Les pensées sont la source de nos faire,
Prodigieuses mémoires aux confins du réel,
Pouvoirs magiques aux vues imaginaires,
Vagabondant sans cesse dès notre réveil !
GCM
Pensée du jour- 29/05/2024
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A Vincent
Les tournesols de cher Vincent
Suivent tout seuls l‘enterrement
Du grand génie, le suicidé
Sur le cercueil est imprimé
«L’ami Vincent» dans le ruban
Et ses soleils, tous au pas lent,
Un seul cheval tire la charrette,
Aucun humain montre sa tête
Les tournesols, ses seuls amis,
Ouvrent la porte du paradis,
Il leur parlait de son vivant,
Ce fou mystique était si grand
Chaque pétale regarde au sol,
Les larmes coulent en parabole,
Gouttes d’amour, rosée divine,
Au fond l’église s’illumine
Au tempo du convoi,
Sonne à l’église le glas,
Allant au cimetière
Mais que ressent son frère?
Les tournesols ont-ils une âme,
La clé du ciel, le grand sésame,
Seul l’artiste a pénétré
Par sa lumière, l’éternité
Éparpillant cette clarté,
Sur toutes ses œuvres en sont marquées,
Étoile brillante, sur un néant,
Que sommes nous, sans ce géant
Au tempo du convoi,
Sonne à l’église le glas,
Allant au cimetière
Mais que ressent son frère?
le 17-5-2024
La ronde de nuits
Les chats des ports ne sont marins,
Mais se faufilent, ils sont malins,
Les souris grises, les poissons bleus
Sont leur passion, au bout des yeux
Quand vient la nuit, que Soleil dort,
Plus un quidam, à quai, à bord,
Petits et gros avancent au noir,
A pas légers, suivant l‘espoir
Les chats des ports ouvrent le bal
Des entrelacs, du carnaval,
Sur les pavés de la jetée
Leurs deux étoiles sont allumées
Tempo néon, café du coin,
Tapin rubis et vie de rien,
Petite fleur, très jeune encore
A la marée, l’amour tribord
Paradis des félins,
La ronde des festins,
Chacun y trouve son coin
Pour des câlins divins
Les chats des ports savent godiller
Entre poubelles et caniveau,
Couvercle jeté, tam-tam au soln
Entre déchets sont leurs cadeaux
Après manger chacun s’endort,
Les rêves en ronds, tous leurs trésors,
Poissons volants, dans les nuages,
Un arc-en-ciel, dans les cordages
Paradis des félins,
La ronde des festins,
Chacun y trouve son coin
Pour des câlins divins
le 3-5-2024
Une belle dame
Madame Chapeau est élégante,
Avec des airs d’indépendante,
Robe velours, d’un noir corbeau
La bourgeoisie est son drapeau
Madame Chapeau a en dessous
Un petit rien, penchant voyou,
Malgré son âge, elle aime bien
Les hommes très jeunes, ayant la main
Madame Chapeau, regard trop pur,
A sous les draps quelques carrures,
Bien-propres sur eux, veillant sur elle,
Les pistolets dans l’escarcelle
Madame Chapeau a des dentelles
Et des guêpières intellectuelles,
En rouge et noir, elle est rebelle
Avec ses yeux de sentinelle
Chacun peut nous cacher
Ce qu’il a, ce qu’il est
Derrière cette façade,
Mais si faille se lézarde...
Madame Chapeau a sous la main
Une plume en or, alexandrins
Dans ses tiroirs, des métaphores
D’un univers brodé en or
Madame Chapeau l’a enlevé,
Ses cheveux sont désordonnés,
De gris, de blancs d’un vieux macho,
Méfiez-vous donc de ces chapeaux
Chacun peut nous cacher
Ce qu’il a, ce qu’il est
Derrière cette façade,
Mais si faille se lézarde...
