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Je ceuillerai des étoiles

Pour toi pour moi pour nous
Je cueillerai des étoiles d’hiver
Les plus belles qui sont sur le noir
Qui brillent fort, rivent le regard,
Dès les temps d’y a longtemps à ce soir

Puis dans tes yeux diamants noirs
Je poserai ces feux ardents
Ferai de ton regard mon firmament
M’y noierai pour être ton amant 
Avec toi consommer le Divin Présent
Ce délice volé aux Dieux d’antan
Pour de nos cœurs n’en faire qu’un
Dès maintenant et pour la fin des temps

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Je cueillerai des étoiles

Pour toi pour moi pour nous
Je cueillerai des étoiles d’hiver
Les plus belles qui sont sur le noir
Qui brillent fort, rivent le regard,
Dès les temps d’y a longtemps à ce soir

Puis dans tes yeux diamants noirs
Je poserai ces feux ardents
Ferai de ton regard mon firmament
M’y noierai pour être ton amant 
Avec toi consommer le Divin Présent
Ce délice volé aux Dieux d’antan
Pour de nos cœurs n’en faire qu’un
Dès maintenant et pour la fin des temps

 

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Le vieil amant.

Nous étions à un âge « différent » et la Dame m’aimait.
Ses épaules découvertes, fleuraient bon le mois de mai.
Si mes amis s’en souviennent, Chacun vous le dira,
Comment pour la Dame, mon cœur s’enflamma.

Venu là, pour apprendre des mots neufs,
J’engrangeais de l’amour, et un cœur tout neuf.
Si mes amis s’en rappellent, ils pourront vous dire
Que la Dame et moi, n’étions plus qu'un sourire.

Nous vivions mal unis, et nos cœurs le savaient,
Eperdu, par les fenêtres notre amour s’évadait
Si mes amis s’en souvenaient chacun vous le dirait
Comment sur un tapis d’amour volant, nos corps s’enlaçaient.

Ses yeux rieurs rivés aux miens disaient "Je vous aime".
Mon cœur accordé au sien, répliquait de même
Si mes amis avaient su chanté ils auraient entonné
Allez, raconte nous ! Tu nous as promis ... toute la"vérité"

Nous aurions du La jeune Dame et moi qui l’aimais
Nous montrer, féconder cette passion la seule vraie, 
Vous mes amis impuissants avez vu que l’Amour parfois,
Le vrai, se fourvoie se corrompt à la vie ! Amis dites moi pourquoi ?

 

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Rien que des aboiements

Rien que des aboiements : 


Oui, je voudrais tant, que tendrement, il me dise encore,
Ses wouas, qui en mon âme seraient réconfort.
Des wouas si chauds et o combien réconfortants,
J'en voudrais tant et plus, et tout mon comptant.
Tant qu'entendre je peux encore et si fort goutter 
Le bonheur de l'entendre aboyer,
Ensembles de petits bruits fins associées
Qui vibrent en tonalités léchées.
Posées sur mon coeur et qui me diraient :


"Pleure plus Maîtresse, je suis bien ici
J'ai plein de nouveaux amis"
Je ne t'oublies pas, je reste aussi là,
Regarde bien à coté de toi
Couché à tes pieds pour l'éternité.


Ton Chien.

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Vent de mon rêve

Que fait ce Vent?

Quand seul déserté de raison j'attends,
Un spleen souvent me prend.
Alors je flâne ... Avec le vent,
Alors ému ... Ta voix j'entends.

Ce n'est que l'onde d'un doux zéphyr
Qui me fait croire en tes soupirs.
Ce sont des "plaintes" j'en veux mourir,
Voila, c'est mieux, il dit: ...Désirs.

Je suis là qui t'invite et qui t'aime.
Tu viens avec la nuit, tu frémis, tu es blême,
Je le sens ce vent qui t'amène
Alizé changeant retient celle que j'aime.

Me la laisse voir encore... Se gonfle.... S'emporte et fuit.
Toi avec lui, soumise, te retournes et le suis.
Je dis à la nuit "Sois plus lente"! ... Elle sourit
Je l'accroche. ... Je m'éveille. ...Vois, je te pleure et je prie.

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Dis moi juste une fois..

