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ADMINISTRATEUR GENERAL

L’Espace Art Gallery a le plaisir de vous présenter du 06/02 au 24/02 l’exposition  événement des artistes suivant : Philippe Guenin (Fr) peintures et photographies + performance en live par Ariane Schréder et Kej,  et Barbara Stacher (Aut) sculptures.

 

Le VERNISSAGE a lieu le 06/02 de 18h 30 à 21h 30 et l’exposition du mardi au samedi inclus de 11h 30 à 18h 30. Et sur rendez-vous le dimanche.

 

Vernissage qui sera agrémenté d’extraits de Musique Celtique interprétés par la harpiste Françoise MARQUET.

 

Espace Art Gallery 35 rue Lesbroussart 1050 Bruxelles. Ouvert du mardi au samedi de 11h 30 à 18h 30. Et le dimanche sur rendez-vous. GSM : 00 32 497 577 120

 

Philippe Guenin (Fr) peintures et photographies + performance en live par  Ariane Schréder et Kej

« L’âme du Chaos »

 

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Peintre, poète, performer né en 1965 expositions de peintures et performances:

Centre G. Pompidou « les revues parlées », La B.N.F, Paris, Vieille Charité de Marseille, Galerie J. et J. Donguy, Divan du Monde, Art gallery Bruxelles, Galerie Rey, Marrakech, etc.

Publications : livres de poésie publiés chez Gallimard, Mercure de France, etc.

Enseignement : a dirigé un atelier de performance à l’université Paris 8

 

Titre : « L’âme du chaos »

L’exposition-performance « L’âme du chaos » de Ph. Guénin se caractérise par des séries d’images singulières et troublantes allant du microcosme au macrocosme en passant par le monde humain.

La performance visuelle et sonore (qui aura lieu pendant le vernissage) avec Philippe Guénin et Ariane Schréder sera centrée sur un jeu de métamorphoses oniriques du corps et de la voix…

 

Cette performance portera le même titre que l'expo "l'âme du chaos", durée une vingtaine de minutes, Avec des chants diaphoniques de Mongolie que je ferai (il faut préciser qu'il n'y a pas beaucoup de monde en Europe à connaître ce genre de chants, c'est sur place au Ladakhpendant un long séjour que je les ai appris), il y aura avec moi 2 performers qui feront une gestuelle très onirique. Ce genre de performance a déjà été réalisé au centre G. Pompidou de Paris.

 

(Peintures et photographies)

 

Présentation de Ph. Guénin :

Philippe Guénin est un artiste multiforme (peinture, performance, vidéo, photographies) et un poète français. En tant que plasticien, il se situe dans le sillage de l’action painting et du body art. Il utilise pour ses performances la technique du chant diphonique (chant de Mongolie émettant deux sonorités simultanées). Il a réalisé des performances, entre autres, au Centre Georges Pompidou – Paris et à la Bibliothèque François Mitterand – Paris. Il a été publié en poésie chez Gallimard et au Mercure de France.

 

Présentation d’Ariane Schréder :

Ariane Schréder est performer et écrivaine française. Elle a joué dans des vidéos de Philippe Guénin, elle publie un roman aux éditions Philipe Rey en février 2013.

 

 

Barbara Stacher (Aut) sculptures

 « Matières primaires »

 

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Née à Vienne/ Autriche en 1967, licenciée en économie et relations internationales, résidant en Belgique depuis 1992. Fait de la peinture, sculpture et dessin depuis toujours; poursuit des études formelles d’art entre autres à l’Académie d’Art d’Ixelles (sculpture chez L. Sentjens et auparavant aussi peinture chez T. Roata), peinture à l’Académie Constantin Meunier d’Etterbeek (V. Colpaerts) ainsi que d'ateliers privés (C. Heymans, H. Gohlke, L. De Melo).

