa souffrance.

...

6 février 2010

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la gitane

la gitane œuvre qui sera présentée au 44eme concourt national de peinture qui se tiendra le mois prochain à CARRY le ROUET est arrivée sur ma page si le cœur vous en dit venez la visiter.

amicalement Ben-Kâ

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FOLIE DOUCE?...

Avoir les pieds dans l'eau

Et le rire au soleil

Et ta main sur ma peau

Qui doucement s'éveille...

 

Avoir le coeur en fête

Et les larmes aux yeux

Et oui, c'est un peu bête!

C'est ça, être amoureux...

 

Avoir le temps devant soi

Et en être conscient

Et savourer sa joie...

D'être enfin des amants!

 

Avoir la volonté

Et puis croire en sa chance

Ne rien abandonner

Est-ce là de la démence?...

J.G.

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.......

Nous nous sommes compris et sommes devenus très vite amants, Juliette fut tout aussi vite enceinte!

 

Je pense qu'elle l'avait voulu. Nous nous sommes donc mariés et une sorte de bonheur s'est installé.

 

Il y a maintenant 5 ans que notre fils a convolé lui aussi! Il a terminé des études brillantes de commerce et s'est mis dans l'affaire familiale avec son oncle, il semble heureux mais pas décidé à faire des enfants au grand dam de ma femme! Quant à Julie, notre fille, elle file le parfait amour avec un comédien et se défend dans le journalisme, elle est encore bien jeune, seulement 23 ans et rêve de carrière et de voyage. Je pense parfois que c'est elle le garçon de la famille, tellement elle vit dans le présent et ne se préoccupe pas d'autre chose, elle est le contraire de sa mère! C'est sans doute logique.

 

Cloué dans ce lit j'ai enfin tout mon temps pour réfléchir et cela fait longtemps que je ne m'étais vraiment penché sur ma vie. Je me souviens l'avoir fait une fois, juste avant l'accident et je me demande même si la distraction causée par mes réflexions n'est pas à la base de ce fatal carambolage?

 

J'écoutais la radio sur la route du Zoute où j'allais rejoindre ma femme en cette fin de semaine du mois d'août. Le spaeker commentait les livres les plus vendus pendant ces vacances d'été qui tiraient sur la fin, et j'entendis un nom qui remua quelque chose de très enfuit dans ma mémoire, quelque chose qui s'apparentait à un remord ou un regret, je ne savais pas trop bien, c'est alors que le camion que je dépassais à déboité! Après c'est le noir, jusqu'à aujourd'hui...

 

Le prix fémina qui a été décerné à Jeanne Bricourt pour son roman "Toujours là pour toi" est en tête des ventes cet été.

 

En une seconde en écoutant cette petite phrase, je me suis pris le mois de juin 1957 au travers de la gueule, 40 ans après! Et le beau regard de Jeanne brillant de fierté et de larmes retenues.

 

Dès que je la vis, je l'ai désirée, c'était une si belle plante! Mélange de coquetterie, de retenue, de maturité et de candeur! Sa résistance fut vive et je n'y étais pas habitué, je n'eus donc de cesse qu'elle m'eut cédé! C'était un jeu stupide de jeune homme trop gâté et pour elle qui éprouvait la même attirance mais sans expérience, j'étais simplement l'Amour...

 

Début juillet, je partais en vacances à Palma de Majorque, je voulu rompre avant mon départ et me sentir léger! Ah, ce regard et cette absence de reproche! Puis cette lettre brève et déchirante, même pour le petit salaud que j'étais. Cette lettre qui se terminait par ces mêmes mots...Quoiqu'il puisse arriver, je serai toujours là pour toi...

 

Je me souviens avoir secoué les épaules et avoir mis la lettre dans une boite où je gardais les photos de mes conquètes!

 

A Palma, j'ai rencontré Danielle et j'ai oublié Jeanne, jusqu'à cette petite phrase à la radio...

 

Maintenant que cloué sur ce lit, j'ai retrouvé ma conscience sans le faire savoir, j'ai tout mon temps pour me souvenir! Quel luxe!

 

De tous les visages que j'évoque, je dois bien reconnaître que finalement, c'est celui de Jeanne qui me parle le plus. Pourquoi si longtemps après? Mon franc décidément a mis beaucoup de temps à tomber! Ou, et c'est l'explication la plus plausible, avec le poids de l'expérience, se sentir vraiment aimé est sans doute la chose la plus importante au monde! Mais qui me dit que Jeanne serait encore vraiment là pour moi?