Que je voudrais tant que passionnément tu me dises,
Des mots que en mon corps, mon coeur poétise.
Mon ...Chéri, Mon ...Petit Cœur ou Mon tendre ...Amour.
Me Voici... à toi, pour maintenant mais aussi ...Pour toujours.
Des mots tout simples qui savent dire, le bonheur
Des mots vrais, pour nourrir, mon corps, mon âme, mon coeur.
Que je sache ne pas t'avoir aimée pour rien.
Jamais encore je ne les entendus.
Jamais encore tu ne me les as dit...

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Jusqu'aux fins de nos vies

Tu es féminine, féline, 
Enjouée et coquine.
Tu ne fumes point
Ce n'est pas besoin.
Tu ne bois pas 
Pas plus que moi.

Tu aimes les danses
D'amour l'abondance. 
Les fous rires,
Les gais délires,
Au soleil, sous la pluie,

Jusqu'aux fins de la vie.
De "Jeux de Coeur" 
Epicés le bonheur.
Cheminer vers demain
De nuit en matin.

Rafraîchis de rosée,
Parfumés de pensées.
Main dans la main 
Mains dans les reins
Aimer l'amour tu feras

Dedans ou hors les draps
Tendrement passionnée,
De l'amant, l'aimée.
Tes yeux dans les siens
Son coeur en ton sein.

Jusqu'aux fins de nos vies
Sous un temps de douceur
Guidé d'une seule envie
D'ici en lendemains, en choeur
tout contre bien serrés,

Achever le chemin d'aimer
Sauter de l'autre coté
Prendre l'étoile réservée
Au firmament des Amours
A jamais la laisser briller.

 

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Un Violon rouge pleure

Un Violon Pleure son émotion !
La femme en blanc lui conte ses amours morts….

 

Bouleversé d’émotions, d’amour
Des larmes coulent de ses esses 
Il valse mille fois trois tours 
Pour se sécher sa joue tendresse

Le violon aimable troubadour 
Eveille tendrement ses cordes 
Qui donnent vie à ses contours 

Caresses d’archet léger, Red Violin

Joue, vibre, chante et c’est magique

Un air adamantin, brillant, fleuri

Révélation de  sa belle âme accorte 
À la belle, la Dame, là, en blanc, 
Vêtue telle le Grand Cygne du lac, 
Red Violin l’ensorcelle elle se met à danser
A tourner, tourne, et tourne encore 
Lestement, grâce et belle retenue. 
Légère, devenue belle, comme nue 
Danse un langage en gestuelle 
Qui dit la cruauté, de son chagrin, 
Et la peine, du petit Stradi, …en pin 
Qu’on dit, fait de bois, vif carmin


La belle mime, éprise, les notes pures
Bémols, ou dièses, compris de tous ! 
De tous, là, ceux qui entonnent 
Avec lui, l’émotion douce

Voulant consoler, l’une et l’autre, ils applaudiront, 
Unis les bras levés composeront
Un compliment, une salve d’Odéon
Salve, pour valses émotions

D’une femme en blanc et du violon.

 

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Mon souvenir de toi, Maman

Tes yeux petite maman
Tes si beaux yeux bleus
tes yeux qui m'ont regardé
qui m'ont épié
observé, protégé. 
Tes yeux si bleus intensément
sévères, ou souriants, 
interrogatifs, ou menaçants
Toujours des yeux de maman.
Aux yeux azurés, merveilleux 
Des yeux qui m'ont cherché
recherché des jours
et nuits durant
Des yeux qui m'ont pleuré
Des yeux aussi, désespérés 
qui m'ont vu mourir doucement!
Des yeux alors mouillants
tournés vers l'Infiniment Grand
Pour prier, le supplier
De ne pas prendre 
Encore un de tes enfants
Des autres on t'en a prit tant.
Tes yeux tu les as troqué
Contre la vie de ton petit
garnement de pas huit ans
Tes yeux ont pleuré des mots
A remuer même les plus sots
le contrat a été passé
contre tes yeux, ton bébé.
Avec tes pleurs tu as signé,
gouttes après gouttes sur le papier
le document de ce marché.    (Commerce)
Ruinée, tu as dit : "Merci".
Repris dans tes bras ton tout petit.
Tes yeux alors m'ont aimé,
adoré, cajolé, mémorisé.
Dieu t'a concédé trente ans
d'une déclinantes visions en bleu
Du bleu clair au bleu nuit 
puis le noir infini.
Depuis longtemps tu ne voyais plus
Qu'avec les mains, de tes doigts menus
Tes yeux tactiles se promenaient 
dans mes cheveux, sur mes joues
cernaient les contours de mes yeux
Où tu mis naguère un soupçon de bleu.
- tu es redevenu bouclé, tout crollé* ?
- Mes cheveux sont tout gris maman
- C'est vrai? Tout gris ?
- tout gris, tout blanc, maman
- Ca te va bien mon fils, c'est beau.
- Comme je suis heureuse mon petit
- Je suis si heureuse de te "voir"!
Ca me fait tellement de bien

Je suis si contente quand tu viens.


