Quelle magique étreinte !
Nous créerons ensemble des souvenirs
dont les limites célèbreront notre existence.
Je me dis que cette nuit là,
quelque part dans la rosée,
en haut des arbres ou suspendus au bout du monde,
nous chanterons une ode à l’oiseau endormi.
O silhouette silencieuse,
perchée sur ta branche,
tu es la beauté des pensées et le corps de l’invisible voyage.
Ame plaintive, toi aussi tu porteras ta voix
et je t’embrasserai sous les nuits immuables.
Julien Boulier le 27 mai 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3438263711
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