Léo
Dans les caves de la Butte
Dansent poètes et putes
Et sur la place Du Tertre
Les couleurs et les lettres
Tous les mots de Léo
Éclairent les tableaux
Et les yeux amoureux
Sous son coin de ciel bleu
Dans les rues de la Butte
Ont refleuri les luttes
Et vive l’anarchie,
Rouge et noir de la vie
On explosait sa hargne,
Comme échappée du bagne,
Poètes révoltés,
Souviens-toi des pavés
Sous ton allure de vieil anar,
Tu as chanté l’amour et l’art,
Tu as rejoint le Panthéon
De nos amis et c’est si bon
Sur les marches de la Butte
S’encanaillent les brutes,
Avec de beaux tapins,
C’est la fête des câlins
Deux notes d’accordéon
Et un brin de violon,
C’est l’accord de Léo
Et Pépée tout là-haut
Sous ton allure de vieil anar
Tu as chanté l’amour et l’art,
Tu as rejoins le Panthéon
De nos amis et c’est si bon
le 7-5-2024
Un nouveau jour
Sur la tablette des inventions
les fleurs entourent tes réflexions
les cœurs s'envolent dans les nuages
la mort surprend à tous les âges
tu peux gagner un coin de ciel
par une vie exceptionnelle
c'est un endroit si merveilleux
réserve donc là-bas pour deux
au moins ici vous serez bien
sans les gourous sans les malins
pas de sauveurs pour vous charmer
un beau jardin d' éternité
peut-être bien d'autres existences
pour te montrer certaines souffrances
car l'harmonie faut la gagner
avec des gestes avec des faits
si tu inventes un nouveau jour
avec des fleurs tout autour
sur le cliché pour être serein
et vos deux corps partiront loin
en attendant soyez heureux
sur la planète repeinte en bleu
dans le soleil du matin
Au fil du lent rythme du temps qui défile,
Savoir être heureux est une voie subtile :
Acteur laborieux de sa propre histoire,
C'est voguer gaiement vers sa modeste gloire !
GCM
Pensée du jour-12/05/2024
Travail de nuit
Travail de nuit, autre univers,
Des femmes des hommes vivent à l’envers,
Toi le rêveur, dans ton sommeil,
Tu nages en mer en plein sommeil
Les ouvriers, les infirmières
Ont des calculs élémentaires,
Tous les crédits et les factures
Et faire le plein de la voiture
Travail de nuit, videur de boîte,
Les autres dansent et puis s’ébattent,
Des chauve-souris, addicts à tout,
Aux galipettes, sniffer des coups
Certains finissent à l’hôpital
Pour retrouver le sens du bal,
Les toxicos, les alcoolos,
Un beau bouquet pour les tombeaux
Blanc et noir, jour et nuit,
Reflet de tous, chacun sa vie,
Pas de vaccin pour l’utopie
Travail de nuit, mourir plus tôt,
Cancer du sein ou d’autres maux
Et s’endormir à chaque instant,
A la cuisine, en repassant
Pour des salaires si dérisoires
Qu’à l’horizon aucun espoir,
Ils sont pourtant si essentiels
Et ce concret est bien réel
Blanc et noir, jour et nuit,
Reflet de tous, chacun sa vie,
Pas de vaccin pour l’utopie
Espace Art Gallery a le plaisir de vous présenter le reportage photos de son vernissage du 02 mai 2024.
Chères amies, amis, collectionneurs et habitués de notre galerie,
Les artistes présents pour cet événement sont :
Helene De Smet (Be) peintures, Cécile Van Ransbeeck (Be) peintures, Natalina Cullier-Montagné (Fr) sculptures en grès et en Raku, Michel Sebastian (Fr) peintures (prolongation), HeAven’s (Fr) peintures (prolongation), Nicole Meunier (Be) peintures, Rita Teugels (Be) peintures, Anita De Meyer (Be) peintures et l’écurie de la galerie (Int) peintures et sculptures.
