Les étoiles reviennent flotter sans s’inquiéter du crépuscule.
Dernière épreuve avant que ton regard
retombe en flèche dans une réalité qui affame ton sourire.
Je trébuche sur les accents de ton nom.
Tu me proposes l’écume de tes pensées
et j’imagine combien fut long le parcours défendu.
Au rythme de tes pensées, une oraison langoureuse.
Et pour recommencer une journée, tu t’affubles de vêtements ordinaires,
avec une touche de folie pas ordinaire.
Au bord de ta peau, je sais que de belles énigmes vont battre
comme un cœur remué.
Tailleurs de pierre ou rêveurs au travail, dormez tranquilles,
sa beauté évoque les jours où sans fin, la pluie ravit sans toits.
Julien Boulier , à Caen le 10 aout 2018
poème déposé Sacem code oeuvre 3440442911
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