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Publications de Julien Boulier (153)

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Marcher, découvrir le mouvement de cette sculpture,

la force de ces dessins.

Au jardin, l’espoir arborescent,

et le jour-même, devant la cheminée

de la charmante maison,

songer au cristal et au quatrième chant

d’un texte dans le carnet,

pour en sublimer le sens.

Et lorsque j’écris au passage

du côté du piano,

tout s’éclaire

de Julien Boulier

poème déposé Sacem code oeuvre 3439503211

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Vogue vers l'estuaire,

 

à ciel ouvert,

 

mémoire des eaux et des minéraux,

 

la pluie en silence

 

a laissé son empreinte discrète,

 

mystères et échos sur les chemins,

 

ombres et nuages,

 

la lumière illumine ce lac

 

qui écoute les milliers de gouttes

 

se déployer

 

en cercles généreux

 

Julien Boulier

 

poème déposé Sacem code oeuvre 3439353311

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Le chant de ta voix fait briller les soleils.

 

A l’abri derrière tes mains, le phare de ton regard.

 

Mes carnets d’esquisses accueillent le mouvement de tes hanches.

 

Sans fin, la lumière porte en elle les souffrances ou la liberté des pensées.

 

Réjouis-toi de l’intime hâte qui les matins t’éveille après l’oubli des rêves.

 

Fascination qui prolonge ta journée

 

le long des rues de la ville,

 

des chemins qui en toi parcourent les campagnes.

 

Rires, ombres, silences ou baisers.

 

Allons marcher sur les landes qui s’élèvent devant nous.

 

Fleur de thé, tu t’épanouis

 

et ton sourire me dévisage.

 

Julien Boulier     le 25 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3439193811

 

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Entends cette parole multiple.

 

Ta propre voix traverse plusieurs époques.

 

Nos nuits et les éclats de lumière parsèment tes lèvres jusqu’ à l’aube.

 

Tu viendras, un manteau de soie sur tes épaules.

 

Et dans tes cheveux, un astre en partance.

 

La fragilité est ta force, un bateau qui ne fatigue pas,

 

porté par ses voiles.

 

Aux sublimes larmes je dis à jamais ces confidences.

 

Je vous aime sincères et forgées dans la lenteur.

 

Un sourire et tout autant tes frayeurs.

 

Puis les songes, au plus intime de tes soirées.

 

Et je lirai même les livres dans tes yeux,

 

l’aveu qui fera de nous l’évasion et l’épilogue.

 

Julien Boulier     le 18 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3439008811

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O toi qui marches dans les campagnes sur ces innombrables chemins.

 

Toi qui, en dehors des villes, sillonnes en quête de lointaines aubes.

 

D’un regard tu découvres ce pont piéton d’Amblie.

 

Au détour de la Seulles tu enjambes les ondoiements de l’eau,

 

comme une arche en équilibre.

 

A ton bord, tu emportes les passants, autrefois le bétail.

 

Quand on dessine sur le papier les contours de tes pierres,

 

on devient presque timide.

 

On a l’impression à chaque nouvelle visite d’un bel et lointain souvenir.

 

Tu es la Cité dans les champs ; au loin les silhouettes des arbres.

 

Dans ton élan on arrête de s’agiter pour se tourner vers tes ombres.

 

Ainsi va ton pas de géant sous la voûte du grand arbre

 

et ses branches sinueuses qui rampent dans les airs.

 

Julien Boulier      le 16 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438949811

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Quel charme ce soir d’été.

 

Je te retrouvais toi et tes instruments de musique

 

pour interpréter l’aurore.

 

Pensées en suspens au-dessus de l’eau.

 

De ton visage s’échappaient les neiges d’un jour, les silences des cimes.

 

Et puis cette envie de suivre le vent

 

dans le ciel qui s’éveille.

 

Des centaines d’étoiles et ton regard qui s’affuble

 

de reflets insoupçonnés.

 

Le rêve et l’épreuve d’un paysage sans fin.

 

Ton absence me délie les doigts et me pince le cœur.

 

Je t’épouse sur les mélodies du noble piano,

 

l’âme endolorie par tes caresses, tes fantômes et tes silhouettes invisibles.

 

Julien Boulier       le 12 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438816711 

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Nous étendons nos bras  jusqu’à l’horizon intérieur de tes larmes,

 

de tes sourires, et c’est l’écart entre ces merveilleux sentiments

 

qui recrée le monde réel. Une sorte de discordance, de tension universelle.

 

Cette manière d’échanger les latitudes, d’inverser les pôles

 

au moment de l’écriture, apporte à la vie de l’âme sujette au regard des lecteurs,

 

la matrice des mondes défendus.

 

Les clairs obscurs, les soleils noirs, signifient.

 

Je te prends dans mes bras et l’hiver rencontre l’été.

