Je m'en vais à l'école
Poème : Pascale Eyben, inspirée par cette photo le 14/04/2010
Photo : Aydin Malkoç Vous devez être membre de Arts et Lettres pour ajouter des commentaires !
Poème sur la mort, prière amérindienne magnifique, à lire si vous vous sentez mal suite à la perte d'un être cher.
Publié(e) par Dominique Prime le 15 juillet 2012 à 10:27
De l’art d’être malheureux dans « Capitale de la douleur »
Publié(e) par Robert Paul le 25 août 2012 à 11:30
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Commentaires
Bien à vous,
Pascale
Bravos blanchis, hourras enneigés.
J'admire et j'apprécie.
Quelle chance pour vous, cette jolie petite fille et elle s'applique avec patience...
Le bureau, le tablier, l'encre, la plume, le cahier...et le tour est joué!
Belle et douce soirée à vous. J'irai faire un tour sur le site dont vous me parlez.
Amitiés, à bientôt Yvette!
Pascale
Comme si c'était hier...
Ecrire à la plume, dans un encrier blanc de faïence, tremper sa plume ballon, s'appliquer à écrire, tacher son cahier et puis gommer avec la gomme à encre bleue, qui, si je gommais trop fort, faisait un trou sur ma feuille, ouh, là,là...que faire alors?
C'était hier....:-)
Bien amicalement, Pascale
Notre enfance est notre trésor, les poètes et artistes gardent cette part de merveilleux en eux, et l'expriment par toutes sortes de media; peut-être cherche-t'on ce "paradis perdu" toute notre vie.
Si notre coeur est sensible, c'est qu'il s'émerveille aussi, même si parfois, on voudrait le garder au froid.
Quand j'ai vu cette photo, les mots sont venus ainsi, se mettre en forme, je me retrouvais aussi parmi ces petits qui partent, "le coeur grave ou léger"... et pourtant ces enfants-ci partent d'un village à 2200 mètres d'altitude.
Belle journée à vous, c'est l'été aujourd'hui!
Amicalement,
Pascale
Je suis sûr que c'est moi qui suis là avec le k-way orange.
Qu'il était bon de marcher dans la neige.
C'est fini maintenant.
Ce petit et gentil poème me fait mal.
Il me faudra apprendre à garder mon coeur au froid.
Mais il n'y a pas d'école pour cela.
Mes amitiés.