 

Le titre d'un livre, c'est peut-être sa façon à elle de tourner une page, de sourire des excès de sa jeunesse? Et bien non, plus j'y réfléchis et plus j'y crois. Et maintenant curieusement, c'est la seule chose qui me donnerait encore envie de me battre pour vivre.

 

Mais je dois prendre quelque distance... C'est vraiment bon de rêver, il y a peu de temps je ne l'aurais jamais cru!...

 

J'émerge à nouveau d'un sommeil lourd et peuplé de songes étranges, plus vrais que la réalité! J'étais dans cette chambre, la chambre de Jeanne que je redécouvrais...

 

Une belle armoire de chêne occupe presque l'entièreté d'un mur. Face à elle un grand lit sommier traité comme un divan. Il est recouvert d'un couvre-lit de gros coton d'une blancheur impeccable et de quelques coussins bleu et blanc... Au dessus sur le mur un tableau d'inspiration fauviste représente un bouquet de dahlias jaune sur un fond bleu. Devant la fenêtre une table pliante supporte des livres et cahiers et au dessus de tout, bien visible en livre de poche, c'est "L'Antigone" d'Anouilh, la pièce que nous répétions elle et moi au cours d'art dramatique. J'étais Créon et elle Antigone. Je l'écoute à nouveau murmurer : Quel sera-t-il mon bonheur? Quelle femme heureuse deviendra-telle la petite Antigone? Quelle pauvreté faudra-t-il qu'elle fasse elle aussi jour après jour pour arracher avec ses dents son petit lambeau de bonheur?...

 

Et puis je nous vois sur la blancheur du couvre-lit et je découvre le rouge qu'y a laissé son sang lorsqu'elle est devenue femme, ma petite femme lui ai-je susurré... Et j'entends alors son rire heureux!

 

Je suis en sueur, face à moi-même si longtemps après!

 

Je réalise que j'ai loupé ma vie et cette autre petite phrase me hante... Je serai toujours là pour toi... Je ne rêve pas, c'est bien le titre de son livre!

 

Cependant, maintenant je le sais, je le sens, jamais nous ne nous reverrons!

 

Cette phrase, c'est mon pardon et c'est ma mort qui vient... Je vais partir vraiment apaisé en murmurant son nom comme dans un film... Jeanne...

 

FIN

 

J.G.

 

 

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Le but de l'Art

Le but de l'art n'est pas de déclencher une décharge momentanée d'adrénaline,

mais c'est plutôt la construction progressive, qui engage toute la vie,

d'un état d'émerveillement et de sérènité."

Glenn Gould

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administrateur théâtres

12272782485?profile=originalBritannicus

de Jean Racine
Mise en scène : Tatiana Stepantchenko

 

 

« Ce spectacle plonge dans l’incandescence des âmes, dans l’antre de l’alchimiste Racine où se transmuent non seulement les âmes mais aussi le monde. » La Voix du Nord

 

Gouvernée avec sagesse par Néron, Rome est au sommet de sa puissance et de sa domination sur le monde. Un parfum de complot avait pourtant entouré l’accession au pouvoir du jeune fils d’Agrippine. Seconde épouse de l’empereur Claude et soupçonnée de l’empoisonnement de ce dernier, Agrippine avait habilement obtenu du Sénat qu’il installe Néron à la tête de l’Empire, le préférant ainsi à Britannicus descendant dynastique légitime. L’emprise d’une mère sur son fils, les manigances, tractations et autres secrets d’alcôves, lui permettaient depuis de gouverner l’Empire en sous-main. Quand Néron, depuis toujours piqué de jalousie envers Britannicus, décide soudain de faire enlever Junie la compagne de ce dernier, Agrippine redoute que la Pax Romana dont elle tire avantage n’explose simplement. Lorsqu’elle se présente au palais pour raisonner Néron, celui-ci refuse de la voir. La fébrilité et la panique gagnent Agrippine qui tente désespérément de reprendre le contrôle de la situation, tandis que Néron sombre inéluctablement dans une folie qui mettra bientôt Rome à feu et à sang…12272782660?profile=original