Ainsi que Nathalie Pannetier artisane d’art en maroquinerie à son compte depuis 2019. Elle apprit ce magnifique métier chez Hermès, pendant 13 ans, gravi les échelons l’un après l’autre jusqu’à être manager d’atelier. Elle s’est ensuite mise à son compte et crée sa propre marque : « Les Cuirs du Clédou ». Chaque pièce est unique, elle ne réalise jamais de série, de l’artisanat d’art à l’état pur !
Référencé Atelier d’Art de France.
Vernissage le jeudi 02 mai de 18h 30 à 21h 30.
Finissage le 25 & 26 mai de 11h 00 à 18h 00.
Lien vers l’annonce visuelle de l’exposition du 02 mai :
lien vers le reportage photos du vernissage du 02 mai :
Lien de l’annonce de la fête de remise 2024 sur mon site Internet :
https://www.facebook.com/www.espaceartgallery.eu
https://www.instagram.com/espace.art.gallery/
https://www.linkedin.com/in/jerry-delfosse-espace-art-gallery/
Bien cordialement,
Jerry Delfosse
Galeriste
*
Fondateur et propriétaire de l’Espace Art Gallery,
Les Éditions d’Art EAG & EAG Studio’s
Co-fondateur et propriétaire du réseau Arts et Lettres 3.0
Administrateur général
Président de jury pour décerner un diplôme d’art
Membre d’un jury international à Corsica Art Fair
*
Rue de Laeken, 83 à B 1000 Bruxelles – Belgium
GSM: 00.32. (0)497.577.120
Le fou chantant
Dans la ronde de Trenet
S’enlace la gaieté,
La mer en cerf-volant
Et ses poissons chantant
Au creux de son jardin,
Souriants et malins
S’amusent des animaux
Échappés du zoo
Dans la ronde des notes
Il nous ouvre les portes
Vers la route de Sète
De la nationale sept
Par ses pins parasols,
Cyprès et oliviers,
Goélands de l’école,
Nous sommes en Trenet
Tous les oiseaux, du cœur de Charles
Dans les clochers, souvent nous parlent
En ocre et bleu, de mélodies
Dans un bouquet de fantaisies
Dans la ronde des mots,
Il nous guérit des maux,
De nos vies trépidantes
Pas souvent éclatantes
Chapeau derrière la tête
Et les yeux allumés,
En étoiles de fête
Sa mémoire renaît
Il est là près de nous
Dans la ronde du ciel,
Non il n’était pas fou,
Mais poète éternel
Tous les oiseaux, du cœur de Charles
Dans les clochers, souvent nous parlent
En ocre et bleu, de mélodies
Dans un bouquet, de fantaisies
le 5-5-2024
Une virtualité concrète
Sous les draps de nos songes, il y a des désirs
Projetés dans le ciel de nos chers souvenirs,
Fragrances en farandoles et autres ritournelles,
Sur les bancs de l’école, je t’ai trouvée si belle
Lisant et relisant, je croquais ta silhouette,
Ton regard et tes mains, un peu penchée ta tête,
Dans ce square très souvent et toujours aux mêmes heures,
Je venais retrouver le reflet du bonheur
Sous les draps de nos songes, tu aimes les enquêtes
Et moi si différent, je lisais dans ta tête,
La recherche haletante de ce si beau voyou
Caché derrière son ombre, emportant les bijoux
Et tu changeais de place, de peur que je dévoile
Ce secret de nous deux, naissant sur une toile,
Puis tu partais ailleurs et entrais de nouveau,
Itinéraire de rêve, paradis de Cocteau
Sous les draps de nos songes, ce tourniquet du temps
A réuni enfin le virtuel, le présent,
Tu es là à côté, je me lève très tôt
Et tu finis ton livre, je reprends mes pinceaux
le 23-4-2024
Tableau reliant le réel, croqué sur le vif des bâtiments près de l’hôpital où tu t’es fait opérer et la virtualité de ce square, de nos rencontres probables et improbables
Dans l'aube de l'enfance, insouciante et douce,
Nous dansions dans les prés, ignorant le poids des choses.
Mais le monde est devenu cruel, lourd fardeau,
Chaque pas devient peine, chaque rêve, écho.