 

Une sorte de parcours intemporel nous initie aux arts coutumiers,

 

à l ’arbitraire comme à l’essentiel,

 

le tout réuni dans des essences fugaces

 

pour ressentir l’intime conviction de vies multiples

 

qui s’étirent au ralenti.

 

Julien Boulier    le 07 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438665411 

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Je suis descendu ce matin au chevet de sentiments lancinants.

 

D’infinies élégies non loin des rives et des arbustes.

 

Elles montent le long des êtres de sève et de bois.

 

Les feuilles un instant échappent

 

au silence pour un murmure d’espoir.

 

Le long de la rivière, nous échappons

 

aux tourments de l’esprit.

 

En garde, ton miroir penche

 

pour les pensées des grands espaces,

 

pour le calme d’un hymne à chaque jour qui advient.

 

Entendant le temps qui s’enfuit, vérité,

 

fixe de tes vers le don de toi,

 

l’excès de ta vision nocturne.

 

Julien Boulier       le 06 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438647911 

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Un soir peut-être nous entreverrons la lumière d’une silhouette,

 

la naissance d’un chant et la métamorphose des corps.

 

Avançons ensemble vers les énigmes qui nous enchantent.

 

La passion des regards,

 

les peurs déjouées et les visages aux lointaines paupières.

 

Nos muses silencieuses entendent nos complaintes.

 

Hiver comme été, nous devenons ce souffle de l’esprit

 

tourné vers nos amitiés.

 

Nous reconnaissons leurs désirs.

 

Ne pouvez-vous, âmes protectrices,

 

éveiller en nous le meilleur de nos souvenirs ?

 

Devant nous, ayez ce regard qui déchante,

 

pour mieux ensuite rebondir en soignant nos cœurs blessés.

 

Julien Boulier    le 04 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438533711 

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Maintenant j’observe tes mains

 

comme des chemins que je parcours des yeux.

 

La musique de leurs courbes et tous les mouvements y naviguent.

 

Couvertes d’eau de pluie, elles fuient vers la rivière.

 

En silence, elles se tournent et se retournent,

 

effarouchées, intimidantes, éprouvant comme une respiration.

 

Offrandes et réticences. Nous avons appris à lire dans leurs atours.

 

Nombreux sont les jours où leurs rencontres  

 

mènent jusqu’aux sources puissantes.

 

Libérées du regard, elles semblent

 

comme épeler passions et déclarations,

 

au-delà des mots.

 

Julien Boulier     le 03 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438506011 

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Ah, si tu avais la faveur de ces gentianes posées au sol.

 

Il est bon de sentir sous ses pieds le crissement du sable,

 

le craquement des brindilles, l’entrechoquement des galets, la rondeur des cailloux.

 

Sur ces sentiers, dans les temps anciens, nombreux furent les passants

 

qui ont aimé les creux et les buttes à franchir.

 

Pour pouvoir vous protéger dans nos bras, dunes ou rochers,

 

chacun a son histoire à offrir. De quelle évidence s’agit-il ?

 

Peut-être celle d’une nuit où les pierres s’endormaient sous un lilas.

 

Ou bien celle d’un rien que nous avons perdu.

 

Les raisons qui nous poussent à marcher sur les traces de nos ombres

 

préservent cette ivresse de la découverte.

 

Je t’épaulerai, tu m’enracineras dans tes songes,

 

Et nous puiserons notre force dans nos sourires.

 

Julien Boulier         le 02 juin 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438471911 

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Je ne sais si ces statues se confondent avec leurs fantômes.

 

Il me faut danser avec les mystères aux alentours

 

pour trouver l’endroit où la lumière s’enroule autour de ta voix.

 

Malheur à quiconque osera franchir l’espace

 

sans garder au fond de l’âme une espérance

 

conduisant vers l’attention à autrui.

 

Tu es ma citadelle ;

 

je créerai en toi les larmes et les rires

 

réunis dans des chants, des hymnes

 

et des quatrains sans suite.

 

Tu seras souffle, et nous serons un vallon

 

où se creuse une nef, des clefs en forme de voûtes.

 

Alors seulement , la  douceur de la nuit.

 

De Julien boulier     le 31 mai 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438393611

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Ainsi s’envolent ces chimères.

 

Je rêve encore de nos vies

 

où nous gardons à nos côtés nos belles rencontres.

 

S’évanouissent tes paupières

 

et je te vois néanmoins dans mes souvenirs.

 

Ton portrait, je l’imagine sur les rives d’un ruisseau.

 

Il est aussi le versant d’un mont fantasmagorique.

 

Tour à tour fleur, étoile ou chrysalide,

 

Il épouse ce qui advient de nous.

 

Toujours en mouvement,

 

Il emporte à l’intérieur de son rayonnement

 

les vestiges de nos secrets perdus,

 

les reflets de nos plus profonds regards.

 

Julien Boulier                          le 29 mai 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438315511 

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Où sont les étoiles insoumises ?