 

Expositions/distinctions : Expositions finales des Académies d'Ixelles et d’Etterbeek (différentes années), Expo finale Neumarkt/Raab, Autriche (2011), Exposition collective (sculptures) programmée pour février 2013 à l’Espace Art Gallery à Ixelles - Bruxelles, Exposition individuelle de peinture programmée pour fin février 2013 à la Galerie Art Base (Bruxelles centre-ville).

 

Grande Distinction du jury en peinture en 2011 et 2012, Académie d’Etterbeek, Grande Distinction du jury en sculpture en 2012, Académie d’Ixelles. Sélection pour l'Exposition des finalistes du Prix Louis Schmidt 2012 à l'ULB, Salle Allende en décembre 2012.

Barbara Stacher

 

Le processus de création :

« La recherche instinctive de s'approcher à l'essentiel du sujet, de l'approcher des cotés différentes, de l'approximer, encercler; de l'entourer, le cerner, afin de le dissoudre par la suite, trancher, effacer, recommencer, regard frais, danse avec le sujet, la musique devient plus forte, excitée, impulsive, pulsante, rythmique, ancestrale, l'éclat, la frustration, l'extase de la couleur, de la forme, des angles, des axes, la matière, l'affirmation des contours portants, la composition, décomposition, l'audace de la reconstruction à l'envers, les émotions et le rationalisme, l'analyse de l'impulsion, le défi, le combat, matière partout – et tout d'un coup la tranquillité, la sérénité et l'ordre s'est mis en place de manière imprévue, l'inconcret se matérialise comme il a voulu être dès le début, la forme émergente donne satisfaction d'une œuvre conclue. »

 

« Ma démarche artistique est donc basée sur la force de l'instinctif qui veut créer, se décomposer, le courage de mettre tout en question d'un angle radicalement différent pour à la fin prendre sa forme définitive, harmonieuse et équilibrée en soi. Les matières utilisées comme la peinture à l'huile, la terre ou la cire se prêtent idéalement pour cette démarche ludique, la force des couleurs et traces sculptées en sont témoins. Tout est remis en question, rien n'est achevé tant que tout ne le soit. »

Barbara Stacher

 

 

Et à titre d’information voici les trois prochaines expositions:

 

-Titre : « La collection permanente à l’espace Yen »

Artistes : collectif d’artistes de la galerie.

Vernissage le 16/01/2013 de 18h 30 à 21h 30 en la galerie même.

Exposition du 16/01 au 17/03/2013 à l’Espace Art Gallery II.

 

-Titre : « Ombres de présence »

Artistes : Xica Bon de Sousa Pernes (Pt) peintures

Vernissage le 27/02 de 18h 30 à 21h 30

Exposition du 27/02 au 17/03/2013.

&

-Titre : « Collectif de la galerie »

Artistes : Joy Jourdet (Fr) peintures, Sophie Dubois (Be) peintures et David Léger (Fr) sculptures.

Vernissage le 27/02 de 18h 30 à 21h 30

Exposition du 27/02 au 17/03/2013.

 

Au plaisir de vous revoir à l’un ou l’autre de ces événements.

 

Bien à vous,

 

                                                        Jerry Delfosse

                                                        Espace Art Gallery

                                                        GSM: 00.32.497. 577.120

                                                        Voir:      http://espaceartgallery.be

 

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Les initiateurs

 

En hommage respectueux à M. Léon Warnant

Maîtriser un art semble un don,

Qui fut donné comme une grâce

À ceux qui laissèrent leur trace

Dont restent les oeuvres et le nom.

En parvenant à l'excellence,

Les plus doués veulent souvent,

Insuffler généreusement

Leur savoir qui est une science.

Je suis ébahie par l'ardeur

Qu'ils mettent à réchauffer des âmes,

À faire s'élever des flammes,

En outillant des créateurs.

Des professeurs, dits émérites,

Des milliers d'autres, au cours des ans,

Charismatiques, énergisants,

Ont fait éclore des élites.