 Personne ne veut plus de l’aspect emprunté des alexandrins. Il n’est pas moins vrai que la langue de Racine peut, une troupe théâtrale d’exception aidant, ravir l’oreille et le cœur, absolument. C’est ce pari que Tatiana Stepantchenko, metteur en scène russe,  gagne haut la main lors de la représentation de Britannicus sur la scène de Jean Vilar à Louvain-la-Neuve. Un chef d’œuvre d’expressivité et de jeu théâtral. A part de savants jeux de clair-obscur, à part les subtils changements de teintes du voile de l’histoire, immense et brillant mais  aux trompeuses transparences,   le décor est le noir profond et insondable  de l’histoire et de la nature humaine. Y apparaissent, sculpturales, les empreintes de personnages de la Rome éternelle, lieu emblématique de pouvoir, d’orgueil démesuré,  de trahisons et machinations perverses,  où sont synonymes passion amoureuse et passion politique ou militaire.  Chaque stance est un tableau en soi. Il se compose de gestes et de poses très étudiées où les mains sont le prolongement des mouvements de l’âme et du subconscient, où le corps s’exprime comme un danseur pour être contemplé dans sa vérité, où la langue virevolte dans des profils audacieux. Dans sa note d’intention, Tatiana Stepantchenko  explique que le vers racinien dégage une formidable énergie,  ardente, vibrante, d’une fascinante sonorité. Au détour de chaque syllabe, de chaque son, qui produit de véritables arcs électriques entre les personnages, se produit une musique verbale. Mais la vraie musique racinienne plonge au-delà, vers ces vibrations harmoniques inaudibles, ces silences, ces bruissements, puis ces hoquets telluriques des âmes en perdition.

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Un triangle magique s’est installé : celui de trois époques confondues en un point, le point  magique du théâtre, qui réunit l’antique, le classique et le contemporain avec une perfection admirable. La fresque des sentiments est bouillonnante : la jalousie, la trahison, la tentation incestueuse, le déséquilibre des équations triangulaires…La langue est sublime, les moindres nuances de  sentiments sont rendues à la perfection.  Et pour qui saura entendre, la critique politique de l’époque de Louis XIV est bien présente, « le sous-texte » comme l’appellera Anton Tchékhov, trois siècles plus tard.

 Le spectateur vit un moment inoubliable devant ce talent d’outre-siècles déployé par des comédiens envoûtés par le texte. Le spectateur en vient à se suspendre lui aussi à cette vague artistique qui déferle sur la scène  et à se laisser porter avec volupté verbale et chorégraphique sur la  crête de l’excellence théâtrale. On a envie de ne rien ajouter, ni de rien retirer. Equilibre parfait.  

 

Britannicus de Racine, mise en scène Tatiana Stepantchenko, scénographie et costumes Marina Filatova, lumières Laurent Deconte. Avec Claire Mirande, Jacques Allaire, Mathias Maréchal, Magaly Godenaire, Damien Remy, Laurent Letellier, Catherine Mongodin .

 

Une production Compagnie Or. Azur, aidée par la Ministère de la Culture (DRAC Nord/Pas-de-Calais)

et par la Région Nord/Pas-de-Calais / Coproduction Le Phénix-Scène Nationale de Valenciennes.

Coréalisation série parisienne : Théâtre de l’Atalante.

 

Dates : du 17 au 20 janvier 2012

Lieu : Théâtre Jean Vilar

Durée du spectacle : 2 h 15 sans entracte

http://www.atjv.be/

http://www.webthea.com/?Britannicus-de-Racine

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Le Comité d’histoire de la Ville de Paris a été créé en juillet 2007 par le Maire de Paris. Placé sous la présidence de Jean Favier, membre de l’Institut et spécialiste reconnu du Moyen Age, il est composé de 40 universitaires et chercheurs travaillant sur toutes les périodes et traitant des sujets les plus variés.

Sa mission est double :
Il soutient la recherche historique relative à Paris au moyen de colloques, de séminaires et de publications scientifiques.
Il est également chargé de diffuser auprès d’un large public le résultat de ces recherches et organise régulièrement pour cela des expositions et des conférences ouvertes à tous.

