De notre boule hospitalière,
Nous avons vue sur le mystère
Des astres scintillant la nuit.
Nous les contemplons, éblouis.
Tous les trésors de la Nature
Se renouvellent, tels qu'ils furent.
Quand nous découvrons leur splendeur,
Nous ressentons un coup de coeur.
Ces rencontres ne sont pas rares,
Le hasard n'en est pas avare.
La présence du merveilleux
Nous rend attendris et joyeux.
La beauté n'est pas un besoin
Et la splendeur encore moins,
Elle paraît luxe suprême.
La Nature les offre quand même.
Le sublime exalte, fascine.
Il est d'une essence divine.
D'où surgirent les enchanteurs?
L'énergie n'était qu'un moteur.
4 février 2014
Commentaires
Une question essentielle est : faut-il essayer d'apporter une réponse aux questions qui surgissent de la contemplation du monde? N'est-ce pas là une vanité humaine parmi d'autres? Je pense que c'est dans la nature de l'homme d'essayer, sans oublier ses limites.
A quoi sert la beauté? A rien Dieu merci. C'est sans doute pour ça qu'elle sauvera le monde.