Un soir peut-être nous entreverrons la lumière d’une silhouette,
la naissance d’un chant et la métamorphose des corps.
Avançons ensemble vers les énigmes qui nous enchantent.
La passion des regards,
les peurs déjouées et les visages aux lointaines paupières.
Nos muses silencieuses entendent nos complaintes.
Hiver comme été, nous devenons ce souffle de l’esprit
tourné vers nos amitiés.
Nous reconnaissons leurs désirs.
Ne pouvez-vous, âmes protectrices,
éveiller en nous le meilleur de nos souvenirs ?
Devant nous, ayez ce regard qui déchante,
pour mieux ensuite rebondir en soignant nos cœurs blessés.
Julien Boulier le 04 juin 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3438533711
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