Les membres du Comité d’histoire de la Ville de Paris :
Françoise AUTRAND, professeur émérite à l’école Normale supérieure
Jean-Pierre AZEMA, professeur à l’Institut d’étude politique de Paris
Jean-Pierre BABELON, membre de l’Institut
Isabelle BACKOUCHE, maître de conférences à l’Ecole des hautes études en sciences sociales
John BALDWIN, professeur émérite à l’université John Hopkins de Baltimore
Bernard BILLAUD, conseiller maître à la cour des comptes
Florence BOURILLON, professeur à l’université de Paris 12
Jean-Claude CARON, professeur à l’université Blaise Pascal de Clermont Ferrand
Pierre CASSELLE, directeur de la Bibliothèque administrative de la Ville de Paris
Christophe CHARLE, professeur à l’école Normale supérieure
Francis DEMIER, professeur à l’université de Paris 10
Emmanuelle TOULET, directrice de la Bibliothèque historique de la Ville de Paris
Jean FAVIER, membre de l’institut
Annie FOURCAULT, professeur à l’université de Paris 1
Patrick FRIDENSON, directeur d’étude à l’Ecole des hautes études en sciences sociales
Jean GARRIGUES, professeur à l’université de Rouen
Claude GAUVARD, professeur à l’université de Paris 1
Nancy GREEN, directrice d’étude à l’Ecole des hautes études en sciences sociales
Anita GUERREAU-JALABERT, directrice de recherches au centre national de la recherche scientifiques, ancienne directrice de l’Ecole des Chartes
Dominique KALIFA, professeur à l’université de Paris 1
Stephen KAPLAN, professeur à l’université de Versailles Saint-Quentin et à la Corne II University
Gilles LE BEGUEC, professeur à l’université de Paris 10
Yvonne LE MARESQUIER, ingénieur d’études au centre national de la recherche scientifique
Jean-Marc LERI, directeur du musée Carnavalet
Michel LESCURE, professeur à l’université de Paris 10
Christine LEVISSE TOUZE, directrice du Mémorial du maréchal Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris, Musée Jean Moulin
Michel MARGAIRAZ, professeur à l’université de Paris 8
Agnès MASSON, directrice des Archives de Paris
François MONNIER, ancien président de la 4e section de l’Ecole pratique des hautes études
Albert RIGAUDIERE, membre de l’institut, professeur à l’université de Paris
Daniel ROCHE, professeur au collège de France
Simone ROUX, professeur émérite à l’université de Paris 8
Vanessa SCHWARTZ, professeur à l’université de Californie Sud
Jean-François SIRINELLI, professeur à l’Institut d’études politiques de Paris, directeur du centre d’histoire de l’Europe du 20e siècle
Danielle TARTAKOWSKY, professeur à l’université de Paris 8
Jean TULARD, membre de l’institut, professeur émérite à l’université de Paris Sorbonne
Denis WORONOFF, professeur émérite à l’université de Paris 1

Secrétariat général : Contacts et adresse
17 avenue Victoria
75001 Paris
tél. : 01 40 28 18 20
fax : 01 40 28 18 28
sg.histoire@paris.fr

Claire Barillé, secrétaire générale
Martine Kudla, chargée du suivi administratif
Frédéric Jimeno, chargé des recherches documentaires et des expositions
Stéphane Rouelle, chargé des expositions et de l’édition

 
Le programme: 

 

Voir en plein écran

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Merci beaucoup pour tous vos encouragements !

Mes livres sont immédiatement commandés par centaine dans tout le milieu des écoles Waldorf Steiner dans lequel je travaille (www.loiseaulyre.ch) en Suisse, France et Belgique car l'artistique y est très développé et une sensibilité aux contes, mythes et mythologie ... mais justement mon but est d'ouvrir beaucoup plus large qu'un cercle de favorisés pour tous les enfants afin qu'ils reçoivent poésie, couleurs en nourriture pour l'âme et aussi toutes les traditions des fêtes occidentales par mes trois livres suivants pour les Bergers et les Rois Mages ...

Pour comprendre consulter www.lalyredalize.org/menu:html

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Monochromie,

                  

 

                                                                   Hiver sans neige, ni froid,

monochromie du paysage,

la nudité ébène des arbres

s’étire dans la pâleur de l’air,

soupirs des frêles branches,

transparence !

 

Au loin la seine paresse,

une péniche y glisse, grise et triste,

sur la berge point de vert,

le frissonnement de l’herbe

brune et sèche raisonne à peine.

