Est-ce vous qui,
devant ce vertige déconcertant,
avez déployé votre souffle ?
Ce désir qui fut un instant avec votre fougue,
comme des nymphes retrouvant leurs rêves
dans un sommeil prononcé.
Œil félin et toutes nos respirations
qui s’envolent,
remplies d’un monde savant et de voix secrètes.
Nous prononçons les mots où poussent des arbres remarquables,
simples ou admirables.
Je tombe et tu me retiens.
Julien Boulier le 20 mai 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3438053211
Commentaires
Oui c'est moi :-)
L'aube de ma vie nouvelle déploie ses ailes et j'en saisis chaque seconde, chaque souffle, chaque lueur, chaque parfum, chaque saveur, chaque effleurement, chaque son qui se fait musique, tout est métamorphose...
Des mots que j'ai savourés, accompagnés au piano en plus... j'adore !
Merci pour ce superbe partage !