Une nuit pourtant petite maman,

"J'étais alors à cent lieux"

Comme toujours à ta façon
Tu as remplis un dernier baluchon. 
Entre deux clignements d'yeux.



Tu as écouté ton coeur ralentir.

Sans peur et sans frémir.
En t'endormant tu as gardé ouverts 
Tes magnifiques yeux bleus.
Pour mieux voir ceux du Bon Dieu ?
Après nous avoir tant aimé 
Une chose difficile tu m'as laissé.
Hier j'ai du fermer tes yeux
resté si bleus et merveilleux.
Mes yeux à leur tour mouillant
ont pu effacer goutte à goutte
Ce document d'un marché ancien
Qui liait ton coeur au mien.
Je sais qu'ainsi ta vue t'a été rendue.
Tu recommences déjà à m'épier
me surveiller, et aussi me consoler,
- Robert mon tout petit regarde
Regardes donc où tu mets les pieds.

Pour Maman 
Son tout petit.

 

*Crollé  = frisé, expression liégeoise.

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Quand je m'en irai

Ultime émotion terrestre.

Quand vacillera ma flamme
Quand mon temps sera échu
Contre toi, toi ma Dame 
Et de tes bras revêtu

J’aimerai ultime voeux
Que ce soit en me fondant
Là où tu me fis ton Tristan
Dans l’eau claire de tes yeux

Pour y voir les couleurs de l’amour
Celles auxquelles tu donnas vie
Par Amour pour notre Amour.
Qui seul su relier nos vies

Quand vacillera ma flamme
Quand mon temps sera échu
Contre toi, toi ma Dame 
Et de tes bras revêtu

J’essayerai … ma chérie,
Si il m’en reste la force
Un beau sourire à ma jolie
Te dirai … une fois encore
Et …Très intensément
Comme le dit un amant
Même si mes mots, gourds
Sont sourds ou moi muet
Je t’aime tant Mon Amour!
Je t’aime Petit muguet de mai

Je t’aime et à jamais.
Même si, souvent imparfait,
Il aura toujours été vrai
L’amour que je te donnais


Quand vacillera ma flamme
Quand mon temps sera échu
Contre toi, toi ma Dame 
Et de tes bras revêtu

Je partirai confus ému
Par tes bras soutenu
Serrant dans la main
Fermée tel un écrin.
Un morceau de ton cœur.
Enrobé de ta douceur


Je poserai dans tes larmes
Un morceau du mien.
Le reste de son charme
L’Amoureux qui est tien

Quand s’éteindra ma flamme
Quand le temps sera venu
Loin de toi, toi ma Dame 
Alors de tes bras ... dévêtu

J’irai là-bas ma tendre
Au-delà du monde connu,
Où tout est superflu
Où rien n’est à vendre

J’y bâtirai pour nous
Un petit Palais d’Amour 
Nous seuls en aurons la clé
Seuls nos cœurs sauront entrer
Tout y sera très doux
Nous y serons velours

Cette clé de l’infini bonheur
Sera faite des morceaux du cœur
De chacun par l’autre reçu
Réuni en un et plus jamais rompu.

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Une fleur au coeur.

Une fleur au coeur.

 

 

Quand on aime d'amour, il se fait une petite griffe sur le coeur

Dans la petite plaie, une goutte de sang, ... Là se greffe une fleur du jour

Une fleur, que seul, cet amour nouveau peut faire vivre.

 

Aujourd'hui, après avoir tant aimé, et si souvent,

Que de fleurs, j'en ai plein, piquées au coeur. 

Mon coeur devenu jardin de poète, est une ballade florale vivace.