 

Monochromie du paysage,

tout se confond,

vie assagie, ralentie ;

harmonie !

 

Dans un appartement spacieux et clair,

Un homme marche avec félinité,

très grand, sombre,

 d’une beauté renversante, hallucinante,

son cœur de lui déborde,

monumental et rouge, chaud,

désobéissant pour mon plus

grand bonheur !

 

Son silence, son regard prudent,

ne parviennent plus à l’endiguer ;

c’est l’été dans le sein de l’hiver,

mon feu sacré.

 

 

 

 

 

 

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HISTOIRE COURTE 13. (première partie)

BILAN...

 

J'ai les yeux clos et il m'est impossible de soulever les paupières, ni d'ailleurs de bouger même le petit doigt! Pourtant tous mes sens sont en éveil. Je suis réveillé d'un sommeil que j'ai ressenti comme intense.

 

Je ne souffre plus, mais j'ai le souvenir d'un mal si aigu, qu'il m'a fait sombrer dans des profondeurs dont j'émerge doucement.

 

C'est étrange, je ne panique pas, il me semble que tout est bien, je vais lentement revenir vers la vie. Et si ce n'était pas le cas? Quelle importance...

 

J'entends Juliette, elle parle doucement, à sa soeur je crois. Il me semble reconnaitre la voix de Chantal. Ont-elles peur de me réveiller qu'elles chuchotent ainsi?

 

C'est pourtant par ses murmures que j'apprends qu'il y a trois mois que je suis réduit à l'état de légume...

 

Un repos forcé!

 

Je songe qu'il est heureux que le retraité que je ne veux pas être ait tout de même jugé bon finalement de prendre un stagiaire qui rapidement est devenu un associé.

 

Je ne me fais pas de soucis, Maxime aura été à la hauteur.

 

Je me suis attaché à ce garçon qui s'est révélé être un juriste brillant, non seulement pour ses capacités mais surtout pour son caractère et sa maturité exceptionnelle. Je prends un réel plaisir à travailler à ses côtés et égoïstement je souhaite que cela dure le plus longtemps possible. Il est vrai que malgré mes 72 printemps, je me sens comme un jeune homme... Enfin jusqu'il y a 3 mois!

 

Un léger bruit, c'est la porte de la chambre qui s'ouvre, je crois? Et oui puisque voilà enfin des paroles distinctes... C'est la voix virile de mon frangin. Alors Juliette comment va-t-il aujourd'hui? Toujours pas décidé à revenir parmi nous?

 

Alors, dans un gros effort, j'essaie encore de soulever mes paupières et cette fois, cela marche!

 

Paul penché vers moi reçoit mon regard, comme dans un réflexe, je referme les yeux et m'efforce à l'impassibilité malgré ses appels répétés. Je l'entens affirmer au toubib appelé, il a ouvert les yeux j'en suis certain! Je me sens bien tout à coup et j'ai envie de dormir et de ne plus les entendre...

 

Quelques heures plus tard, j'émerge à nouveau, je suis bien conscient, je ne rêve pas. J'entends la voix de ma femme et celle de mon frère et leurs propos me font rapidement comprendre qu'il existe ou a existé entre eux une intimité que je n'ai pas soupçonnée!

 

Mon jeune frère et ma femme... Pourquoi pas! C'est drôle je ne suis pas choqué et je ne ressens aucune douleur... Juliette, l'ai-je jamais aimée? Désirée certes, mais aimée?

 

Elle a été une femme très représentative et une mère tout à fait convenable. Elle me voulait et aussi elle voulait être Madame H....

 

Il y a un peu plus de 30 ans que je l'ai épousée après mon divorce d'avec Danielle, ma si jolie hôtesse de l'air!

 

Danielle, j'avais été subjugué par sa légèreté, sa façon de ne surtout pas prendre la vie au sérieux, son regard amusé sur mes défauts, ma façon de me servir des femmes, elle n'était dupe à aucun moment et c'est donc moi qui l'ai logiquement été.

 

Danielle ne jugeait personne, c'est ce qui me l'a fait aimer! A cette époque j'avais une sainte horreur de tout jugement, j'avais coutume de dire "Personne ne me connait et tout le monde me juge! Cela me dégoute" et ces paroles n'étaient pas une boutade mais l'expression d'un malaise profond. Et puis le jugement négatif de mes parents avait parlé en sa faveur!

