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Notre belle dame d’Alizée
Vogue à son aise dans les vents frivolents
Doux et célestement ailés
Et combien transcendants
De la divine poésie !
Par tous temps,
Elle nous en ramène par brassées
Les vers les plus exquis
Inspirés et parfumés
Qui nous transportent aux nuées,
Nous donnent le goût du paradis.
Les mots, consonnes et sonorités
Marient images et musique.
Et par leur alliage magique
La terre et le ciel sont reliés
En une Noce Chimique !
Valériane est un tel puits de culture
et n’en désire que sa parure.
Elle a choisi pour amour le céleste Verbe
pour constituer et inspirer sa verve.
Chère Dame de la Littérature,
Vous êtes née sous de si bons augures
Et nos vœux nous voulons formuler
pour que de pleins et brillants succès
Vos œuvres le ciel vienne couronner !!
Et vous gratifier pour tant d’offrandes
Autant variées que généreuses,
Aussi riches que merveilleuses
Vous, en amour du beau Verbe si grande !
Pour tous vos dons gracieux
De la Divine Poésie
Inspirée par les Dieux,
Recevez notre immense MERCI !
Rébecca Lily Terniak
Commentaires
Aucune astreinte et risque de déception :
Vous nous avez toujours comblés
de vos lyriques bienfaits à foison
et pour tant de merveilles et générosités
Vos méritez bien de glorieux lauriers !!!
Sachez que très précieuse et unique vous êtes
qui ouvrez de si belles et poétiques fêtes !
Je ne suis qu'une "herbe pauvre, sauvage" pour détourner une formule de Paul Éluard...
Une herbacée n'ayant pas toujours en germe une future et fertile production, et quand bien même, pour lors, la Valérianacée demeurerait féconde, elle constate tous les jours, combien ses graines sont toutes petites, "rikiki", en comparaison de la fructueuse "Corne d'abondance" de nos chers écrivains, fleurons du patrimoine littéraire et ce n'est pas Félicité qui vous l'affirme, même si "elle devrait ne plus se sentir de joie" après avoir été félicitée par une Liliacée fleurant bon... mais Prudence, sa soeur jumelle, qui l'incite à modérer ses extravagantes euphories !!!
Déesse ? Le temps d'une opérette, alors, le temps de reprendre un rôle de divette, pourquoi non ? Après, je redescends promptement, en un éclair, du "piédestal" où une bonne fée m'avait située...Ah, si j'étais seulement digne de baiser une sandale de Calioppée, peut-être que...
Suspendons là notre bavardage nocturne, en ajoutant que je vous trouve bien bonne de m'accorder autant de mérites, mis lyriquement en consonances, et suis presque confuse de susciter une semblable couronne de laurier réservée à Apollon et son cortège de muses ! Il va falloir à présent que je m'astreigne à une double discipline, ne pas décevoir mes "admirateurs", et m'interroger fondamentalement si quelqu'une n'aurait pas usurpé mon identité !
ll y a des moments et des lieux
où l'harmonie des choses
nous fait croire que nous résoudrons
l'insoluble de nos vies.
Robert Mallet