La société, glaciale, nous broie sans pitié,
Chacun pour soi, le cœur las, l'âme effarée.
L'argent règne en tyran, écrasant nos vœux,
Et nos ambitions, brisées, s'envolent vers les cieux.
Dans le fracas des guerres, le ciel gronde,
Les avions, oiseaux de malheur, répandent la fronde.
Nos désirs, flambeaux de misère et de douleur,
Nous conduisent à l'abîme, loin du bonheur.
Regrets amers, regrets sans fin,
Dans ce monde où le destin s'acharne en vain.
Mais malgré tout, gardons espoir, gardons foi,
Qu'un jour, la paix viendra, enfin, sur notre toit.
GCM-27/04/2024
Ecrit avec l'aide de l'IA
L’artiste à part
Au cimetière, des illusions
De tombes en tombes, tes impressions
Te souviens-tu, dans les chemins
Cherchant ton moi , l’autre destin
Te demandant, où est la tienne
Puis à la dame, une gardienne
Étant vivant, là devant elle
Quelle sépulture??, demande-t’elle!!...
Au cimetière, eux, ils sont morts
Tu veux t’y voir, maudit de sort
On te connaît, Garouste l’artiste
Tu es à part, un clown en piste
Ton art bizarre est inclassable
Quoi en penser, c’est improbable
Te cherchais-tu dans tes tableaux?
Certains reflets, de maudits maux
Garder sa différence
C’est garder son enfance
Le désir de trouver
Où tu peux te cacher
Au cimetière, tu t’es perdu
A l’hôpital, un inconnu
Ta femme enfin, t’a retrouvé
Cher bipolaire, à ta santé
Et la gardienne n’en revient pas
De ce fantôme, de l’au-delà
Souriant et triste, dans tes mémoires
A l’horizon, du désespoir
Garder sa différence
C’est garder son enfance
Le désir de trouver
Où tu peux te cacher
le19-4-2024
C’est une histoire vraie du grand artiste peintre Gérard Garouste bipolaire
Fétu de paille tu nais parmi les blés d'or,
A peine le vent peut-il te toucher,
Fragile au bon temps déjà sera ton sort,
Quand la haute muraille viendra à tomber.
Tu batifoles léger quand vient la brise,
Te courbes et rebondis sous le moucheron,
Te prélasses au chaud rayon qui te grise,
Mais retiens ton souffle dès le vol d'un bourdon !
Celui-là hors d'être un fétu paisible,
N'a pas la couleur et les parfums où tu dors,
Mais t'effraie d'une senteur moins loisible,
Celle d'un volcan ailé grondant et qui mord !
Fétu de paille tu dors parmi les blés d'or,
Mais le vent qui souffle viendra te réveiller,
Vois-tu celui qui énerve le mauvais sort,
Venir agiter ses ailes pour te piquer !