Ier février 2013

 

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Maeterlinck

MAETERLINCK,_Maurice._Serres_Chaudes,_Bruxelles,_Paul_Lacomblez_%C3%A9diteur,_1895._(5).jpg

Maeterlinck, mieux qu'aucun autre, s'est bon gré mal gré identifié à ce symbolisme au sein duquel il a vécu et dont il a tiré les accents les plus caractéristiques en même temps que les plus personnels.
Il doit sa gloire à un malentendu. De La Princesse Maleine publiée en 1889, Octave Mirbeau déclarait qu'elle était « supérieure en beauté à ce qu'il y a de plus beau dans Shakespeare ». Camille Mauclair écrira, en 1895, dans Les Hommes d'aujourd'hui , un article autrement prophétique, sachant déceler dans le dramaturge d'alors le métaphysicien en puissance : « Ce qu'il a esquissé présage un métaphysicien peut-être inattendu de l'Europe intellectuelle, un surprenant continuateur de la philosophie imagée et artiste de Carlyle. » Mais personne n'a su voir dans le poète des Serres chaudes , publiées également en 1889, l'annonciateur et, pour ainsi dire, le fondateur du symbolisme. Car c'est lui, le Flamand, le terrien profond, qui enracina la « décadence » dans les lettres et lui donna droit de cité. Au moment où Verlaine vieillissant laissait la poésie à ce carrefour ouvert à tant d'influences mêlées,
Maeterlinck imprimait au vers un accent bien particulier.
Il semble bien, après les Douze Chansons , que le poète soit mort en Maeterlinck. L'homme, entouré de gloire, s'était retiré à Orlamonde dès 1930. Il n'eut jamais le temps d'être Shakespeare ou Carlyle. A peine le temps d'être Maeterlinck, d'en être ébloui et de se retirer dans l'ombre à tout jamais, lui qui, loin d'être ce « grand écrivain artiste » dont rêvait Faguet, avait écrit dans Le Trésor des humbles : « Je mets l'âme au-dessus des torts les plus cruels et des fautes les plus graves. »

Parcours visible et parcours invisible

Né à Gand, Maurice Maeterlinck fit au célèbre collège Sainte-Barbe ces études de droit qui semblent bien avoir été pour cette génération de poètes un paravent à l'abri duquel l'aigle de la poésie grandissait en silence. Dès 1889, Maeterlinck publie ces Serres chaudes qui ne trouvent au départ que vingt lecteurs, mais dont Apollinaire saluera plus tard le modernisme, et qui demeure le maître-livre du symbolisme. Jusqu'alors, le symbolisme avait été -
plus peut-être par la faute de l'esthétisme d'une époque que par la volonté des poètes - le grand rendez-vous des ornementations et des déguisements. Avec les Serres chaudes , le doute n'est plus permis : l'âme pénètre dans les décors maniéristes du temps, s'y inquiète et se libère par un chant d'une discrétion lancinante. Un peu plus de silence encore, et le mystique eût ici dominé le poète. Est-ce pour rompre cette angoisse, où la poésie le menait, que Maeterlinck se livra alors à la grande fête théâtrale de La Princesse Maleine (1889), de Pelléas (1892) et de L'Oiseau bleu (1909) ? Il y fut entraîné par l'article dithyrambique de Mirbeau, par la rencontre de Georgette
Leblanc et, cela va de soi, par un désir très naturel d'ouvrir sur soi-même les fenêtres. Mais au sein même de ces aventures extérieures et parfois de cette féérie, l'inquiétude natale le poursuit. Trop pur pour y renoncer, trop humble aussi pour songer un instant à tricher avec elle, il l'affronte. On peut dire que toute son oeuvre est l'immense attente de Dieu. Plus tard, lorsqu'il se penchera sur ces vies infiniment petites que sont les abeilles, les fleurs, les termites et les fourmis, ce sera moins en philosophe qu'en chercheur. Dans l'infiniment petit, il cherche l'infiniment grand. Il meurt à Orlamonde.
Il est extrêmement périlleux de s'aventurer à l'intérieur d'une âme. Et Maeterlinck, en dépit des honneurs - il devait recevoir le prix Nobel en 1911 et être anobli en 1932 -, est tout entier tendu vers l'invisible. S'il est passé de la poésie directe aux sciences morales, c'est en poète qu'il l'a fait, et il semble bien que les longues études qu'il fit de Ruysbroeck l'Admirable, de Novalis puis d'Emerson aient aiguisé son pessimisme latent et l'aient d'abord poussé au silence avant de l'amener à ce virage qu'il aborde très tôt par le Trésor des humbles (1896). Il s'est heurté au temps, lui qui aurait aimé, plus que tout autre, vivre hors du monde. Mais ce serait mal le comprendre que de le chercher ailleurs que dans ce combat avec l'invisible. «Je n'ai pas de biographie », disait-il. Ses oeuvres mêmes ont l'air d'avoir été arrachées au silence. Il est peu d'hommes qui aient comme lui parcouru le silence à marches forcées, une vie durant, et qui, sans cesse invités par les autres à se situer, aient à ce point contraint leur oeuvre à ne trahir que les
itinéraires les plus secrets.

