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Quelle touchante conscience

Dans ce regard mouillé !

Celle d’un vieux sage triste

Mais combien avisé.

Quel fin talent d'artiste

Pour parvenir à nous donner

Jusque dans les oreilles dressées,

La texture du poil veloutée

Et de GOUPIL, en fidélité,

L'incroyable présence.

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Apprendre à vivre avec soi...

Apprendre à vivre avec soi

 

Pourquoi est ce aussi compliqué...

 

Apprendre jour après jour

 

qu'être soi c'est pas si évident que celà.

 

Recommencer sa vie avec la santé

pour redémarrer le coeur allégé.

 

Les larmes ont trop coulées

les yeux sont vides de vie

Les peurs sont trop armées

les années se sont écoulées

rien ne pourra redevenir comme avant.

 

Toutes ses espérances vieillis

que me restes t'il à présent

la survie encore et toujours

contre ces idées noires...

 

le miroir reflète un visage au triste sourire

si le sourire a encore sa place dans ma vie

alors peut être n'est ce qu'un mirage de plus.

 

 

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Haïkus de mars

 

Bulles de savon

Au bout du doigt de l'enfant

~ Début de vacances

 

Partie perdue

Le doudou et les copains

Consolent de tout

 

Sans le moindre bruit

Voilà le renard qui passe

Et poursuit sa route

 

Des enfants construisent

Des châteaux battus par l'eau

~Mes pieds sont glacés

 

Sur le sentier

Enfants à la queue leu leu

Empreintes de pas

 

Samedi de Pâques

Des rêves chocolatés

Dans les yeux d'enfants

 

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L'amour fort comme la mort

 

Quand on s’éloigne, sans coeur lourd,

De l’être qu’on avait aimé,

S’agissait-il bien d’amour

Ou d’un sentiment présumé ?

...

On s’abuse facilement.

Quand l’ardeur d’un être nous flatte

On l’entretient étourdiment,

Et souvent avec trop de hâte.

...

Bien sûr, inspirer du désir

Fait ressentir de l’allégresse.

On confond amour et plaisir,

Ignorance de la jeunesse!

...

Mais une fois devenu sage,

Capable de sérénité,

On rêve d’innombrables pages,

Vécues dans la complicité.

...

Quand on a trouvé l’âme soeur

Et appris l’oubli de soi-même,

L'on ne fait certes plus d'erreur.

Lors en dépit de tout, on aime.

...

André Chouraki nous confesse

Son amour, défiant le sort,

Malgré son immense tristesse,

Dans «L’amour fort comme la Mort»

...

30 avril 2005

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"Histoire de ma vie" de Casanova

Il s'agit des mémoires de Jacques Casanova de Seingalt, pseudonyme de Giacomo Casanova (Venise, 1725-1798), publiés à Leipzig chez Brockhaus et à Paris chez Ponthieu de 1826 à 1838.

 

Le cosmopolitisme, l'équivoque et le mystère entourent le texte des Mémoires de Casanova. Le Vénitien les avait écrits en français, «langue, affirmait-il, plus répandue que la mienne», et dont il admirait «toutes les beautés» (Préface). Le manuscrit, rédigé de 1789 ou 1790 à sa mort, fut remis à l'éditeur Brockhaus, qui décida de le publier, en abrégé, dans une traduction allemande (1822-1828), puis dans sa version originale en français, mais corrigée et édulcorée par Jean Laforgue. On s'efforça ensuite d'amender ce qu'avait fait Laforgue. Le texte original, en réalité peu différent, a été finalement livré au public en 1960-1962 (Brockhaus et Plon). On convient maintenant de l'authenticité - longtemps mise en doute - des Mémoires, qui couvrent la vie de Casanova jusqu'en 1774. Mais peut-être en avait-il poussé plus loin la rédaction, et une partie est-elle perdue.

 

Étrange texte, qui suscita la fascination de maintes gloires littéraires - Stendhal, Henri de Régnier, Gérard Bauër, Félicien Marceau, entre autres - et qui cependant ne leur était accessible que dans une version infidèle. Mais la chance a voulu que la censure de Laforgue ne nuise pas à l'original, voire lui «impose une qualité littéraire [...] plus XVIIIe siècle que nature» (R. Démoris).

