Souvent, je cède à la paresse,
Dans une douce oisiveté.
En parfaite immobilité,
Je m'offre à diverses caresses.
Dans une douce oisiveté,
L'âme portée à la tendresse,
Je m'offre à diverses caresses,
Au parfum de félicité.
L'âme portée à la tendresse,
Je m'immerge dans la beauté,
Au parfum de félicité,
Quand la nature est en liesse.
Je m'immerge dans la beauté,
Émouvante, changeant sans cesse,
Quand la nature est en liesse.
Griserie de l'immensité!
8 juin 2014
Commentaires
Bonjour Suzanne,
Si je ne me trompe, il s'agit bien d'un Bantoum !!!
Pas si facile .... j'en ai réalisé un. C'est ma fille qui m'avait inspirée. J'aime votre poésie bien scandée, cela nous change agréablement des formes trop libres où le rythme est saccadé.
Bien que certaines poésies libres possèdent également un rythme propre .... chez certains.
Nous avons eu la chance d'aller chez des amis à Montréal. En 1980 et un juillet. A l'Ile Bizard.
Notre ami était Directeur du département Desing à l'Université du Québec à Montréal et l'un de mes poèmes a été illustré par ordinateur .... ce qui a suscité quelques polémiques en Belgique.
La Page de garde de mon second recueil a été illustrée également par ordinateur. Vous pouvez le retrouver sur mon blog dans la partie photos. La femme au grand chapeau .... c'est moi.
Très bonne soirée. Rolande. Si vous allez sur Google, un endroit parle de cette aventure canadienne.
Etre oisive auprès de la nature quand elle nous offre sa beauté, quoi de plus positif pour le corps et l'esprit.