À la mémoire de Raymond Martin
L'ami est parti sans adieux.
Il aimait offrir ses poèmes
S'entendre dire qu'on les aime.
La beauté le rendait heureux.
Il célébrait la providence,
Ses mots étaient hymne à la joie
Il nous confia ses émois
Le connaître fut une chance.
Savoir qu'il ne reviendra pas
Est une triste certitude.
Je médite en ma solitude.
Sur le vide on croise les bras.
28 septembre 2017
Commentaires
Raymond serait heureux de lire ces lignes
"Savoir qu'il ne reviendra pas
Est une triste certitude.
Je médite en ma solitude.
Sur le vide on croise les bras."
Merci Suzanne.
Adyne