 

Fils de comédiens, frère d'un peintre de batailles, Giacomo Casanova est éduqué à Padoue. De retour à Venise, il reçoit les ordres mineurs, et commencent alors ses innombrables amours (Lucie, Angela, Juliette). Chassé du séminaire, il erre à travers l'Italie, entre Rome, Naples et Ancône. Il décide de renoncer à l'état ecclésiastique et de se faire militaire. On le retrouve à Corfou, à Otrante; puis il devient dans sa ville natale râcleur de violon, et même un franc vaurien. Il quitte Venise pour Ferrare; mais le voici à Paris, où il observe les gens du monde, le roi et la belle O-Morphi. Il gagne Dresde, Vienne, où il voit l'empereur Joseph II, puis Padoue, et Venise, où il est incarcéré sous les Plombs. Il parvient à s'échapper et regagne la France. On le charge d'une mission secrète à Dunkerque. Il rencontre Mme d'Urfé, le comte de Saint-Germain et Jean-Jacques Rousseau. Il gagne l'Allemagne (Cologne, Stuttgart). A Zurich, il pense devenir moine, et y renonce; il passe par Berne, Lausanne, voit Voltaire à Genève et discute avec lui, séjourne en Savoie, à Grenoble, en Avignon, à Marseille, à Toulon, à Nice; regagne l'Italie - la Toscane, Rome, Naples, Florence, Bologne - puis de nouveau la France (Lyon, Paris, Strasbourg), l'Allemagne encore (Munich, Augsbourg), passe par Aix-la-Chapelle, Lyon, Turin, Milan, Gênes, Marseille, Lyon, Paris, Londres, Hanovre, Berlin, se retrouve en Russie (Riga, Saint-Pétersbourg, Moscou), en Pologne (Varsovie), retrouve l'Allemagne (Dresde), les possessions des Habsbourg (Prague, Vienne) - fait halte à Paris avant de repartir pour l'Espagne (Madrid, Saragosse, Valence, Barcelone), le midi de la France, l'Italie, Trieste. Une perpétuelle errance, partout des amours éphémères et assez heureuses, des tables de jeu, des rencontres de souverains et d'hommes illustres, des hâbleries, voire des escroqueries.

 

C'est au château de Dux, en Bohême, où le comte de Waldstein l'avait pris comme bibliothécaire, que Casanova entreprit à soixante-six ans la rédaction de ses Mémoires. Amoureux fané, voyageur épuisé, il se retournait vers son passé, et affirmait ne pas connaître «d'amusement plus agréable que celui de [s]'entretenir de [s]es propres affaires» (Préface). Nulle aigreur, fort peu de nostalgie, encore moins de remords, dans cette entreprise: Casanova n'est pas désespéré d'avoir vieilli; il ne superpose presque jamais - comme le fera Chateaubriand - des moments différents de son existence pour atteindre à une magique poésie du temps; il ne dresse pas le bilan de ses fautes avant de paraître devant le Souverain Juge; il s'amuse à vivre une seconde fois.

 

Cette recréation n'est pas toujours exacte. Les historiens ont tantôt insisté sur les inventions, ou les embellissements, que se permettait l'auteur, tantôt constaté qu'à tout prendre l'essentiel était vrai. Il ne semble pas que Casanova ait beaucoup plus fabulé que Retz, Saint-Simon ou Chateaubriand. Il s'est souvent donné un rôle qu'il n'avait pas eu et a tiré à lui bien des faits où il n'avait guère eu de part. Quelles que soient les inexactitudes de détail, il nous donne, et c'est l'essentiel, une scintillante image de la vie et de la mentalité européenne entre 1740 et 1770. Il nous promène à travers l'Italie, la France, l'Autriche, l'Espagne, la Saxe. Il nous rend présente cette vivacité des sens et de l'esprit qui irriguait l'Europe, et ce climat de liberté des moeurs qui régnait sous l'Ancien Régime. Le lecteur voit vivre Louis XV et Auguste de Saxe, Bernis, Mme de Pompadour, le grand Frédéric - les abbés italiens et les abbés français, les sorcières de Venise et les confesseurs de Madrid.

 

Peut-on discerner une morale, une philosophie, dans ce livre? Casanova ne semble animé que par la recherche du plaisir. L'amour (on a compté que cent vingt-deux femmes paraissent dans cette vie, ce qui choqua beaucoup au XIXe siècle), la bonne chère, le jeu, paraissent ses idoles. «J'aimais, écrit-il, j'étais aimé; je me portais bien, j'avais beaucoup d'argent, je le prodiguais pour mon plaisir et j'étais heureux.» Morale un peu courte? Sécheresse? Cécité aux grandes valeurs?