 

Depuis qu'une après-midi, rentré plus tôt que prévu, j'avais surpris ma chère maman en compagnie de mon cousin Georges dans une attitude qui ne laissait aucun doute, je ne supportais plus que l'on puisse exiger de moi une moralité que je ne trouvais pas chez eux!

 

Il y avait un bout de temps que j'étais au courant des frasques paternelles, et je dois bien avouer que je n'avais pas été choqué outre mesure! Je pensais que maman ne croyait pas aux ragots et qu'elle préférait ne pas envisager ce qui lui déplairait, je n'imaginais pas un seul instant qu'elle puisse rendre à son mari la monnaie de sa pièce et qui plus est avec un homme à peine plus âgé que son fils! Mais j'ai bien dû l'admettre ma mère était une femme, encore jeune et très séduisante et sa vie elle voulait aussi la vivre, nous étions alors pourtant 10 ans avant ce fameux mai 1968...

 

J'ai donc épousé Danielle, nous avons pendant cinq années été merveilleusement fous, inconscients et joyeux et puis un jour l'ennui s'est installé et elle n'a pas supporté. Elle s'est donc mise à me tromper quasi avec chaque commandant de bord lors des escales qu'elle avait choisies de plus en plus lointaines. Heureusement nous n'avions pas d'enfants et trois ans plus tard nous avons fini par divorcer à l'amiable.

 

J'ai alors beaucoup travaillé, mon associé et moi-même étions réputés comme les avocats les plus brillants de notre génération, notre compte en banque était confortable et tout ce qui était féminin et s'ennuyait dans le milieu bourgeois qui était le nôtre ne demandait qu'à nous céder, bref c'était la belle vie! Ou pltôt c'était bien imité, mais bien vide!

 

C'est après quelques années de cette vie de patachon, que dans un mariage très mondain, j'ai rencontré Juliette. Mes parents l'ont tout de suite adorée et moi j'étais fasciné par sa jeunesse, j'allais avoir 40 ans et elle 22!

.......

J.G.

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Charmes d’antan, perles et dentelles.

Façade de pierres aux frontons burinés,

La porte franchie, s’ouvrent les mystères,

Les coffres et meubles d’autrefois patinés,

Exhalent leurs romans sous l’œil des statères.

 

Bergère dans un coin, narre les histoires,

De ses pieds d’or galbés d’une biche aux abois,

Qui ont portés charmes, bonheurs ou déboires,

De dandys élégants  jouant flûte ou hautbois.  

  

Un guéridon tourne des esprits accourus,

Aux appels du médium porteur de rêves fous,

Les chaises bancales du poids de vieux bourrus,

Crissent les pleurs légers des adeptes mi-fous.

 

Plus loin, péril d’hier, poudroie un long mousquet,

D’aventures d’antan aux charges sanglantes,

Un massacre de cerf pavoise au grand crochet,

Etripé par la mort de peurs affolantes.

  

Voltaire s’entretient avec la duchesse,

Maurice se détend sous la table longue,

Grise de poussières, pompeuse en richesse,

De fines sculptures d’airain sur l’oblongue.

 

Dans une vitrine marquises et biscuits,

Côtoient les dentelles, les argents et les ors,

De bijoux antiques aux vieux aspects recuits,

Tandis que les malles recèlent des trésors.

 

Et les meubles suivent les allées des gens,  

Les venues du voir pour l’achat peut-être,

De plumiers de jadis vendus aux vieux clients,      

Férus de souvenirs, en bois blond de hêtre.

 

Ô mort qui emporte et laisse des phénix,

Les ventes dispersent divers héritages,

Le commissaire vend les biens jaillis du Styx,

L’esprit pleure à nouveau le temps des partages.  Claudine QUERTINMONT D’ANDERLUES.

 

 

Statère : monnaies antiques

Styx : fleuve des Enfers

 

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Ecrire,

Écrire,

faire un bruit océanique

à deux pas du périphérique,

ou bien l'inverse,

sur la pointe des doigts,

ivresse ;

C'est magique.

Écrire,

nudité bleue,

ne point prendre de gants,

y aller carrément,

brutalement ou en douceur,

dans le vif, dans le vivant ;

c'est une urgence.

Réanimer un peu le Monde,

c'est déjà ça.

Enfin je crois.

