L’oiseau et le mot mystère.
Le vent dans les saules.
Et si c’était sur la campagne de Kergallec ?
Le ciel n’est alors qu’une phosphorescence,
un pétale enthousiaste.
Peut-être réussirai-je à côtoyer ces lieux en préliminaire.
Une vaste effusion sonore qui actualise un cheminement.
Quoiqu’il en soit, existent toujours
l’eau, les larmes, le soleil et leurs ombres.
Subsistent encore les bords de mer qui octroient à cette allure
le début d’une assimilation
et qui offrent à tes yeux
une figuration d’un nouvel espace.
Julien Boulier le 08 mai 2018
poème déposé Sacem code oeuvre Sacem 3437658111
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