 

Le mérite et la profondeur du livre ne sont pas là. Casanova n'écrit pas ses Mémoires; il écrit un roman; il ne nous livre jamais un passé pétrifié ou poétisé, mais une vie qui se fait. Le héros n'a, pour ainsi dire, aucun projet: il va «au gré du vent» (Préface), tenant simplement à accumuler le plus de plaisirs possible - et il avance dans un univers mobile et étendu à l'infini. Ce n'est pas seulement l'Europe, de la Bohême à l'Espagne, qui s'ouvre à lui: c'est une multitude de rencontres, de hasards, de possibilités toujours nouvelles. Casanova n'est pas pittoresque; il ne décrit ni les villes ni les campagnes; il ignore à peu près les couleurs. Il nous donne ainsi le romanesque à l'état pur: Lesage dans Gil Blas s'en approchait; Stendhal, qui admirait Casanova, à qui on a même parfois attribué ces Mémoires, atteindra dans la Chartreuse de Parme la même perfection. C'est un homme libre, qui va à travers le monde, qui est courageux, tenace, affranchi des préjugés, docile aux expériences et ne s'en satisfaisant jamais. Ainsi découvre-t-il le réel et peut-il, comme le Fabrice de Stendhal, aller jusqu'au mysticisme. Fils de comédiens fasciné par le théâtre, l'aventurier de Venise suggère, comme l'auteur de la Chartreuse, la comédie des cours et des ministres. Comme lui, il enseigne - et c'est la vraie morale du vrai romancier - à aimer la vie, le temps, tous les aléas, toutes les promesses, toutes les déceptions d'ici-bas.

 

Voir aussi mon commentaire paru le 30 Janvier 2012 dans le groupe Editions

 

La BnF a acquis en février 2010 le splendide manuscrit, écrit en français, de l’Histoire de ma vie de Giacomo Casanova (né à Venise en 1725, mort à Dux, en Bohême en 1798).
Pour célébrer cet événement, elle consacre une grande exposition à cet étonnant personnage et écrivain. Le nom de Casanova a longtemps été synonyme d’« homme à femmes », un Casanova ou un Don Juan étant des termes plus ou moins interchangeables. S’il y a une différence dans la manière dont ces deux personnages conçoivent la séduction, il n’y a aucune commune mesure dans leur statut : Don Juan est une création légendaire, Casanova a été créé par Casanova lui-même, aussi talentueux pour l’art de la mise en scène que pour l’allant de la narration. Le but premier de cette exposition est de révéler cette force d’écriture au grand public. Et, dans le même mouvement, d’entraîner le visiteur sur les pas de cet extraordinaire aventurier du plaisir. Toujours soucieux de ne jamais sacrifier sa liberté ni à une femme, ni à une cause, ni au goût de la possession, Casanova est un infatigable voyageur. Ouvert à toutes les rencontres, il parcourt les routes de Venise à Madrid en passant par Moscou, et incarne, entre ombres et lumières, des facettes contrastées de son temps. Le scénario de l’exposition est construit comme une pièce en dix actes (à l’image des dix livres que comporte le manuscrit) qui invite à la découverte du monde sensuel, audacieux et baroque de Casanova. À travers la présentation de pièces exceptionnelles (gravures, peintures, sculptures, vues d’optique, objets, collections d’étoffes, films et musiques), l’exposition fait appel à tous les sens du visiteur. L’inventive mise en scène de Massimo Quendolo transmet la formidable énergie et la magie qui animent Casanova.

 

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Le papillon

Papillon-marguerite,

blanc palpite,

dans le ciel, dans les airs, dans l’herbe

volète joyeusement,

insoucieux de demain.

Papillon-marguerite,

blanc palpite,

sur mon sein, dans un bosquet fleuri, dans l’ombre

batifole tout le temps,

dévoreur de l’instant.

Papillon-marguerite,

blanc palpite,

dans ma tête, dans mon cœur, sur mon ventre

fait s’échapper le noir,

insouciant constamment,

Mars, il fait chaud,

l’été et le printemps mêlés,

font une ronde verte au dessus de ma tête,

enchanteresse, légère,

Sur la table du jardin, un vase de tulipes

jaunes ensoleille midi ;

astres monumentaux, terrestres,

 s’ouvrant et se fermant du matin jusqu’au soir.

Papillon-marguerite,

je te vois posé là, immobile,

parmi tes sœurs fragiles, végétales,

vos toilettes sont les mêmes,

élégantes, diaphanes.

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Ô l'indicible émoi!

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La poésie est la surprise

Qui envahit l'instant présent,

 En l'emplissant de joie ou de mélancolie.

   Ô l' indicible émoi! 

 

 

 

 

 

 

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Un bouquet de tendresse

À Marcelle

Ce moment est propice pour te dire les mots

Que ma pensée, émue, souvent me fait entendre,

Quand dans la joie, je prends le temps de me détendre

Et en laisse couler le nostalgique flot.

....

Parfois, il me revient, de ma petite enfance,

Quelques scènes sauvées de l’oubli, dans leurs lieux.

Tu es à mes côtés dans les rires et les jeux,

Qui furent notre lot jusqu’à l’adolescence.

....

Toujours auprès de moi, était la grande soeur,

Généreuse, discrète, amusée, laissant faire,

Respectant ma façon d’exister sans prière.

Jamais d’impératifs, des avis en douceur.

...

Tu as été a fille dont peut rêver un père.

Et tu as certes fait la joie de tes parents,

Relevant sans faiblir les défis les plus grands.

