Comme c'est beau, un chat qui s'approche d'un arrosoir !
Et le soleil de juillet, qui s'apprécie particulièr'ment vers ... neuf du soir, aux terrasses ...
Il semblerait que ... le grand sac-à-dos, attaché à la guitare, quand on le transporte (avec des fringues, en plus), c'est tout à fait faisable.
J'ai fait l'expérience, comme promis, en fin de journée, en vue des futures journées sur les ch'mins de Saint-Jacques, en principe dès lundi prochain.
Il n'est pas dit qu'un pote ne viendra pas me rejoindre.
Ca m'enchante et ça me contrarie en même temps.
Oui, quand on est deux, on perd une part d'espace et de liberté. Comme par hasard, le compère qui vous accompagne n'est pas (trop) différent de vous.
Mais ... on fait aussi, à deux, des choses qu'on ne f'rait pas seul. Et qu'on aime. Et qu'on n'oublie pas.
Je sais aussi que, malgré mon attrait, mon amour de la liberté, si j'effectue trois, quatre journées de suite en marchant seul, je peux m'essouffler, éprouver brusquement le besoin d'une compagnie, d'une rencontre stable.
Alors ?
J'ai peut-être une possibilité, aussi, d'aller chanter vers le 16, en Corrèze. Ca demande (encore) confirmation.
En attendant ...
Y a encore des papiers à remplir au préalable. L'Onem m'a renvoyé un formulaire (que j'avais envoyé en r'commandé), afin de régler officiell'ment ma situation d'agent des postes ... en 4/5ème.
En attendant ...
On est entré chez moi quand je bossais. Histoire de régler des tuyaux. Et le concierge n'a pas récupéré le double de clés que je lui avais passé, avant-hier soir, afin que les ouvriers rentrent. De plus, on a déplacé mon séchoir ... sans le remettre à sa place.
Enfin : les ouvriers peuvent encore rev'nir demain. Y a plus de peur que de mal. Mais je n'aime pas ça.
En attendant ...
Au boulot, à la poste, y au moins deux sacs entiers de catalogues ("Trois Suisses" ?) qui m'attendent.
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