Traces visibles et traces invisibles

Les tréteaux du théâtre symboliste sont morts pour avoir été dressés trop tôt. Qui reconnaît encore aujourd'hui l'immense mérite des Aveugles (1890) de Maeterlinck ou des Flaireurs de Van Lerbergue ? Ils attendaient « Godot », mais l'attendaient avec une générosité qui n'a plus cours. Notre époque inquiète ne se reconnaît plus que dans le passage le plus étroit et porte jusque dans son style et dans ses idées le reflet d'une sécheresse d'âme qui n'est elle-même qu'un masque posé sur la peur. Il reste le poète, dont on s'éloigne toujours à tort. Lui est intact. Les Serres chaudes et les Douze Chansons répondent par avance, avec une justesse vérifiable, à une attente et à une angoisse éternelles. Ainsi, c'est toujours dans la vérité la plus humble et la plus resserrée qu'un homme peut espérer laisser les meilleures traces.
Ces traces maeterlinckiennes sont d'une actualité surprenante. Et d'abord, parce qu'elles sont sans âge. Au seuil de ces temps embryonnaires, elles apportent la preuve irrécusable du passage d'un ange - fût-il l'ange gris de
l'absence - parmi les hommes.
Ainsi, loin d'avoir fini sa course, cet homme du XIXe siècle égaré au centre du XXe continue-t-il d'influencer secrètement les poètes et les dramaturges.
Simplement ces influences se font-elles plus diffuses à mesure que l'âme se masque. Mais les masques les mieux conçus finissent par tomber d'eux-mêmes. Le temps n'est plus très éloigné où l'on pourra suivre l'influence de Maeterlinck à travers l'histoire littéraire de ces dernières périodes. Déjà, elle apparaît en clair dans les efforts que la poésie fait aujourd'hui pour échapper au balbutiement. C'est que Maurice Maeterlinck est lié par son oeuvre, par l'inquiétude qui la traverse à la manière d'un clair-obscur et jusque dans son silence même à la démarche des poètes de ce temps. Il passe en nous aux meilleures heures, comme les bateaux à vapeur d'autrefois passaient en silence au milieu des jardins de Gand.

 

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Rencontre

Rencontre

 

Appel éclair

Des êtres fous

Cœurs à genou

Sourires offerts

 

Les yeux se cherchent

Cœurs à la perche

 

Appel éclair

Cœurs à l’écoute

Fi des déroutes

Pas des mystères

 

Les yeux repèrent

Le cœur se perd

 

Des bras ouverts

Des sens ignés

Défiant les codes

Vivant l’exode

 

Les corps en feu

Les bras fougueux

 

Bras enlacés

Cœurs embrassés

Seins embrasés

Sans nul aveu

 

Que le secret

D’une destinée

 

Quel beau voyage

De ces fous sages

Vécu au gré

D’une brève rencontre

 

Khadija, Marrakech le Mardi 29/1/2013

© Khadija ELHAMRANI

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L'imprévisible Chance

 

 

Soliloque

Instants favorables, heureux,

Créant un courant d'espérance,

D'autres vécus dans la souffrance,

Tout chemin demeure hasardeux.

