Le long de la fontaine de Pont en iaul,
des cristaux de lumière viennent s’appuyer contre les pierres,
comme un masque qui vient tempérer certaines ombres.
Les mots restés enfouis sous les rebords de la page
réapparaissent à la source de cette eau claire.
Il s’agit probablement d’un souvenir
prenant son envol au-delà du bras de mer,
à l’intérieur des terres.
L’atelier existe bien,
le carnet de notes, ses esquisses et ses mots qui passent,
qui s’accrochent aux rêves.
Que de rencontres ont du avoir lieu autour des marches de cet édifice.
Une réalité, une impression qui resurgit autour d’un passé bien défini.
Julien Boulier le 09 mai 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3437689411
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