 

A toutes ces fleurs, qui donnent vie à mon coeur, je dédie régulièrement

Soit, une petite larme, pour l'être aimé qui a pris son envol,

Ou une douce pensée, pour celle qui est encore là, vivante en moi.

 

Ainsi nourries, chacune de ces fleurs,

Peut continuer de s'épanouir, pour parfumer, enjoliver,

Et rendre moins sombres, mes jours les plus tristes.

 

 

 

Robert, Tadeusz, Pirschel.

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Petit alexandrin de mots simples

Oui, je voudrais tant, que tendrement, on me dise,
De ces mots, qui en mon âme sont Artémise.
Des mots si beaux et ô combien réconfortant,
J'en voudrais tant et plus et content, mon comptant.
Tant qu'ouïr je peux encore et si fort goutter 
Le bonheur de se les entendre récité,
Ensembles de syllabes fines associées
Qui vibrent en tonalités irisées.

 

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En juin 1974, ma fille....

Elle n'est que tendre bourgeon enfant,
Apparu aux pastels du printemps
Lui déjà loin dans son été fatiguant
A vu beaucoup et de tous les temps.

Elle n'en est qu'à l'ouverture 
Doucement, sa corolle fait parure,
Dévoile des trésors, des traits purs, 
Encense de ses parfums la nature.

 

 

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Un jour je n'écrirai plus

Un jour sera je n’écrirai plus, non pas que l’encre me manquera.

Un jour, peindre je ne pourrai plus, mes pinceaux pourtant seront là.

Me manquera-t-il l’inspiration ? Non ce ne sera pas cela.

Les jolies choses auront-elles disparues, rassurez vous elles seront encore là

Simplement un temps m’a été offert, et mon temps sera échu.

Un temps fini, pour entrer dans l’infini, celui d’un monde jamais raconté.

Le moment de pouvoir vraiment, savoir si Dieu existe au firmament.

J’aurais conduit ma vie au mieux, me serais usé à en être devenu vieux.

Fatigué je pourrais me reposer, et serai couché dans un lit creusé.

Hélas entouré de murs trop serrés, au dessus, dessous et sur les cotés,

Dans une cité aux espaces mesurés, aux gîtes ornés de pierres croisées.

Me sentirai-je à l’étroit, oppressé ?

J’y serai sans lumière sans clarté, l’astre soleil y est là refusé

Verrai-je en façade le chemin gravillonné ?

Entendrais-je ma fille pleurer ses remords de n’avoir pas suivi

Les conseils de son seul « meilleur » ami ?

La voila esseulée, petit bébé que ma main a lâché, et dernière de ma lignée.

Une harpie, à mon papa, l’avait prédit. Je savais, mais sans y accorder crédit.

Un macchabée laisse dit-on ses regrets derrière lui
Ces regrets, sont les cendres de désirs qui n’ont pas pu naître !

 

 

pitaro

 

 

 

 

 

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CANNE MACONNIQUE

Rares sont les occasions de découvrir une véritable canne maçonnique ... Voici ma dernière trouvaille.

Le pommeau classique est en argent massif et monté sur un fût en bois d' "amourette". On y découvre le monogramme "C" et "D" avec une série de symboles maçonniques que les férus déchiffreront ... et partageront peut-être. 

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Un pays pleure agenouillé

Un pays pleure agenouillé

Un pays pleure agenouillé
Demandant charité au frère
D’un cœur meurtri qui bat à peine
Dans la poitrine du tronc blessé.

Si sur notre drapeau est écrit UNION
Alors pourquoi tant de division ?
Tombé à genoux pleure un pays entier
Sous la croute d’une profonde plaie.

Tombé à genoux pleure un pays entier
Et je pleure avec lui, ici, de très très loin,
Il y a des gouttes de mort sur ses joues décharnées…
Homme avec homme se déchirent jusqu’au sang.

C’est le temps des rêves qui meurent
Sur le pavé, dans le sang et les épines,
Milliers d’Abel et milliers de Cain
S’affrontent dans les rues en criant :
« Justice ! Luttons pour votre bien… »

Si sur notre drapeau est écrit UNION 
Pourquoi tant de haine dans ces bustes gloutons,
Qui bourdonnent comme des cassés tambours
Désemplis de toute trace d’amour ?

Ô, mon pays, ne laisse pas tes enfants
Sous ces triques et ces pierres sombrer dans la mort !
Un peu de feu dans l’âtre et un regard aimant
Et tu verras tes fils grandir encore plus forts.