 

L’idée de les entrevoir en train de s’éveiller

 

sur l’ombre des cimes, en haut des collines,

 

a forgé en nous un vaste impromptu,

 

ou une valse du soir.

 

Voici maintenant la lumière de leurs branches,

 

comme un dessin d’enfant,

 

qui dans nos yeux brille par éclats.

 

La pluie et les temps immémoriaux,

 

jusqu’aux éclipses,

 

viendront tourmenter leurs traces en plein ciel.

 

Ces visions effleurent ton nom

 

et bientôt tu chemines sur mes lèvres.

 

Julien Boulier     le 28 mai 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438287811

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Quelle magique étreinte !

 

Nous créerons ensemble des souvenirs

 

dont les limites célèbreront notre existence.

 

Je me dis que cette nuit là,

 

quelque part dans la rosée,

 

en haut des arbres ou suspendus au bout du monde,

 

nous chanterons une ode à l’oiseau endormi.

 

O silhouette silencieuse,

 

perchée sur ta branche,

 

tu es la beauté des pensées et le corps de l’invisible voyage.

 

Ame plaintive, toi aussi tu porteras ta voix

 

et je t’embrasserai sous les nuits immuables.

 

Julien Boulier                          le 27 mai 2018

 

 poème déposé Sacem code oeuvre 3438263711 

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Est-ce vous qui,

 

devant ce vertige déconcertant,

 

avez déployé votre souffle ?

 

Ce désir qui fut un instant avec votre fougue,

 

comme des nymphes retrouvant leurs rêves

 

dans un sommeil prononcé.

 

Œil félin et toutes nos respirations

 

qui s’envolent,

 

remplies d’un monde savant et de voix secrètes.

 

Nous prononçons les mots où poussent des arbres remarquables,

 

simples ou admirables.

 

Je tombe et tu me retiens.

 

Julien Boulier     le 20 mai 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3438053211

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Je suis en train d’observer ces quelques jours passés

 

à la découverte des rivages.

 

Que vous dirais-je ?

 

Sur le moment, cette maison esseulée

 

à St Cado semble devenir un chemin de pensées.

 

La bouée flottant au bout de la jetée et au loin les colonnades d’arbres

 

autour des toits des maisons, à marée montante.

 

C’est au cours de ces déambulations

 

que le papier,  rempli de dessins et d’esquisses,

 

prépare l’écriture d’une danse.

 

Il peut alors s’agir d’autre chose.

 

Et ces mots sont ancrés dans une géographie bien définie,

 

où le son des pas est bien réel sur les chemins bretons ou  normands.

 

Julien Boulier        le 15 mai 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3437892811

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Surprenant fut ce jour où face à la douleur,

 

Il semblait lentement succéder aux étoiles du roseau.

 

Un procédé qu’il avait appelé « l’Arbre qui s’étire ».

 

Les eaux de cette rivière

 

reflètent l’image d’un envoûtement éprouvant.

 

Devant cette insouciance,

 

jamais il ne put oublier l’égarement ressenti

 

à travers la lecture de ces livres.

 

Des livres décrivant le chemin de l’eau vive.

 

Végétation, nuit, nuages et autres berges,

 

expression de clairvoyantes retrouvailles.

 

Julien Boulier      le 11 mai 2018   à Ifs

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Le long de la fontaine de Pont en iaul,

 

des cristaux de lumière viennent s’appuyer contre les pierres,

 

comme un masque qui vient tempérer certaines ombres.

 

Les mots restés enfouis sous les rebords de la page

 

réapparaissent à la source de cette eau claire.

 

Il s’agit probablement d’un souvenir

 

prenant son envol au-delà du bras de mer,

 

à l’intérieur des terres.

 

L’atelier existe bien,

 

le carnet de notes, ses esquisses et ses mots qui passent,

 

qui s’accrochent aux rêves.

 

Que de rencontres ont du avoir lieu autour des marches de cet édifice.

 

Une réalité, une impression qui resurgit  autour d’un passé bien défini.

 

Julien Boulier     le 09 mai 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3437689411 

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L’oiseau et le mot mystère.

 

Le vent dans les saules.

 

Et si c’était sur la campagne de Kergallec ?

 

Le ciel n’est alors qu’une phosphorescence,

 

un pétale enthousiaste.

 

Peut-être réussirai-je à côtoyer ces lieux en préliminaire.

 

Une vaste effusion sonore qui actualise un cheminement.

 

Quoiqu’il en soit, existent toujours

 

l’eau, les larmes, le soleil et leurs ombres.

 

Subsistent encore les bords de mer qui octroient à cette allure

 

le début d’une assimilation

 

et qui offrent à tes yeux

 

une figuration d’un nouvel espace.

 

Julien Boulier   le 08 mai 2018

poème déposé Sacem code oeuvre Sacem 3437658111

 

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