L'âme ressent, dans le silence,

Grâces et agressions aussi,

Étant toujours à la merci

Du sort qu'on appelle la chance.

Ceux pénétrés de méfiance,

Soupçonnent ses revirements,

Craignent le pire à tout moment.

Nombreux vivent dans l'innocence.

L'énergie que l'être possède,

Qui l'a surpris, nombreuses fois,

Sans cesse lentement décroît.

Un jour, il lui faudra de l'aide.

Or, quand on est devenu vieux,

On aspire à l'indifférence,

On n'attend plus rien de la chance,

On se défend d'être envieux.

Ire février 2013

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administrateur littératures

Musiq'3, festin de roi...

Bonjour, c'est par sympathie pour Arts et Lettres que je vous livre ci-dessous un de mes textes que l'on ne trouve que sur mon site. Merci de votre attention.

Musiq'3, festin de roi...

Symphonies, concerti, Beethoven ou Mozart,

mélodies, duetti, vraiment du tout grand art,

sonates mineures, en dièse ou bémol,

cantates majeures, splendides rossignols,

Musiq'3 nous berce, de fraîcheur emplie;

ses notes nous percent, où règne la vie.

De l'aube au crépuscule, les présentatrices,

précieuses funambules, fières cantatrices,

en délicatesse, offrent symbiose;

et, avec finesse, vers l'apothéose,

pianos, violons, trompettes et timbales,

et flûtes et bassons bravement nous emballent.

De nuit comme de jour, s'élèvent les cordes,

munies de leurs atours, de miséricorde,

fort beau cérémonial accompagné de choeurs,

où un maestro génial nous livre son bonheur;

et les bois et les vents incitent à vivre,

toujours plein de mordant, et de plaisir ivres.

De l'actualité, de littérature,

et de la qualité, Musiq'3 est pure;

douceur et tendresse, de Cindy à Lothar,

ampleur et prouesses, de Cécile à Bernard;

tout est poésie, on est à l'écoute,

pas de duperie, jamais dans le doute.

Tu ne sais que faire? Branche-toi classique,

cela va te plaire car cette musique,

dans ton âme et ton coeur jettera sentiments,

émotions et ardeur sans aucun jugement;

préludes et canons en mi bémol majeur,

légers, t'investiront, te désignant Seigneur.

Alors, enfin conquis? Oui, avec Musiq'3,

tu seras ébloui, un vrai festin de roi,

sans omettre Saskia ni le plaisant Michel

non dénué d'aura, ce devant l'Eternel.

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Rose, ô reiner Wiedersprach,

Lust niemandes Schlaf zu sein

unter soviel Lidern.

 

 

Rose, ô pure contradiction, 

joie de n’être le sommeil de personne 

sous tant de paupières. 

 

R. M. Rilke

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administrateur partenariats

L'on s'attend à tout moment à voir surgir des elfes dans ce romantique parc du Palais de Pena, à Sintra...milieu naturel et d'une importance scientifique rares, les 85 hectares de beautés paysagères émerveillent les visteurs surpris au détour de multiples sentiers par grottes, étangs en cascades, arbres monumentaux bicentenaires, et une flore digne des plus grands arboretum...

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Le Palais de Pena, joyau du romantisme du XVIIIe s au Portugal, construit dès 1834 sur les ruies d'un monastère , sous le Roi D.Frenando II.

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La Porte du Triton, allégorie de la création du monde, mi-homme , mi-poisson.

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Vue générale de la cour intérieure, façade ornée de carreaux aux motifs géométriques mauresques que l'on retrouve dans toute architecture classée au Portugal.

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