Si sur notre drapeau sera écrit AMOUR
Le mot UNION y sera pour toujours.  

Antonia Iliescu

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Les étoiles reviennent flotter sans s’inquiéter du crépuscule.

 

Dernière épreuve avant que ton regard

 

retombe en flèche dans une réalité qui affame ton sourire.

 

Je trébuche sur les accents de ton nom.

 

Tu me proposes l’écume de tes pensées

 

et j’imagine combien fut long le parcours défendu.

 

Au rythme de tes pensées, une oraison langoureuse.

 

Et pour recommencer une journée, tu t’affubles de vêtements ordinaires,

 

avec une touche de folie pas ordinaire.

 

Au bord de ta peau, je sais que de belles énigmes vont battre

 

comme un cœur remué. 

 

Tailleurs de pierre ou rêveurs au travail, dormez tranquilles,

 

sa beauté évoque les jours où sans fin, la pluie ravit sans toits.

 

Julien Boulier , à Caen le 10 aout 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3440442911

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Géants qui de force, taillent les paupières.

 

Un matin ou un soir, les images qui te rattachent

 

au sommeil des sous-sols.

 

Le midi, la fleur qui se dessine sur la table.

 

Des vagues à l’horizon courbent le ciel

 

en reflétant ses couleurs.

 

Tandis que la moisson de l’été parfume les rives,

 

ton visage discrètement circule dans mes rêves.

 

A l’ombre de ton nom, remontant jusqu’à tes épaules,

 

un dessin immobilise ton corps dans un mouvement qui se multiplie.

 

Territoires passifs et figures qui se défont.

 

Toutes les facettes de ta chevelure

 

composent les différents canaux d’une mélodie.

 

Julien Boulier, à Caen, le 10 aout 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3440442711 

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Quand on a en soi l’image d’une horloge lumineuse,

 

on peut sans doute traverser une constellation de saisons.

 

Tout de même, une simple pensée fait fuir les aiguilles

 

et on peut attribuer un titre à cet instant.

 

Courir alors en silence et retrouver les mots perdus,

 

refermer dans sa main les paroles retrouvées.

 

Des cercles et des lignes qui s’enchevêtrent ;

 

de quoi, d’ici l’automne,

 

chevaucher minutes et secondes,

 

et s’assoupir pour la nuit.

 

Bientôt l’hiver gelé et la Nature refroidie,

 

les espaces dépeuplés qui franchissent allègrement

 

mediums, aigus, graves et accords imparfaits.

 

Julien Boulier, à Caen, le 10 aout 2018

poème déposé Sacem code oeuvre 3440442311 

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Fantaisie : Zazie au musée comme au zoo

12273289263?profile=originalVénus et Vulcain
Atelier de Giulio Pippi, dit Giulio Romano ou Jules Romain (1492 ou 1499-1546)
Tandis que Vulcain va à la forge les putti s’apprêtent à souffler sur les braises.
(musée du Louvre, Paris)

Zut ! Z’étaient une tripotée ces zélés Zérotes ailés zézayait Zazie,
Visitant le musée parisien en zieutant leurs amusants zizis,
Faisant défaisant refaisant les liaisons et zou ! semant la zizanie,
Ainsi qu’un zanni, ou un zwanzeur de mes amis,
Hasardant les âmes des amants désunis au zanzi.
(Un zeste de poésie vénusienne, zazou des arts un peu zutiste à mes heures, zozo médusé je m’extasie Zazie, n’en déplaise aux raseurs. Fi des lazzis des jaseurs, dégoisant tels des érudits en peau de zébi, ma gazille. Et gare au zorille !)
                                                                                                            M. Lanzardière

12273288491?profile=originalGrisailles de Piat Joseph Sauvage (1744-1818)
(palais de Compiègne, Oise)

Extrait d’une note sur les Erotes d’un billet à venir « Les Amours et les hommes. » En attendant, vous aurez peut-être plaisir à lire mon dernier billet, passé quelque peu inaperçu en cette période caniculaire :

https://artsrtlettres.ning.com/profiles/blogs/les-ailes-du-d-sir-ou-ma-r-v-rence-v-nus-aphrodite-7-7

J’ai aussi pris licence d’accorder zorille au masculin. Zéro de conduite !

12273290062?profile=original

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