Je suis descendu ce matin au chevet de sentiments lancinants.
D’infinies élégies non loin des rives et des arbustes.
Elles montent le long des êtres de sève et de bois.
Les feuilles un instant échappent
au silence pour un murmure d’espoir.
Le long de la rivière, nous échappons
aux tourments de l’esprit.
En garde, ton miroir penche
pour les pensées des grands espaces,
pour le calme d’un hymne à chaque jour qui advient.
Entendant le temps qui s’enfuit, vérité,
fixe de tes vers le don de toi,
l’excès de ta vision nocturne.
Julien Boulier le 06 juin 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3438647911
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