Le chant de ta voix fait briller les soleils.
A l’abri derrière tes mains, le phare de ton regard.
Mes carnets d’esquisses accueillent le mouvement de tes hanches.
Sans fin, la lumière porte en elle les souffrances ou la liberté des pensées.
Réjouis-toi de l’intime hâte qui les matins t’éveille après l’oubli des rêves.
Fascination qui prolonge ta journée
le long des rues de la ville,
des chemins qui en toi parcourent les campagnes.
Rires, ombres, silences ou baisers.
Allons marcher sur les landes qui s’élèvent devant nous.
Fleur de thé, tu t’épanouis
et ton sourire me dévisage.
Julien Boulier le 25 juin 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3439193811
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