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Concours Métiers d'Arts : Le Reflet

En 2012, le concours métiers d’art du FIMA sera organisé sur le thème du « Reflet » laissant le créateur libre d’une référence à l’ensemble des significations et des acceptions possibles de ce terme.

 

Avec l’appui des partenaires de la manifestation et de « Baccarat Développement », le Grand Prix du jury sera doté d’une bourse de 5.000 euros complétée - sous réserve - par le financement de la participation à un salon international de référence dans les Métiers d’Art. L’oeuvre réalisée restera propriété de l’organisateur du concours pour une exposition permanente dans la ville de Baccarat. Deux prix complémentaires, le Prix Spécial et la Mention Spéciale du jury, d’une valeur de 2.000 euros chacun, seront attribués à l’issue de la sélection finale. Enfin un dernier prix déterminé par les votes du public sera également décerné.

 

La participation au concours sera réservée de façon exclusive aux professionnels exerçant dans le secteur des Métiers d’Art. Le concours sera organisé en deux phases, une phase de présélection des candidatures effectuée sur dossier et une phase de concours sur présentation des pièces pour la réalisation desquelles les candidats pourront recevoir une aide financière partielle. Cette 2ème phase concernera au maximum 12 candidats.

Lancement du concours
30 novembre 2011

Date limite de réception des dossiers
1er mars 2012

Jury de présélection sur dossier des candidats retenus
15 mars 2012


Exposition et jury final du concours
22 au 24 juin 2012 (réunion du jury le 23 juin)

Les deux jurys seront présidés par Jean-Louis HURLIN Forgeron d’Art et Maître d’Art de France ; ils seront composés de représentants des métiers d’art et des métiers de la création (Institut National des Métiers d’Art, Ateliers d’Art de France, Direction Régionale des Affaires Culturelles, Ecole des Beaux Arts…) et de représentants des collectivités organisatrices ou participant par leurs dotations à la mise en oeuvre du Festival International des Métiers d’Art.

 

Parmi les critères de sélection, le jury sera particulièrement attentif à l’originalité de la démarche et à la créativité mais portera aussi une attention très soutenue à la qualité technique de réalisation.

 

La remise des prix aura lieu le samedi 23 juin 2012, pendant le Festival International de Métiers d’Art de Baccarat, en présence des partenaires du Festival, des candidats et des membres du jury.

 

Le dossier d'inscription:

Voir en plein écran

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Organisé par: Province de Hainaut, Association des compagnies de Théâtre du Hainaut ­- Brigitte Debart – Chaussée de Bruxelles, 76 , Mons (Mons, Belgium)

 

Règlement du concours.

En hommage à Vincent Van Gogh (1853-1890), peintre impressionniste, la Fédération Wallonie-Bruxelles et l’Association des Compagnies de théâtre du Hainaut organisent un prix d’écriture dénommé:

Prix d’écriture ACTH Hainaut 2012 « Van Gogh d’ici et d’ailleurs ».



1.Conditions générales de participation

Peut participer au Prix d’écriture ACTH 2012 « Van Gogh d’ici et d’ailleurs » toute personne de plus de 16 ans dont le domicile se situe dans la Province de Hainaut (Belgique).

L’objectif de ce concours est de stimuler les vocations d’auteurs dramatiques hennuyers et de créer un ré­pertoire de textes destinés à la scène mettant à l’honneur chaque année un aspect différent du patrimoine culturel, immatériel ou architectural de notre province ou une personnalité ayant contribué à son enrichisse­ment.

Pour ce faire, les auteurs sont appelés à écrire des textes, qui seront évalués par notre jury.

Tout texte envoyé doit être dactylographiés et ne doivent pas dépasser six pages A4 (Times New Roman, Gara­mond ou Calibri 11, interligne 1,5).
Le texte doit se suffire à lui-même, tout texte accompagné d’illustration ou de photo sera éliminé.

Le titre est mentionné sur l’exemplaire transmis, le nom de l’auteur ou toute mention permettant de l’identifier est strictement réservé à la fiche de renseignement (voir point 3)

Il doit être original et n’avoir jamais fait l’objet d’une publication.

Il doit parvenir pour le 31 mars 2012 au plus tard, date de la poste ou de l’email faisant foi.