Tu as mis tant d’amour à soigner notre mère!

....

Puisses - tu recevoir, en bouquet de tendresses,

 Ces murmures, à nouveau, entendus ce matin.

J’y ajoute mes voeux pour d’heureux lendemains.

Tes enfants te feront une douce vieillesse.

....

28 février 2006

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Le jeu des couleurs

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La nature, avec art, façonne des volumes

Et harmonieusement les orne de couleurs.

Elle crée en tout temps, usant poils et plumes

Et tout ce qu’il lui faut pour faire des splendeurs.

...

Des teintes et nuances, émerge de la joie,

Quand l’ardente lumière avive et ensoleille.

On ressent aussitôt une forme de foi,

Le désir d’inventer chez certains se réveille.

...

...Je pratique souvent un jeu qui me passionne:

Sur du blanc, je répands de multiples couleurs.

Je les vois dessiner des taches qui m’étonnent,

Se confondre et former un captivant ailleurs.

...

Alors qu’il faut talent et savoir-faire en art,

Le jeu que j’ai trouvé n’exige que patience.

Le résultat dépend strictement du hasard.

Lors je me sens comblée quand j’ai eu de la chance.

...

27 novembre 2008

 

 

 

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Notre belle dame d’Alizée
Vogue à son aise dans les vents frivolents
Doux et célestement ailés
Et combien transcendants 
De la divine poésie !

Par tous temps,
Elle nous en ramène par brassées
Les vers les plus exquis
Inspirés et parfumés
Qui nous transportent aux nuées,
Nous donnent le goût du paradis.

Les mots, consonnes et sonorités
Marient images et musique.
Et par leur alliage magique
La terre et le ciel sont reliés
En une Noce Chimique !

Valériane est un tel puits de culture
et n’en désire que sa parure.
Elle a choisi pour amour le céleste Verbe
pour constituer et inspirer sa verve.

Chère Dame de la Littérature,
Vous êtes née sous de si bons augures
Et nos vœux nous voulons formuler
pour que de pleins et brillants succès
Vos œuvres le ciel vienne couronner !!

Et vous gratifier pour tant d’offrandes
Autant variées que généreuses,
Aussi riches que merveilleuses
Vous, en amour du beau Verbe si grande !

Pour tous vos dons gracieux
De la Divine Poésie
Inspirée par les Dieux,
Recevez notre immense MERCI !

Rébecca Lily Terniak

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En ton absence, doux ami

 

 

J’oublie que tu ne m’entends plus.

Lors, je t’écris par habitude,

Et j’accueille une certitude:

Mon insistance t’aurait plu.

...

Lors, je t’écris par habitude,

Te dis ce que j’aurais voulu.

Mon insistance t’aurait plu,

Te révélant ma gratitude.

...

Te dis ce que j’aurais voulu,

En sortant de ma solitude,

Te révélant ma gratitude.

Tu es absent, ne l’étais-tu?

...

En sortant de ma solitude,

Face au sort qui m’est dévolu.

Tu es absent, ne l’étais-tu?

Silence est parfois quiétude.

...

24 mars 2012

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C'est un autre printemps

 

J’ai caressé mes joues,

jusque sous les cernes des yeux,

attendrie, je souris.

Il n’y coulera plus de larmes

ou alors des larmes de joie,

quand le rire est devenu fou.

...

Attendrie, je souris.

C’est à la vie que je rends grâce,

Quand la nature se renouvelle.

J’ai reçu le don d’innocence,

j’accueille la beauté dans un élan de joie.

Gloria! Gloria! C’est un autre printemps!

...

21/3/90

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Le printemps des poètes

  

Oyez, amis, grande nouvelle!

La Poésie est de retour,

Pleine d’allant, demeurée belle,

Séductrice, comme toujours.

...

Pour revigorer les Poètes,

Une semaine de printemps.

Les Muses sont-elles à la fête,

Apportent-elles des présents?

...

J’ai ouvert portes et fenêtres.

Les ai refermées car le froid

Pénètre jusqu’au fond des êtres.

Le printemps est ailleurs, je crois.

...

Revêtue d’une robe à fleurs,

La Poésie, en promenade,

Sur le blanc, met de la couleur,

Telle une magique pommade.

...

9 mars 2005

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Émouvants visages,

Venus d'un autre âge

Sur la plainte douce du violon qui caresse le cœur

Ces visages exhalent leur muette douleur.

En nue simplicité, timides, ils versent

Leur sensibilité discrète exacerbée

Qui nous émeut et nous bouleverse,

Nous montre leur détresse résignée,

Modeste et si intense ... à s'étouffer.

De très loin, du dedans de leurs âmes

Ils regardent et nous parlent muets

Et leur joie est si petite flamme

Qu’on aimerait tant rallumer !

 

 

 

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