L'inspiration venue de haut,
Des monts fréquentés des oiseaux,
Quand vers nous un vent la dépose
Souvent semble être de la prose.
Ses mots pleuvent en abondance
Avec pouvoir de transcendance.
Nouvel aspect du familier.
Ce qui existe est falsifié.
Cerveau, ô mon cerveau je sais
Pourquoi je n'aurai pas accès
À un espace fantastique
Au cours d'errances oniriques.
Tu es pourtant mine de mots
Mais elle demeure au repos,
Sans aucun foyer volcanique.
J'y prends des grâces romantiques.
Me tient dans la réalité
Qui est parsemée de beauté
Ma raison toujours vigilante,
À tout jamais intansigeante.
26 octobre 2015
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