2.Thème / style / genre

Le thème de l’édition 2012 est : « Van Gogh d’ici et d’ailleurs ». Les textes envoyés doivent faire allusion à Vincent Van Gogh, sa vie, son œuvre ou les lieux où celui-ci a vécu : le thème est laissé à la libre interprétation de chacun.

Le style et le genre sont libres. Le texte doit être destiné à une représentation ou à une lecture publique, il doit être précédé d’une didascalie de minimum cinq lignes, reprenant les indications minimums destinées à la mise en scène ou mise en voix (personnages, lieux, temps, éventuellement scénographie).

Le texte peut être rédigé sous forme de monologue ou de dialogue et peut reprendre autant de didascalies que l’auteur le souhaite.



3.Envoi

Il doit se constituer du texte (cinq exemplaire) et d’une fiche de renseignements.

La fiche de renseignements doit comprendre les informations suivantes :

le nom de l’auteur, son prénom (son éventuel pseudonyme). Si l’auteur écrit sous un pseudonyme, il est prié de mentionner ses noms et prénoms dans la demande de participation. Le pseudonyme sera seul utilisé en cas de publication ou lecture par l’ACTH.

le titre de l’œuvre

l’adresse complète de l’auteur, son e-mail, son numéro de téléphone, sa date de naissance

ainsi que la mention suivante : « j’affirme que ma participation au Prix d’écriture ACTH 2012 « Van Gogh d’ici et d’ailleurs » correspond aux critères du règlement ».

L’envoi peut être effectué de trois manières (au choix : il est inutile de doubler/tripler l’envoi) :

par e-mail à l’adresse : concours-acth@mons.be
par voie postale : Association des compagnies de Théâtre du Hainaut ­- Brigitte Debart – Chaussée de Bruxelles, 76 - 7000 Mons
ou par dépôt auprès d’un des membres de l’ACTH (même adresse)



4.Dates

L’envoi (texte et fiche de renseignements) doit parvenir pour le 31 mars 2012 au plus tard, date de la poste (ou de l’e-mail) faisant foi.

Une soirée de remise des Prix sera organisée courant juin 2012. La présence des auteurs ou d’un représentant y est obligatoire. 

Les lauréats seront prévenus au préalable. 

Les lauréats seront prévenus au préalable.

Date et heures seront renseignées sur le site et la page Facebook de l’ACTH (voir point 8.)



5.Catégorie et Prix

La catégorie est unique : toute personne de plus de 16 ans dont le domicile se situe en province de Hainaut (Belgique).

Seront accordés :
- le Prix de l’ACTH récompensant le meilleur texte, qui sera attribué par le jury
- le Prix Van Gogh récompensant le texte servant au mieux la mémoire de Vincent Van Gogh.

Les textes primés ou nominés (ainsi qu’une sélection des textes remarquables et remarqués) seront lus publiquement lors de la remise de prix.

En outre, la possibilité d’une publication des meilleurs textes sera envisagée. 

Dans ce cas, les auteurs édités ne demanderont pas de droits d’auteur. En contrepartie, ils recevront chacun un exemplaire du recueil édité.



6.Le JURY

Le jury est constitué de personnalités attachées à la culture en général et à au théâtre d’amateurs en particulier.
Il sera composé de: Mme Jacqueline Boite, auteure, Monsieur Jean Louvet, auteur, Monsieur Jean-Luc Piérart, auteur, metteur en scène et administrateur de l’ACTH
Deux autres jurés doivent encore être nommés.

Les décisions du jury seront sans appel.


7.Conditions d’acceptation


Les envois et/ou textes qui ne respecteraient pas les critères établis ci-dessus ne pourront pas prétendre à une quelconque éligibilité. 

Tout texte portant atteinte à une personne et/ou groupe de personnes sera disqualifié.

Les membres du jury ne peuvent participer au prix.

L’organisation se réserve le droit d’annuler le Prix d’écriture de l’ACTH 2012 « Van Gogh d’Ici et d’ailleurs » si la qualité et/ou la quantité des œuvres reçues ne permettait pas au jury de débattre.

En aucun cas les œuvres ne seront restituées à leurs auteurs.



8.Le Site

Une page dédiée au concours sera ouverte sur le site de l’ACTH ainsi qu’une page Facebook. Le présent règle­ment, ainsi que tous les renseignements utiles y seront répertoriés.

Site: http://www.acth.be/

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