GCM-24/04/2024
Ton regard
Dans tes lunettes, ton regard bleu,
En place des verres, juste tes yeux,
Un peu Magritte, rêve de nuages
Tous tes fantômes sont des mirages
Tu gommes souvent les images lentes,
Grises, ternies et redondantes,
Les colorant d’un avenir,
Rayon du soir, quand il t’inspire
Dans tes lunettes un univers,
De ports en ports l’itinéraire,
La découverte de l’aventure
Du grand rideau cette ouverture
La partition, des impressions
Fortissimo, de la passion
Ballet des rats de l’Opéra
Petite mort en apparât
Les papillons nouveaux
Dessinent des rondeaux,
Leurs couleurs s’éparpillent
Comme autant de brindilles
Dans tes lunettes, un coup de pied
Sur la mémoire d’éternité,
Un grand silence dans les carreaux,
Reprise des chœurs dans les vitraux
Fin de la messe, elle te rejoint
Brassard au bras et cierge en main
Lunettes brisées, c’est le refrain
Perdu de vue, tu te sens bien
Les papillons nouveaux
Dessinent des rondeaux,
Leurs couleurs s’éparpillent
Comme autant de brindilles
La vie est belle
J’ai des couleurs, dans les nuages
De la douceur, dans les rouages
Je suis naïf, malgré mon âge,
Ça ne leur plaît, mes badinages
J’ai du printemps dans mon courant,
Je peux voler dessus le temps,
Le répéter comme un enfant,
Je suis très vieux, mais ne suis grand
J’ai des couleurs en aquarelles,
Tournant en rond des hirondelles,
Je peins des rêves venant d’ailleurs
Et puis des rimes, pour mon bonheur
J’ai inventé une autre vie
Avec partout des harmonies,
Un univers sans la douleur,
Sans les cahiers, les professeurs
Mon cœur est en cavale,
Monté sur le cheval
Du manège éternel,
Nous volons à tire-d’aile
J’ai des couleurs autour de moi,
En grands bouquets, je les envoie
Au monde entier et aux planètes,
Je vous emmène pour faire la fête
On va danser, dans le grand bal
J’ai tout changé, du carnaval
En démasquant, tous les sérieux,
Les vaniteux, les prétentieux
Mon cœur est en cavale,
Monté sur le cheval
Du manège éternel,
Nous volons à tire-d’aile
Parlons d’art
L’art est un mot, un mot brillant
Mais générique et intrigant
Comme l’amour, ou bien la mort,
Tant de mystères, sublimes essors
Quel est son but et son essence
Pourquoi Lascaux? quel est son sens?
L’homme a en lui, seul animal,
Ce grand désir, point cardinal
L’art est un mot, même un langage
Entre nations et de tous âges,
Il a en lui toute une gamme
De sensations, voltiges de l’âme
Refoulements et errements,
Un beau parcours de sentiments,
Reflet désir, espoir lointain
Aux croisements de nos chemins
Au cœur de tout musée
Il y a la lumière
Venant de l’Odyssée
De notre itinéraire
L’art est un mot, une hirondelle,
Elle naît en soi, en aquarelle,
Y prend sa place, faisant son nid,
La ressemblance du paradis
Nécessité d’une douceur,
Ce maternel pistil de fleur,
Déclinaison de la beauté,
Révélation d’éternité
Au cœur de tout musée
Il y a la lumière
Venant de l’Odyssée
De notre itinéraire
le 8-3-2024
Je brandis mes couleurs littéraires
Par mégarde ou plus volontairement
J’effleure à peine l’effrayant mystère
D’un poème en ajustement
Il n’y a pas une recette toute faite
Qui de près ou de loin m’appartiendrait
Il existe cette saveur parfaite
Qui seule expliquerait
L’écriture est du cœur un langage
Qui se traduit par vagues à tout âge
La substance en est une invisible
Comme une énergie consumée et sensible
On ne peut me dérober
Ce qui n’est pas matériel
Et qui est mien à l'instant mais qui se renouvelle
© GD TOADER 2024
Mes amis goélands
Les goélands sont des voleurs,
Des fruits, des glaces pour leur bonheur,
Chassant au port, au restaurant
Et au retour des grands chalands
La petite fille, fraise vanille
Et le garçon, avec ses billes
Mamie-tricot et sa pelote
Vite chopée et rebelote
Les goélands sont très précis,
Surtout le mien, il m’a surpris
Ayant becqué du très précieux,
Me l’a donné, c’est merveilleux
C’est une étoile de l’univers
Venant d’ailleurs et à l’envers
De notre monde, d’une douceur
En mots de rêve et en couleurs
Mes grands oiseaux de mer
En bandes ou solitaires,
Valeureux en corsaires,
Le mien est exemplaire
Mon goéland est différent
Il transformât mon inconscient,
Alors je vole de port en port
Cherchant ma perle, mon grand trésor
Je vous en fait l’exposition,
En aquarelles et impressions,
Tous mes fantasmes, péchés ici
A l’horizon du paradis
Mes grands oiseaux de mer
En bandes ou solitaires,
Valeureux en corsaires,
Le mien est exemplaire
le 14-4-2024