Bien vu le soleil qui inonde les mirettes. Bien vu toutes ces jambes et dos tournés plein soleil.
Et je pense au même généreux soleil sur une planète vidés de tous ces êtres humains qui se brunissent le lard. Un soleil chaud, brûlant même. Devenu trop grand pour nous. Une lumière aveuglante, qui nous dévore jusque dans nos plis secrets. Un cauchemar balayant nos existences. Un souffle et le silence
étouffant qui suit.
croquis pour un peintre nu triptyque acry sur toile
2000
Prenons le temps de regarder encore et encore nos corps... assis à la terrasse du café, une bière dans l'ombre du parasol..
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